IA53000376 - chapelle Sainte-Madeleine dite la Madeleine-du-Roc, actuellement maison 1 vue Historique : Péan le Bret, receveur des tailles, fonde la chapelle le 4 janvier 1490. Elle se trouve près de sa maison, rue de Rivière (appelée aussi rue Boutagu). La chapelle étant "tombée en indigence de reffections", des travaux sont réalisés en 1687-1688 visant au "restablissement et construction de la chapelle" (notamment le remplacement de la charpente). De nouveaux travaux d'entretien sont effectués en 1775-1776 (réfection du carrelage, de l'enduit, suppression du lierre, remplacement de la bordure des deux pignons). La chapelle est vendue le 28 avril 1792 à Daniel Guiard-Lacroix. La chapelle est alors transformée en maison d'habitation. Elle est aujourd'hui enserrée par d'autres constructions plus récentes. Date(s) de réalisation : 1490 Description : En 1775, la chapelle est ainsi décrite dans une montrée : "la chapelle a 24 pieds de longueur, 19 de large, hors oeuvre, construite de pierre commune, soutenue par 4 piliers butant aux 4 angles et 2 au milieu. La voûte est en lunette, dont les arcs doubleaux et les branches d'ogive sont en tuffeau et les lunettes en brique. Une porte d'entrée, une autre en face sert pour l'exploitation du côté du midi, a 6 pieds 6 pouces de large en oeuvre et 7 pieds de long." La chapelle de plan rectangulaire était composée de deux travées voûtées d'ogives. Les ogives retombaient sur des culots ornés de motifs végétaux, d'initiales et de blasons, aujourd'hui bûchés. Les murs étaient couverts de peintures. Une grande fenêtre en arc brisé s'ouvrait sur la façade est. La chapelle a été considérablement remaniée, afin d'être transformée en maison d'habitation. L'extérieur est quasiment méconnaissable. L'intérieur a été divisé en trois niveaux. Les voûtes ont été détruites et remplacées par un plancher en bois. Seuls subsistent dans les murs les retombées des ogives et quelques arcs brisés (arcs formerets). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : culot de la retombée des voûtes,sujet : blasons bûchés, support : culot de la retombée des voûtes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000036 - maison 2 vues Historique : Le porche sur la rue a été construit en 1641 par Pierre Corbineau pour les marchands le Mesnier et Bousse. Vers 1785, l'édifice est repris dans sa partie supérieure pour un huissier, Charles-André Louvrier, dont les insignes professionnels (un encrier et deux plumes) et les initiales, se lisent aux balcons en fer forgé du premier étage. Date(s) de réalisation : 1641 Description : Le porche, aujourd'hui transformé en boutique, est appareillé en crossettes qui s'achèvent en bossages continus. Trois consoles à volutes soutiennent le bandeau d'étage. Les quatre ouvertures (deux par étage) présentent un linteau cintré. Deux lucarnes à frontons triangulaires reposent sur une corniche fortement saillante. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000379 - chapelle Saint-François 5 vues Historique : Chapelle néo-romane datant de 1899 et construite sur des plans de l'abbé Deschamps pour un certain Quatrebarbe et "autres membres composant la Société Bon-Secours". Elle servit de lieu de culte à la communauté des petites soeurs de saint François d'Assise qui, à partir de 1893, eut pour supérieure soeur Madeleine-Elisabeth, comtesse de Quadrebarbes. Elle est aujourd'hui désaffectée au culte et abrite depuis 1993 les bureaux du Secours Catholique. Date(s) de réalisation : 1899 Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les entourages des ouvertures, la corniche, le bandeau du chevet et une partie des pilastres en pierre de taille de calcaire. L'édifice se compose d'une nef terminée par un chevet en hémicycle voûté en cul-de-four. Malgré son ré-aménagement intérieur, la chapelle a conservé quelques éléments d'origine parmi lesquels des colonnes à chapiteaux corinthiens. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000383 - oratoire Notre-Dame d'Hydouze 1 vue Historique : Oratoire construit à la fin du 18e siècle, dédié à Notre-Dame d'Hydouze. Description : Inscription : AM,MATER CHRISTI ORA PRO NOBIS. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000388 - maison dite de maître Pierre Briand 2 vues Historique : Maison de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Description : Le rez-de-chaussée, composé d'un vitrage continu à armature de poteaux de bois, est soutenu par un bahut de granite. Entre les pans de bois le remplissage est fait de briques. La maison présente deux encorbellements, dont les sablières, les entretoises et les consoles sont moulurées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Protection MH : Façades et toitures du pavillon d'entrée du 17e siècle et celles de la maison du 16e siècle (cad. CI 54) : classement par arrêté du 14 juin 1929. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000037 - filature Masseron et Chevrie, actuellement immeuble à logements 5 vues Historique : Vers 1844, monsieur Bertron de la Pignerie fait construire un magasin et une teinturerie au port Saint-Pierre, au bas de la rue Hydouze. En 1885, messieurs Adolphe Masseron et Chevrie, les nouveaux propriétaires, entreprennent l'agrandissement de l'usine sur une parcelle située de l'autre côté de la rue Hydouze. Ils construisent un magasin, une calandre, une presse, une écurie et une remise. Trois ans plus tard, ils équipent la nouvelle filature d'une machine à vapeur. Le bâtiment de la rue d'Avesnières est transformé en immeuble d'habitation vers 1986. Ceux de la rue Hydouze sont rasés vers 1987. Description : L'extrémité du bâtiment de l'ancienne filature, construit en moellons enduits, se fond dans l'hôtel particulier pourtant postérieur. L'élévation sur la rivière comporte neuf travées régulières et quatre niveaux. Cette façade portait les inscriptions suivantes : "le port St Pierre A. MASSERON M.CHEVRIE" et "filature 8...". Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,3 étages carrés État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000416 - moulin à farine, moulin à foulon dit moulins de Bélaillé 4 vues Historique : La première mention d'un moulin à eau attribué à un dénommé Bélaillé date de la fin du 11e siècle. Moulins banaux du seigneur de Laval, les moulins, au nombre de trois, son attestés en 1382. Contigus, ils servent à moudre le blé et à fouler le drap. Lors d'une vente nationale en 1799, leur propriétaire, le duc de la Trémoille, les cède à trois particuliers. Le premier, monsieur Fournier, transforme le moulin intermédiaire, à foulon, en moulin à farine,le second, monsieur Sédillier, acquiert le moulin de rive, à farine, reconstruit après 1790,monsieur Morin, le troisième, achète le moulin de large, à farine. Les trois moulins sont détruits en 1847 pour la construction de l'actuel quai Albert Goupil. Description : Le moulin de rive était doté d'une roue hydraulique et de trois paires de meules. Le moulin intermédiaire était pourvu d'une roue hydraulique et de deux paires de meules. Le moulin de large comprenait deux roues hydrauliques et trois paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000424 - blanchisserie de la Chiffolière 1 vue Historique : Située sur la rive gauche de la Mayenne, elle appartenait au 18e siècle à Messieurs Périer et Leclerc de La Jubertière qui la louaient à des fermiers, les Couasnier. Description : Comme toutes les blanchisseries lavalloises, celle de la Chiffolière devait être composée de buanderies ou lavanderies qui abritaient le matériel nécessaire aux lessives (pourrissoirs, mortiers et chaudières), d'arrivoirs où les ouvriers battaient et rincaient les toiles, de prairies plantées de piquets pour faire sécher les toiles, d'un atelier contenant la calandre c'est-à-dire la machine à lustrer les toiles et de divers bâtiments utilisés comme réserves ou comme ateliers spécialisés. La maison du blanchisseur se trouvait en bordure de rivière, au milieu des ateliers et des prés. Imposante, celle de la Chiffolière devait être accompagnée de multiples dépendances : moulin, granges, fournil, remises, appentis, toits à porcs, écuries et étables. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de comble État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000438 - maison 2 vues Historique : Maison du début du siècle faisant référence au style de la fin de l'époque gothique (style Louis 12). Description : L'utilisation de la brique polychrome amplifie la variété du décor et de la modénature traditionnelle. Les ouvertures, les bandeaux et la corniche sont en calcaire. Les fenêtres possèdent des lambrequins en bois. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : brique Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000450 - maison 7 vues Historique : Maison probablement construite au 15e siècle qui a été remaniée à la fin du 18e ou au début du 19e siècle. L'édifice a été restauré vers 1997. Description : Côté cour, le gros-oeuvre est en moellons enduits et plusieurs ouvertures présentent des linteaux et des montants chanfreinés. Une porte charretière en pierre de taille de granite permettait l'entrée dans la cour. Elle est aujourd'hui en partie bouchée et a fait place, côté cour comme côté rue, à une fenêtre. La tourelle d'escalier dans-oeuvre, malgré deux niveaux supplémentaires, possède une toiture à croupe qui se fond dans la toiture principale sans la dépasser. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000044 - couvent de carmélites de l'Immaculée-Conception Historique : Le carmel, fondation de Mademoiselle V. Freulon, exécutrice des intentions de Monsieur et Mme Dubois Beauregard, occupait l'emplacement de l'ancien manoir Ouvrouin. Les soeurs s'y installèrent en 1856 soit deux ans avant l'édification du sanctuaire par l'architecte David du Mans qui s'inspira de la chapelle de Saint-Germer dans l'Oise. C'était un édifice de style néo-gothique orné de vitraux du maître verrier Grosset de Bruges. Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois, restaura ceux-ci en 1931 (mention de la somme de 790 francs dans son registre comptable). La chapelle et les bâtiments conventuels ont été détruits en 1974. Il ne subsiste plus que la conciergerie et un oratoire dans le jardin. Date(s) de réalisation : 1858 Description : L'édifice religieux se composait d'une chapelle haute et d'une chapelle basse. Il était divisé en travées par des faisceaux de colonnettes "d'une légèreté et d'une élégance parfaite". Orientée nord-sud, la chapelle était constituée d'une nef à un vaisseau, d'un bras de transept ouest très important (où se tenaient les religieuses pendant les offices ?) et d'un chevet à cinq pans coupés séparés par des contreforts coiffés de pinacles richement ouvragés. Chaque ouverture était surmontée d'un gable terminé par un fleuron et ajouré d'un trilobe. Le gros-oeuvre était en moellon enduit avec d'importantes parties en pierre de taille de calcaire (contreforts, gables, ouvertures...). La couverture du transept ouest, à deux versants et une croupe, était indépendante de celle du reste de la chapelle dont l'une des extrémités s'achevait par une croupe polygonale. La conciergerie, composée d'un sous-sol, d'un étage carré et d'un étage de comble, présente un gros oeuvre en moellons enduits. Ses chaînes d'angle, son bandeau, sa corniche et l'entourage de ses baies sont en pierre de taille de calcaire. La cuisine est toujours doté de son potager. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau,sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : vestiges,mauvais état Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000459 - chapelle funéraire de la famille J. Hébert-Penlou 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire des familles J.Hébert-Penlou réalisée vers la fin du 19e siècle par l'entrepreneur lavallois H.Blot et le maître carrier P.Brault de Louvigné-du-Désert. Description : Chapelle funéraire en granite dont le couvrement en calcaire est surmonté d'un sarcophage. Inscription : initiales entrelacées et signatures. La fenêtre postérieure a conservé la bordure de sa verrière. Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : symbole funéraire : sarcophage (?), support : couverture de la chapelle Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000631 - chapelle funéraire de la famille Le Segrétain du Patis 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Vers 1887, Frédéric Louis Le Segrétain du Patis fait construire une chapelle funéraire destinée à accueillir la dépouille mortelle de sa deuxième épouse, Zénobie Emilie Esnault, décédée le 14 janvier 1879 dans sa 48e année. Cette inhumation à certainement fait l'objet d'une exhumation préalable. Il y fait également transférer le corps de sa première femme, Adèle Girard, morte le 20 août 1861 à l'âge de 63 ans. Lui-même décède le 26 novembre 1891. La date portée 1880 ne correspond a aucun évènement identifié (édification de la chapelle et décès des membres de la famille). Description : Edicule néo-gothique en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre à deux versants lui-même doté d'une croix. Il est percé d'une porte, d'un trilobe, de deux fenêtres latérales et d'un oculus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. La partie supérieure de celui-ci porte un décor en fer forgé entourant la date 1880 et les initiales FLS pour Frédéric Le Segrétain. Le trilobe du pignon ferme par un vitrail toujours en place (étudié). Les autres verrières ont disparu. L'espace intérieur accueille un autel et des plaques funéraires en marbre gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Les trois-quarts supérieurs du vantail présentent un décor de volutes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000633 - chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule de style néo-roman dont le soubassement est en pierre de taille de granite et les murs en pierre de taille de calcaire. Il est couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. La façade antérieure est percée d'une porte et d'un oculus fermé par un vitrail (étudié). Les façades latérales et postérieure sont dotées de deux fenêtres cintrées. La porte ferme par un vantail en métal peint dont la partie supérieure est ajourée. Elle est flanquée de deux colonnes à chapiteaux feuillagées. Le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief accompagné de l'inscription EGO SUM RESURRECTIO ET VITA. Les fenêtres latérales sont pourvues de remplages en calcaire. Celles de la façade postérieure ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur accueille un autel en calcaire et des plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté du Christ glorieux c'est-à-dire du Christ ressuscité tenant la croix de la victoire sur la mort et l'étendard de la résurrection. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000634 - chapelle funéraire 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Le faîte est ornée d'une crête en pierre. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres latérales et d'un fenêtre postérieure. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnes et le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief. Le pignon est orné de symboles funéraire et religieux. Les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). Les trois-quarts supérieurs des murs sont décorés d'une frise. L'espace intérieur est meublé d'un autel. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour de la chapelle est décoré d'un ruban plissé. Le tympan est sculpté d'un trilobe. Le fronton-pignon est orné d'une couronne de laurier entourant une croix de Malte. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |