IA53000098 - maison 1 vue Historique : Cette maison a été construite en 1888 pour Albert Folliot, directeur de la scierie de marbre de Cumont. En même temps que sa demeure, il fait bâtir des écuries sur la parcelle limitrophe. Les ateliers de l'usine, d'abord situés rue Creuse (aujourd'hui rue Jules Ferry), sont reconstruits route de Paris vers 1887. En 1905, la maison est la propriété de monsieur Welsch. Date(s) de réalisation : 1888 Description : Côté rue, le gros-oeuvre de la maison est en pierre de taille de calcaire avec d'importantes parties en marbre. Un imposant balcon repose sur des consoles sculptées. Côté jardin, le gros-oeuvre est en moellons enduits, par endroits remplacé par un décor de brique, de faïences et de marbre. Le décor intérieur est notamment composé de vitraux d'Auguste Alleaume. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000080 - manoir dit hospice de la Coconnière 9 vues Historique : Ancien manoir du 17e siècle dont il ne subsiste qu'une petite partie dont une tourelle d'escalier. En 1850, son propriétaire, le prêtre Jacques Ruffin, le cède aux hospices de Laval ainsi que les terrains de la Coconnière. Dans la seconde moitié du 19e siècle, de nouveaux bâtiments sont réalisés dont, en 1875, une chapelle néo-gothique édifiée sur des plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Entre 1925 et 1929, Auguste Alleaume la dote de vitraux utilisant principalement le verre blanc (les sommes de 2 300 et 9 500 francs apparaissent dans le registre de caisse du peintre-verrier). Jusqu'à la construction de l'église Sainte-Thérèse, le sanctuaire servit de lieu de culte aux nouveaux habitants de Saint-Nicolas. La chapelle est détruite en 1990. Date(s) de réalisation : 1875 Description : La partie subsistante de l'ancien manoir est en moellons. Les constructions du 19e siècle sont en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000467 - couvent de carmélites, Carmel de l'Immaculée Conception Historique : Le Carmel de Laval est fondé en 1856 sur la propriété de l'ancien manoir Ouvrouin, rue du Hameau (étudié). Malgré la confiscation du couvent après la loi de 1901 sur les congrégations, les religieuses reviennent s'installer à Laval en 1921. Elles ne réintègrent cependant leurs bâtiments de la rue du Hameau qu'en 1930. Mais ceux-ci sont en mauvais état et l'idée d'édifier un petit monastère à la lisière de la ville est lancée. En 1960, les soeurs achètent un terrain au comte d'Aubert et en 1965 le nouveau monastère est édifié. Il est béni par Monseigneur Guilhem les 3 et 4 septembre de la même année. L'architecte qui a en dessiné les plans est le tourangeau Michel Marconnet. L'entreprise lavalloise de travaux publics Brochard et Gaudichet s'est chargée de le construire. Le couvent a été labellisé "Patrimoine du XXe siècle" en 2009. Date(s) de réalisation : 1965 Description : Au milieu d'un enclos rectangulaire de 1 hectare 30 ares, le bâtiment de forme carrée, enserre un petit jardin et un cloître. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : ciment, béton Étage(s) : 1 vaisseau,sous-sol,1 étage carré Précision(s) sur le décor représenté : Personnages du retable : Jean de la Croix présente un coeur enflammé et un livre, Thérèse d'Avila tient un livre et Joseph un lys. Simon Stock et Thérèse de Lisieux sont aussi représentés. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1999 Copyright : (c) Inventaire général, 1999 Fonds / classement : Architecture |
IA53000659 - chapelle des Séculiers, actuellement église abbatiale 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000045 Historique : L'ancienne chapelle des Séculiers (dite aussi des Etrangers) est construite en 1877 dans le prolongement de l'église abbatiale primitive pour permettre aux laïcs de participer aux offices monastiques grâce à une ouverture ménagée dans le chevet. De style néo-gothique avec des voûtes angevines, c'est l'architecte angevin M. Besnier qui en a réalisé les plans. La chapelle est bénie le 20 avril 1879 par Monseigneur Le Hardy du Marais, évêque de Laval. En 1959, le père Nivard Rondeau, aumônier de l'abbaye et architecte de formation, aidé des frères Félix et Gauthier Le Saint, architectes à Lorient, entreprend des travaux sur le nouveau sanctuaire. Une chapelle latérale réservée aux familles des conventuelles, aux retraitants et aux fidèles est ajoutée à droite du choeur. Il s'agit de la chapelle Saint-Bernard dont la construction s'accompagne de l'édification d'un mur entre la nef de la chapelle des Séculiers et le choeur de l'église abbatiale. A partir de 1976, l'église des Séculiers devenue un temps église paroissiale, est désaffectée. En 1992-1993, elle fait l'objet de remaniements destinés à lui redonner une simplicité plus conforme à l'esprit cistercien : le clocheton à flèche polygonale, les pignons à crochets, les roses et la crête du toit sont supprimés. Ces travaux, dirigés par l'architecte des bâtiments de France, Jacques-Henri Boufflet, sont suivis de l'ajout d'une troisième travée à la nef, de l'installation d'une fausse-voûte lambrissée et de la construction d'un mur de séparation entre la nouvelle église abbatiale et l'ancienne dont la nef est convertie en salle du chapitre. Le choeur commun aux deux édifices devient ainsi le sanctuaire de la nouvelle et désormais seule église du couvent. Elle est inaugurée lors de la messe de minuit du 25 décembre 1993 et bénit le 29 janvier 1904 par Monseigneur Billé, évêque de Laval. En 2010, un porche est ajouté à la façade occidentale. En 2014, l'église fait l'objet de nouveaux travaux réalisés sur des plans de Jean-Luc Roger, architecte DPLG à Angers. Ceux-ci portent essentiellement sur le choeur et débouchent sur la suppression des pilastres en marquant l'entrée, le surélèvement de l'emmarchement permettant d'y accéder, la dépose et le remontage de la fausse-voûte d'arrêtes en voûte en berceau s'harmonisant avec celle de la nef. Date(s) de réalisation : 1877 Description : sEglise de style néo-gothique dont le gros-oeuvre est en moellons enduits. Orientée au sud, elle se compose d'un choeur, d'un oratoire (ancienne chapelle Saint-Bernard) et d'une nef à trois travées. Les murs du vaisseau sont percés de fenêtres jumelées en arc brisé qui, à l'extérieur, présentent des encadrements en brique et pierre de calcaire. Ces fenêtres sont fermées par des grisailles ayant remplacé des vitraux d'Alleaume. Le calcaire se retrouve sur les contreforts et sur la corniche à modillons courant autour de l'édifice. Le clocheton d'origine a été remplacé par un clocher à abats-son renfermant trois cloches : Marie-Henri-Gertrude, Marie-Joseph-Agathe et Emmanuelle. Le pignon de la façade occidentale s'ouvre sur un porche à voussures en arc brisé. L'intérieur de l'église est emprunt d'une grande simplicité. La deuxième et la moitié de la troisième travée de la nef sont à l'usage exclusif des moniales. Après adaptation, les stalles de l'ancienne église abbatiale y ont été installées. L'ensemble est couvert d'une fausse-voûte lambrissée en berceau brisé se prolongeant au-dessus du sanctuaire. L'oratoire est surmonté d'un étage permettant aux religieuses malades ou invalides de suivre les offices. A l'entrée de la première travée, un escalier en vis permet d'accéder à la tribune d'orgue éclairée par deux baies jumelées ornées de vitraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Architecture |
IA53000627 - maison de contremaître, puis maison d'artiste, actuellement maison 14 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000101 Historique : Maison (de contremaître ?) faisant partie de l'ancienne blanchisserie du Grand Dôme. Bâtie au 18e siècle (en 1717 ?), les ouvertures des deux façades principales comme la toiture semblent avoir été remaniées au 19e siècle. L'escalier intérieur date également de cette époque. En 1897, la demeure qui occupe le numéro 49 de la rue de Bootz, future rue du Dôme, est la propriété de la famille Le Segrétain qui, en 1898, la vend au peintre-verrier Auguste Alleaume. A cette époque, outre la maison d'habitation, la propriété comprend des écuries, une remise et des dépendances diverses. Le peintre-verrier occupera la demeure jusqu'à sa mort en 1940. En 1944, lors des bombardements de la voie ferrée toute proche, les travées situées aux extrémités nord de la maison sont détruites. Elles seront reconstruites après la guerre. Description : Les encadrements des ouvertures de la façade postérieure sont en granite à la cave et au rez-de-chaussée, en calcaire aux étages supérieurs. Ceux des baies de la façade sur rue sont en calcaire, comme la corniche. Le dernier niveau de la partie centrale est percé d'un oculus. Un escalier en bois dessert les étages et aboutit à l'étage de comble dont la charpente à potence à entrait retroussé conserve quelques marques de charpentier. A l'extérieur, un porche donne accès à la cour et au jardin. En plein-cintre avec clef, il est réalisé avec du marbre rose de Saint-Berthevin. La maison était semble t-il ornée de vitraux d'Auguste Alleaume qui ont disparu. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : remanié Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie,Bureau Arnaud Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IM53000091 - verrière historiée : Vierge Historique : Verrière réalisée par le maître-verrier Rennais Rault en 1945. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003245 - verrière historiée : Quatorze prêtres martyrs Historique : Cette verrière est la transposition d'une icône réalisée en 1990 par Omer de Ruyver et qui se trouve actuellement dans l'oratoire de l'Evêché. Elle a été réalisée par l'Atelier "Vitrail France" du Mans qui l'a installée dans la cathédrale en 2008. Description : La verrière est constituée de trois lancettes en arc brisé surmontées d'un tympan à sept jours de réseau. Les motifs de la scène représentée sont peints et les paroles du chant sont sérigraphiées. Précision(s) sur le décor représenté : Les trois lancettes relatent la marche vers l'échafaud, le 21 janvier 1794, de cinq civils vendéens et de quatorze prêtres lavallois ayant refusé de prêter le serment de fidélité à la constitition civile du clergé. Les personnages qui, malgré la gravité de l'instant, offrent des visages sereins, sont peints sur un verre de couleur bleue symbolisant le ciel et le paradis. L'immense fond rouge de la partie supérieure rappelle les jours sanglants de cette période révolutionnaire. Les paroles du chant Salve Regina que les prêtres ne furent pas autorisés à chanter quand ils montèrent vers la guillotine y sont peintes. L'ensemble de la scène est surmontée de la date 1794 et d'un Christ en gloire accueillant les martyrs béatifiés le 19 juin 1955. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (latin),date Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Commentaire sur l'intérêt de l’œuvre : HASH(0xb5c4530) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003634 - deux verrières figurées décoratives 3 vues Historique : Verrières de style Art nouveau réalisées vers 1908 par le peintre-verrier Auguste Alleaume pour la chapelle funéraire de Germaine Bouvier. Description : Verrières en verre laminé de reliefs et dotées d'une barlotière horizontale. Précision(s) sur le décor représenté : Les parties centrales sont occupées par de grands bouquets de fleurs de lys, symboles d'éternité ou de souvenir. Les tiges de celles-ci sont cachées par des médaillons ou couronnes renfermant des initiales et des dates. Les bordures sont ornées de roses blanches. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : date (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),épitaphe (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003685 - cinq verrières figurées de l'Immaculée Conception, des litanies mariales et de la Vie de la Vierge (baies 200, 201, 202, 203 et 204) 9 vues Historique : Ensemble de cinq verrières réalisées en 1901 par Auguste Alleaume. Les cartons sont également du peintre-verrier lavallois excepté celui du médaillon de la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception qui a été dessiné par l'Angevin Victor Livache ou par son fils René. D'après le registre comptable d'Alleaume, ces vitraux ont été exécutés pour la somme de 4 826,15 francs. Deux de ces verrières ont été créées grâce aux dons de la famille de Virville dont les armoiries combinaient celles de Monseigneur des Azars et du cardinal Davy du Perron. En 1944, lors du bombardement du viaduc par les alliés, les verrières sont endommagées et déposées. En 1955, elles sont remplacées par des vitraux de l'angevin Maurice Bordereau. Leur réalisation d'un coût de 106 700 francs est financée par souscription. Ceux des baies 200, 201 et 202 ont réintégré les écus armoriés qui figuraient sur les oeuvres d'origine. Décor représenté : Immaculée Conception, ange (portant : couronne), Christ bénissant (assis, livre), Tétramorphe, Vierge (lys, épine, porte, jardin), Vie de la Vierge (Nativité de la Vierge, Présentation de la Vierge au Temple, Education de la Vierge, Visitation), Enfance du Christ (Nativité), écu, phylactères (litanies mariales) Précision(s) sur le décor représenté : La verrière de la baie d'axe était dédiée à la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception. La mandorle centrale renfermait la Vierge immaculée écrasant de son pied le serpent du péché originel. Au dessus de sa tête, deux anges tenaient une couronne. Le compartiement supérieur renfermait un Christ bénissant et présentant le livre de la Loi. Sa bordure reçevait les symboles des quatre évangélistes. Le bas du vitrail était illustré de symboles virginaux, lys, épines, porte d'or et jardin fermé, ainsi que d'une scène montrant le pape Pie IX décrétant le dogme de l'Immaculée Conception. Le vitrail de la baie 201 figurait la naissance, la présentation au temple, l'éducation et le mariage de la Vierge. Celui de la fenêtre 202 évoquait l'Annonciation, la Visitation, la naissance et l'éducation de Jésus de Nazareth. Enfin, le bas des trois vitraux était orné d'écus armoriaux. Les verrières des baies 203 et 204 étaient consacrées aux litanies de la Vierge : Sancta Dei Genitrix, Virgo proteus et Virgo clemens (baie 203), Consolatrix afflictonim, Auxilium Christianorum et Regina sine labe originali concepta (baie 204). Chaque titre était inscrit sur une banderole. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : armoiries Précision(s) sur inscription(s) : Armoiries de l'abbaye de Pontigny dont le père Hamelin avait été membre : d'azur au pont d'argent de trois arches sommé d'un arbre de sinople lui-même sommé d'un nid d'argent rempli d'or et accosté de deux fleurs de lys d'or, armoiries de Saint-Michel, communauté à laquelle le père Hamelin avait appartenu : de sable à dix coquilles d'argent 4, 3, 2 et 1, au chef cousu d'azur, à trois fleurs de lys d'or, armoiries du collège : de gueules chargé du monogramme de la Vierge au chef d'or chargé d'une étoile, l'ensemble de ces armoiries forment le blason de l'Institution de l'Immaculée Conception (vitrail de l'actuelle baie d'axe), armoiries de Hugues des Azars, évêque de Toul de 1506 à 1517 (sur le vitrail de la baie 201) : d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre dés de même montrant l'as de sable, la devise de l'évêque est inscrite sur la maquette : MODERATA DURANT, il s'agit d'une citation de Sénèque signifiant : Ce qui est mesuré dure, armoiries de Jacques Davy du Perron (1556-1618), évêque d'Evreux, archevêque de Sens, puis Cardinal de Sainte-Agnes-hors-les-Murs (sur le vitrail de la baie 202) : d'azur au chevron d'or accompagnés de trois harpes du même, 2 en chef affrontées et 1 en pointe, sur la maquette, les armoiries sont timbrées du chapeau rouge des cardinaux de chaque côté duquel pend un cordon à dix houppes (cordons des archevêques), elles sont accompagnées de la devise : GAUDET ORBIS HAC HARMONIA (Dieu se réjouit de cette harmonie de la terre). Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |