IM53000323 - calice et patène Historique : Ensemble calice et patène réalisé par l'orfèvre parisien A Cabaret vers la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Description : Calice et patène en argent doré. Le décor du calice est repoussé, ciselé et rehaussé d'émaux peints. Celui de la patène est gravé et également émaillé. Le calice repose sur un pied à huit lobes alternativement gros et petits. Ces derniers sont sommés de pierres à montures carrées. La partie supérieure du pied se prolonge pour former la tige polygonale coupée par un noeud circulaire aplati placé au dessus d'une collerette. La coupe ovoïde est habillée d'une fausse-coupe enrichie de pierres à montures carrées. Décor représenté : ornementation (palmettes, cartouche, crochets, rosaces, palmettes), scène biblique (Jardin des oliviers), scène biblique (Crucifixion), scène biblique (Mise au tombeau), scène biblique (La Résurrection), scène biblique (Annonciation), scène biblique (Jésus et les Docteurs), scène biblique (Jésus guérissant), scène biblique (Entrée à Jérusalem), scène biblique (Cène) Précision(s) sur le décor représenté : Calice et patène néo-gothiques. Le dessus du pied est délimité par un tore orné de palmettes. Le départ de la tige accueille quatre cartouches triangulaires représentant le Jardin des oliviers, la Crucifixion, la Mise au tombeau et la Résurrection. Les baguettes placées entre les cartouches sont décorées de crochets. Le noeud se pare de rosaces placées entre deux frises à palmettes. La fausse-coupe est délimitée par deux bandeaux gravés d'inscriptions. Les quatre cartouches qui la composent renferment des scènes figurant l'Annonciation, Jésus et les Docteurs, Jésus guérissant (l'aveugle et le paralytique) et l'Entrée à Jérusalem. Les baguettes qui cantonnent les cartouches sont recouvertes de crochets sommées de palmettes. Le centre de la patène représente la Cène entourée d'une couronne de palmettes. Dimension(s) : h = 24,2,d = 15,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 8,9,patène : d = 14,9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris,inscription (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'auteur (gravée, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000329 - ensemble du maître-autel : autel, tabernacle, demi-relief 2 vues Décor représenté : scène biblique(Joseph : résurrection, Christ, Vierge, ange), figure(ange : la couronne d'épines, ange : roseau, Christ : Agneau), ornement(à chapiteau composite, à pot à fleur, à feuille, à godron) Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ et Marie, penchés sur saint Joseph, semblent le réveiller,autour d'eux, des anges observent la scène. Dimension(s) : l = 300 Précision(s) sur les dimensions : piliers : h = 150. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000330 - ensemble de l'autel secondaire de la Vierge : autel, tabernacle, statue Dimension(s) : h = 107 Précision(s) sur les dimensions : hauteur de la statue. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000331 - peinture monumentale : Triomphe de saint Joseph, Sacré-Coeur, sainte Marthe, le vieillard Siméon, la prophétesse Anne, saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth Historique : Cet ensemble homogène a été réalisé par deux peintres. Maurice Chabas, peintre d'origine nantaise, réalise dans son atelier parisien en 1901 (date portée) les bustes du tambour et le triomphe de saint Joseph. Emmanuel Cavaillé-Coll exécute sur place les peintures ornementales et symboliques. Description : Nature de l'enduit indéterminée : plâtre ou chaux. Les médaillons du tambour et le triomphe de saint Joseph sont des toiles marouflées. Décor représenté : saint Joseph : debout, lys, ange : harpe, lys, phylactère, couronne, livre£croix, lys, ornement à forme végétale, colombe, calice, nuée, fleuve du Paradis, étoile£Sacré-Coeur : en buste, sainte Marthe : en buste, homme du nouveau testament(Siméon), femme du nouveau testament(Anne), saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth, croix, ornement à forme végétale£tissu, guirlande, croix : ornement géométrique£étoile, croix, saint Esprit, fleur, bouquet Précision(s) sur le décor représenté : Le décor correspond à un programme unique qui s'articule de haut en bas : à la coupole, la croix timbrée du saint Esprit distribue les Grâces sous forme de fleurs et d'étoiles,au tambour, les médaillons figurés alternent avec des ornements à motifs végétaux dotés de croix,au cul de four de l'abside, sur un semis de fleurs et d'étoiles, deux colombes boivent au calice de la vie placé au pied de la croix,du calice sortent les flots du fleuve du Paradis et un lys rayonnant,au registre supérieur de l'abside, le triomphe de Joseph parmi les anges. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peint, latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Davy Christian,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000357 - peinture monumentale 1 vue Historique : Cette peinture murale avait été commandée par Mgr Richaud (1938-1950), au peintre Adelyne Neveux. "Peinture pour temps de crise", elle a été réalisée dans les années 1942-1943, sous l'occupation allemande. Décor représenté : figures(ermite : debout, chapeau, canne, évêque : saint Julien du Mans, debout, mitre, crosse, chasuble, Vierge : lévitation, robe : étoile, Dieu le Père : assis, croix : colombe, Christ, ermite : agenouillé, livre, oiseau, évêque : saint Turibe, debout, mitre, chasuble, diacre : saint Berthevin : debout, dalmatique, livre, prêtre : groupe, guillotine), architecture religieuse, pont : fleuve identifié, château, fortification, fond de paysage(sécheresse, fleur) Précision(s) sur le décor représenté : Au centre la sainte Trinité : le père présente son fils en croix (croix de couleur sang à cause de Pontmain), tandis que l'Esprit plane sous les traits d'une colombe. A gauche, la Vierge de Pontmain, saint Julien (1er évêque du Maine), l'ermite saint Cénéré qui porte un chapeau de cardinal à cause de son appartenance à la communauté monastique de la basilique vaticane et les prêtres martyrs de la Révolution.A droite, l'ermite saint Fraimbault, saint Turibe (2e évêque du Maine) et le martyr saint Berthevin. En arrière-plan, des édifices religieux de la Mayenne : l'ermitage de saint Cénéré à Saulges, Notre-Dame de Charné à Ernée, la basilique de Pontmain, la cathédrale de Laval, la basilique Notre-Dame de Mayenne, la basilique Notre-Dame de l'Epine à Evron, la basilique d'Avesnières à Laval. Comme pour envelopper le tout, des arbres dénudés dans des terres craquelées à la partie supérieure et des fleurs dans la partie inférieure. Dimension(s) : h = 230,5,l = 447,5 Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000358 - ensemble de 3 tables 1 vue Historique : Ces trois tablettes de bains sont situées dans les salles avec baignoires. Dimension(s) : l = 83,5,h = 75,5,la = 35,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000424 - monument commémoratif : Béatrix de Gâvre Historique : Béatrix de Gâvre, décédée en 1315, épousa Guy IX de Laval en 1286. Héritière d'une puissante maison de Flandres, elle aurait amené avec elle des ouvriers flamands, qui donnèrent une impulsion nouvelle à une industrie de la toile déjà ancienne à Laval. En 1902, la Société des Arts réunis sollicite une subvention de l'Etat, afin d'offrir à la ville de Laval une statue en bronze de Béatrix de Gâvre. Fondue en 1907, la statue en bronze est l'oeuvre du sculpteur Paul-Louis-Emile Loiseau-Rousseau et des fondeurs E. Capitani, Geny et Cie, fondeurs à Bussy (Haute-Marne). La statue a été mise en place dans la cour du château à la fin de l'année 1913. En 1921, la plaque, réalisée depuis 1913, est posée sur le socle de la statue. Celle-ci est officiellement remise à la Ville par la Société des Arts réunis en juillet 1922. Description : La tête droite, Béatrix de Gâvre se dresse debout. Esquissant un léger mouvement vers l'avant, elle semble avancer d'un pas. Elle est vêtue d'un costume médiéval qu'elle retient de sa main droite. De l'autre, elle porte une navette de métier à tisser. La statue repose sur un socle de granite sur lequel est gravée une inscription. Précision(s) sur le décor représenté : Statue en pied représentant Béatrix de Gâvre,elle est représentée en costume médiéval. Dimension(s) : h = 190 Précision(s) sur les dimensions : socle : h = 185,l = 89,la = 12,plaque : h = 75, la = 50. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000432 - sculpture : Esprit, eau et sang, dite Robert Buron Historique : Ce monument aux formes géométriques est l'oeuvre d'Emile Gilioli. Ce sculpteur parisien d'après-guerre est considéré comme l'un des plus importants maîtres de la sculpture abstraite. Destiné à un projet de mémorial de la Résistance dont la maquette fut exécutée en 1953, Esprit, Eau et Sang est reproduit à six exemplaires. En 1975, des particuliers offrent une de ces épreuves à Laval, en hommage à Robert Buron, ministre sous la IVe République et maire de Laval (1970-1973). Amateur d'art contemporain, Robert Buron s'était fait le défenseur des artistes. Précision(s) sur le décor représenté : Esprit, eau et sang est une sorte de pyramide trièdre renversée, fixée sur sa pointe et axée sur une verticale intérieure ascendante. Dimension(s) : h = 360 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000433 - monument commémoratif : Hommage à Alfred Jarry 1 vue Historique : Ossip Zadkine réalise un projet de monument à Alfred Jarry en 1938. En 1966, il agrandit et remanie la sculpture qui est fondue par la maison Susse à Arcueil (Val-de-Marne). Commandée par l'Etat, le monument est attribué en dépôt à la ville de Laval par arrêté du 10 avril 1968. Selon la volonté de Zadkine, l'oeuvre qui est inaugurée le 29 mars 1968 est installée square Hardy-de-Lévaré. Elle se dresse aujourd'hui parvis des Droits-de-l'Homme. Description : Enfourchant sa légendaire bicyclette, Alfred Jarry tient d'une main un livre, peut-être celui du roi Ubu, et de l'autre, une arme, référence à sa passion pour le tir. Zadkine, suivant une démarche cubiste, morcèle la silhouette en volumes pour les recomposer en une évocation poétique de l'écrivain. La statue de bronze repose sur un socle de granite. Dimension(s) : h = 140,la = 100,pr = 60 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000434 - monument commémoratif : Hommage à Alain Gerbault 2 vues Historique : La maquette en plâtre du buste d'Alain Gerbault fut réalisée par le sculpteur Jan Martel en 1955. Le socle en granite sur lequel repose le buste en bronze est l'oeuvre de l'architecte lavallois Delattre et du sculpteur Jan Martel. Le monument a été inauguré en 1957. Description : Le buste en bronze d'Alain Gerbault repose sur un socle de granite. Celui-ci figure de façon très stylisée la proue d'un bateau, dont quelques planches éparses portent des bas-reliefs en bronze représentant le périple autour du monde accompli par le navigateur Précision(s) sur le décor représenté : Le buste est celui d'Alain Gerbault. Dimension(s) : h = 300 Précision(s) sur les dimensions : buste : h = 70,bas-relief : h = 53,la = 105. Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000435 - monument commémoratif : Jeanne d'Arc 1 vue Historique : Le monument à Jeanne d'Arc commémore la reconquête du royaume de France durant la guerre de Cent Ans. Il rappelle aussi l'engagement des notables lavallois, tels que Guy XIV, seigneur de Laval. Cette oeuvre patriotique financée par une souscription en 1911, deux ans après la béatification de Jeanne d'Arc. La statue en bronze de Jeanne d'Arc a été réalisée par le sculpteur Roger Roussel de Préville et le fondeur H. Gonot en 1912 (date portée). Le socle a été mis en place par l'architecte lavallois Garnier. La statue a été inaugurée en 1912. Sur le socle est gravée une phrase du comte de Laval Guy XIV concernant sa rencontre avec Jeanne d'Arc. Description : Jeanne d'Arc est représentée comme une combattante, à travers une sculpture caractéristique du réalisme historique. Vêtue de son armure, le genou en appui sur un rocher, Jeanne d'Arc tend fièrement son étendard. La statue de bronze de Jeanne d'Arc repose sur un socle octogonal de granite. Précision(s) sur les dimensions : socle : h = 235,dimensions de la statue non prises. Inscription(s) : inscription,date,signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000436 - tombeau du Douanier Rousseau 2 vues Historique : L'effigie en bronze du peintre Henri Rousseau dit le Douanier fut réalisée en 1890 par le sculpteur Bracke. A la mort du peintre en 1910, cette effigie fut utilisée pour orner sa tombe, sur laquelle le sculpteur Brancusi a gravé un poème de Guillaume Apollinaire. La tombe du "Douanier" a été transférée au jardin de la Perrine à Laval en 1947. Description : Le monument se compose d'une pierre tombale et d'une stèle décorée d'un bas-relief. Précision(s) sur le décor représenté : Effigie du Douanier Rousseau. Dimension(s) : h = 120,l = 200,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives. Inscription(s) : signature,date,inscription concernant l'iconographie Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000473 - groupe sculpté : saint Joseph et l'Enfant Jésus Historique : Groupe en bois clair représentant saint Joseph et l'Enfant Jésus, probablement réalisé dans la première moitié du siècle. Dimension(s) : h = 149,la = 62,pr = 38 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000485 - ensemble de 8 peintures monumentales 3 vues Historique : Le faux-appareil de l'ancienne croisée du transept a été réalisé au cours du 15e siècle et repris vers le milieu du 16e siècle lors du percement du trou des cloches. Le faux appareil aux axes faîtiers ornés a été réalisé vers 1490. Le vestige de faux appareil du mur nord de la 1ère travée de la nef pourrait correspondre à cette campagne. Le faux appareil ponctué a été peint immédiatement après la construction de la chapelle dans laquelle il se trouve, entre 1537 et 1541. Le faux appareil blanc sur fond jaune pourrait correspondre à la campagne de construction réalisée entre 1549 et 1556. Les croix de consécration peintes dans le choeur datent vraisemblablement de l'érection de l'église en cathédrale (1855). Le faux appareil des voûtes des 3 travées de la nef actuelle et les croix de consécration de la nef, copies interprétées, ont été peintes ou repeintes dans le dernier quart du 20e siècle. La trace d'une litre, réalisée entre le 16e et le 18e siècle, est visible dans la chapelle sud-est. Description : Les peintures peuvent être aussi bien réalisées à fresque ou débutées à fresque et terminées à sec. L'ensemble de croix de consécration du 19e siècle semble avoir été réalisé sur badigeon. Les 5 faux-appareils ont semble-t-il été réalisés à main levée. Quatre de ces faux-appareils sont rouge sur fond blanc et le 5e est blanc sur fond jaunâtre. Précision(s) sur le décor représenté : Cinq ornements de forme architecturale imitent un appareil de pierre de taille. Dans l'ancienne croisée de transept, il est doté de motifs floraux ou d'étoiles. L'extrémité inférieure des voûtains est ornée d'un rameau sec. Les murs et les voûtes du choeur reconstruits vers 1490 étaient couverts d'un faux-appareil. Les axes faîtiers sont ornés d'un bandeau décoratif, qui est constitué d'un axe autour duquel court un rinceau sur un fond de fleurettes et d'étoiles. Le tout est encadre d'un bandeau bicolore rehaussé de fleurettes et d'étoiles en alternance. Sur chaque bordure extérieure court un redent fleuronné. La voûte de la 1ère chapelle sud du choeur est dotée d'un faux appareil dont les joints verticaux sont ponctués,chacune des croix de consécration fleuronnées est inscrite dans un cercle et accompagnée de rameaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001347 - tombeau de la famille Bordeau Lepecq 1 vue Historique : Tombeau des familles Regease, Valette, Le Pecq et Bordeaux, probablement réalisé au cours de la première moitié du 20e siècle comme l'ange de la résurrection exécuté entre 1900 et 1910. Parmi plusieurs membres de ces familles figure Andrée Bordeaux Le Pecq (1910-1973), peintre graveur qui a été président fondateur du salon Comparaison à Paris et du musée d'art naïf à Laval. Description : Statue en marbre blanc de Carrare,tombe et stèle en marbre noir veiné blanc (?). Précision(s) sur le décor représenté : Une tombe avec une croix en relief repose au centre d'un socle de granite. A l'extrémité de ce socle, une stèle en marbre noir veiné blanc (?) et une statue d'ange de la résurrection en marbre blanc de Carrare. Celui-ci est une copie de la célèbre statue réalisée en 1882 par Giulio Monteverde pour le tombeau de la famille Oneto au Staglieno de Gênes. Cette sculpture représente une créature androgyne dissimulant à demi le long de son corps ce qui peut ressembler à une trompette. Les épaules et les bras sont nus et ces derniers sont délicatement croisés sur la poitrine. Le reste du corps est pris dans un drapé étroit retombant en traîne et cachant les pieds. Dimension(s) : h = 178,la = 70,pr = 48 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives. Inscription(s) : inscription(gravée),date(gravée) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001349 - tombeau de la famille Ridel 1 vue Historique : Tombe de la famille Ridel, dont le plus célèbre, Léopold (1852-1910) a été architecte de la Ville de Laval. Probablement réalisée à la mort de celui-ci, elle est l'oeuvre du sculpteur André Joseph Allar. Description : Une sculpture est taillée dans la stèle. Cette dernière est surmontée d'une sorte de coquille. L'ensemble est en pierre calcaire. Précision(s) sur le décor représenté : Des fleurs dans une main, l'autre sur sa joue, la femme laissé entrevoir son chagrin. Dimension(s) : h = 165 Précision(s) sur les dimensions : hauteur du haut-relief,dimensions de la stèle : la = 164,h = 300(environ). Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001350 - tombeau de Jean-Pierre Bouvet Historique : Tombe de Jean-Pierre Bouvet (1937-1976) réalisée par les sculpteurs Guy Roussille et Jacques Reumeau en 1977. Bouvet, artiste peintre, a été le premier conservateur du musée d'art naïf de Laval. Description : Tombe en ciment, modelée et incrustée de céramique (laitier, faïence, verres). Dimension(s) : l = 230,h = 140,la = 115 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001351 - tombeau de Félix Grat 2 vues Historique : Tombeau des familles Pirault, Durocher, Pottier, Verdrie, Mulot, Lacoulonche et Grat, réalisé entre 1940 et 1945(?). Félix Grat, décoré de la croix de guerre durant la première guerre mondiale, avait épousé en 1923 une lavalloise (Melle Andrée Lacoulonche). Admis à l'école française de Rome la même année, il s'y rend avec sa femme. En 1925, il enseigne à la Sorbonne et en 1937 il fonde l'Institut de recherches et d'histoire des textes. Parallèlement, il entame une carrière politique et devient député de la Mayenne, circonscription de Laval, en 1936. Capitaine de réserve, il se trouve exempté de mobilisation à titre de député lorsque la deuxième guerre mondiale éclate, mais il part comme volontaire et obtient le commandement d'un corps franc. Il est tué en Moselle le 13 mai 1940. Description : Une tombe très plate en granite repose sur un socle du même matériau. En limite d'emplacement un mur bahut est surmonté d'une importante croix également en granite. Sur ce mur, un médaillon en bronze est à l'effigie de Félix Grat. Dimension(s) : la = 51,h = 51 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du médaillon. Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001359 - tombeau d'Auguste Alleaume 1 vue Historique : Sépulture de Mme vve Aug. Alleaume et du peintre verrier Auguste Alleaume, probablement réalisée en 1940, dont les inscriptions ont été gravées et peintes sur une pierre en forme de menhir. A gauche de cette sépulture, une tombe plantée d'un if porte les noms des familles Alleaume et Hugot. Description : La sépulture se compose d'un petit menhir posé au centre d'un espace rectangulaire délimité par des bordures en granite. Dimension(s) : la = 74,h = 88 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives du menhir,dimensions de la tombe : l=198,la=100(environ) Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001360 - tombeau de la famille Souchu-Servinière 1 vue Historique : Sépulture de la famille Souchu-Servinière, dont le plus illustre représentant est Théophile qui fut médecin en chef de l'Hôtel-Dieu de Laval, conseiller municipal et député de la Mayenne. Description : La sépulture se compose de 7 colonnes surmontées chacune d'une urne funéraire. Toutes les colonnes n'ont pas la même taille. Dimension(s) : h = 173,la = 36 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la plus haute des colonnes,dimensions totale de la sépulture : l=402,la=200 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001361 - tombeau de la famille Conilleau Perlemoine 1 vue Historique : Tombe de la famille Conilleau Perlemoine Miaille, probablement réalisée au début du 20e siècle. Madame Louis Conilleau née Perlemoine avait en 1903 fondé l'imprimerie "Vve Conilleau" entre la place Saint-Tugal et la rue des Déportés. Description : La sépulture est formée d'un socle rectangulaire en pierre que délimite, sur la longueur, des garde-fous en marbre surmontés de 2 pots à feu. A l'extrémité, une dalle rectangulaire portant les inscriptions est encadrée de pinacles(?) et surmontée d'une croix (l'ensemble est également en marbre). Un bac a fleurs(?) fermant la tombe porte les initiales entrelacées P et C. Dimension(s) : h = 295,la = 100,l = 200 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001363 - bas-relief de l'abbé Blu 1 vue Historique : Le buste de l'abbé Jean Blu a été réalisé par le sculpteur Roger Roussel de Préville vers 1905. Jean Blu est né en 1830 à Entrammes, il avait été ordonné prêtre en 1855. Désirant fonder un établissement d'enseignement secondaire à Laval, il prit la succession de l'établissement scolaire de Mary Beauchêne sur la place des Arts en 1865. Cinq ans plus tard, cet établissement (aujourd'hui l'institution de l'Immaculée Conception) fut transféré rue Crossardière où il fut considérablement agrandi. L'abbé Blu, handicapé par une cécité importante, fut remplacé en 1879 par les oblats du Sacré-Coeur dont la maison mère est à Pontigny (Yonne). Il resta cependant directeur titulaire de la nouvelle maison et alla par le diocèse prêcher missions et retraites jusqu'à sa mort (1905). Description : Bas-relief en bronze représentant le buste de l'abbé Blu. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature,inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001364 - peinture monumentale : Couronnement de la Vierge 2 vues Historique : Peinture murale réalisée en 1900 par le peintre L. Moriceau. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ pose délicatement une couronne sur la tête de la Vierge qui se penche en avant pour l'accepter. Tout autour des têtes d'angelots, au-delà de ceux-ci un décor de fleurs (lys) et au-dessous, encadrant l'ensemble de la composition, une frise de rinceaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001372 - groupe sculpté : La Rencontre 2 vues Historique : Cette sculpture fut présentée lors d'une exposition en 1965 (galerie Hervé) puis acquise en septembre 1976 par la Ville. Elle fut installée en 1979 sur le terre-plein d'herbe qui se situe entre la bibliothèque et la salle polyvalente (avec le consentement du sculpteur). Elle est, d'après son auteur, à sa place, au coeur des rencontres festives et culturelles. Description : Dans le catalogue d'une exposition (Galerie Hervé, 1965), Louise Weiss en donne cette description : "Une femme s'avance d'un pas certain, le visage ébloui, vers l'homme qu'elle a choisi. Confus d'un tel don, lui hésite à s'en emparer. L'on devine que bientôt, vainquant sa retenue, il en sera, malgré son pauvre physique, l'insatiable dominateur". Seule la femme esquisse un léger mouvement vers l'homme. Toute la symbolique du moment s'inscrit dans l'intensité de leur regard. Ce moment de rencontre est, d'après Derbré, une découverte de l'autre, un enrichissement de la vie par la rencontre. Précision(s) sur le décor représenté : L'homme et la femme, nus, se tiennent debouts face à face. Dimension(s) : h = 185 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001373 - monument : Le Zoom 1 vue Historique : En 1992, à l'occasion de la réalisation de la rocade nord, la Direction Départementale de l'Equipement organisa un concours pour aménager une sculpture sur le rond-point de la route de Mayenne. L'Etat commande ensuite à Louis Derbré une sculpture devant à la fois remplir l'espace et respecter la visibilité. Le sculpteur élabore une oeuvre monumentale, haute de 16 mètres. Description : Deux anneaux parallèles de bronze, l'un plus petit que l'autre, sont attachés par une couronne crantée et dressés sur un socle de béton. Ils sont entourés de rayons fuselés en polyester répartis autour de la sculpture. Derbré souhaite ainsi capter l'oeil du visiteur qui entre dans Laval et diriger son esprit vers la ville indiquée par un anneau plus petit. En sens inverse, le cercle le plus grand ouvre sur la campagne mayennaise. "Le monument est une perpétuelle porte pour l'esprit", une invitation à découvrir Laval, la nature et le monde. Dimension(s) : h = 1600,pds = 10000 Précision(s) sur les dimensions : dimension du socle : h = 300. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001374 - statue : La Joie 1 vue Historique : La Joie est une réplique d'une des six statues du mémorial d'Oasa, près d'Hiroshima (1997). Elle fut exposée à Laval dans le cadre de la première rencontre de Sculptures Contemporaines en 1998. Elle fut achetée par la Ville grâce à une souscription populaire en 1999. Elle revient à Laval lors de la seconde édition des Rencontres de sculptures contemporaines en 2000 (exposition des oeuvres monumentales de Louis Derbré dans les rues de Laval). La Joie reste alors à Laval. Installée dans le bas de l'avenue Robert Buron, elle est d'après son auteur bien placée et accueille ainsi les voyageurs arrivant depuis la gare. Description : Une femme aux formes étirées se dresse debout, les bras ouverts en signe de joie. Derbré explique la disproportion des formes par l'emprise de l'esprit et des sentiments sur le corps. Le corps est alors au service des émotions. Dimension(s) : h = 450 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001375 - stèle surmontée d'une tête : Hommage au ministère Robert Buron Historique : Robert Buron (1910-1973) était ministre à plusieurs reprises sous la quatrième République puis député en Mayenne de 1945 à 1958. Il fut également maire de la ville de Laval de 1971 à 1973. Amateur d'art, il défendait activement l'Art Contemporain et lia amitié avec nombre de ses représentants. Robert Buron acheta pour le musée de la Ville de Paris une sculpture à Louis Derbré qu'il connaissait bien et qu'il encouragea ainsi. Une vingtaine d'années après, le sculpteur lui rend hommage par ce monument installé en 1991. Description : Le monument a la forme d'une stèle surmontée d'une tête dans l'angle supérieur droit. Sur la surface de la stèle est inscrite une citation de Robert Buron. L'auteur lui rend également hommage par un portrait. Dimension(s) : h = 300 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001376 - monument : L'Equinoxe 2 vues Historique : Cette sculpture est une commande du Conseil Général de la Mayenne qui lui confie en 1992 l'aménagement de l'espace jouxtant la Maison du Tourisme. Son inauguration coïncide avec l'ouverture de la Maison du Tourisme. Description : L'Equinoxe est une oeuvre globale. Elle comprend une sculpture centrale indépendante, un élément vertical en arrière-plan et un environnement structuré. L'oeuvre centrale représente un cheval aux prises avec une mer déchaînée. Seules sa tête et sa crinière émergent de ces vagues matérialisées par des plages successives d'eau. L'arrière-plan reprend ce thème de l'eau suggérant une impression de chute par une végétation grimpant le long d'un mur de fond. Précision(s) sur les dimensions : partie centrale : h =180,la = 85,haut-relief : h = 405,la = 685 (mesures approximatives). Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001377 - ronde-bosse : Ambroise Paré 2 vues Historique : Né à Laval en 1510, Ambroise Paré se consacra à la médecine sur les champs de bataille et à la cour des rois de France. Il fut entre autres le premier à réaliser l'opération de la trépanation et la ligature des artères. Il est depuis considéré comme le "grand chirurgien du 16e siècle". Ses instruments chirurgicaux sont exposés au musée du Vieux Château à Laval. La sculpture fut réalisée à l'occasion d'un concours organisé par l'association de commémoration du quadricentenaire de la mort d'Ambroise Paré. La statue est installée en juin 1994 devant l'hôpital. Description : Pris par le tumulte et l'urgence médicale du champ de bataille, Ambroise Paré, tête casquée au visage béant, semble arrêté dans sa course. Son corps fait de plaques d'acier et de tiges soudées évoque également les planches anatomiques d'écorchés. Dimension(s) : h =180 Précision(s) sur les dimensions : socle : l = 150,la = 100 (mesures approximatives). Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001378 - ronde-bosse : LC4 2 vues Historique : La sculpture fut réalisée à l'occasion de la première rencontre de Sculptures Contemporaines à Laval en 1998. Le concours était ouvert à tous les sculpteurs de la région des Pays de la Loire, de la Basse-Normandie et de la Bretagne. La sculpture de taille imposante pouvait être librement réalisée à la fois dans le choix des matériaux, des techniques ou de l'iconographie mais devait s'adapter au lieu d'implantation imposé par le concours. LC4 remporta le premier prix et fut achetée 35 000 F par la Mairie conformément aux clauses du concours, somme à laquelle s'ajoutent les 15 000 F du premier prix. Son titre est la contraction de Légende Celtique 4, Sokolovsky travaillant ses oeuvres en série. Description : LC4 est une sculpture tout en hauteur à l'image d'un pilier sculpté. On distingue quelques formes humaines : une chevelure, un visage, deux mains... Dimension(s) : h = 300,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : mesures approximatives. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001379 - ronde-bosse : le père Ubu 1 vue Historique : La sculpture fut réalisée à l'occasion de la première rencontre de Sculptures Contemporaines à Laval en 1998. Le concours était ouvert à tous les sculpteurs de la région des pays de la Loire, de la Basse-Normandie et de la Bretagne. La sculpture de taille imposante pouvait être librement réalisée à la fois dans le choix des matériaux, des techniques ou de l'iconographie mais devait également s'adapter au lieu d'implantation imposé par le concours. Gérard Leclerc y participe sous le nom de Maître Del'aune, son nom d'artiste. Le père Ubu obtint le second prix, 7 000 F puis fut acheté par la Mairie de Laval pour 30 000 F. Description : Un petit homme au ventre rond est assis sur un trône comme avachi. Ses formes géométriques suggèrent une certaine corpulence. La sculpture est une représentation du roi Ubu d'après le portrait qu'en a fait son auteur Alfred Jarry. Le sculpteur reste fidèle à ce modèle qui est déjà "le fruit d'une imagination". Gérard Leclerc donne alors une nouvelle dimension à ce personnage grotesque aux formes avantageuses tout en respectant la représentation qu'en a fait son créateur. Il l'assied sur un immense trône kitsch pour en accuentuer le ridicule. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001380 - groupe sculpté : La Piscine Historique : La sculpture fut acquise par le foyer des Jeunes Travailleurs de Laval en 1993. Elle fut choisie parmi les oeuvres de Laurent Vignais, "La Piscine étant celle qui correspondait le mieux au contexte d'implantation et au public du FJT", d'après son auteur. Pour le directeur du FJT, la sculpture est beaucoup plus symbolique : elle représente des jeunes sortant la tête de l'eau dans un contexte social difficile. L'achat de cette oeuvre est également une manière de "donner un coup de pouce à un jeune travailleur lavallois" (directeur du FJT). Cette sculpture fut réalisée à partir de tôles d'acier de voiture dont l'entretien est assez difficile, l'acier ne se prêtant pas forcément aux extérieurs. L'entretien et la conservation de l'oeuvre étant trop difficile, le FJT et Laurent Vignais sont en pourparlers pour la remplacer par une nouvelle plus adaptée au climat pluvieux de la Mayenne. Ce groupe sculpté est la seule sculpture polychrome de Laurent Vignais, elle est donc la moins représentative de l'oeuvre de ce sculpteur. Description : C'est la seule oeuvre polychrome et donc la moins représentative du sculpteur. Quatre personnages en rond se font face, à différentes hauteurs et niveaux d'immersion. Le niveau de l'eau est matérialisé par des plaques horizontales que le sculpteur travaille de façon à ce que le soleil s'y reflète comme sur la mer. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001381 - monument : L'île 3 vues Historique : La sculpture fut réalisée à l'occasion d'un concours en 1992 organisé par le service des espaces verts de la Ville de Laval pour orner le bassin du jardin public de la Perrine. Seule contrainte du concours : la sculpture devait être une fontaine. La maquette de terre est créée en 1993. Le moulage, le coulage et la soudure des sept éléments composant la sculpture sont réalisés en novembre 1993. L'île est finalement installée le 19 novembre 1993 dans le jardin de la Perrine. Description : L'île est une oeuvre tout en hauteur à la manière d'une montagne bordée d'un escalier emprunté par des personnages. Par moment, l'escalier est interrompu par des vides ou des cavités. Au sommet, une forme donne toute liberté d'interprétation (main, homme étiré,...). A l'image du jardin public, île de sérénité, balcon sur la ville, l'île est l'évocation du monde en petit. La montagne minérale que l'on gravit, entre autres, par des escaliers. Cette montagne présente des grottes ouvertes sur l'intérieur, lieu de méditation et sur l'extérieur, lieu d'action. L'île évoque à la fois le chemin d'accès au jardin de la Perrine depuis les quais, par l'escalier des éperons et la rencontre des éléments de la nature. Robert Lerivrain en donne cette description : Le minéral qui soutient, la terre qui nourrit, le végétal qui orne, l'eau qui féconde, le vent qui disperse et assèche, le soleil qui éclaire, le son de l'eau sur le bronze qui rythme le temps. Dimension(s) : h = 240,pds = 1000 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001382 - monument : sans titre 2 vues Historique : "L'oeuvre est née de la rencontre de trois personnes : M. Legendre qui dirige le musée-école, grand amateur d'art moderne, M. Didier Elie, architecte municipal, et le plasticien Bertrand Gobron" (Ouest France, 9-07-1991). Elle est inaugurée le 8 septembre 1991 devant M. Pinçon, le maire de Laval. Description : Cette sculpture est une structure de bois et de pierre. Les poutres de bois parallèles ou entrecroisées forment une sorte d'échafaudage. La base est maintenue par un bloc de granit à peine dégrossi. La structure de bois supporte une pierre polie de forme ovale. L'oeuvre est à l'image des maisons lavalloises à pans de bois. Quand le temps aura patiné ces matériaux, l'osmose de l'oeuvre avec son environnement sera parfaite. Le plasticien ne souhaite donc pas que son oeuvre soit rénovée pour ne pas gâcher cette osmose. Dimension(s) : h = 440,la = 220,l = 370 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Calibre Annie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001392 - équipement industriel flottant dit bateau-lavoir Fouquet, puis bateau-lavoir Poirier, actuellement bateau-lavoir Saint-Julien 29 vues Historique : Bateau-lavoir construit en 1904 pour Alphonse Fouquet qui le cède à Joseph Poirier et sa femme en 1933. Le couple de buandiers-blanchisseurs l'exploite jusqu'à la mort de monsieur Poirier en 1970. En 1971, Jacques Poirier, leur fils, en fait don à la Ville de Laval qui, en 1976, entreprend de le restaurer afin de l'ouvrir à la visite : la toiture, les planchers, les peintures et l'installation électrique sont entièrement refaits,un éclairage de sécurité et une seconde passerelle sont également posés. C'est à cette époque que le bateau prend le nom de Saint-Julien. En 1985, le statut de musée lui est accordé. Le 2 décembre 1993, il est classé monument historique. L'année suivante, sa coque est entièrement reconstruite par le chantier malouin l'Etoile Marine. En 2003, il est labellisé Musée de France. En avril 2009, suite à son naufrage et dans l'attente de sa restauration, il est entreposé sur un terrain municipal de la rue du Bas-des-Bois. En 2011, le cabinet parisien d'architecture navale Seine Design est chargé de conduire sa rénovation. Celle-ci a lieu en 2013 et aboutit à la reconstruction durable de la cale au moyen de techniques traditionnelles (restitution dans "les règles de l'art" effectuée par le Chantier du Guip à Brest), à la réfection de l'étage dans le respect de son authenticité historique (restauration de la zinguerie, des boiseries, des ferronneries, des peintures et de l'installation électrique), à la mise en place d'un nouveau système d'amarrage et à la réalisation de passerelles métalliques s'adaptant aux variations de hauteur de la Mayenne. Un nouveau gril destiné à reçevoir le bateau pour le radoubage de sa coque pendant les écourues est également installé au fond de la rivière. Description : Le Saint-Julien est un bateau-lavoir à étage mesurant 28 mètres de long pour 5,10 mètres de large. La cale, avec sa vingtaine de planches à laver protégées par un auvent en zinc, servait de lavoir proprement dit à la quarantaine de laveuses qu'elle pouvait accueillir. La travée centrale a conservé les deux chaudières à vapeur qui alimentaient en eau chaude les cuves en cuivre situées au-dessus et dans lesquelles les pièces de linge assemblées en couplées étaient mises à bouillir. Ce matériel correspond au nouveau système de lessivage inventé par René Duvoir en 1837. Utilisant la vapeur, celui-ci nécessitait une installation à étage afin que la lessive bouillante s'élève jusqu'aux cuviers et arrose le linge au moyen d'un tourniquet. Le pont inférieur est toujours doté d'une essoreuse qui, avant sa motorisation, était actionnée à la main ainsi que d'un cabinet d'aisance abritant une chaise percée. Dimension(s) : l = 2800,la = 510 Inscription(s) : inscription concernant le commanditaire (peinte, sur l'oeuvre, français),inscription concernant le propriétaire (peinte, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001393 - équipement industriel flottant, dit bateau-lavoir Saint-Yves, puis foyer de jeunes travailleurs, puis Port Saint-Yves 10 vues Historique : Bateau-lavoir construit en 1908. En 1965, il est vendu et transformé en foyer de jeunes travailleurs. En 1982, il est acheté par la Ville qui le transforme en base nautique sous le nom de "Port Saint-Yves". Le 2 décembre 1993, il est classé monument historique. En 1998, sa coque est entièrement refaite par le chantier malouin l'Etoile Marine. En avril 2009, victime de voies d'eau, il fait naufrage et suite à son sauvetage est entreposé sur un terrain municipal de la rue du Bas-des-Bois. Description : Le Saint-Yves est un bateau-lavoir à deux ponts. La cale, au ras de l'eau, servait de lavoir et de chaufferie tandis que le pont supérieur était occupé par la buanderie et le logement du buandier réparti dans les deux pavillons. Contrairement au Saint-Julien, le Saint-Yves a perdu son matériel de buanderie. Dimension(s) : l = 2 800,la = 500 Inscription(s) : inscription concernant le titre Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000062 - autel, tabernacle, retable, statue du Sacré-Coeur Historique : La statue du Sacré-Coeur est de 1935. Elle remplace un tableau de Julie Phlipot daté de 1835, date vraisemblable de la conception du retable. Il portait l'inscription suivante : "prière de l'évêque, du clergé et des paroissiens au moment de l'épidémie de choléra de 1835". Description : L'autel est en marbre veiné avec deux coeurs en bronze(décor rapporté). La statue est en marbre blanc. Le tabernacle est en calcaire, marbre et cuivre. Le retable est en marbre noir et en calcaire, il se compose d'un étage et d'une travée couronnée par un fronton triangulaire, son entablement est supporté par deux colonnes. Précision(s) sur le décor représenté : Croix rayonnante sur le fronton du tabernacle,deux coeurs, l'un transpercé, l'autre enflammé (?) sur le devant d'autel. Dimension(s) : h = 600,l = 300 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000064 - stalles 11 vues Historique : Le style de ces stalles est celui du 16e siècle, mis-à-part la stalle curiale qui semble être celle conçue en 1682. Elles proviennent de l'ancien couvent de Patience et auraient été achetées au directoire par l'évêque constitutionnel D'Orlodot pour 200 livres. Rapportées à Saint-Vénérand en 1842, elles furent restaurées une première fois en 1845 par M. Raimbault. La stalle curiale restaurée en 1903, porte sur sa partie antérieure (construite à cette période ?) la date de ces travaux. Description : L'ensemble de gauche comprend 19 stalles sur deux rangées plus 1 stalle curiale (plus importante). Le côté droit comprend, toujours sur deux rangées, d'abord 6 stalles, puis 8 autres, les deux groupes étant séparés par un passage. Chaque stalle est séparée par une parclose avec un appui-main sculpté, dont le répertoire est très varié : volutes, feuilles enroulées, têtes humaines ou animales, figurines assises. Les miséricordes s'ornent de têtes d'angelots, de fruits, de feuillages ou de rinceaux. Dimension(s) : l = 1700 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000091 - verrière historiée : Vierge Historique : Verrière réalisée par le maître-verrier Rennais Rault en 1945. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000092 - verrière historiée : saint François Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003203 - ensemble composé de six verrières abstraites 6 vues Historique : Ensemble de six verrières réalisées par le peintre-verrier mayennais Michel Soutra. Leur mise en oeuvre et leur pose ont été effectuées par Philippe Rollo, maître-verrier de l'atelier Barthes et Bordereau d'Angers. Elles ont été installées dans l'église Saint-Vénérand en 2006. Description : Les fenêtres des collatéraux sont dotées de deux lancettes surmontées d'un tympan à quatre jours de réseau. Les baies du transept sont en plein-cintre et pourvues de tympans à cinq jours de réseau. Les traits qui forment les motifs combinent plomb et grisaille. Précision(s) sur le décor représenté : Par les couleurs employées et les sujets traités, ces verrières sont destinées à faire le lien entre les vitraux du transept et ceux de l'abside. La verrière du bras gauche du transept (baie 103) et celles du collatéral gauche (baies 11 et 9) sont dédiées à trois thèmes puisés dans le Nouveau Testament : la Grâce par le corps et le sang du Christ, les Anges dans le Nouveau Testament et les Saints dans le Nouveau Testament. Celles du côté droit (baies 104, 12 et 10) sont consacrées à des sujets de l'Ancien Testament : La Terre promise, les Anges dans l'Ancien Testament et les Rois et les Prophètes. Hormis la couleur verte que Michel Soutra n'utilise jamais, le vitrail de La Terre promise reprend les couleurs de la verrière de l'Histoire de Moïse datant de 1525. Il représente un paysage strié dans lequel s'envolent des formes rondes évoquant les fleurs et les fruits. Ces deux derniers motifs renvoient également au décor architectural des retables des 17e et 18e siècles présents dans l'église. La verrière des Anges dans l'Ancien Testament reprend les couleurs du vitrail de l'Histoire de Moïse et celle des Rois et des Prophètes les couleurs aux nuances tranchées des vitraux de l'abside. Elles présentent toutes les deux une composition rythmée et ascendante. Les couleurs des vitraux de la Grâce par le corps et le sang du Christ et des Anges dans le Nouveau Testament sont celles de la verrière de la Crucifixion. Les tons du vitrail des Saints dans le Nouveau Testament renvoient à ceux des verrières du choeur. Aux motifs, aux couleurs et à la composition de chaque vitrail situé à l'est répondent les motifs, les couleurs et la composition de son vis-à-vis situé à l'ouest. L'ensemble des vitraux forment ainsi des couples. Michel Soutra privilégie trois couleurs primaires : le bleu, le jaune et le rouge qu'il mêle au gris traité de manière très diluée. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Commentaire sur l'intérêt de l’œuvre : Ensemble remarquable de six verrières ayant plus qu'un rôle d'accompagnement des verrières des 16e et 19e siècles. Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2006 Copyright : (c) Inventaire général, 2006 (c) Ville de Laval, 2006 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003206 - ensemble composé de vingt-quatre culs-de-lampe 24 vues Historique : Les culs-de-lampe numéros 1, 5, 11 et 15 ont probablement été réalisés entre 1485 et 1521. Les culs-de-lampe numéros 9, 19, 21, 22, 23 et 24 auraient été sculptés entre 1530 et 1565. Les culs-de-lampe numéros 2, 3, 4, 6, 7, 8 et 10 auraient été faits entre 1602 et 1606. Les culs-de-lampe numéros 12, 13, 14, 16, 17 et 20 ont vraissemblablement été réalisés vers 1642. Le cul-de-lampe numéro 18 a été entièrement resculpté en 2005. Description : Les voûtes des collatéraux du choeur reposent sur 20 culs-de-lampe (culs-de-lampe numéros 1 à 20). Les 4 autres sont disposés de part et d'autre des baies de l'abside. Tous les culs-de-lampe sont figurés. Précision(s) sur le décor représenté : 19 des 20 culs-de-lampe des collatéraux du choeur figurent des anges dont 9 au moins portent les instruments de la Passion parmi lesquels : la croix (cul-de-lampe numéros 6 et 16), le marteau (cul-de-lampe numéro 8), les verges de la flagellation (cul-de-lampe numéro 11), la colonne et les tenailles (cul-de-lampe numéro 15) et les clous (cul-de-lampe numéro 17). Dans l'abside, 3 des culs-de-lampe représentent des bustes d'hommes portant barbe et moustache. Certains culs-de-lampe sont accompagnés d'un décor à godrons (culs-de-lampe numéros 1, 2, 5, 9, 12, 22, 23 et 24), à feuilles d'eau (culs-de-lampe numéros 2 et 12 ), à feuilles de chêne (cul-de-lampe numéro 8) et à palmettes (culs-de-lampe numéros 17 et 18). Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2006 Copyright : (c) Inventaire général, 2006 (c) Ville de Laval, 2006 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003215 - pavillon de ciboire 1 vue Historique : Pavillon de ciboire datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. Description : Pavillon de ciboire taillé dans de la soie moirée blanche à décor peint. La bordure de son ouverture centrale est brodée de fil d'or et son pourtour est pourvu de franges de bouillon doré. Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour est peint d'une couronne végétale formée de rinceaux végétaux adossés auxquels se mêlent des épis de blé. L'I.H.S. apparaît au dessus de l'un des couples de rinceaux. Dimension(s) : d = 52 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003218 - ciboire (n° 1) 1 vue Historique : Ce ciboire est l'oeuvre conjointe des orfèvres parisiens Charles Denis Noël Martin, Jean Philippe Adolphe Dejean, Louis Demarquet et Arthur Demarquet. Le pied et le couvercle ont été réalisés par Martin et Dejean entre 1838 et 1846. La coupe et la fausse-coupe ont été refaites par les frères Demarquet entre 1889 ? (1868 ?), année d'insculpation de leur poinçon et 1939 (1890 ?), année de son biffage. Description : Ciboire en argent à coupe aplatie et fausse-coupe. Celles-ci sont vissées sur une tige de section circulaire à noeud piriforme. L'ensemble repose sur un pied circulaire bombé en talon comme le couvercle. Les médaillons de la fausse-coupe et du pied sont moulés et rapportés. Décor représenté : ornementation (gerbe : blé, roseau, pampres, rosace, rai de coeur, médaillon, cartouche, feuille d'eau), figure biblique (Christ : en buste), figure biblique (Vierge : en buste), figure biblique (Saint Joseph : en buste), figure biblique (Dieu le Père), figure biblique (Saint-Esprit), figure biblique (Le Verbe) Précision(s) sur le décor représenté : Le cavet du pied est orné de cartouches à gerbes de blé, roseaux et pampres entrecoupés de rosaces. Le talon, comme le couvercle, est délimité par une bande de rais de coeur. Il présente un décor formé de médaillons à guirlandes accueillant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. Ces médaillons sont entrecoupés de cartouches renfermant des gerbes de blé, des roseaux et des pampres. Ces trois motifs se répètent sur le noeud, la fausse-coupe et le couvercle. Sur le noeud ils alternent avec des rosaces, sur la fausse-coupe avec des médaillons représentant Dieu le Père, le Saint Esprit et le Verbe, et sur le couvercle avec des angelots. Les sommet du noeud et du couvercle sont ornés de feuilles d'eau. Dimension(s) : h = 28,8 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 13,1,couvercle : d = 13,2. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003220 - ciboire (n° 3) 1 vue Historique : Ce ciboire a été réalisé conjointement par un orfèvre inconnu dont l'une des initiales est J. et par les frères Demarquet dont le poinçon a été insculpé en 1889 et biffé en 1939. Description : Ciboire en argent à coupe aplatie fermée par un couvercle légèrement bombé. Celui-ci est sommé d'une croix rapportée placée sur un culot. La coupe est vissée sur une tige dotée d'un noeud circulaire et aplati. L'ensemble repose sur un pied hémisphérique. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied, la coupe et le couvercle sont ornés de rinceaux et de frises perlées. Les extrémités des bras de la croix sommitale sont amortis par un motif feuillu. Dimension(s) : h = 27 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 12,4,coupe : d = 11. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003223 - ciboire (n° 6) 5 vues Historique : Ce ciboire est l'oeuvre conjointe des orfèvres parisiens Jean Philippe Adolphe Dejean, Louis Demarquet et Arthur Demarquet. La coupe a été réalisée par les frères Demarquet entre 1889 ? (1868 ?), année d'insculpation de leur poinçon et 1939 ? (1890 ?), année de son biffage. La fausse-coupe et le pied ont quant à eux été réalisés par Jean Philippe Adolphe Dejean à partir de 1846, année d'insculpation de son poinçon. Description : Ciboire en argent doré dont la coupe s'emboîte dans une fausse-coupe ajourée. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige de section circulaire à noeud piriforme placé entre deux collerettes. La coupe est fermée par un couvercle à ressaut sommé d'une croix fondue. La tige est vissée sur un pied sphérique légèrement bombé. L'ensemble du décor est repoussé, ciselé, ciselé au mat et fondu pour les éléments rapportés. Il est enrichi de pierres en verre bleu, violet et vert. Décor représenté : ornementation (volutes, végétal, ove, cartouche, angelot, bouquets : fleurs, médaillon, fleurette), figure biblique (Christ : en buste), figure biblique (Vierge : en buste), figure biblique (Saint Joseph : en buste) Précision(s) sur le décor représenté : Ciboire de style rocaille se caractérisant par la richesse et la complexité de son décor. Le cavet du pied est orné de volutes et de motifs végétaux. Son talon, limité par une frise d'oves, est orné de cartouches aux bords chantournés. Ils alternent avec des angelots se répétant sur le noeud et la fausse-coupe. Celle-ci est formée de médaillons accueillant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. Ils sont entrecoupés par des médaillons plus petits renfermant des bouquets de fleurs. La bordure du couvercle est soulignée d'une frise de câbles et son ressaut reproduit les motifs de cartouches aux bords chantournés. La croisée de la croix sommitale est matérialisée par un petit médaillon et les bras par trois fleurettes. Dimension(s) : h = 35,3 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 16,6,couvercle : d = 16. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poincon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003245 - verrière historiée : Quatorze prêtres martyrs Historique : Cette verrière est la transposition d'une icône réalisée en 1990 par Omer de Ruyver et qui se trouve actuellement dans l'oratoire de l'Evêché. Elle a été réalisée par l'Atelier "Vitrail France" du Mans qui l'a installée dans la cathédrale en 2008. Description : La verrière est constituée de trois lancettes en arc brisé surmontées d'un tympan à sept jours de réseau. Les motifs de la scène représentée sont peints et les paroles du chant sont sérigraphiées. Précision(s) sur le décor représenté : Les trois lancettes relatent la marche vers l'échafaud, le 21 janvier 1794, de cinq civils vendéens et de quatorze prêtres lavallois ayant refusé de prêter le serment de fidélité à la constitition civile du clergé. Les personnages qui, malgré la gravité de l'instant, offrent des visages sereins, sont peints sur un verre de couleur bleue symbolisant le ciel et le paradis. L'immense fond rouge de la partie supérieure rappelle les jours sanglants de cette période révolutionnaire. Les paroles du chant Salve Regina que les prêtres ne furent pas autorisés à chanter quand ils montèrent vers la guillotine y sont peintes. L'ensemble de la scène est surmontée de la date 1794 et d'un Christ en gloire accueillant les martyrs béatifiés le 19 juin 1955. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (latin),date Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Commentaire sur l'intérêt de l’œuvre : HASH(0xb5c4530) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003247 - cache-pot (n° 2) Historique : Ce cache-pot a été réalisé dans la première moitié du 20e siècle. Description : Cache-pot en faïence dont le décor peint et en relief est recouvert d'une glaçure. Précision(s) sur le décor représenté : La face antérieure du vase est ornée de roses ouvertes et en boutons. Dimension(s) : h = 13,3,l = 24,la = 13,5 Inscription(s) : marque (non identifiée),chiffres Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003248 - cache-pot (n° 3) 1 vue Historique : Ce cache-pot date du milieu du 20e siècle. Description : Cache-pot en faïence à encolure dentelée et socle quadripode. Le décor peint et en relief est recouvert d'une glaçure. Précision(s) sur le décor représenté : Cache pot néo-rocaille dont la panse est ornée d'une guirlande d'anémones. Les pieds et l'encolure ont la forme de feuilles. Dimension(s) : h = 16,4,la = 21,5 Précision(s) sur les dimensions : pied : la = 13,4. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003249 - cache-pot (n° 4) 2 vues Historique : Ce cache-pot date du milieu du 20e siècle. Description : Cache-pot en faïence de forme galbée. Le décor en relief est peint. Précision(s) sur le décor représenté : Le décor de la panse est essentiellement constitué de motifs s'apparentant à des godrons. Les bases de ces derniers sont séparés par des végétaux pouvant être des algues. L'encolure est soulignée par une frise de palmettes. Dimension(s) : h = 21,8,d = 33,7 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 16,9. Inscription(s) : marque d'atelier (sur l'oeuvre),marque (sur l'oeuvre, chiffres) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |