IA53000419 - moulin à farine et à foulon du Grand Bootz 12 vues Historique : Construit sur la rive droite de la Mayenne, le moulin est donné au prieuré de Saint-Martin au 11e siècle. Au début du 18e siècle, deux moulins à farine et à foulon sont attestés. Le bâtiment actuel semble avoir été totalement reconstruit en 1852 (date portée). En 1858, il est doté de deux roues hydrauliques actionnant six paires de meules. En 1902, une turbine est substituée à la roue du coursier de large. Les dépendances datent de la fin du 19e siècle ou du début du 20e. Date(s) de réalisation : 1852 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 ; 2011 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000427 - filature de Bootz, puis filatures de Laval, puis filatures Les Textiles de Laval et du Vermandois, puis entrepôt industriel 4 vues Historique : La première usine est fondée en 1826 par les frères lavallois Le Segrétain. Elle abrite alors 18 machines à filer et 9 machines à retordre toutes actionnées par la roue du moulin du Petit-Bootz. En 1861, l'Alsacien Charles Leyherr s'en rend acquéreur et fait construire à la Beuverie un nouveau bâtiment dans lequel sont installées 2 machines à vapeur et du matériel moderne. En 1888, la filature est constituée en S.A. par actions et prend le nom de Filatures de Laval. En 1895, elle est détruite par un incendie et reconstruite l'année suivante sur des plans de type anglais. En 1903, après son agrandissement par René Diehl, directeur technique, elle produit jusqu'à 300 000 kms de fil de coton par jour. En 1914, l'usine compte 350 ouvriers et 40 000 broches. En 1952, le fils de René Diehl, Edouard, prend la direction de la filature. L'usine d'une superficie de 14 000 m2 dénombre alors 300 ouvriers et 65 000 broches. Après le remplacement de l'énergie thermique par l'électricité, un nouveau bâtiment est édifié. En 1966, les Filatures de Laval fusionnent avec les Textiles du Vermandois dirigés par le groupe familial lillois Coisne et Lambert. En 1979, la production cesse et l'un des bâtiments est transformé en entrepôt industriel. La filature est entièrement rasée en 1989. En application d'idées paternalistes, les employés de l'usine disposaient de 140 logements, d'une crèche (1924) et d'une bibliothèque. Description : En 1826, l'unique bâtiment du site de Bootz renferme un rez-de-chaussée et trois étages. En 1861, celui de la Beuverie se développe sur trois niveaux couverts en shed. S'inspirant des modèles anglais, le bâtiment construit en 1904 combine ossature métallique et maçonnerie de briques. Les murs sont percés de grandes ouvertures laissant entrer le maximum de lumière et un toit-terrasse couvre l'ensemble. Les maisons ouvrières se caractérisent par la répétitivité de leurs plans, leur organisation en bande, l'utilisation de la brique en encadrement des ouvertures, la disposition symétrique des baies et les jardins potagers en arrière de parcelle. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000684 - usine de construction aéronautique, Société anonyme Borel, puis usine Borand, puis Société de Construction Aéronautique et Mécanique de la Mayenne, puis usine de construction mécanique, Société des usines Chausson 5 vues Historique : Envisagée dès 1935, l'implantation d'une usine de pièces aéronautiques à Laval est réalisée le 4 octobre 1939 par la fondation de la Société Anonyme Borel au capital de 500 000 francs et au siège social basé à Paris. Gabriel Borel, l'un des plus anciens constructeurs d'avions et d'hydravions en France, en est le Président Directeur Général. Vincent André, inventeur, entre autres, de nombreux brevets, est nommé à la direction du site lavallois. De 10 ouvriers en 1939, l'usine passe à 1 100 salariés en juin 1940 faisant de Borel le premier employeur en Mayenne. Grâce aux idées sociales très avancées de ses dirigeants, l'usine se distingue par une organisation moderne du travail et par une méthode de rémunération très avantageuse pour ses employés. La Société est également très généreuse en matière d'oeuvres sociales : comité de sécurité, comité social d'entreprise, bibliothèque ouvrière, caisse d'entr'aide, primes de mariage et de naissance etc. A partir de juin 1941, l'usine collabore avec l'occupant allemand. C'est également à cette époque que Borel crée sa propre école d'apprentissage préparant à une dizaine de spécialités. Les 15 juin et 24 juillet 1944, l'usine est bombardée. A la Libération, l'entreprise qui travaille désormais pour l'Etat français, fonde ses espoirs sur un avion de tourisme propre à l'instruction et à l'entraînement, le Max-Holste 52 mis au point avec l'ingénieur du même nom. Le premier vol de l'avion a lieu le 23 juillet 1945 à Laval et les premiers essais sont concluants. Malheureusement, en 1946, le Norécrin N-1201 lui est préféré. Rebaptisée un temps Borand, l'usine devient en 1949 la Société de Construction Mécanique et Aéronautique de la Mayenne et abandonne peu à peu le secteur aéronautique pour la fabrication de réservoirs et de radiateurs pour automobiles. En 1963, la S.C.O.M.A.M. est rachetée par la Société des Usines Chausson qui ferme définitivement le site au début des années 1980. En 1991, la Ville de Laval acquiert les bâtiments auprès de la société Valéo thermique qui a repris Chausson en 1987. Aujourd'hui, le hall sud est occupé par un espace d'expositions temporaires bénéficiant d'un volume exceptionnel. Le reste de l'ancienne usine est dédié à la réalité virtuelle. Date(s) de réalisation : 1939 Description : L'usine occupe une parcelle située à proximité du viaduc, entre les rues de L'Ermitage et Léo-Lagrange. Elle se compose de quatre corps de bâtiment accolés dans le sens de la longueur et totalisant une surface de 3 400 m2 dont 700 pour le premier. La structure de celui-ci est constituée par des portiques en béton. Les trois premiers halls, de plans rectangulaires et de tailles décroissantes en partant du sud, sont dotées de voûtes en béton éclairées par des verrières métalliques. Chaque voûte est précédée d'un fronton cintrée se retrouvant à l'arrière. Le dernier bâtiment, construit après la guerre, est couvert d'un toit en terrasse sur lequel une construction pourvue d'une toiture à deux pans a été ajoutée. La majorité des façades est éclairée par un alignement de baies rectangulaires. Dans un article paru dans la revue "303", Jacques Carlier fait de l'usine la description suivante : "A son ouverture, les ouvriers avaient à leur disposition deux grands halls en béton avec façade très aéronautique, aptes à reçevoir des éléments importants d'avions. L'un, le magasin des tôles, comportait un étage voué à la chaudronnerie et à la soudure. Cet ensemble était entouré de constructions légères en bois, à divers usages : bureaux techniques, atelier de machines-outils, montage de radiateurs, section des traitements thermiques et laboratoire. En contrebas, à droite en entrant dans l'usine, un pavillon était occupé par la direction et son état-major. Suivaient, le bureau d'études, l'atelier de peinture et le garage. Dans ce qui est maintenant la rue Léo-Lagrange, il y avait un immense terrain qui recevait des constructions légères : la cantine, le service social et un bureau des sports. Un pavillon en bois de la société Borel hébergeait le service de gardiennage. Un autre local fut érigé plus tard pour accueillir les apprentis. Il se transforma en menuiserie après quelques années, lorsqu'un bâtiment en dur à charpente métallique s'éleva sur 5 000 mètres carrés, avec un magasin en sous-sol et une grande surdface d'atelir pour les apprentis". Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : béton État de conservation : établissement industriel désaffecté Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2016 (c) Ville de Laval, 2016 Fonds / classement : Architecture |
IA53000402 - pont d'Avesnières 10 vues Historique : Un premier pont métallique suspendu est construit en 1839 près de l'emplacement d'un ancien gué et en remplacement du bac qui existait jusqu'alors. Il se rompt en 1847 et est remplacé l'année suivante. De nouveau détruit en 1872, il est reconstruit en pierre en 1873 et ouvert à la circulation en 1874. De 1842 à 1870, sa traversée fait l'objet d'un péage. Ensuite, seuls les piétons sont autorisés à l'emprunter car il présente des problèmes de structure. Dynamité en 1944, un nouvel ouvrage en béton est édifié en 1948. Description : Construit en béton, il se compose de 4 piles qui forment 5 arches. L'arche centrale est plus large que les 4 autres. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : béton Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Architecture |
IA53000419 - moulin à farine et à foulon du Grand Bootz 12 vues Historique : Construit sur la rive droite de la Mayenne, le moulin est donné au prieuré de Saint-Martin au 11e siècle. Au début du 18e siècle, deux moulins à farine et à foulon sont attestés. Le bâtiment actuel semble avoir été totalement reconstruit en 1852 (date portée). En 1858, il est doté de deux roues hydrauliques actionnant six paires de meules. En 1902, une turbine est substituée à la roue du coursier de large. Les dépendances datent de la fin du 19e siècle ou du début du 20e. Date(s) de réalisation : 1852 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000427 - filature dite de Bootz, puis entrepôt industriel 4 vues Historique : Fondée en 1826 pour monsieur le Segrétain, la filature de coton abritait 18 machines à filer et 9 machines à retordre actionnées par la roue d'un moulin à eau. En 1861, l'usine est agrandie pour monsieur Leyher qui fait installer 2 machines à vapeur et du matériel moderne destinés à augmenter le rendement. En 1895, elle est détruite par un incendie et reconstruite l'année suivante. Agrandie en 1903 et 1904, la filature produit alors 300 000 kms de fil de coton par jour. Après le remplacement de l'énergie thermique par l'électricité, un bâtiment à couverture de sheds est édifié. En 1965, la Société Anonyme des Filatures de Bootz instituée au début du siècle, fusionne avec les Textiles du Vermandois. La production cesse à la fin des années 1970. Transformés en entrepôts, les bâtiments sont rasés en 1989. En application d'idées paternalistes, les employés de l'usine disposaient de 140 logements, d'une crèche et d'une bibliothèque. Description : Le bâtiment principal, construit en 1904, était constitué d'une ossature métallique et disposait de grandes ouvertures. Ses parois extérieures étaient habillées de briques. Il était couvert d'un toit-terrasse. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IM53000145 - orgue, buffet d'orgue 1 vue Historique : L'orgue réalisé dans les ateliers de M. Sergent à Paris en 1851 fut acquis pour 10000 F. Le buffet, quant à lui, fut réalisé par un ouvrier de la paroisse, M. Mulot. D'après Chantepie, une première réparation eut lieu en 1869 puis une restauration très complète en 1936 (restauration effectuée par la maison Gloton, à Nantes). Une délibération du Conseil de fabrique évoque un relevage complet en 1878. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000229 - retable architecturé de la Vierge ou du Scapulaire Historique : Une inscription gravée sur une plaque de cuivre enfermée dans une boîte de plomb fut retrouvée en 1837 dans l'autel. Celle-ci relate la fondation de cet autel en 1804. Le retable fut modifié en 1837 (déplacement de la statue de la Vierge(?)), puis remanié et déplacé dans le collatéral sud, au niveau du chevet en 1960. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000357 - peinture monumentale 1 vue Historique : Cette peinture murale avait été commandée par Mgr Richaud (1938-1950), au peintre Adelyne Neveux. "Peinture pour temps de crise", elle a été réalisée dans les années 1942-1943, sous l'occupation allemande. Décor représenté : figures(ermite : debout, chapeau, canne, évêque : saint Julien du Mans, debout, mitre, crosse, chasuble, Vierge : lévitation, robe : étoile, Dieu le Père : assis, croix : colombe, Christ, ermite : agenouillé, livre, oiseau, évêque : saint Turibe, debout, mitre, chasuble, diacre : saint Berthevin : debout, dalmatique, livre, prêtre : groupe, guillotine), architecture religieuse, pont : fleuve identifié, château, fortification, fond de paysage(sécheresse, fleur) Précision(s) sur le décor représenté : Au centre la sainte Trinité : le père présente son fils en croix (croix de couleur sang à cause de Pontmain), tandis que l'Esprit plane sous les traits d'une colombe. A gauche, la Vierge de Pontmain, saint Julien (1er évêque du Maine), l'ermite saint Cénéré qui porte un chapeau de cardinal à cause de son appartenance à la communauté monastique de la basilique vaticane et les prêtres martyrs de la Révolution.A droite, l'ermite saint Fraimbault, saint Turibe (2e évêque du Maine) et le martyr saint Berthevin. En arrière-plan, des édifices religieux de la Mayenne : l'ermitage de saint Cénéré à Saulges, Notre-Dame de Charné à Ernée, la basilique de Pontmain, la cathédrale de Laval, la basilique Notre-Dame de Mayenne, la basilique Notre-Dame de l'Epine à Evron, la basilique d'Avesnières à Laval. Comme pour envelopper le tout, des arbres dénudés dans des terres craquelées à la partie supérieure et des fleurs dans la partie inférieure. Dimension(s) : h = 230,5,l = 447,5 Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000358 - ensemble de 3 tables 1 vue Historique : Ces trois tablettes de bains sont situées dans les salles avec baignoires. Dimension(s) : l = 83,5,h = 75,5,la = 35,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000433 - monument commémoratif : Hommage à Alfred Jarry 1 vue Historique : Ossip Zadkine réalise un projet de monument à Alfred Jarry en 1938. En 1966, il agrandit et remanie la sculpture qui est fondue par la maison Susse à Arcueil (Val-de-Marne). Commandée par l'Etat, le monument est attribué en dépôt à la ville de Laval par arrêté du 10 avril 1968. Selon la volonté de Zadkine, l'oeuvre qui est inaugurée le 29 mars 1968 est installée square Hardy-de-Lévaré. Elle se dresse aujourd'hui parvis des Droits-de-l'Homme. Description : Enfourchant sa légendaire bicyclette, Alfred Jarry tient d'une main un livre, peut-être celui du roi Ubu, et de l'autre, une arme, référence à sa passion pour le tir. Zadkine, suivant une démarche cubiste, morcèle la silhouette en volumes pour les recomposer en une évocation poétique de l'écrivain. La statue de bronze repose sur un socle de granite. Dimension(s) : h = 140,la = 100,pr = 60 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000485 - ensemble de 8 peintures monumentales 3 vues Historique : Le faux-appareil de l'ancienne croisée du transept a été réalisé au cours du 15e siècle et repris vers le milieu du 16e siècle lors du percement du trou des cloches. Le faux appareil aux axes faîtiers ornés a été réalisé vers 1490. Le vestige de faux appareil du mur nord de la 1ère travée de la nef pourrait correspondre à cette campagne. Le faux appareil ponctué a été peint immédiatement après la construction de la chapelle dans laquelle il se trouve, entre 1537 et 1541. Le faux appareil blanc sur fond jaune pourrait correspondre à la campagne de construction réalisée entre 1549 et 1556. Les croix de consécration peintes dans le choeur datent vraisemblablement de l'érection de l'église en cathédrale (1855). Le faux appareil des voûtes des 3 travées de la nef actuelle et les croix de consécration de la nef, copies interprétées, ont été peintes ou repeintes dans le dernier quart du 20e siècle. La trace d'une litre, réalisée entre le 16e et le 18e siècle, est visible dans la chapelle sud-est. Description : Les peintures peuvent être aussi bien réalisées à fresque ou débutées à fresque et terminées à sec. L'ensemble de croix de consécration du 19e siècle semble avoir été réalisé sur badigeon. Les 5 faux-appareils ont semble-t-il été réalisés à main levée. Quatre de ces faux-appareils sont rouge sur fond blanc et le 5e est blanc sur fond jaunâtre. Précision(s) sur le décor représenté : Cinq ornements de forme architecturale imitent un appareil de pierre de taille. Dans l'ancienne croisée de transept, il est doté de motifs floraux ou d'étoiles. L'extrémité inférieure des voûtains est ornée d'un rameau sec. Les murs et les voûtes du choeur reconstruits vers 1490 étaient couverts d'un faux-appareil. Les axes faîtiers sont ornés d'un bandeau décoratif, qui est constitué d'un axe autour duquel court un rinceau sur un fond de fleurettes et d'étoiles. Le tout est encadre d'un bandeau bicolore rehaussé de fleurettes et d'étoiles en alternance. Sur chaque bordure extérieure court un redent fleuronné. La voûte de la 1ère chapelle sud du choeur est dotée d'un faux appareil dont les joints verticaux sont ponctués,chacune des croix de consécration fleuronnées est inscrite dans un cercle et accompagnée de rameaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001351 - tombeau de Félix Grat 2 vues Historique : Tombeau des familles Pirault, Durocher, Pottier, Verdrie, Mulot, Lacoulonche et Grat, réalisé entre 1940 et 1945(?). Félix Grat, décoré de la croix de guerre durant la première guerre mondiale, avait épousé en 1923 une lavalloise (Melle Andrée Lacoulonche). Admis à l'école française de Rome la même année, il s'y rend avec sa femme. En 1925, il enseigne à la Sorbonne et en 1937 il fonde l'Institut de recherches et d'histoire des textes. Parallèlement, il entame une carrière politique et devient député de la Mayenne, circonscription de Laval, en 1936. Capitaine de réserve, il se trouve exempté de mobilisation à titre de député lorsque la deuxième guerre mondiale éclate, mais il part comme volontaire et obtient le commandement d'un corps franc. Il est tué en Moselle le 13 mai 1940. Description : Une tombe très plate en granite repose sur un socle du même matériau. En limite d'emplacement un mur bahut est surmonté d'une importante croix également en granite. Sur ce mur, un médaillon en bronze est à l'effigie de Félix Grat. Dimension(s) : la = 51,h = 51 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du médaillon. Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001359 - tombeau d'Auguste Alleaume 1 vue Historique : Sépulture de Mme vve Aug. Alleaume et du peintre verrier Auguste Alleaume, probablement réalisée en 1940, dont les inscriptions ont été gravées et peintes sur une pierre en forme de menhir. A gauche de cette sépulture, une tombe plantée d'un if porte les noms des familles Alleaume et Hugot. Description : La sépulture se compose d'un petit menhir posé au centre d'un espace rectangulaire délimité par des bordures en granite. Dimension(s) : la = 74,h = 88 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives du menhir,dimensions de la tombe : l=198,la=100(environ) Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000062 - autel, tabernacle, retable, statue du Sacré-Coeur Historique : La statue du Sacré-Coeur est de 1935. Elle remplace un tableau de Julie Phlipot daté de 1835, date vraisemblable de la conception du retable. Il portait l'inscription suivante : "prière de l'évêque, du clergé et des paroissiens au moment de l'épidémie de choléra de 1835". Description : L'autel est en marbre veiné avec deux coeurs en bronze(décor rapporté). La statue est en marbre blanc. Le tabernacle est en calcaire, marbre et cuivre. Le retable est en marbre noir et en calcaire, il se compose d'un étage et d'une travée couronnée par un fronton triangulaire, son entablement est supporté par deux colonnes. Précision(s) sur le décor représenté : Croix rayonnante sur le fronton du tabernacle,deux coeurs, l'un transpercé, l'autre enflammé (?) sur le devant d'autel. Dimension(s) : h = 600,l = 300 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000064 - stalles 11 vues Historique : Le style de ces stalles est celui du 16e siècle, mis-à-part la stalle curiale qui semble être celle conçue en 1682. Elles proviennent de l'ancien couvent de Patience et auraient été achetées au directoire par l'évêque constitutionnel D'Orlodot pour 200 livres. Rapportées à Saint-Vénérand en 1842, elles furent restaurées une première fois en 1845 par M. Raimbault. La stalle curiale restaurée en 1903, porte sur sa partie antérieure (construite à cette période ?) la date de ces travaux. Description : L'ensemble de gauche comprend 19 stalles sur deux rangées plus 1 stalle curiale (plus importante). Le côté droit comprend, toujours sur deux rangées, d'abord 6 stalles, puis 8 autres, les deux groupes étant séparés par un passage. Chaque stalle est séparée par une parclose avec un appui-main sculpté, dont le répertoire est très varié : volutes, feuilles enroulées, têtes humaines ou animales, figurines assises. Les miséricordes s'ornent de têtes d'angelots, de fruits, de feuillages ou de rinceaux. Dimension(s) : l = 1700 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000091 - verrière historiée : Vierge Historique : Verrière réalisée par le maître-verrier Rennais Rault en 1945. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003541 - étendard de procession du Coeur Sacré de Jésus, Espoir et Salut de la France 2 vues Historique : Cet étendard de procession a probablement été confectionné entre 1925 et 1949. La combinaison du drapeau tricolore et des inscriptions religieuses à caractère nationaliste témoignent de l'activité des ligues patriotiques sous la houlette des organistions catholiques. Description : Etendard de procession en coton tricolore de plan rectangulaire horizontal. Il est suspendu à une hampe en bois terminée par un fer de lance en laiton autour duquel est nouée une écharpe elle aussi tricolore. Trois des côtés sont dotés de franges de bouillon doré se retrouvant sur les extrémités de l'écharpe. L'essentiel du décor est constitué de broderies mécaniques en fil d'or et en fils de soie polychrome. Précision(s) sur le décor représenté : L'avers de l'étendard est orné du Sacré-Coeur du Christ sur fond de rayons lumineux (coeur de Jésus entouré de la couronne d'épines et portant la blessure de la lance d'où s'échappent quelques gouttes de sang,il est surmonté d'une croix latine jaillissant des flammes). Deux inscriptions sont brodées au dessus et au dessous de ce motif. Dimension(s) : h = 150,la = 180 Précision(s) sur les dimensions : dimensions avec les franges. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003545 - conopée (n° 1) 3 vues Historique : Ce conopée a été confectionné entre 1925 et 1949. Description : Conopée constitué de trois pièces dont le tissu de fond est en soie moirée blanche et la doublure en satinette blanche. Le tour présente une partie basse découpée en pointes plus ou moins saillantes. Chaque pièce est bordée de deux modèles de galon dont un à franges de coton beige et rouge. Le décor des pièces est constitué de broderies mécaniques appliquées en fil d'or et fils de soie polychrome. Elles sont associées à des paillettes de métal doré. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : moiré, brodé, soie (doublage, blanc) : satin, coton (application, beige, rouge, fil) : tissé, fil métal (décor) : doré, soie décor, fil) : polychrome, métal (décor) : doré, découpé Précision(s) sur le décor représenté : La partie centrale du tour est brodée du Chrisme accompagné de l'Alpha et de l'Oméga. Le reste du décor est constitué de rinceaux floraux et feuillus. Dimension(s) : h = 139,la = 235 Précision(s) sur les dimensions : dimension des rideaux,hauteur avec les franges,dimensions du tour, avec les franges : h = 41, la = 235. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003546 - conopée (n° 2) 3 vues Historique : Ce conopée semble avoir été confectionné entre 1925 et 1949. Description : Conopée constitué de trois pièces dont le tissu de fond est en soie blanche. L'ouverture de la pièce centrale et deux des côtés des rideaux sont bordés d'un galon tissé de fils de soie polychrome. Les franges de chacune des pièces sont en bouillon doré. Le décor est principalement constitué de bandes d'étoffe fixées sur le fond. Cette étoffe est rehaussée de fil d'or et de cabochons circulaires en métal doré. Précision(s) sur le décor représenté : Le rideau central du conopée est brodé de l'Alpha et de l'Oméga dans des trilobes à redents. Le galon de toutes les pièces superpose bandes à motifs de ruban plissé et bandes ornées d'ailes d'anges, de grappes à trois grains et de fleurs de lys. Dimension(s) : h = 108,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la pièce centrale, avec les franges : h = 142, la = 52,5,dimensions totales des rideaux, avec les franges. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003589 - calice, patène et boîte 1 vue Historique : Calice et patène réalisés dans les années 30 par un orfèvre qui n'a pu être identifié. Ils ont appartenu au père Guy Robert, prêtre du 11 juin 1933 au 11 juin 1983. Le calice a été consacré le 7 juin 1933 par Monseigneur Eugène Grellier. Description : Calice et patène en argent partiellement doré contenus dans un coffret en bois. Le calice est composé d'un pied circulaire, d'une tige coupée par un noeud plat à six côtes saillantes et d'une large coupe. Le revers de la patène est gravé d'un motif. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied du calice est gravé d'une croix latine. Le disque central de la patène est orné d'une croix grecque aux bras reliés entre eux. Dimension(s) : h = 17,9,d = 31 Précision(s) sur les dimensions : diamètre de la coupe,pied : d = 34,patène : la = 13, 9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973,inscription concernant l'iconographie (gravée, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription (manuscrite, sur étiquette, français),estampille (sur étiquette),armoiries,devise,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003659 - ciboire des malades Historique : Ciboire des malades de style Art déco réalisé vers 1930 par un orfèvre parisien dont les initiales sont V. et F.. Description : Petit ciboire en argent reposant sur un pied circulaire. La cuve est de forme conique et le couvercle légèrement bombé. Celui-ci est surmonté d'un élément de préhension en forme de losange horizontal découpé en son centre. Précision(s) sur le décor représenté : Le losange est percé d'un motif en forme de croix. Dimension(s) : h = 11,5,la = 10 Précision(s) sur les dimensions : largeur du couvercle. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973 Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53002788 - ostensoir-soleil (n° 4) 5 vues Historique : Cet ostensoir-soleil a été réalisé entre 1930 et 1940. Description : Cet ostensoir de style Art Déco repose sur une base circulaire d'où part une tige en ivoire. Celle-ci supporte le réceptacle comprenant une boîte vitrée circulaire destinée à reçevoir la lunule. Des rayons de soleil occupent les espaces situés entre les bras de la croix qui sont amortis. La tige, le noeud, le socle et les rayons du soleil sont parsemés de pierres en verre de couleur. Précision(s) sur le décor représenté : Le socle porte un décor constitué de rinceaux et les bras de la croix sont ornés d'enroulements. Dimension(s) : h = 84,la = 43,pr = 28,8 Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2005 Copyright : (c) Inventaire général, 2005 (c) Ville de Laval, 2005 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003502 - peinture monumentale : La Cigale et La Fourmi 4 vues Historique : Si les travaux préparatoires à l'élaboration de la peinture (esquisse et études) datent de 1895, ce n'est qu'en 1930 que Ludovic Alleaume réalise la peinture. Description : La peinture, de format ovale et marouflée, orne le trumeau de la cheminée de l'ancienne salle des Directeurs. Elle est entourée d'un cadre de stuc qui, comme la cheminée et le trumeau, est richement orné. Précision(s) sur le décor représenté : Scène allégorique autour de l'épargne inspirée de la fable moraliste de Jean de la Fontaine, La Cigale et La Fourmi : alors qu'elle vient lui demander secours et assistance pour l'hiver, la cigale, symbolisant l'imprévoyance, se voit éconduite par la fourmi associée au travail et à l'économie. Le cadre à filet perlé est bordé dans sa moitié supérieure d'une guirlande de feuilles de laurier agrémentée de deux rubans plissés. L'ensemble est coiffé d'un motif en coquille. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |