IA53000168 - maison dite la Beuverie 1 vue Historique : Maison dite la beuverie ou la Maillarderie (fonds Desille), probablement construite au 17e siècle. Description : Un édicule quadrangulaire adossé au sud de la demeure possède une toiture à pavillon et présente un encorbellement avec aisseliers côté rue. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000230 - maison dite de la Mare Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000041 - château de la Métairie ou château de Saint-Melaine Historique : Le château est de style néogothique, il a été construit à partir de 1862 (date qui figure sur un projet de construction). Date(s) de réalisation : 1862 Description : Edifice d'inspiration gothique dont l'élévation postérieure sud s'articule autour d'une travée centrale. Celle-ci comprend, 1 terrasse au premier étage qui forme un porche à pans coupés au rez-de-chaussée, et 1 petit balcon au second étage porté par un culot sculpté. Cette travée s'achève par un fronton triangulaire percé d'une ouverture trilobée. Les tourelles d'angle, où viennent prendre place les escaliers, sont coiffées d'une flèche polygonale. Le côté nord de la demeure, plus sobre, a perdu ses balcons, cependant que des tourelles plus importantes encadrent la travée centrale. Les ouvertures sont à meneaux et croisillons de pierre. Dans le parc, près d'une pièce d'eau, le bâtiment des communs, de plan incurvé, est cantonné de 2 tours crénelées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000381 - oratoire, puis chapelle de la Croix-Couverte ou chapelle des Touches ou chapelle des Petits-Champs 2 vues Historique : Ancien oratoire devenu chapelle et qui d'après sa première appellation a peut-être remplacé une croix couverte d'un auvent. Ses origines sont mystérieuses : certaines traditions le présentent comme un des plus vieux sanctuaires de Laval, d'autres affirment qu'il aurait été construit à l'époque de la première croisade "pour servir aux pélerins qui circulaient dans la campagne mayennaise et leur signaler un point d'eau tout proche". En effet, l'oratoire a été édifié à un carrefour très important de voies anciennes : les unes reliant le gué d'Avesnières à celui de Pritz en direction du Mont-Saint-Michel, les autres s'en allant vers Saint-Melaine, Mayenne et Montsûrs. Une troisième hypothèse plaide en faveur d'un bâtiment annexe de l'abbaye cistercienne de Fontaine-Daniel. Celle-ci se base sur des documents du 13e siècle reconnaissant à ces moines des droits sur des terres et des vignes se trouvant à proximité de l'édifice. En 1703, une lettre adressée au prieur-curé de Saint-Vénérand par le secrétaire de l'évêque du Mans lui "permet de bénir la Croix-Couverte si c'est une chapelle de l'enceinte du cimetière de Saint-Vénérand ou proche l'église", mais refuse l'autorisation" si c'est une chapelle champestre...". Si ses origines sont anciennes, le petit sanctuaire est reconstruit ou remanié en 1788 comme l'indique le millésime gravé sur la clef de l'arc d'encadrement de la porte. De 1903 à 1974, date correspondant à l'extension de la zone Industrielle des Touches, il est situé sur l'emprise de la ferme des Petits-Champs. Jusqu'à la fin des années 1950, trois jours avant l'Ascension, la procession des rogations s'y rendait après avoir fait une halte à une fontaine voisine appelée "fontaine des Semailles", du nom d'un champs voisin. La chapelle est restaurée par la maison Grevet dans les années 1980. En 2007, elle est donnée à la Ville de Laval par les descendants de la famille Chevalier qui en était propriétaire. A noter : jusqu'au lendemain de la Seconde guerre mondiale, du calcaire bleu était extrait d'une carrière située au sud de la chapelle. Date(s) de réalisation : 1788 Description : Le sanctuaire est bâti sur un petit promontoire en calcaire bleu de Laval. Cette pierre se retrouve sous forme de moellons enduits dans le gros-oeuvre mais aussi dans l'emmarchement réalisé avec de gros blocs. Le mur pignon à deux contreforts est couronné d'un petit campanile de plan carré. La pente des versants du toit est adoucie par des coyaux. L'arc segmentaire de la porte d'entrée est réalisé avec de la pierre calcaire. Il est surmonté d'un motif constitué d'un croissant de lune (symbole marial ?) sommé d'une croix pattée (croix de consécration ?). A l'intérieur, le vaisseau est couvert d'une fausse voûte en berceau cachant ce qui paraît être une charpente "à fermes portiques", type fréquemment mis-en-oeuvre au 18e siècle. La table en granite de l'autel est gravée d'une croix de consécration. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000393 - caserne de militaires dite caserne des Ormeaux, caserne Schneider ou caserne Ferrié 2 vues Historique : L'entrepreneur Ferdinand-Louis-Alexandre Lambert obtient par adjudication les travaux de construction de la caserne d'infanterie en 1874. Date(s) de réalisation : 1874 Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les chaînes d'angle et les bandeaux sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000413 - ferme de Tuloup Historique : Ferme probablement construite au 16e ou au 17e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000414 - ferme de la Grande Ribaudière Historique : Ferme, dite la Grande Ribaudière, réalisée au 16e ou au 17e siècle. Description : Le gros oeuvre est en moellons. Certaines ouvertures et portes sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Architecture |
IA53000419 - moulin à farine et à foulon du Grand Bootz 12 vues Historique : Construit sur la rive droite de la Mayenne, le moulin est donné au prieuré de Saint-Martin au 11e siècle. Au début du 18e siècle, deux moulins à farine et à foulon sont attestés. Le bâtiment actuel semble avoir été totalement reconstruit en 1852 (date portée). En 1858, il est doté de deux roues hydrauliques actionnant six paires de meules. En 1902, une turbine est substituée à la roue du coursier de large. Les dépendances datent de la fin du 19e siècle ou du début du 20e. Date(s) de réalisation : 1852 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 ; 2011 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000420 - moulin à farine du Petit Bootz 2 vues Historique : Situé sur la rive gauche de la Mayenne, ce moulin à farine est mentionné en 1224. A cette époque, il est aussi appelé moulin de la Beuverie. Il est en grande partie détruit entre 1226 et 1228 puis reconstruit. Au 18e siècle, le moulin fonctionne grâce à une roue verticale extérieure. Au début du second quart du 19e siècle, un petit bâtiment abritant une force hydraulique est construit sur ses fondations. Celle-ci est destinée à faire fonctionner la filature de coton fondée en 1826 par monsieur Le Segrétain et détruite en 1898. L'édicule a aujourd'hui disparu. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage en surcroît État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000421 - moulin à farine du Bois Gamats Historique : Ce moulin à farine situé sur la rive droite de la Mayenne est signalé dans un titre de 1584. Au 17e siècle, il est la propriété des Lefebvre de la Falluère. En 1828, il appartient à Monsieur de La Faluère de Marigné et dispose d'une roue verticale extérieure faisant fonctionner une paire de meules. A sa destruction vers 1863, il compte deux paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000422 - moulin à tan du Gravier 1 vue Historique : Construit sur la rive gauche de la Mayenne, le moulin est signalé dès 1479. En 1828, il est la propriété de monsieur la Saulnière d'Avesnières. Disposant d'une roue intérieure, il sert alors à fabriquer du tan et à scier le marbre. Il est détruit vers 1863 lors des travaux de canalisation de la rivière. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000045 - couvent de trappistines Notre-Dame-du-Havre-du-Salut-de-l'Immaculée-Conception 12 vues Historique : Le monastère cistercien des trappistines est transféré au lieu-dit "La Coudre" en avril 1858. Auparavant, et depuis leur installation à Laval en 1816, les religieuses occupaient l'ancien prieuré Sainte-Catherine. Imaginés par Dom Bernardin Dufour de l'abbaye cistercienne du Port-du-Salut, les plans du nouveau couvent sont dessinés par le père Léon, cellérier. Les travaux s'échelonnent d'avril 1856 au 2 septembre 1859, date de la bénédiction de l'église abbatiale par Monseigneur Wicart. A la construction des bâtiments conventuels succède celle du lessivier bâti au-dessus d'un ruisseau. De 1859 à 1866, diverses chapelles et oratoires sont édifiés. Pendant la guerre de 1870, le monastère héberge une ambulance c'est-à-dire un hôpital bénévole. En 1877, l'architecte angevin Besnier conçoit un deuxième sanctuaire. En 1992-1993, celui-ci fait l'objet de remaniements. En 2003, monsieur Maison, architecte à Fontenay-sous-Bois, réalise un espace de découverte de la vie cistercienne combinant magasin de produits monastiques, librairie et salle de projection. Entre 2009 et 2012, l'ensemble du couvent est restauré et agrandi sous la direction de l'architecte Jean-Luc Roger : les cuisines sont reconstruites, un solarium est aménagé, les parloirs de l'accueil sont rénovés et l'hôtellerie est augmentée de 11 chambres. En 2014, l'église est à nouveau modifiée. Date(s) de réalisation : 1859 Description : Les bâtiments forment un vaste quadrilatère de 66 m2 de côté. L'ensemble des façades est rythmé par des ouvertures néo-gothiques. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1995 Copyright : (c) Inventaire général, 1995 Fonds / classement : Architecture |
IA53000427 - filature de Bootz, puis filatures de Laval, puis filatures Les Textiles de Laval et du Vermandois, puis entrepôt industriel 4 vues Historique : La première usine est fondée en 1826 par les frères lavallois Le Segrétain. Elle abrite alors 18 machines à filer et 9 machines à retordre toutes actionnées par la roue du moulin du Petit-Bootz. En 1861, l'Alsacien Charles Leyherr s'en rend acquéreur et fait construire à la Beuverie un nouveau bâtiment dans lequel sont installées 2 machines à vapeur et du matériel moderne. En 1888, la filature est constituée en S.A. par actions et prend le nom de Filatures de Laval. En 1895, elle est détruite par un incendie et reconstruite l'année suivante sur des plans de type anglais. En 1903, après son agrandissement par René Diehl, directeur technique, elle produit jusqu'à 300 000 kms de fil de coton par jour. En 1914, l'usine compte 350 ouvriers et 40 000 broches. En 1952, le fils de René Diehl, Edouard, prend la direction de la filature. L'usine d'une superficie de 14 000 m2 dénombre alors 300 ouvriers et 65 000 broches. Après le remplacement de l'énergie thermique par l'électricité, un nouveau bâtiment est édifié. En 1966, les Filatures de Laval fusionnent avec les Textiles du Vermandois dirigés par le groupe familial lillois Coisne et Lambert. En 1979, la production cesse et l'un des bâtiments est transformé en entrepôt industriel. La filature est entièrement rasée en 1989. En application d'idées paternalistes, les employés de l'usine disposaient de 140 logements, d'une crèche (1924) et d'une bibliothèque. Description : En 1826, l'unique bâtiment du site de Bootz renferme un rez-de-chaussée et trois étages. En 1861, celui de la Beuverie se développe sur trois niveaux couverts en shed. S'inspirant des modèles anglais, le bâtiment construit en 1904 combine ossature métallique et maçonnerie de briques. Les murs sont percés de grandes ouvertures laissant entrer le maximum de lumière et un toit-terrasse couvre l'ensemble. Les maisons ouvrières se caractérisent par la répétitivité de leurs plans, leur organisation en bande, l'utilisation de la brique en encadrement des ouvertures, la disposition symétrique des baies et les jardins potagers en arrière de parcelle. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000428 - usine textile dite Tissus du Vermandois 2 vues Historique : Usine de tissage mécanique construite en 1876 pour monsieur Henri Duchemin. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Architecture |
IA53000430 - mausolée dit chapelle de la Croix-Bataille Historique : Cette chapelle a été élevée à la mémoire du prince de Talmont, guillotiné à Laval en 1794. Elle s'élève sur les hauteurs du lieu-dit "les Landes de la croix bataille" où se déroula une importante bataille entre l'armée vendéenne et l'armée républicaine le 25 octobre 1793. Le monument est construit par l'architecte Pierre-Aimé Renous sur les plans de l'architecte Pierre Delarue en 1829. Resté inachevé, il a été détruit et vendu pour ses matériaux en 1868. Date(s) de réalisation : 1829 Description : La chapelle était précédée d'un portique à fronton triangulaire reposant sur 4 colonnes à chapiteaux doriques(?). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Architecture |
IA53000431 - manoir du Grand Aligné 1 vue Historique : Manoir construit à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle pour la famille Hatry. En 1686, le maître maçon François Laigneau réalise dans l'enceinte de la propriété un bâtiment long de 71 pieds et large de 22 pour Françoise Cazet. Les lucarnes du corps de logis gauche sont réalisées en 1714. Cette partie de la demeure et la chapelle furent extrêmement endommagés lors des bombardements de 1944 et détruits. Une porte du bâtiment disparu aurait été remployée à la chapelle Saint-Pierre de Saulges en Mayenne. Description : Le gros oeuvre est en moellons de calcaire. L'encadrement des baies est en pierre de taille de granite ou de calcaire (pour la partie supérieure de l'élévation antérieure de la tour). Le manoir conserve sa belle tour qui passe du plan carré au dernier étage au plan hexagonale vers le bas. Deux culots figurés supportent le carré supérieur et sur le côté nord subsiste une tourelle en encorbellement. La tour renferme un escalier monumental en vis et une pièce d'abitation. Ses murs sont percés de bouches à feu. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : sujet : tête d'homme, support : tourelle d'escalier culot d'angle droit,sujet : tête de femme, support : tourelle d'escalier culot d'angle gauche Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Inventaire général, 1976 Fonds / classement : Architecture |
IA53000432 - prieuré de bénédictins, actuellement église paroissiale Saint-Sulpice 5 vues Historique : Construite à l'emplacement d'un édifice antérieur, l'église d'origine date de la fin du 11e siècle ou du début du 12e siècle. La nef a été reconstruite en 1874 par l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Date(s) de réalisation : 1874 Description : La nef s'ouvre sur un choeur plus étroit composé d'une travée droite et d'une abside. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : grès, moellon Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000433 - prieuré de bénédictins, chapelle Notre-Dame-de-Pritz 5 vues Historique : Dans un acte qui l'attribuait à l'évêque Béraire, un monastère est mentionné à Pritz, en 710, à l'emplacement d'un cimetière du haut Moyen Age. Restaurés au lendemain des incursions normandes, les bâtiments sont confiés aux moines de l'abbaye bénédictine de la Couture du Mans lors de la création de la baronnie de Laval au début du 11e siècle. La chapelle devient la première église paroissiale de la nouvelle agglomération. A cette époque le chevet est modifié par la reconstruction du choeur et des absidioles du transept. La nef est également prolongée vers l'ouest au début du 12e siècle. La construction de l'église de la Trinité près du château, puis le transfert du siège paroissial, ne lui conserveront qu'un rôle de chapelle priorale. Au 14e siècle la partie orientale du choeur est détruite et remplacée par un chevet plat. Description : Depuis les destructions du 14e siècle, la chapelle présente une longue nef à vaisseau unique se terminant par un choeur peu profond. Deux chapelles flanquées d'absidioles s'ouvrent au nord et au sud. Le haut de la nef conserve des vestiges de maçonnerie à cordons de brique remontant au haut Moyen Age, tandis que les murs gouttereaux occidentaux présentent des traces d'un petit appareil en arêtes de poisson probablement du début du 12e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : chapelle, y compris les restes de peintures murales (cad. AE 4) : classement par arrêté du 2 mars 1938. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000434 - chapelle, puis église paroissiale Sainte-Anne Historique : En 1864, la fabrique de l'église d'Avesnières acquiert un terrain au village de Thévalles destiné à la construction d'une chapelle de secours. Celle-ci est édifiée en 1868. Elle est desservie par le clergé d'Avesnières jusqu'en 1899. Des travaux d'entretien dont la réfection de la couverture sont réalisés en 1924. En 1925, ses vitraux sont restaurés par Auguste Alleaume (mention dans le registre comptable du peintre-verrier). Au printemps 1996, l'église fait à nouveau l'objet d'importants travaux : la voûte en plâtre existante est démolie et remplacée par des lattes de châtaignier sur ossature de chêne et corbeaux de béton. Date(s) de réalisation : 1868 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits, la façade occidentale en pierre de taille de calcaire. Le chevet est à 3 pans. Le pignon occidental forme un clocher-mur à 2 baies. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000435 - commanderie d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem dite Cour de Thévalles, actuellement maison 1 vue Historique : Dépendant du grand prieuré d'Aquitaine, la cour de Thévalles était une des plus importantes commanderies de l'ordre des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem situées dans le Maine. Elle fut fondée au début du 12e siècle et restaurée au cours du 16e siècle. Après une période d'abandon, quelques bâtiments furent remis en état au 18e siècle, comme cette demeure, ancienne maison du régisseur. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |