IA53000072 - gare de chemin de fer 19 vues Historique : Construite par l'architecte Hardon pour l'arrivée du chemin de fer, la gare de Laval est inaugurée les 14 et 15 août 1855. Détruite lors des bombardements en 1944, elle est reconstruite au lendemain de la guerre. Elle est rénovée en 1985. Date(s) de réalisation : 1985 Description : Le gros-oeuvre de l'édifice est en moellons, hormis les chaînes d'angle, les pilastres, les bandeaux, le soubassement, les entourages des baies et le fronton qui sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000078 - manoir Ouvrouin et colombier 1 vue Historique : Manoir avec portail, tours et enclos construit en 1340 pour Jean Ouvrouin. Une chapelle existait au 15e siècle. Le manoir est détruit en 1820, excepté son colombier. Date(s) de réalisation : 1340 Description : Colombier transformé en local de débarras au 19e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000007 - école, puis bibliothèque, actuellement atelier 7 vues Historique : Le bâtiment, oeuvre de l'architecte voyer Léon-Charles Vivien-Romeuf et de l'entrepreneur Pierre-Aimé Renous, a été réalisé de 1834 à 1835 pour abriter l'école mutuelle. Le conseil municipal décida quelques années plus tard (en 1839), d'y installer la bibliothèque municipale et transféra l'école mutuelle place de la Trémoille à l'emplacement de l'ancien minage. L'édifice sert actuellement d'atelier de sculpture. Date(s) de réalisation : 1834 Description : La façade principale comporte deux niveaux et cinq travées. Elle se compose d'un avant-corps en légère saillie couronné d'un fronton triangulaire. Les ouvertures en plein-cintre sont surmontées et reliées entre elles par un bandeau plat au rez-de-chaussée et mouluré au second niveau. Le gros-oeuvre est en moellons enduits avec chaînes d'angle, bandeau, corniche et entourage des baies en pierre de taille de calcaire. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : mauvais état Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000084 - hôtel 1 vue Historique : Hôtel particulier de style néogothique construit en 1870. Date(s) de réalisation : 1870 Description : La façade antérieure présente un appareillage de briques et de calcaire en pierre de taille à assises alternées. Les murs latéraux et postérieur sont en moellons enduits. Le corps antérieur couvert d'un toit en pavillon est flanqué de deux tourelles d'angle à toiture conique qui encadrent un fronton triangulaire surmonté d'un pinacle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : rez-de-chaussée surélevé,1 étage carré Précision(s) sur le décor représenté : support : élévation antérieure Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000085 - hôtel de Beauregard Historique : L'hôtel de Beauregard habité au milieu du 17e siècle, a été reconstruit et agrandi au cours du 18e siècle par le marchand de toiles Nicolas-Etienne Besnier de Chambray. Quatre campagnes se sont échelonnées au cours de ce siècle et ont donné naissance à quatre bâtiments qui forment un grand corps de logis en U. A l'époque, l'ensemble de la propriété couvre un assez vaste domaine comprenant des petites maisons de tisserand, les closeries de la Gaucherie et des Périls, la prairie Sainte-catherine ainsi que les champs de la Bousinières. Description : Balcon en fer forgé contenant les initiales entrelacées C et B. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : support : lucarne sur rue Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000086 - hôtel Historique : Hôtel particulier de la fin du 18e siècle. Description : Etage attique. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000087 - hôtel Historique : Hôtel particulier de la seconde moitié du 18e siècle. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies, la corniche et le bandeau sont en pierre de taille de calcaire. Les balcons sur rue sont en fer forgé. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000089 - hôtel Courte de la Bougatrière Historique : Hôtel Courte de la Bougatrière construit au début du second quart du 19e siècle. Description : Le second étage est un étage d'attique. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les chaînes d'angle, les bandeaux, les corniches et l'entourage des baies sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000008 - halle, actuellement poste et office de tourisme 7 vues Historique : L'édifice de style néoclassique a remplacé les bâtiments de l'ancien hospice Saint-Louis, abandonnés depuis la reconstruction de l'établissement en bordure de la rue de Nantes en 1847. Les vieux bâtiments de l'hospice servirent de poissonnerie de 1850 jusqu'à la construction des bâtiments actuels par l'architecte voyer Georget en 1877. Ceux-ci abritent actuellement la poste et l'office de tourisme de la ville. Date(s) de réalisation : 1877 Description : L'édifice, sur deux niveaux, comprend trois travées en façade principale et cinq travées en façade latérales. Les ouvertures en plein-cintre sont géminées à l'étage. Sur la façade principale, un avant-corps en légère saillie est encadré par des pilastres à chapiteaux doriques et surmonté d'un fronton triangulaire dont le tympan est sculpté aux armes de la ville de Laval. A l'origine, les ouvertures placées sur deux niveaux, n'éclairaient qu'un espace unique. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000092 - hôtel 31 vues Historique : Avant la Révolution, le terrain dépendait du couvent des Cordeliers. La parcelle du "petit bois des Cordeliers" est acquise nationalement par M. Tauvry qui y construit une petite maison. En 1825, l'architecte Pierre-Aimé Renous achète la propriété, conserve la petite maison et réalise "au couchant" l'hôtel particulier. En 1831 ce dernier passe aux mains de M. Legentil qui fait construire des dépendances. Depuis 1955, l'hôtel fait partie de l'école Eugène Hairy. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, mais de nombreuses parties de l'édifice ont été réalisées en pierre de taille de calcaire : les chaînes d'angles (pilastres composites), l'entablement, les entourages des baies et l'important fronton triangulaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : des pilastres cannelés à chapiteaux composite supportent un entablement avec une corniche à denticules et modillons, support : façade antérieure,sujet : couronne de laurier, support : oculus dans le tympan du fronton Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000096 - hôtel dit maison du Chastelais Historique : En 1479, un titre de rente foncière, sur la maison du Chastelais au tertre Malvoisin, est constitué par Jehan de Mathefelon au profit du chapitre de Saint-Tugal. La maison prend appui sur les anciennes fortifications de la ville. Description : Plusieurs ouvertures sont chanfreinées. Une première travée (proche du mur d'enceinte) comporte un niveau supplémentaire par rapport aux deux travées suivantes. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000097 - hôtel-manoir, dit villa de la Meslerie 1 vue Historique : Ancien manoir du 15e et du 16e siècle, transformé en hôtel particulier par l'adjonction d'un corps de bâtiment à l'est au 19e siècle. Description : Au manoir des 15e-16e siècles avec tourelle d'escalier demi hors-oeuvre, est venu se greffer un édifice en retour d'équerre au 19e siècle. Ouvertures à fasces et clefs dans la partie 19e siècle. A noter les piles du portail à bagues et modillons surmontées de vases. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000098 - maison 1 vue Historique : Cette maison a été construite en 1888 pour Albert Folliot, directeur de la scierie de marbre de Cumont. En même temps que sa demeure, il fait bâtir des écuries sur la parcelle limitrophe. Les ateliers de l'usine, d'abord situés rue Creuse (aujourd'hui rue Jules Ferry), sont reconstruits route de Paris vers 1887. En 1905, la maison est la propriété de monsieur Welsch. Date(s) de réalisation : 1888 Description : Côté rue, le gros-oeuvre de la maison est en pierre de taille de calcaire avec d'importantes parties en marbre. Un imposant balcon repose sur des consoles sculptées. Côté jardin, le gros-oeuvre est en moellons enduits, par endroits remplacé par un décor de brique, de faïences et de marbre. Le décor intérieur est notamment composé de vitraux d'Auguste Alleaume. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000099 - hôtel Historique : Hôtel construit vers le milieu du 18e siècle. Il a été agrandi au cours du siècle suivant, notamment par l'adjonction d'un pavillon contre le pignon est. Description : Fronton curviligne, sculpté de motifs floraux, sur la façade sur jardin. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : fronton de la façade sur jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000100 - hôtel 1 vue Historique : Hôtel particulier construit au 18e siècle. Description : Un plan du 18e siècle nous montre la position des dépendances (détruites). Elles donnaient sur la rue Saint-Mathurin et abritaient des écuries, une porcherie et un poulailler. Dans la maison existait alors une boulangerie, une buanderie et un cellier (entre autres). Le jardin à la française qui jouxtait le terrain des Bénédictines a été détruit. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1995 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000101 - blanchisserie le Grand Dôme 3 vues Historique : Au 17e siècle, le Grand Dôme est une lavanderie ou blanchisserie située sur la commune de Changé. Elle est alors la propriété de François Delaporte (ou de la Porte) qui, avant de reprendre l'affaire familiale à l'âge de quarante ans, avait occupé plusieurs postes dans les consulats français du Levant. Chancelier à Candie en Crète puis au Caire, il avait achevé sa carrière comme "vice-consul de la nation française" à Rosette, en Egypte. En 1701, la blanchisserie c'est-à-dire la maison de maître, le pré et la lavanderie avec "les arrivouers et les dépendances" sont vendus à André-Louis-Joseph Lasnier, sieur du Plessis et prêtre qui fait bâtir une chapelle. L'établissement devient ensuite la propriété de Monsieur Frin puis du négociant Jean Georget avant d'appartenir au 19e siècle aux frères Joseph et Alphonse Le Segretain qui reconstruisent entièrement la maison de maître. Lors des bombardements du viaduc en 1944, les bâtiments situés le long de la voie de chemin de fer à savoir, la maison, la chapelle, l'orangerie et la volaillerie sont totalement détruits. La famille Devé en était alors propriétaire. De la propriété d'origine séparée en deux parcelles après la guerre, il ne subsiste aujourd'hui qu'une demeure (étudiée) achetée par le peintre-verrier Auguste Alleaume en 1898 ainsi qu'une construction qui, au 18e siècle, était peut-être une écurie. Description : En 1735, le pré d'étendage du Grand Dôme "alignait 4000 pieux vieux et neufs". Au moment de sa destruction en 1944, la maison de maître était constituée d'un corps central flanqué de deux pavillons percés de fenêtres à croisillons. Les murs étaient couronnés d'une corniche à denticules. D'après le plan de la propriété réalisé par le dessinateur amateur Félix Désille, l'espace situé entre les deux pavillons était occupé par une véranda à laquelle on accèdait du jardin par un escalier en fer-à-cheval. Dans son ouvrage "Recherches sur Changé-les-Laval" paru en 1882, le chanoine Louis Marie François Guiller fait une brève description de la chapelle : "La chapelle du Dôme n'offre rien de remarquable. Sa forme est absidiale, à pans coupés. On y voit deux statues, celles de saint Louis et de saint Joseph. Le tableau, placé au dessus de l'autel, représente la Naissance de Notre-Seigneur,deux autres, l'Adoration des Mages et la Présentation. Dans le mur, à droite en entrant, c'est-à-dire du côté de l'épître, existe une piscine. Nous n'avons pu découvrir à quel saint elle était dédiée". La chapelle renfermait également un bas-relief du Baptême du Christ (étudié). Celui-ci se trouve aujourd'hui à la cathédrale. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Bureau Arnaud,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000009 - poste, actuellement établissement administratif communal 3 vues Historique : L'hôtel des postes, de style néoclassique, a été élevé à partir de 1878, par l'architecte-voyer Georget. Réalisé à l'emplacement de l'ancien minage (oeuvre de l'architecte Renous en 1832), il a repris au rez-de-chaussée le dessin des arcades de celui-ci. L'édifice abrite aujourd'hui le centre administratif municipal. Date(s) de réalisation : 1878 Description : Le bâtiment comporte trois niveaux et cinq travées en façade principale. Les ouvertures du rez-de-chaussée sont en plein-cintre à fasces. Au second étage seule la fenêtre centrale est en plein-cintre, les autres sont coiffées d'un fronton triangulaire soutenu par des pilastres. La travée centrale, en légère saillie, est encadrée de pilastres et couronnée d'un fronton triangulaire armorié aux armes de Laval. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000102 - hôtel Historique : Hôtel particulier construit entre 1808 (date d'un plan sur lequel il ne figure pas) et 1839 (date du cadastre napoléonien sur lequel il figure). La demeure est rehaussée vers 1842 pour Paul Berset. Description : Le gros-oeuvre de l'édifice est en moellons enduits, les ouvertures, la corniche, les pilastres d'angle et de la façade sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage en surcroît Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000103 - hôtel de Hercé Historique : Hôtel particulier construit dans la seconde moitié du 18e siècle. Description : L'élévation est du bâtiment présente une travée centrale en saillie, couronnée d'un fronton triangulaire. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies, les chaînes d'angle, les bandeaux, la corniche et le fronton sont en pierre de taille de granite au rez-de-chaussée et de calcaire au premier étage. La façade postérieure possède un balconnet et une rampe d'escalier en fer forgé. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000104 - hôtel dit logis des Eperons 1 vue Historique : Hôtel particulier probablement construit au cours du 15e siècle, puis remanié par la famille de La Porte dans la seconde moitié du 16e siècle. Les ouvertures en calcaire ont été reprises au 18e siècle et restaurées au 20e siècle. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 18e siècle Description : Le gros oeuvre est en moellons, l'entourage des baies, la corniche et les chaînes d'angle sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Protection MH : Le grand salon à boiseries (cad. CI 181) : inscription par arrêté du 10 février 1987. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000106 - hôtel de Vaucenay, puis hôtel Piquois Historique : Le négociant Jean-Baptiste Piquois, acquéreur de l'ancien hôtel Vaucenay en 1771, fait édifier sur cet emplacement un nouvel hôtel. Cet hôtel, ainsi que les magasins servant pour son négoce de toile, est réalisé par les architectes Pierre Pommeyrol et Denis Pampelune. L'escalier extérieur est supprimé vers 1950,l'intérieur de l'hôtel a été complètement réaménagé. Date(s) de réalisation : 1772 Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies, les bandeaux, et la corniche sont en pierre de taille de calcaire. Une rampe d'escalier en fer forgé (aujourd'hui à l'abbaye de Clermont) porte les initiales de Louise Turpin du Cormier, femme de Jean-Baptiste Piquois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : buste de Jean-Baptiste Piquois (?), support : médaillon au dessus de la porte donnant sur la rue des curés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000111 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel construit dans le premier quart du 17e siècle, puis agrandi et transformé, dans son décor extérieur en 1867. Le pavillon postérieur (côté jardin) a été réalisé au 18e siècle. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 18e siècle Date(s) de réalisation : 1867 Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits. Le décor porté, en pierre de taille de calcaire, est abondant (entourage des baies harpé à bossage, bandeaux, corniche, chaînes d'angle...). Les lucarnes du corps principal ont été supprimées au 20e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000040 - chapelle Saint-Pierre 3 vues Historique : La chapelle est mentionnée en 1080 dans le cartulaire de l'abbaye du Ronceray d'Angers. A cette époque elle appartient à un laïc, Hamon Crispus, qui la donne à la prieure d'Avesnières peu de temps avant sa mort. Celle-ci entretient un chapelain dans ce hameau, ce que continueront ses successeurs jusqu'à la guerre de Cent Ans et la dévastation du prieuré d'Avesnières. A partir de cet événement et jusqu'en 1838, date à laquelle le sanctuaire est vendu par la commune à M. Sigoigne qui le transforme en grange à foin, la chapelle est desservie par le clergé paroissial. Désaffectée au culte en 1885, elle est donnée à la Ville de Laval en 1979. Description : L'édifice construit en grès roussard, se compose d'une nef unique et d'un choeur en abside, voûtée en cul-de-four. Le pignon occidental, flanqué de deux contreforts plats, est couronné d'un clocher mur à une baie. Les petites fenêtres primitives de la nef, sont encadrées par des contreforts, d'inégales importances. La nef, charpentée, est séparée de l'abside par une arcade étroite et basse. Sous l'édifice existe une cave. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : La clef de l'arc en plein-cintre de la porte d'accès est gravée au trait d'une représentation de saint Pierre en buste de face, vêtu de la chasuble antique, et tenant dans sa main gauche une clef. On y lit l'inscription en majuscules romaines "PETRVS". Protection MH : église, y compris son décor peint (cad. BP 25) : inscription par arrêté du 22 août 1996. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000079 - manoir dit le Pressoir Salé Historique : Manoir construit au 16e siècle. A la fin du 16e siècle, il appartient à Guillemine Saibouez et dans la première moitié du 18e siècle, il passe aux mains de la famile Duchemin. Date(s) de réalisation : 1597 Description : Il subsiste plusieurs lucarnes de type renaissance. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage en surcroît Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000080 - manoir dit hospice de la Coconnière 9 vues Historique : Ancien manoir du 17e siècle dont il ne subsiste qu'une petite partie dont une tourelle d'escalier. En 1850, son propriétaire, le prêtre Jacques Ruffin, le cède aux hospices de Laval ainsi que les terrains de la Coconnière. Dans la seconde moitié du 19e siècle, de nouveaux bâtiments sont réalisés dont, en 1875, une chapelle néo-gothique édifiée sur des plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Entre 1925 et 1929, Auguste Alleaume la dote de vitraux utilisant principalement le verre blanc (les sommes de 2 300 et 9 500 francs apparaissent dans le registre de caisse du peintre-verrier). Jusqu'à la construction de l'église Sainte-Thérèse, le sanctuaire servit de lieu de culte aux nouveaux habitants de Saint-Nicolas. La chapelle est détruite en 1990. Date(s) de réalisation : 1875 Description : La partie subsistante de l'ancien manoir est en moellons. Les constructions du 19e siècle sont en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000230 - maison dite de la Mare Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000364 - maison 1 vue Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de soubassement,2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Monuments historiques, 1996 Fonds / classement : Architecture |
IA53000372 - monument commémoratif du combat Saint-Melaine 2 vues Historique : En 1892, l'architecte Léopold Ridel et le sculpteur Eugène Legueult réalisent à la demande de la Société du souvenir français et de la Ville de Laval un monument en forme d'obélisque. Celui-ci commémore le combat de Saint-Melaine du 18 janvier 1871, qui marque l'arrêt de l'avancée prussienne aux portes de Laval. Il honore plus précisemment la mémoire du sous-lieutenant Julhiet et des soldats qui périrent lors de ce dernier combat. Le monument est inauguré le 16 octobre 1892. Date(s) de réalisation : 1892 Description : Le monument est un obélisque sur lequel est sculpté un visage entre des rameaux. Le visage voilé, qui émerge de l'obélisque, figure la France en deuil. Dessous apparaît cette inscription : combat de Saint-Melaine 18 janvier 1871... Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Architecture |
IA53000381 - oratoire, puis chapelle de la Croix-Couverte ou chapelle des Touches ou chapelle des Petits-Champs 2 vues Historique : Ancien oratoire devenu chapelle et qui d'après sa première appellation a peut-être remplacé une croix couverte d'un auvent. Ses origines sont mystérieuses : certaines traditions le présentent comme un des plus vieux sanctuaires de Laval, d'autres affirment qu'il aurait été construit à l'époque de la première croisade "pour servir aux pélerins qui circulaient dans la campagne mayennaise et leur signaler un point d'eau tout proche". En effet, l'oratoire a été édifié à un carrefour très important de voies anciennes : les unes reliant le gué d'Avesnières à celui de Pritz en direction du Mont-Saint-Michel, les autres s'en allant vers Saint-Melaine, Mayenne et Montsûrs. Une troisième hypothèse plaide en faveur d'un bâtiment annexe de l'abbaye cistercienne de Fontaine-Daniel. Celle-ci se base sur des documents du 13e siècle reconnaissant à ces moines des droits sur des terres et des vignes se trouvant à proximité de l'édifice. En 1703, une lettre adressée au prieur-curé de Saint-Vénérand par le secrétaire de l'évêque du Mans lui "permet de bénir la Croix-Couverte si c'est une chapelle de l'enceinte du cimetière de Saint-Vénérand ou proche l'église", mais refuse l'autorisation" si c'est une chapelle champestre...". Si ses origines sont anciennes, le petit sanctuaire est reconstruit ou remanié en 1788 comme l'indique le millésime gravé sur la clef de l'arc d'encadrement de la porte. De 1903 à 1974, date correspondant à l'extension de la zone Industrielle des Touches, il est situé sur l'emprise de la ferme des Petits-Champs. Jusqu'à la fin des années 1950, trois jours avant l'Ascension, la procession des rogations s'y rendait après avoir fait une halte à une fontaine voisine appelée "fontaine des Semailles", du nom d'un champs voisin. La chapelle est restaurée par la maison Grevet dans les années 1980. En 2007, elle est donnée à la Ville de Laval par les descendants de la famille Chevalier qui en était propriétaire. A noter : jusqu'au lendemain de la Seconde guerre mondiale, du calcaire bleu était extrait d'une carrière située au sud de la chapelle. Date(s) de réalisation : 1788 Description : Le sanctuaire est bâti sur un petit promontoire en calcaire bleu de Laval. Cette pierre se retrouve sous forme de moellons enduits dans le gros-oeuvre mais aussi dans l'emmarchement réalisé avec de gros blocs. Le mur pignon à deux contreforts est couronné d'un petit campanile de plan carré. La pente des versants du toit est adoucie par des coyaux. L'arc segmentaire de la porte d'entrée est réalisé avec de la pierre calcaire. Il est surmonté d'un motif constitué d'un croissant de lune (symbole marial ?) sommé d'une croix pattée (croix de consécration ?). A l'intérieur, le vaisseau est couvert d'une fausse voûte en berceau cachant ce qui paraît être une charpente "à fermes portiques", type fréquemment mis-en-oeuvre au 18e siècle. La table en granite de l'autel est gravée d'une croix de consécration. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000401 - pont de chemin de fer, dit viaduc 7 vues Historique : Il est édifié de 1854 à 1856 par les ingénieurs Eugène Caillaux et Hunebelle pour permettre le passage de la voie de chemin de fer Paris-Brest. Les trains de marchandises l'empruntent pour la première fois le 15 avril 1857 et ceux de voyageurs le 1er mai de la même année. En 1866, une passerelle en fonte reliant les deux rives est installée en aval de ses piles. Endommagé pendant la guerre de 1870, il fait l'objet de travaux de restauration en 1871. Bombardé lors du débarquement des alliés en juin 1944, il est en partie détruit et reconstruit. En 1963, il est élargi grâce à des encorbellements ménagés sur les côtés pour recevoir les caténaires que l'électrification de la ligne a rendu nécessaires. En 1988, la passerelle est reconstruite. Placée en amont, elle est rehaussée d'1 m afin de rendre possible la navigation fluviale renaissante. Date(s) de réalisation : 1854 Description : Construit en pierre de taille de granite provenant de Sacé, le viaduc comprend neuf arches en plein-cintre. Il mesure 180 m de long pour 25 m de haut. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Architecture |
IA53000413 - ferme de Tuloup Historique : Ferme probablement construite au 16e ou au 17e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000414 - ferme de la Grande Ribaudière Historique : Ferme, dite la Grande Ribaudière, réalisée au 16e ou au 17e siècle. Description : Le gros oeuvre est en moellons. Certaines ouvertures et portes sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Architecture |
IA53000419 - moulin à farine et à foulon du Grand Bootz 12 vues Historique : Construit sur la rive droite de la Mayenne, le moulin est donné au prieuré de Saint-Martin au 11e siècle. Au début du 18e siècle, deux moulins à farine et à foulon sont attestés. Le bâtiment actuel semble avoir été totalement reconstruit en 1852 (date portée). En 1858, il est doté de deux roues hydrauliques actionnant six paires de meules. En 1902, une turbine est substituée à la roue du coursier de large. Les dépendances datent de la fin du 19e siècle ou du début du 20e. Date(s) de réalisation : 1852 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 ; 2011 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000420 - moulin à farine du Petit Bootz 2 vues Historique : Situé sur la rive gauche de la Mayenne, ce moulin à farine est mentionné en 1224. A cette époque, il est aussi appelé moulin de la Beuverie. Il est en grande partie détruit entre 1226 et 1228 puis reconstruit. Au 18e siècle, le moulin fonctionne grâce à une roue verticale extérieure. Au début du second quart du 19e siècle, un petit bâtiment abritant une force hydraulique est construit sur ses fondations. Celle-ci est destinée à faire fonctionner la filature de coton fondée en 1826 par monsieur Le Segrétain et détruite en 1898. L'édicule a aujourd'hui disparu. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage en surcroît État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000421 - moulin à farine du Bois Gamats Historique : Ce moulin à farine situé sur la rive droite de la Mayenne est signalé dans un titre de 1584. Au 17e siècle, il est la propriété des Lefebvre de la Falluère. En 1828, il appartient à Monsieur de La Faluère de Marigné et dispose d'une roue verticale extérieure faisant fonctionner une paire de meules. A sa destruction vers 1863, il compte deux paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000422 - moulin à tan du Gravier 1 vue Historique : Construit sur la rive gauche de la Mayenne, le moulin est signalé dès 1479. En 1828, il est la propriété de monsieur la Saulnière d'Avesnières. Disposant d'une roue intérieure, il sert alors à fabriquer du tan et à scier le marbre. Il est détruit vers 1863 lors des travaux de canalisation de la rivière. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000428 - usine textile dite Tissus du Vermandois 2 vues Historique : Usine de tissage mécanique construite en 1876 pour monsieur Henri Duchemin. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Architecture |
IA53000433 - prieuré de bénédictins, chapelle Notre-Dame-de-Pritz 5 vues Historique : Dans un acte qui l'attribuait à l'évêque Béraire, un monastère est mentionné à Pritz, en 710, à l'emplacement d'un cimetière du haut Moyen Age. Restaurés au lendemain des incursions normandes, les bâtiments sont confiés aux moines de l'abbaye bénédictine de la Couture du Mans lors de la création de la baronnie de Laval au début du 11e siècle. La chapelle devient la première église paroissiale de la nouvelle agglomération. A cette époque le chevet est modifié par la reconstruction du choeur et des absidioles du transept. La nef est également prolongée vers l'ouest au début du 12e siècle. La construction de l'église de la Trinité près du château, puis le transfert du siège paroissial, ne lui conserveront qu'un rôle de chapelle priorale. Au 14e siècle la partie orientale du choeur est détruite et remplacée par un chevet plat. Description : Depuis les destructions du 14e siècle, la chapelle présente une longue nef à vaisseau unique se terminant par un choeur peu profond. Deux chapelles flanquées d'absidioles s'ouvrent au nord et au sud. Le haut de la nef conserve des vestiges de maçonnerie à cordons de brique remontant au haut Moyen Age, tandis que les murs gouttereaux occidentaux présentent des traces d'un petit appareil en arêtes de poisson probablement du début du 12e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : chapelle, y compris les restes de peintures murales (cad. AE 4) : classement par arrêté du 2 mars 1938. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000434 - chapelle, puis église paroissiale Sainte-Anne Historique : En 1864, la fabrique de l'église d'Avesnières acquiert un terrain au village de Thévalles destiné à la construction d'une chapelle de secours. Celle-ci est édifiée en 1868. Elle est desservie par le clergé d'Avesnières jusqu'en 1899. Des travaux d'entretien dont la réfection de la couverture sont réalisés en 1924. En 1925, ses vitraux sont restaurés par Auguste Alleaume (mention dans le registre comptable du peintre-verrier). Au printemps 1996, l'église fait à nouveau l'objet d'importants travaux : la voûte en plâtre existante est démolie et remplacée par des lattes de châtaignier sur ossature de chêne et corbeaux de béton. Date(s) de réalisation : 1868 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits, la façade occidentale en pierre de taille de calcaire. Le chevet est à 3 pans. Le pignon occidental forme un clocher-mur à 2 baies. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000435 - commanderie d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem dite Cour de Thévalles, actuellement maison 1 vue Historique : Dépendant du grand prieuré d'Aquitaine, la cour de Thévalles était une des plus importantes commanderies de l'ordre des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem situées dans le Maine. Elle fut fondée au début du 12e siècle et restaurée au cours du 16e siècle. Après une période d'abandon, quelques bâtiments furent remis en état au 18e siècle, comme cette demeure, ancienne maison du régisseur. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000446 - moulin à farine dit moulin de la Coconnière 2 vues Historique : Sous l'Ancien Régime, les deux moulins de la Coconnière faisaient partie du domaine de la seigneurie du même nom. En 1850, le moulin situé à l'est fut donné avec l'ancien manoir de la Coconnière par Jacques Ruffin aux hospices de Laval. En 1852, il servait à "dépiquer le trèfle et le froment" et était doté de deux paires de meules. Il cessa peu après son activité puis fut démoli. Le moulin situé à l'ouest est par contre encore conservé aujourd'hui. Il est antérieur au 19e siècle mais a été entièrement transformé dans la seconde moitié du 19e siècle alors qu'il était la propriété de monsieur Trochon. La majorité de ses baies, sa charpente, ses planchers et ses cheminées résultent de ces transformations effectuées en deux étapes. D'après les patentes, en 1862 il a été doté d'un système de transmission en fonte dit à l'anglaise et est passé d'une à deux paires de meules qui ne pouvaient fonctionner simultanément. A cette date, il comportait également un nettoyeur à grains et une bluterie. Suite à la cessation de son activité en 1883, il a été totalement vidé de ses machines et de son mécanisme pour être entièrement converti en habitation. Une partie de ses baies a de nouveau été remaniée à la fin du 20e siècle. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 19e siècle Description : Le moulin de la Coconnière prend directement place sur la rive droite du ruisseau Saint-Nicolas (ex ruisseau du Quartier ou ruisseau de Barbé). Il s'agit donc d'un moulin de rive. Le bâtiment construit majoritairement en moellons de calcaire marbrier, a une surface de 150 m2 et est doté d'un étage carré. Ses baies sont principalement en brique. Au temps de son activité, sa partie sud abritait le moulin proprement dit et sa partie nord le logis du meunier. Selon ses actuels propriétaires, il comportait deux cheminées adossées au mur de refend au rez-de-chaussée et deux autres à l'étage. Seule la cheminée de l'étage a été vue : elle est dotée d'une hotte en brique portée par des consoles en quart de rond en bois, elle-même appuyée sur de faux piédroits en pierre de calcaire marbrier. La charpente est du type à fermes portiques dit aussi à entrait retroussé. Le moulin a perdu sa roue hydraulique verticale dont l'emplacement est parfaitement visible. En 1880, il comptait une vanne de décharge de 1 m de large qui était accolée à un déversoir dont la largeur était 3,4 m. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage en surcroît,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Foisneau Nicolas Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Architecture |
IA53000453 - four à chaux du Bourny 2 vues Historique : En 1844, Pierre Gerbault demande l'autorisation de construire deux fours à chaux dans un champ dépendant de la closerie du Bourny. L'usine du Bourny est officiellement fondée en 1858. Date(s) de réalisation : 1844 Description : Quatre importantes ouvertures permettaient d'acheminer la chaux dans le four. Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Architecture |
IA53000515 - site d'écluse de Bootz Historique : La chaussée de Bootz existe depuis au moins le 13e siècle. Elle assurait le fonctionnement de deux moulins : celui du Petit Bootz sur la rive gauche, celui du Grand Bootz sur la rive droite. Un projet de construction d'écluse sur la rive gauche est établi par l'ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées Leblanc en 1846. Les travaux sont attribués par adjudication le 27 mars 1847 aux entrepreneurs de Neuilly-le-Vendin Victor Peltier et Pierre Lebreton. Mais ils ne sont commencés qu'en 1851, dirigés par l'ingénieur Caillaux. Ils sont achevés en 1852 (cette date est d'ailleurs gravée sur le linteau de la porte). Le barrage est alors simplement exhaussé. Partiellement emporté par les crues, il est réparé en 1853 et 1854. Il est finalement reconstruit en 1880 et 1881 sous la direction de l'ingénieur Chemin par l'entrepreneur d'Argentré Léon Quirline, conformément au projet établi par Lahougue en 1868. Description : Le barrage de Bootz a une forme de chevron. Les parties maçonnées de son écluse sont en granite taillé. La maison éclusière est proche par son architecture de celles construites le long de Mayenne entre la Richardière et la Maignannerie et dans la basse Mayenne au sud d'Avesnières : son élévation principale présente deux travées latérales identiques disposées de part et d'autre de l'axe de symétrie constitué par la travée centrale où est percée la porte,les fenêtres du rez-de-chaussée sont rectangulaires, celles de l'étage presque carrées,les encadrements, les chaînes d'angle harpées et la table de pierre où est gravé le nom de l'écluse sont en tuffeau taillé. Cependant, la maison éclusière partage avec les deux autres maisons lavalloises la particularité de ne pas avoir de cave. Devant elle passe le canal d'alimentation des roues qui assuraient le fonctionnement de la filature de Bootz. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage en surcroît État de conservation : bon état Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Foisneau Nicolas Date(s) de l'enquête : 2001 Copyright : (c) Inventaire géneral, 2001 Fonds / classement : Architecture |
IA53000656 - four à chaux du Petit-Vaufleury 4 vues Historique : En janvier 1858, le sieur Bourbon fait une demande d'autorisation pour la construction de deux fours à chaux qui lui est accordée. Un d'entre eux a subsisté. Description : Four prenant l'aspect d'une tour quadrangulaire consolidée par des contreforts massifs car devant résister à la dilatation de la cuve au moment de la cuisson de la pierre à chaux. Ses murs sont bâtis en moellons de calcaire parfaitement appareillés et sa base a conservé sa bouche de défournement voûtée et cintrée. Il possède encore sa rampe qui donnait accès au gueulard par lequel la pierre à chaux et le combustible étaient enfournés en couches successives. Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2006 Copyright : (c) Inventaire général, 2006 Fonds / classement : Architecture |
IA53000060 - école normale d'instituteurs, actuellement université 2 vues Historique : La loi du 28 juin 1833 sur l'enseignement primaire imposait l'ouverture d'une école normale dans chaque département. D'abord installée dans un bâtiment attenant au collège (aujourd'hui lycée Ambroise Paré), celle de Laval fut inaugurée avant la fin de cette même année. Elle fut transférée en 1862 dans le domaine de la Maillarderie. Sur ce domaine, l'architecte lavallois Pierre-Aimé Renous réalisa en 1862 le bâtiment principal de l'école. Le second étage de cet édifice ne sera ajouté qu'en 1881. La chapelle avait été inaugurée en octobre 1864. De nombreuses constructions annexes sont construites entre 1866 et 1913. Date(s) de réalisation : 1862 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits, avec d'importantes parties en pierre de taille de calcaire (chaînes d'angle, entourage des baies, bandeau, socle). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000069 - abattoir, puis usine textile dite Tissus du Vermandois 7 vues Historique : Les premières propositions d'implantation d'un abattoir à Laval remontent à 1831. Mais la construction n'est autorisée qu'en vertu des décrets des 23 octobre 1868 et du 6 Mars 1869. L'adjudication des travaux échoit au sieur Bourdon de Laval. Les bâtiments sont construits sur un terrain faisant partie d'un pré nommé la prairie de la Chouannière appartenant à monsieur de Lamande, propriétaire à Laval. Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits avec d'importantes parties en pierre de taille de granite. Le plan symétrique est axé sur la halle principale de travail. De chaque côté sont situées les étables (celle de droite a disparu). A l'arrière étaient situés trois autres bâtiments : la triperie, la petite tuerie et la fonderie de suif. En avant et disposés de part et d'autre, deux pavillons abritent les bureaux de l'administration d'octroi et la direction. Ces deux pavillons sont réunis par une grille. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Architecture |
IA53000073 - manoir de Rouessé 1 vue Historique : Fondé par la famille qui lui a laissé son nom, le manoir de Rouessé dépendait, au 15e siècle, de la seigneurie de Saint-Berthevin. Acquis par la famille de Meaulne à la fin du 15e siècle, il a fait l'objet d'importantes transformations vers 1636. Outre la construction des pavillons aux angles de la cour et l'aménagement d'un nouveau jardin, Urbain de Meaulne agrandit le logis. Cette extension se caractérise par le parement à bossages des baies et la corniche à modillons bordant la base du toit. Date(s) de réalisation : 1636 Description : Un escalier en vis sans jour dessert le logis principal. Les pavillons d'angle de la cour sont desservis par des escaliers droits. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les éléments de décor, l'entourage des baies, et la corniche sont en pierre de taille de calcaire ou de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Protection MH : façades et toitures du manoir et des deux pavillons sur cour, murs de la cour joignant ces bâtiments, douves (cad. CP 182) : classement par arrêté du 23 octobre 1989 ; château et pavillons sur cour (sauf parties classées) (cad. CP 182) : inscription par arrêté du 10 février 1987. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000074 - manoir des Pommeraies Historique : Manoir du 16e siècle. La toiture en tuile et les ouvertures du rez-de-chaussée sont des remaniements du 20e siècle. Description : Le toit en pavillon est en tuile, celui en croupe ronde est en ardoise. Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000101 - blanchisserie le Grand Dôme 3 vues Historique : Au 17e siècle, le Dôme est une lavanderie ou blanchisserie située sur la commune de Changé. Elle est alors la propriété de François de La Porte, négociant blanchisseur et ancien consul du roi Louis XIV en Egypte. En 1701, les bâtiments dont la maison de maître, le pré et la lavanderie avec "les arrivouers et les dépendances" sont vendus à André-Louis-Joseph Lasnier, sieur du Plessis et prêtre, qui fait bâtir une chapelle. La lavanderie-blanchisserie devient ensuite la propriété de Monsieur Frin puis du négociant Jean Georget avant d'appartenir, au 19e siècle, aux frères Joseph et Alphonse Le Segretain qui remanient entièrement la maison de maître. Lors des bombardements de la voie ferrée en 1944, les constructions situées le long de la voie de chemin de fer c'est-à-dire la chapelle, l'orangerie, la volaillerie et le garage ainsi que la maison de maître sont entièrement détruits. De la propriété d'origine séparée en deux parcelles après la guerre, il ne subsiste qu'un bâtiment qui, au 18e siècle, devait être une écurie ainsi que l'ancienne maison (de contremaître ?) qui fut achetée par le peintre-verrier Auguste Alleaume en 1898. Description : D'après les photographies anciennes, la maison de maître était constituée d'un corps central flanqué de deux pavillons percés de fenêtres à croisillons. Les murs étaient couronnés d'une corniche à denticules. Selon un plan de Félix Désille, archiviste et dessinateur amateur, l'espace situé entre les deux pavillons était occupé par une véranda à laquelle on accèdait du jardin par un escalier en fer-à-cheval. Dans son ouvrage "Recherches sur Changé-les-Laval" paru en 1882, le chanoine Louis Marie François Guiller fait une brève description de la chapelle et écrit notamment : "La chapelle du Dôme n'offre rien de remarquable. Sa forme est absidiale, à pans coupés. On y voit deux statues, celles de saint Louis et de saint Joseph. Le tableau, placé au dessus de l'autel, représente la Naissance de Notre-Seigneur,deux autres, l'Adoration des Mages et la Présentation. Dans le mur, à droite en entrant, c'est-à-dire du côté de l'épître, existe une piscine. Nous n'avons pu découvrir à quel saint elle était dédiée". Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000401 - pont de chemin de fer, dit viaduc 7 vues Historique : Il est édifié de 1854 à 1856 par les ingénieurs Eugène Caillaux et Hunebelle pour permettre le passage de la voie de chemin de fer Paris-Brest. Les trains de marchandises l'empruntent pour la première fois le 15 avril 1857 et ceux de voyageurs le 1er mai de la même année. En 1866, une passerelle en fonte reliant les deux rives est installée en aval de ses piles. Endommagé pendant la guerre de 1870, il fait l'objet de travaux de restauration en 1871. Bombardé lors du débarquement des alliés en juin 1944, il est en partie détruit et reconstruit. En 1963, il est élargi grâce à des encorbellements ménagés sur les côtés pour recevoir les caténaires que l'électrification de la ligne a rendu nécessaires. En 1988, la passerelle est reconstruite. Placée en amont, elle est rehaussée d'1 m afin de rendre possible la navigation fluviale renaissante. Date(s) de réalisation : 1854 Description : Construit en pierre de taille de granite provenant de Sacé, le viaduc comprend neuf arches en plein-cintre. Il mesure 180 m de long pour 25 m de haut. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Architecture |