IA53000392 - caserne de gendarmes 5 vues Historique : Caserne construite de 1867 à 1871 par l'architecte lavallois Pierre-Aimé Renous. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les ouvertures du rez-de-chaussée sont en pierre de taille de granite, les ouvertures des étages ainsi que le chaînage à bossages et la corniche sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000409 - église paroissiale Saint-Jean 8 vues Historique : Eglise consacrée en 1965, oeuvre des architectes G. Auzenat et J.M. Valentin. Ils ont réutilisé dans la construction de cet édifice : une porte et une baie du 12e siècle provenant certainement de l'église Saint-Nicolas de Vilaines-la-Juhel, une charpente du 15e siècle et les remplages de 3 baies réutilisées dans le choeur qui viennent de l'ancienne église Saint-Georges de cette même commune ainsi qu'une autre porte de la première moitié du 16e siècle. A l'intérieur, le mobilier, très éclectique, provient de différents édifices. Date(s) de réalisation : 1965 Description : Le gros oeuvre est en moellons équarris de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux Précision(s) sur le décor représenté : support : fenêtre romane Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000416 - moulin à farine, moulin à foulon dit moulins de Bélaillé 4 vues Historique : La première mention d'un moulin à eau attribué à un dénommé Bélaillé date de la fin du 11e siècle. Moulins banaux du seigneur de Laval, les moulins, au nombre de trois, son attestés en 1382. Contigus, ils servent à moudre le blé et à fouler le drap. Lors d'une vente nationale en 1799, leur propriétaire, le duc de la Trémoille, les cède à trois particuliers. Le premier, monsieur Fournier, transforme le moulin intermédiaire, à foulon, en moulin à farine,le second, monsieur Sédillier, acquiert le moulin de rive, à farine, reconstruit après 1790,monsieur Morin, le troisième, achète le moulin de large, à farine. Les trois moulins sont détruits en 1847 pour la construction de l'actuel quai Albert Goupil. Description : Le moulin de rive était doté d'une roue hydraulique et de trois paires de meules. Le moulin intermédiaire était pourvu d'une roue hydraulique et de deux paires de meules. Le moulin de large comprenait deux roues hydrauliques et trois paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000417 - moulin dit les Trois Moulins 2 vues Historique : Construits en amont du Vieux-Pont, ils sont mentionnés dès 1427. Sous l'Ancien Régime, ils appartiennent aux seigneurs de Laval et servent à moudre le blé. Au printemps 1799, ils sont mis en vente nationale. En 1846-48, les nouveaux propriétaires y effectuent encore des travaux. Ils sont détruits en 1862, lors de la construction du quai Jehan-Fouquet. Description : Avant les travaux de 1846-48, les moulins sont pourvus de six paires de meules. On en dénombrera hui après cette date. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000424 - blanchisserie de la Chiffolière 1 vue Historique : Située sur la rive gauche de la Mayenne, elle appartenait au 18e siècle à Messieurs Périer et Leclerc de La Jubertière qui la louaient à des fermiers, les Couasnier. Description : Comme toutes les blanchisseries lavalloises, celle de la Chiffolière devait être composée de buanderies ou lavanderies qui abritaient le matériel nécessaire aux lessives (pourrissoirs, mortiers et chaudières), d'arrivoirs où les ouvriers battaient et rincaient les toiles, de prairies plantées de piquets pour faire sécher les toiles, d'un atelier contenant la calandre c'est-à-dire la machine à lustrer les toiles et de divers bâtiments utilisés comme réserves ou comme ateliers spécialisés. La maison du blanchisseur se trouvait en bordure de rivière, au milieu des ateliers et des prés. Imposante, celle de la Chiffolière devait être accompagnée de multiples dépendances : moulin, granges, fournil, remises, appentis, toits à porcs, écuries et étables. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de comble État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000004 - maison Historique : Maison probablement construite au cours du 18e siècle. Description : Ouverture en arc segmentaire et à linteau délardé au premier étage. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000042 - établissement conventuel de la Sainte-Famille 6 vues Historique : Les soeurs gardes malades ou soeurs de l'Espérance s'installèrent au 16 rue Flatters en 1852. La chapelle aurait été réalisée en 1867. Le grand bâtiment sur rue a été reconstruit entre 1875 et 1877 par l'architecte Eugène Boret. L'établissement est devenu une maison de retraite pour les soeurs de la Sainte-Famille. Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits, le soubassement et la base des ouvertures du rez-de-chaussée sont en pierre de taille de granite, les ouvertures, l'entablement et la travée centrale sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : scènes de la vie chrétienne, Assomption, Annonciation, Présentation de la Vierge au temple, Crucifixion, Présentation au Temple, Nativité, Mariage de la Vierge, Fuite en Egypte, Mort de Saint-Joseph,support : vitraux du choeur,armes de la congrégation de la Sainte-Famille de Bordeaux, armes du pape Pie 9, armes de Mgr Wicart, support : vitraux du choeur Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000429 - usine textile dite Notre-Dame d'Avesnières, actuellement Les Tissus d'Avesnières 1 vue Historique : Usine de tissage mécanique construite en 1876 pour monsieur Henri de la Broise. En 1905, les bâtiments sur quai sont reconstruits d'après les plans de l'architecte lavallois Léopold Ridel qui se charge également de bâtir la maison de maître. A cette date, l'usine compte environ 400 ouvriers et fabrique des coutils. En 1917, l'usine est rachetée par la famille Feinte déjà propriétaire d'une usine de tissage à Armentières, dans le nord de la France. En 1956, l'entreprise ajoute la teinture et l'impression à son activité initiale de tissage qui disparaît totalement en 1968. En 2003, l'usine se spécialise dans l'impression haut de gamme, la teinture et l'ennoblissement de tissus d'ameublement. En 2008, elle fait travailler 54 employés et produit 450 000 m de tissus imprimés pour 150 000 m de tissus teints. La maison de maître a été démolie. Date(s) de réalisation : 1905 Description : Le gros oeuvre des bâtiments sur rue est en moellons enduits. Le bâtiment à l'angle nord-ouest présente des ouvertures et des éléments de décor en pierre de taille de calcaire, alors que le bâtiment central (côté ouest) présente des ouvertures et des éléments de décor en brique. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Vierge à l'Enfant, support : niche de la façade sur rue Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000436 - blanchisserie dite blanchisserie de Chanteloup 8 vues Historique : En 1598, Guillaume Hersend achète le pré et la lavanderie de Chanteloup à René du Bellay, seigneur de Hauterives. En 1742, le négociant Pierre Hamard et son épouse Marie Roze Debrun les donnent en rente foncière à Charles Simon, sieur de Thuvé et aussi négociant. Dans les années précédant la Révolution, la blanchisserie est la propriété de monsieur Frin des Touches. En 1814, l'ensemble est acquis par Jean Sebaux. De la blanchisserie il ne subsiste aujourd'hui que trois constructions accolées en bordure de la rue de Chanteloup. La plus ancienne, au nord, remonte probablement au 15e siècle. Au sud, la calandre (bâtiment abritant des machines à lustrer les toiles) date du 18e siècle. Le bâtiment central est édifié entre 1810 et 1839. Démantelée vers le milieu du 19e siècle, la propriété a été morcelée en de nombreuses parcelles aujourd'hui bâties. Description : Le bâtiment le plus ancien présente des ouvertures chanfreinées en pierre de taille de calcaire et un linteau de porte en granite sculpté d'une accolade. L'édifice du 18e siècle est composé d'une façade aveugle côté rue et d'un avant-corps à deux pans côté cour dont les ouvertures, à feuillure, sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : mauvais état Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000444 - maison, puis immeuble 3 vues Historique : ??? Description : ????? Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : ?? Matériau(x) de couverture : ?? Étage(s) : 1 étage carré??? Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Just Carole Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |