IA53000643 - chapelle funéraire de la famille Elie Brillet 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1905 par l'architecte lavallois Louis Garnier. Elle accueille les sépultures d'Elie Gervais Brillet (1809-1874), de son épouse Joséphine Anne Richer (1817-1899), d'Elie Marie Jean Brillet (1841-1913) et de son épouse Clarisse Lecomte (1839-1916). Date(s) de réalisation : 1905 ? Description : Edicule de plan trapézoïdal couronné d'un toit-terrasse. Les murs sont en granite et le toit en pierre. Les façades antérieure et postérieure sont percées d'une porte également trapézoïdale et d'une fenêtre rectangulaire. Celle-ci a conservé sa verrière d'origine. La porte ferme par un vantail en métal peint percé d'une ouverture quadrangulaire. Le linteau qui la surmonte est sculpté de l'inscription FAMILLE ELIE BRILLET. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre. Les murs accueillent deux grandes plaques funéraires en marbre blanc gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : La poignée de porte prend la forme d'une tige dont les extrémités sont pourvues de feuilles. Elle est surmontée d'une fleur semblant être une fleur de camélia. Ces végétaux confèrent un style Art nouveau au vantail. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000648 - hôtel, actuellement immeuble de bureaux 7 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000037 Historique : L'hôtel est construit en 1896 sur des plans de Léopold Ridel pour monsieur Adolphe Masseron. Quelques-uns de ses vitraux ont été réalisés en 1903 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. Son registre de caisse mentionne en effet le nom de monsieur Masseron ainsi que la somme de 360 francs. Date(s) de réalisation : 1896 Description : Hôtel particulier construit sur une parcelle extrêmement étroite, d'où sa verticalité, et dont l'architecture éclectique fait de nombreux emprunts au style Renaissance. La façade, côté quai, comporte quatre niveaux dont un étage de comble et cinq travées régulières. Les ouvertures du premier étage à linteau droit avec agrafe ouvragée, sont dotées de balconnets à balustres, à l'exception de la baie de la travée nord qui s'ouvre sur un bow-window ou oriel doté d'une verrière. Au rez-de-chaussée, les ouvertures sont légèrement cintrées alors qu'au deuxième étage elles sont en anse de panier. Sur le toit, les baies à meneau de bois sont parfois insérées dans une ornementation néo-Renaissance avec pilastres, pinacles, consoles et frontons triangulaires ou curvilignes à tympans sculptés de motifs végétaux. L'animation du volume se fait par le jeu des toitures et par l'adjonction de quelques éléments pittoresques : le bow-window, déjà cité, surmontant l'ancienne porte d'entrée, mais aussi une véranda métallique ornée de céramiques polychromes à motifs végétaux stylisés. Les éléments décoratifs, en calcaire, sont mis en valeur par le contraste avec le matériau de remplissage, la brique. A l'intérieur, le vestibule, les salles de réception et les bureaux du rez-de-chaussée ont reçu un décor de boiseries et de panneaux vitrés de syle Louis XV ou néo-Renaissance. Le grand escalier en bois emprunte par contre au style gothique. A noter : Ridel fut également chargé du décor de la salle de bains pour laquelle il dessina deux panneaux décoratifs au style japonisant,ceux-ci représentent des geais sur un éventail déployé et des cigognes pêchant. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : véranda, lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000059 - établissement de bains dit bains-douches municipaux 18 vues Historique : Influencée par les préoccupations hygiénistes développées par le milieu médical depuis la fin du 19e siècle, la Ville de Laval, sous l'impulsion de son maire Eugène Jamin, décide en 1923 de doter la ville d'un établissement de bains publics. Construit par l'architecte Léon-Henri Guinebretière recruté sur concours, ce "palais social" est inauguré le 27 janvier 1927. Ont notamment participé à sa réalisation : l'entreprise Brisard pour le gros-oeuvre, le mosaïste Isidore Odorico fils, les serrureries lavalloise Bourny-Gaillard et Jamois, les menuisiers parisiens Leroux et Levet ainsi que Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois, qui réalise le vitrail de la fenêtre située au dessus du bureau d'accueil. En 1927, l'établissement est ouvert quatre jours par semaine (les mercredi, jeudi, samedi et dimanche) et les tarifs pour 30 minutes (y compris l'habillage et le déshabillage) sont de deux francs pour un bain et d'un franc pour une douche. En 1948-1949, d'importants travaux intérieurs sont réalisés afin d'augmenter la capacité d'accueil des bains-douches. La travée d'accueil est ainsi vidée de son comptoir et subdivisée en quatre cabines de douches par des cloisons en béton armée. Les façades sud et ouest sont également remaniées. En 2003, les bains-douches cessent leur activité. En 2010, le bâtiment obtient le label "Patrimoine du XXe siècle" et quatre ans plus tard, il est inscrit dans sa totalité au titre des monuments historiques. En 2017, il fait l'objet d'une restauration-réaffectation pilotée par le cabinet Architrav d'Angers. Date(s) de réalisation : 1928 Description : Bâtiment Art déco adoptant un plan rectangulaire et se caractérisant par son horizontalité. La façade antérieure utilise la pierre de taille de calcaire sur un socle en granite. Les élévations latérales et postérieure combinent briques et moellons de calcaire bleu (?) recouverts d'un enduit de ciment. Côté rue, la façade est percée d'une enfilade de neuf fenêtres quadrangulaires placées très haut. Elles sont réparties de part et d'autre d'une porte d'entrée désaxée et surmontée d'un impact de balle datant de la dernière guerre mondiale. Le vestibule est recouvert d'une voûte en berceau se développant sur la largeur du bâtiment. De chaque côté de ce hall d'accueil se répartissent seize cabines de douches de 4 m2 et six salles de bains avec baignoires de 7 à 8 m2. Le couloir menant aux douches est éclairé par une verrière métallique. Pour des raisons de facilité d'entretien, de résistance à l'humidité et de mise en oeuvre abordable, les sols, les murs et les bacs des douches sont recouverts de carreaux de mosaïque combinant le grès cérame bleu et la pâte de verre parfois rehaussée de feuille d'or. Le sous-sol renferme la chaufferie. La maison construite à l'arrière du bâtiment accueillait une salle commune, une laverie et, à l'étage, le logement du gardien. Étage(s) : sous-sol,rez-de chaussée surélevé État de conservation : désaffecté,mauvais état Précision(s) sur le décor représenté : La signature de l'architecte accompagnée des abréviations DPLG, est gravée sur l'extrémité droite de la façade sur rue. L'entrée du bâtiment est valorisée par un fronton à pans coupés gravé de l'inscription "BAINS-DOUCHES MUNICIPAUX" sur un fond de peinture dorée dont il subsiste quelques traces. Deux cabochons devaient également orner la partie basse du couronnement. La corniche incurvée est sculptée d'une frise constituée d'ondes, de fleurs et de feuilles de nénuphars stylisés. Les fenêtres sont flanquées de colonnettes dont les chapiteaux prennent la forme de congélations aux contours simplifiés. Les ferronneries des ouvertures adoptent aussi les lignes droites carractéristiques du style Art déco. A l'entrée, le sol est recouvert d'une mosaïque représentant les armoiries de la Ville de Laval ("de gueules au léopard d'or"). Les autres mosaïques figurent un décor géométrique composé de frises desquelles s'échappent des motifs s'apparentant à des stalactiques. Ces mosaïques forment un décor dont la couleur bleue, également présente sur l'ensemble des menuiseries, évoque l'univers aquatique (D'après une étude stratigraphique, à l'ouverture des bains-douches, les mensuiseries étaient peintes en gris). Quant aux bacs de douche, ils sont tous ornés d'un fond de gouttes d'or. Protection MH : Bains-douches (cad. CE 198 et 199) : inscription par arrêté du 18 décembre 2014. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000092 - hôtel 31 vues Historique : Avant la Révolution, le terrain dépendait du couvent des Cordeliers. La parcelle du "petit bois des Cordeliers" est acquise nationalement par M. Tauvry qui y construit une petite maison. En 1825, l'architecte Pierre-Aimé Renous achète la propriété, conserve la petite maison et réalise "au couchant" l'hôtel particulier. En 1831 ce dernier passe aux mains de M. Legentil qui fait construire des dépendances. Depuis 1955, l'hôtel fait partie de l'école Eugène Hairy. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, mais de nombreuses parties de l'édifice ont été réalisées en pierre de taille de calcaire : les chaînes d'angles (pilastres composites), l'entablement, les entourages des baies et l'important fronton triangulaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : des pilastres cannelés à chapiteaux composite supportent un entablement avec une corniche à denticules et modillons, support : façade antérieure,sujet : couronne de laurier, support : oculus dans le tympan du fronton Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000099 - hôtel Historique : Hôtel construit vers le milieu du 18e siècle. Il a été agrandi au cours du siècle suivant, notamment par l'adjonction d'un pavillon contre le pignon est. Description : Fronton curviligne, sculpté de motifs floraux, sur la façade sur jardin. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : fronton de la façade sur jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IM53000107 - retable architecturé à niche de Notre-Dame de pitié Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de Notre-Dame de pitié Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000105 Historique : Jacques Le Blanc de la Vignolle avocat et historien est décédé en 1684. Les initiales inscrites dans un cartouche au sommet du retable sont vraisemblablement les siennes. Ce monument pourrait être le retable de la Vierge, construit en 1695. Cependant il présente de nombreux caractères des retables du 18e siècle, s'agit-il de remaniements ? Décor représenté : ornement(guirlande, coquille, chute végétale, console, rinceau, acrotère, décor d'architecture, à denticule, frise, chapiteau composite), arc en plein cintré, angelot, colombe, rayon Dimension(s) : h = 730,l = 300 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000113 - retable architecturé à niche du Sacré-Coeur Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire du Sacré-Coeur Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000111 Historique : Ce retable attribué à Pierre Corbineau présente une certaine analogie avec celui du maître-autel, pour ce qui est de l'étage inférieur et avec celui de l'autel saint François, pour ce qui est de l'étage supérieur. Il a été réalisé entre 1630 et 1640. Dimension(s) : h = 860,l = 320 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000116 - retable architecturé à niche de saint François Historique : Conformément aux dispositions testamentaires de François Caset, conseiller au parlement de Bretagne, Jeanne Marest, sa veuve, commande un retable dédié à saint François. Le marché passé avec Pierre Corbineau est signé le 31 juillet 1637 et les travaux sont achevés le 1er juillet 1638. Décor représenté : ornement(guirlande, chute végétale, console, modillon, à denticule, chapiteau corinthien, panier fleuri, corne d'abondance, feuille, ornement architectural), angelot, cartouche(croix, bras) Précision(s) sur le décor représenté : Dans le cartouche, les armoiries de l'ordre des franciscains. Dimension(s) : h = 830 h,l = 338 Inscription(s) : emblématique(peinte) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000121 - retable architecturé à niche de saint Joseph 2 vues Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de saint Joseph Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000119 Historique : La structure de l'étage supérieur est assez proche de celles des retables de saint François et du Sacré-Coeur. Mais le premier étage, avec ses deux groupes de colonnes en retrait par rapport à la niche, permet d'appréhender la diversité de l'oeuvre de cet artiste. Le retable est réalisé entre 1630 et 1640. Décor représenté : ornement(chute végétale, guirlande, coquille, rinceau, modillon, à denticule, chapiteau corinthien, panier fleuri, pot à feu, ornement architectural), angelot, A.M. Dimension(s) : h = 860,l = 348 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000126 - retable architecturé à niche de saint Pierre 3 vues Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de saint Pierre Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000124 Historique : Par la richesse et la finesse de son décor sculpté, ce retable ne peut être attribué qu'à Pierre Corbineau. L'étage inférieur a cependant été remanié : à l'origine il comportait un tableau et non une niche. Sur le retable, on peut lire le nom du donateur "J. Guylot" et la date "1632". Avocat et grand-oncle de Le Blanc de la Vignolle (donateur du retable de Notre-Dame de pitié), J. Guylot appartenait à la famille de Corbineau. Décor représenté : ornement(chute végétale, guirlande, corne d'abondance, coquille, modillon, à denticule, rinceau, chapiteau corinthien, panier fleuri, console), angelot Dimension(s) : h = 720,l = 310 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000164 - chapiteaux (décor d'architecture, décor intérieur) 3 vues Historique : Les chapiteaux les plus anciens offrent un modèle assez lache, des tracés mous et imprécis. Cette mollesse est caractéristique de la sculpture du Maine à la fin du 11e siècle et au début du 12e siècle. Les motifs rencontrés sont assez variés, ils présentent un certain nombre de similitudes avec la sculpture bretonne (motif à crosse), et avec la sculpture du Val-de-Loire (monstre engoulant). Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000214 - chaire à prêcher 1 vue Historique : Remplaçant une chaire en fer forgé, oeuvre de Raveneau vers 1733, la chaire actuelle fut réalisée par François Maulore en 1803. La forme de la cuve, empruntée à celle de Saint-Vénérand (autrefois au couvent des dominicains) s'inspire des dessins de l'architecte Antoine Lepautre (1621-1694). Décor représenté : ornement(chute végétale, entrelacs, à feuille, à palme, à pomme de pin, à volute), angelot, colombe(?), crosse, mitre, étole Dimension(s) : h = 606 Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000219 - retable architecturé à niche du maître-autel 3 vues Appartenant à : ensemble du maître-autel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000217 Historique : Retable probablement réalisé par l'architecte lavallois Pierre Corbineau, entre 1633 date à laquelle le comte de Laval fut fait chevalier du Saint-Esprit, et 1640 date de la réalisation du tableau qui semble avoir été peint pour ce retable. Les crédences en marbre furent ajoutées en 1754. Description : marbre incrusté Précision(s) sur le décor représenté : Le collier de l'ordre du Saint-Esprit encadre l'un des deux cartouches armoriés. Dimension(s) : h = 960,la = 838 Précision(s) sur les dimensions : hauteur approximative. Inscription(s) : armoiries(illisible) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000024 - retable architecturé à niche de la Vierge Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de la Vierge Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000356 Historique : Ce retable est fort probablement l'oeuvre d'Antoine Agenyau, l'architecte du jubé (détruit en 1697) et des autels de Notre-Dame et de sainte Suzanne. Le marché passe avec Agenyau en 1610 pour la construction de l'autel de sainte Suzanne, permet de comparer le retable actuel avec les allusions qui y sont faites. Décor représenté : ornement(à chapiteau corinthien, à bossages, à chute végétale, à console, à coquille, à denticule, à rinceau, à palme, à pointe de diamant), angelot, être surnaturel, cartouche, fronton, décor d'architecture Précision(s) sur le décor représenté : Décoration en gros bossages avec pointes de diamant en marbre, dans le style des portes monumentales que l'on élevait à l'époque. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000231 - retable architecturé de la Communion 1 vue Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de la Communion Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000368 Historique : Retable du 17e siècle, qui se trouvait dans l'église Notre-Dame des cordeliers de Laval sous le vocable de Saint-Michel. Endommagé, il fut rapporté à La Trinité en 1812, et avec ses débris on construisit le retable actuel. Dimension(s) : l = 427 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000248 - tambour de porte, dit tambour du grand portail 1 vue Historique : G. Heurtaut, marchand et donateur, appartenait à une vieille famille lavalloise. Le nom de l'exécuteur testamentaire, un certain Nupied, prêtre, nous est donné grâce à un rébus. Décor représenté : ornement(à modillon, à denticules, à chapiteau corinthien, à chute végétale, à fleur, à rinceaux, à palmettes, à rameau), pilastre, entablement, frise Dimension(s) : h = 509,la = 518,5,pr = 276 Précision(s) sur les dimensions : hauteur prise sans le couronnement. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000254 - pièce murale : Judith suppliée par les Béthuléens 1 vue Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. Description : tapisserie de haute lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : Judith reçoit les anciens du peuple qui la supplie d'intervenir en leur faveur. Dimension(s) : h = 295,5,l = 363,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000255 - pièce murale : Judith en prière 2 vues Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. Description : tapisserie de haute-lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : Avant de partir pour le camp d'Holopherne, Judith se livre à la prière. Dimension(s) : h = 287,l = 151,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000256 - pièce murale : Judith se rend au camp d'Holopherne 1 vue Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. Description : tapisserie de haute-lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : Judith accompagnée de sa servante, qui porte un panier de provisions, sort de la ville pour se rendre au camp des Assyriens. Les habitants de Béthulie assistent à son départ. Dimension(s) : h = 293,5,l = 249 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000257 - pièce murale : Judith devant Holopherne 1 vue Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. Description : tapisserie de haute-lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : Holopherne assis sur son trône et entouré de sa garde reçoit Judith qui s'incline devant lui. Dimension(s) : h = 285,5,l = 431 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000258 - pièce murale : Décapitation d'Holopherne 1 vue Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. La scène est issue d'une gravure de Mathieu Mérian le vieux (1593-1651), faisant partie d'un recueil intitulé "iconum biblicarum" de 1630 (environ),seuls les vêtements ont été modifiés. Description : tapisserie de haute-lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : Pendant que le camp est endormi, Judith tranche la tête d'Holopherne et la dépose dans une corbeille, que sa servante recouvre d'un voile. Dimension(s) : h = 283,l = 320,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000259 - pièce murale : Retour de Judith à Béthulie 1 vue Historique : Pièce murale qui proviendrait du prieuré des bénédictines de Laval. Description : tapisserie de haute lisse, doublure en toile de lin(?) Précision(s) sur le décor représenté : De retour à Béthulie, Judith présente au peuple assemblé la tête d'Holopherne. Dimension(s) : h = 294,l = 494 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000029 - retable architecturé à niche Saint-Julien 1 vue Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire Saint-Julien Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000026 Historique : La structure particulière de ce retable, qui permet de dégager la fenêtre, est copiée sur celle du retable Sainte-Anne construit plus d'un siècle auparavant (1606). Le retable Saint-Julien est également appelé retable des Evêques. Il a été restauré par l'atelier Mainponte dans les années 1980. Description : sa structure a tenu compte de la présence d'une fenêtre (un seul niveau pour la travée centrale) Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000331 - peinture monumentale : Triomphe de saint Joseph, Sacré-Coeur, sainte Marthe, le vieillard Siméon, la prophétesse Anne, saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth Historique : Cet ensemble homogène a été réalisé par deux peintres. Maurice Chabas, peintre d'origine nantaise, réalise dans son atelier parisien en 1901 (date portée) les bustes du tambour et le triomphe de saint Joseph. Emmanuel Cavaillé-Coll exécute sur place les peintures ornementales et symboliques. Description : Nature de l'enduit indéterminée : plâtre ou chaux. Les médaillons du tambour et le triomphe de saint Joseph sont des toiles marouflées. Décor représenté : saint Joseph : debout, lys, ange : harpe, lys, phylactère, couronne, livre£croix, lys, ornement à forme végétale, colombe, calice, nuée, fleuve du Paradis, étoile£Sacré-Coeur : en buste, sainte Marthe : en buste, homme du nouveau testament(Siméon), femme du nouveau testament(Anne), saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth, croix, ornement à forme végétale£tissu, guirlande, croix : ornement géométrique£étoile, croix, saint Esprit, fleur, bouquet Précision(s) sur le décor représenté : Le décor correspond à un programme unique qui s'articule de haut en bas : à la coupole, la croix timbrée du saint Esprit distribue les Grâces sous forme de fleurs et d'étoiles,au tambour, les médaillons figurés alternent avec des ornements à motifs végétaux dotés de croix,au cul de four de l'abside, sur un semis de fleurs et d'étoiles, deux colombes boivent au calice de la vie placé au pied de la croix,du calice sortent les flots du fleuve du Paradis et un lys rayonnant,au registre supérieur de l'abside, le triomphe de Joseph parmi les anges. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peint, latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Davy Christian,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000334 - ensemble composé de deux verrières à personnages : Saint Louis roi et Vierge à l'Enfant 4 vues Historique : Ensemble de deux verrières à personnages exécutées au milieu du 19e siècle par le peintre-verrier Antoine Lusson probablement dans son atelier du Mans. Description : La verrière dédiée à la Vierge à l'Enfant est peu identifiable car obturée par l'extérieur. Décor représenté : figure (Saint Louis : couronne, sceptre, église), figure biblique (Vierge à l'Enfant : Vierge, Christ, globe, croix, sceptre, couronne), ornementation (arcature, élément végétal) Précision(s) sur le décor représenté : Verrières hagiographiques dont la composition s'inspire de celle des verrières gothiques. Placées en vis-à-vis, elles représentent Saint Louis roi et La Vierge à l'Enfant placés sous des arcatures valorisant leur sainteté. Saint Louis est figuré avec ses attributs traditionnels : le costume royal semé de lis de France, la couronne, le sceptre et le modèle de la Sainte-Chapelle. La Vierge est également couronnée et dotée d'un sceptre. Les bordures des 2 verrières sont larges et ornées de motifs végétaux parmi lesquels des feuilles d'acanthe Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Objets mobiliers |