IM53003636 - ensemble de trois verrières décoratives 2 vues Historique : Ensemble de trois verrières décoratives réalisées au début du 20e siècle. Leur auteur n'est pas identifié. Description : Verrières dotées de trois barlotières horizontales. Précision(s) sur le décor représenté : Les verrières latérales sont ornées de La Croix posée sur une gloire rayonnante. Le croisement des bras et de la hampe est souligné d'un médaillon renfermant l'Alpha et l'Oméga. La partie supérieure de la verrière axiale est décorée d'un médaillon renfermant le Chrisme. Il surmonte un motif constitué de feuillages stylisés. Dimension(s) : h = 60,5,la = 40,5 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la baie latérale gauche,dimensions de la baie postérieure : h = 73,8, la = 36,3. Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003639 - ensemble de trois verrières décoratives 3 vues Historique : Verrières décoratives réalisées vers 1915. Leur auteur n'est pas identifié. Description : Verrières en verre à reliefs dit verre cathédrale. Les vitraux latéraux sont dotés de deux barlotières horizontales et d'une barlotière verticale. Le vitrail du quadrilobe en comporte quatre formant un carré. Précision(s) sur le décor représenté : Les verrières latérales sont ornées de bouquets de fleurs. Le quadrilobe postérieur accueille des initiales enlacées. Dimension(s) : h = 62,la = 32 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la baie gauche,dimensions du quadrilobe : h = 34, la = 34. Inscription(s) : inscription concernant le commanditaire (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003657 - calice Historique : Calice réalisé en 1907 par Bourdon, orfèvre à Gand. Il semblerait qu'il ai fait l'objet d'un don par la famille Tupin. Description : Calice en argent partiellement doré. Il repose sur un pied circulaire dont la partie supérieure se prolonge pour former la tige. Celle-ci est tronçonnique et coupée par un noeud cylindrique en filigranes. La coupe est large et son décor est gravé. Les médaillons émaillés du pied sont rapportés. Décor représenté : Les apôtres (saint Pierre : clé, saint André : croix, saint Jacques le Majeur : épée, saint Jean : coupe, saint Thomas : équerre, saint Philippe : croix, saint Barthélémy : couteau, saint Jacques le Mineur : bâton, saint Matthias : hache, saint Jude : massue, saint Simon : scie, saint Matthieu : lance), ornementation (palmes, enroulements) Précision(s) sur le décor représenté : Le dessus du pied est orné de quatre médaillons et le départ de la tige se pare notamment de palmes. Le noeud est constitué d'enroulements. La coupe est gravée des douze apôtres avec leurs attributs respectifs : clé pour saint Pierre, croix pour saint André, épée pour saint Jacques le Majeur, coupe empoisonnée pour saint Jean, équerre d'architecte pour saint Thomas, croix de procession pour saint Philippe, couteau pour saint Barthélémy, bâton de foulon pour saint Jacques le Mineur, hallebarde pour saint Matthias, massue pour saint Jude, scie pour saint Simon, lance pour saint Matthieu. Dimension(s) : h = 20,la = 15,7 Précision(s) sur les dimensions : largeur du pied. Inscription(s) : poinçon de fabricant,marque d'auteur,date,chiffre,inscription concernant l'iconographie (sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le donateur (sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003724 - calice et patène Historique : Calice et patène réalisés en 1927 par le fabricant orfèvre Maurice Chéret de la Maison Cabaret. Description : Calice et patène en argent doré. Le calice se compose d'un pied polylobé, d'une tige coupée par un noeud cylindrique et d'une coupe évasée. Le décor des deux pièces est rapporté et partiellement gravé. Précision(s) sur le décor représenté : Le dessus du pied du calice est orné d'une frise à enroulements interrompue par deux cartouches en relief garnis de cabochons en verre coloré (violet) et par deux médaillons perlés. Ceux-ci renferment un Christ en croix et une Vierge du Sacré-Coeur. La frise se retrouve sur la coupe et sur le revers de la patène. Sur la coupe, elle est coupée par deux médaillons accueillant un motif végétal et sur la patène elle forme une couronne renfermant l'IHS surmonté d'une croix. ddd Dimension(s) : h = 22,la = 14,2 Précision(s) sur les dimensions : largeur du pied,patène : la = 14. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrage 1er titre Paris 1838-1973,inscription concernant le destinataire (gravée, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |