IA53000461 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel particulier probablement construit vers 1866 pour J-B. Bourcier, qui fait également édifier un pavillon, une remise, une écurie et un bûcher. Date(s) de réalisation : 1866 Description : L'édifice présente deux étages carrés et un étage d'attique surmonté d'un fronton triangulaire. La travée centrale est encadrée par des pilastres à chapiteaux. Ces derniers, ainsi que les chaînes d'angle, les bandeaux et les ouvertures à fasces sont en pierre de taille de calcaire. Le gros-oeuvre est en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés État de conservation : mauvais état Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000462 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel particulier probablement construit vers 1850. Il est aujourd'hui englobé dans l'enceinte de l'école Sainte-Thérèse. Date(s) de réalisation : 1850 Description : Edifice, d'inspiration Renaissance qui présente un riche décor ornemental. Au premier niveau, les trois ouvertures médianes s'ouvrent sur un même balcon, en fonte de fer, supporté par des consoles. Ces ouvertures présentent des frontons cintrés soutenus par des putti et prolongés par un décor de feuilles de vignes. Les éléments de décor sont en calcaire, le gros-oeuvre est en moellon enduit. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000464 - chapelle funéraire de la famille Arché 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Arché réalisée vers la fin du 19e siècle par l'entrepreneur lavallois Henri Pillon et le sculpteur C. Mézière dont les noms sont gravés de part et d'autre de la porte d'entrée. Description : Chapelle funéraire en pierre de taille de calcaire qui présente de nombreux éléments sculptés : colonnes engagées à chapiteaux, bandeau, corniche, consoles, figurines. Toutes les consoles sont différentes : des têtes de monstres alternent avec des figures féminines et des feuilles d'acanthes. Le faîtage porte un décor de fleur de lys. L'imposte et l'oculus antérieur ont conservé leurs verrières (étudiées). Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : animal fabuleux (ailes), support : à droite et à gauche du tympan de la porte Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000466 - château fort dit musée du Vieux-Château et palais de justice 163 vues Historique : Vers 1020, Guy 1er le "fondateur" construit un château sur un promontoire rocheux dominant la Mayenne et destiné à contrôler un gué d'origine gallo-romaine. Ce premier château en bois qui s'étend jusqu'au pied de la cathédrale actuelle, possède une enceinte de terre. A cheval sur cette enceinte, une motte verrouille l'accès du plateau. Il est fort probable qu'une seconde motte est établie à l'intérieur de cette enceinte, près de l'emplacement de la galerie (actuel Château-Neuf). Vers la fin du 11e siècle, le logis primitif dont l'arase des murs subsiste, est agrandi vers l'est d'un édifice en pierre de plan rectangulaire qui sera aménagé en chapelle vers 1170. Au début du 13e siècle, le château se replie sur l'extrémité de l'éperon où est construit un donjon circulaire en pierre. D'après les résultats apportés par une étude dendrochronologique réalisée en 2011, son hourd est réalisé entre 1219 et 1227. A la même époque, des logis seigneuriaux sont réalisés. Ils sont très fortement remaniés au milieu du 15e siècle à l'instigation du comte Guy 14 qui en 1456 aménage la vaste salle couverte d'une voûte lambrissée (datée par travaux historiques). Au début du 16e siècle, des travées à hautes lucarnes en pierre sculptée viennent orner les façades sur cour. C'est probablement à la même époque que ces mêmes façades sont recouvertes de peintures murales (faux appareil en pierre ?, médaillon accueillant un personnage en cuirasse ?, colosse ?). Face à ce vieux château, le projet d'une vaste galerie est élaboré en 1508 (daté par travaux historiques). Elle est réalisée vers 1542 sous la direction du maître-maçon Jehan Garnyer (date et attribution par travaux historiques) pour Guy 17. En 1631, un pavillon est ajouté à l'extrémité nord. En 1747, la galerie, est restaurée et embellie par Danjou (attribution et date par travaux historiques). A la Révolution, les tribunaux s'installent au Château-Neuf, tandis que les prisons sont transférées au Vieux-Château. Entre 1829 et 1833, l'architecte départemental Maximilien Godefroy reconstruit le pavillon nord de la galerie. Entre 1839 et 1840, il dote cette dernière d'un campanile destiné à accueillir l'horloge municipale réalisée par Julien Gourdin, un horloger établi à Mayet dans la Sarthe. Cette horloge au mécanisme exceptionnel sera entièrement réparée par son auteur en 1857. C'est probablement Godefroy qui réalise également vers 1839 le mur de clôture. En 1851 (date et attribution par source), l'architecte Pierre-Aimé Renous restaure la chapelle du Vieux-Château. A partir de 1854 (date et attribution par source), il réalise le pavillon nord et l'aile en retour de la galerie. La construction de cette dernière nécessita la démolition de la tour de l'Horloge. Entre 1909 et 1910, le campanile est entièrement reconstruit dans son style d'origine. A partir de 1911, l'architecte Louis Garnier (date et attribution par source) restaure le Vieux-Château devenu propriété de la Ville en 1909. Il fait également installer à l'extrémité de l'aile sud un escalier provenant du logis abbatial de Clermont. La voûte lambrissée de la salle d'honneur est refaite en 1913 (datée par étude dendrochronologique). Le Vieux Château est devenu progressivement un musée à partir des années 1920. Description : Le gros oeuvre du Vieux-Château est en moellons. Les ouvertures sur cour sont en granite au rez-de-chaussée et en calcaire aux étages. De plan circulaire, le donjon présente un diamètre de 14 m à sa base pour une hauteur totale de 33 m. Ses quatre niveaux maçonnés sont couronnés d'un hourd combiné à une charpente de toit. Structure charpentée formant galerie, le hourd se compose principalement de deux enrayures superposées et axées sur un poinçon central. Toutes ses pièces de bois sont en chêne. Le Château-Neuf est en pierre de taille de calcaire, côté cour et en moellon enduit, côté rivière. L'ensemble des toitures est en ardoise, hormis celle du campanile de la galerie qui est en cuivre. La galerie fait 7 m de profondeur. Le décor sculpté de la Renaissance est présent sur les travées d'ouvertures du Vieux-Château et dans les pleins de travées du Château-Neuf. Au Vieux-Château : escalier hors-oeuvre (escalier de Clermont), escalier dans-oeuvre entre la cour et la rue du Val-de-Mayenne, et escalier dans-oeuvre dans le donjon. Au Château-Neuf, escalier dans-oeuvre à retours avec jour. Les vitreries losangées du Vieux-Chateau semblent avoir été réalisées par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : arabesque, rinceau, candélabre, pilastre, animal fantastique, trophée, cartouche, cuir découpé, médaillon, armoiries, buste d'homme, ordre antique, guirlande, vase, ornement végétal, ange, pierre, buste humain, homme Précision(s) sur le décor représenté : armes martelées,armes illisibles,les murs de l'aile sud étaient recouverts de peintures murales semblant représenter une imitation d'appareil de pierre de taille, un médaillon renfermant un buste humain et un homme debout, penché vers l'avant et portant une poutre. Protection MH : Château Vieux (cad. CI 54) : classement par liste de 1840 ; galerie du Château Neuf (cad. CI 67) : classement par liste de 1840 ; façades, toitures, ancienne salle des pas perdus et escalier principal de l'aile sud du Château Neuf (cad CI 67) : inscription par arrêté du 7 mars 2006. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000046 - couvent de clarisses urbanistes dit couvent de Patience, actuellement maisons et immeuble 3 vues Historique : Le couvent de Patience des religieuses de l'ordre de Sainte-Claire ou urbanistes, est le premier couvent de femmes construit à Laval. Il a été fondé en 1494 par Guy XV comte de Laval et Catherine d'Alençon, sa femme. Réalisés dans le premier quart du 16e siècle, la chapelle avait été consacrée le 23 juillet 1525, les bâtiments furent agrandis en 1547 par le maître maçon Jamet Nepveu, père d'une jeune novice. Au début du 17e siècle, de nouvelles transformations modifièrent l'aspect du couvent. Des bâtiments qui entouraient le cloître, ne subsistent que deux vastes corps en équerre, à l'est et au nord. La chapelle a été détruite en 1798. Au 19e siècle, les bâtiments ont été transformés pour servir d'habitation. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 19e siècle Description : Des constructions du couvent ne subsistent que deux ailes en équerre : l'aile nord-est se compose d'un bâtiment à trois niveaux et un comble présentant un toit à longs pans à croupe. Il a été plusieurs fois remaniés, notamment aux 18e et 19e siècles. Au pignon ouest, un escalier droit extérieur dessert le second niveau. L'aile est se compose de trois corps de bâtiments juxtaposés. Celui du nord, comprenant trois niveaux sur sous-sol, présente de nombreux éléments du 17e siècle hormis sur sa façade est, très remaniée dans ses ouvertures au début du 19e siècle. Le corps central qui renferme un escalier voûté en berceau incliné, présente une corniche à modillons. Le corps sud comporte quatre niveaux. On lit au-dessus de sa porte la date 1567. Sa façade est percée d'ouvertures étroites du 16e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,3 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000626 - école primaire Eugène Hairy 18 vues Historique : En 1855, les frères de la doctrine chrétienne achètent un terrain dans l'ancien couvent de Patience afin d'y construire une nouvelle école (leur premier établisement scolaire ouvert en 1824 occupait une maison de la rue Sainte-Anne. Il s'agit de l'actuelle école de la Providence). L'année suivante, les plans et les devis de la future école sont approuvés. En 1857, les travaux de construction sont achevés. Quelques années plus tard, une chapelle néo-gothique est bâtie par l'architecte Pont. Bénite le 31 juillet 1862, elle a aujourd'hui disparue. A partir de 1882, la mairie souhaite mettre fin à l'indivision entre elle qui a financé la construction de l'école et le bureau de bienfaisance propriétaire du terrain. Dans sa délibération du 9 août 1887, le Conseil Municipal valide donc l'acquisition de l'école par la Ville. En réalité, celle-ci se substitue simplement au bureau de bienfaisance dans la propriété du terrain. Selon l'abbé Angot, l'école est laïcisée en 1894. En 1903, Léopold Ridel ajoute à l'école une maison d'habitation, un préau couvert et des w-c. En 1934, une nouvelle classe est édifiée à l'extrémité de l'aile ouest. En 1954, la Ville acquiert l'hôtel particulier voisin (étudié) pour y installer les services administratifs de l'établissement scolaire. En 2005, suite au transfert de l'école rue de Clermont, les deux parcelles sont à nouveau séparées et leurs bâtiments respectifs mis en vente. Description : Le bâtiment en rez-de-chaussée qui accueillait les salles de classe se compose d'un corps central à mur pignon flanqué de deux ailes construites sur le même alignement. Du fait de l'édification d'une nouvelle classe en 1934, l'aile ouest est plus longue que l'aile opposée. Les élévations nord et sud sont percées de grandes ouvertures dotées de tympans en plein cintre. Leurs encadrements utilisent la pierre de taille de granite et de calcaire. Ce matériau se retrouve sur les corniches et les chaînages d'angle. Les salles de classe, au nombre de quatre, occupent des pièces en enfilade. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000047 - prieuré de bénédictines, puis église paroissiale Notre-Dame, actuellement basilique Notre-Dame d'Avesnières 32 vues Historique : Une église était mentionnée comme ancienne au début du 11e siècle, et avait été restaurée vers 1040 - 1050 par Yves de Saint-Berthevin. Vers 1073 elle est donnée aux bénédictines du Ronceray d'Angers qui en font le siège d'un prieuré. L'édifice est, dès lors, à la fois prioral et paroissial. Les religieuses sont à l'origine de sa reconstruction dans la seconde moitié du 12e siècle. Les premières travées de la nef, partiellement détruites par les anglais en 1429, ne sont reprises qu'en 1478. La flèche a été réalisée par le maître maçon Jamet Nepveu de 1534 à 1538. En mauvaise état, elle a été reconstruite à l'identique par l'architecte Lambert entre 1874 et 1876. Les deux premières travées de la nef ainsi que la façade sont reconstruites, de 1883 à 1887, par les architectes E. Lambert et Eugène-Joseph Hawke. Description : L'église est formée d'un choeur à déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes. Les chapelles du transept sont orientées et la nef comprend deux bas-côtés. L'édifice est voûté d'ogives sur le choeur, le transept et la nef, alors que le déambulatoire et les bas-côtés de la nef sont voûtés d'arêtes. Quant aux chapelles elles sont voûtées en cul-de-four (comme l'abside du choeur). Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : animal fantastique, griffon, support : contrefort de la travée centrale de l'élévation antérieure Protection MH : Eglise Notre-Dame-d'Avénières (cad. BZ 3) : classement par liste de 1840. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000630 - chapelle Saint-Louis 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000056 Historique : Comme les bâtiments hospitaliers, la chapelle est construite par l'architecte parisien Edouard Moll et est bénite le 25 septembre 1848. Depuis sa désaffection au culte en 2008, elle est utilisée comme entrepôt. Date(s) de réalisation : 1843 Description : Chapelle de plan allongé et orientée formant un épi dans l'ensemble des bâtiments en quadrilatère de l'ancien hôpital. La porte d'entrée à laquelle on accède par cinq marches en granit est surmontée d'un tympan sculpté protégé par un dais triangulaire. L'occulus de la partie haute accueillait une horloge aujourd'hui disparue. Le clocher est couronné d'un toit à l'impériale. A l'intérieur, la nef en une seule travée est couverte d'une voûte plate à caissons (en mauvais état). Le choeur est en cul-de-four et sa voûte est peinte façon ciel étoilé. Le sol est recouvert d'un carrelage dont certains motifs géométriques forment des croix. L'entrée est surmontée d'une tribune (d'orgue ?). Deux galeries en bois supportées par des colonnes en fonte courent le long du premier étage. Ces galeries donnaient accès aux anciens dortoirs. La base des murs est protégée par un lambris de demi-revêtement en chêne. La chapelle est ouverte sur l'extérieur par des baies en plein cintre. Celles qui ne sont pas murées accueillent des verrières d'Antoine Lusson et des frères Champigneulle (étudiées). Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois, les a restaurées en 1932 (coût de la restauration : 8 400 francs). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : désaffecté,menacé Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté de saint Vincent de Paul reçevant 4 religieuses et une femme lui présentant des enfants. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2008 (c) Ville de Laval, 2008 Fonds / classement : Architecture |
IA53000631 - chapelle funéraire de la famille Le Segrétain du Patis 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Vers 1887, Frédéric Louis Le Segrétain du Patis fait construire une chapelle funéraire destinée à accueillir la dépouille mortelle de sa deuxième épouse, Zénobie Emilie Esnault, décédée le 14 janvier 1879 dans sa 48e année. Cette inhumation à certainement fait l'objet d'une exhumation préalable. Il y fait également transférer le corps de sa première femme, Adèle Girard, morte le 20 août 1861 à l'âge de 63 ans. Lui-même décède le 26 novembre 1891. La date portée 1880 ne correspond a aucun évènement identifié (édification de la chapelle et décès des membres de la famille). Description : Edicule néo-gothique en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre à deux versants lui-même doté d'une croix. Il est percé d'une porte, d'un trilobe, de deux fenêtres latérales et d'un oculus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. La partie supérieure de celui-ci porte un décor en fer forgé entourant la date 1880 et les initiales FLS pour Frédéric Le Segrétain. Le trilobe du pignon ferme par un vitrail toujours en place (étudié). Les autres verrières ont disparu. L'espace intérieur accueille un autel et des plaques funéraires en marbre gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Les trois-quarts supérieurs du vantail présentent un décor de volutes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000632 - chapelle funéraire de la famille de Boisricheux Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille de Boisricheux construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Chapelle funéraire en pierre de taille de granite couronnée d'un toit en pierre lui-même surmonté d'une croix. Elle est percée d'une porte, de deux fenêtres latérales en arcs brisés et de deux trilobes. La porte ferme par un vantail en métal peint dont la partie haute présente un décor en fer forgé doté d'une verrière amovible (étudiée). Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE DE BOISRICHEUX. Le trilobe du pignon et la fenêtre latérale gauche ont conservé leurs vitraux (étudiés). La corniche est pourvue de denticules. L'espace intérieur accueille un autel en granite, une statue du Sacré-Coeur, des plaques funéraires et une croix. Ces dernières sont en marbre blanc et gravées d'épithaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : La partie haute du vantail présente un décor constitué de volutes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000633 - chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule de style néo-roman dont le soubassement est en pierre de taille de granite et les murs en pierre de taille de calcaire. Il est couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. La façade antérieure est percée d'une porte et d'un oculus fermé par un vitrail (étudié). Les façades latérales et postérieure sont dotées de deux fenêtres cintrées. La porte ferme par un vantail en métal peint dont la partie supérieure est ajourée. Elle est flanquée de deux colonnes à chapiteaux feuillagées. Le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief accompagné de l'inscription EGO SUM RESURRECTIO ET VITA. Les fenêtres latérales sont pourvues de remplages en calcaire. Celles de la façade postérieure ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur accueille un autel en calcaire et des plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté du Christ glorieux c'est-à-dire du Christ ressuscité tenant la croix de la victoire sur la mort et l'étendard de la résurrection. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000634 - chapelle funéraire 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Le faîte est ornée d'une crête en pierre. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres latérales et d'un fenêtre postérieure. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnes et le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief. Le pignon est orné de symboles funéraire et religieux. Les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). Les trois-quarts supérieurs des murs sont décorés d'une frise. L'espace intérieur est meublé d'un autel. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour de la chapelle est décoré d'un ruban plissé. Le tympan est sculpté d'un trilobe. Le fronton-pignon est orné d'une couronne de laurier entourant une croix de Malte. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000635 - chapelle funéraire de la famille Derenne-Dudouet 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Derenne-Dudouet construite au début du 20e siècle (en 1914 ou 1916 ?). Description : Edicule en calcaire bleu de Laval couronné d'un toit en pierre dont le faîte est orné d'une crête. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres cintrées. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux pilastres cannelés dont les parties supérieures sont sculptées du symbole de Dieu le Père. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE DERENNE-DUDOUET surmontée d'une croix. Les baies ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel et de plaques funéraires. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Les pilastres entourant la porte sont sculptés de l'Alpha et de l'Oméga (le commencement et la fin). Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000636 - chapelle funéraire de la famille Lezé 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Lezé construite à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux trilobes et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE LEZE surmontée d'un haut-relief. La corniche est ornée de modillons. Le trilobe du pignon et les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur est meublé d'un autel et de plaques funéraires sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : Le fronton-pignon est orné d'une couronne funéraire. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000637 - chapelle funéraire de la famille Léon Cherouvrier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite peu après 1915 pour accueillir la sépulture de Léon Louis Jules Cherouvrier, médecin auxiliaire au 36ème Colonial, tué à l'ennemi le 18 février 1915. Elle abrite également les dépouilles mortelles de Louis Eugène Marie Cherouvrier (1892-1977) et de son épouse Désirée Jeanne GUERIN (1896-1988) ainsi que celle du Docteur A. Cherouvrier (1897-1985). Description : Edicule de style classique en calcaire bleu de Laval. Il est couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres cintrées et d'un quadrilobe. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. La façade antérieure est cantonnée de pilastres à chapiteaux feuillagés. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE LEON CHEROUVRIER. Le fronton-pignon accueille un bas-relief. Les fenêtres et le quadrilobe ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et gris et d'une croix en bois peinte d'une épitaphe. Les murs sont ornés de trois plaques funéraires en marbre noir gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le fronton-pignon est sculpté d'un bas-relief représentant une palme entourée d'une couronne. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000638 - chapelle funéraire de la famille Caruel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Caruel construite à la fin du 19e siècle (1898 ?). Description : Edicule de style néo-gothique en granite pour le soubassement et en calcaire bleu de Laval pour les murs. Il est couronné d'un toit en pierre et zinc sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, d'un oculus et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes à chapiteaux feuillagés. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE CARUEL. Le tympan aveugle qui le surmonte est gravé de l'un des symboles christiques. La corniche est dotée de modillons. Seule la fenêtre latérale droite a conservé son vitrail (étudié). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre et de plaques funéraires gravées d'épitaphes sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est gravé du symbole du Christ : Chrisme accompagné de l'Alpha et de l'Oméga. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000639 - chapelle funéraire de la famille Bouvier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1908 par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de Germaine Bouvier (1889-1908), Joseph Bouvier, le mari de celle-ci (1861-1917) et madame Bouvier (1867-1937). Date(s) de réalisation : 1908 Description : Edicule de style néo-classique construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres en arcs brisés. La porte ferme par deux vantaux en métal peint et partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan aveugle du fronton-pignon porte un décor sculpté. Les fenêtres ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et de plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté d'un trilobe accueillant une couronne de fleurs. Les écoinçons sont ornés de marguerites. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000640 - chapelle funéraire des familles Royer-Royer 2 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1925 par la Société des Marbres, Pierres et Granits de l'Ouest domiciliée à Laval. Elle accueille les sépultures d'Auguste Royer (1893-1925), de son épouse (1892-1983), de madame Fricot-Royer (1921-1994), d'Auguste Royer (1865-1911), de son épouse Joséphine Jallier et d'Auguste Royer (1860-1937). Description : Edicule construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres et d'un occulus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré dont la partie basse accueille les initiales R R. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre noir à chapiteaux feuillagés. Le tympan du fronton-pignon est orné d'un cartouche accueillant une plaque funéraire en marbre noir gravée de l'inscription FAMILLES ROYER-ROYER. Seul l'oculus du pignon postérieur a conservé sa verrière d'origine. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et noir. Les murs accueillent des plaques en marbre blanc gravées d'épitaphes. Le plafond est peint. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le plafond est peint d'une croix pattée de grandes dimensions. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000641 - chapelle funéraire de la famille Lelièvre-Huau Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite au début du 20e siècle par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de la famille LELIEVRE-HUAU. Description : Edicule de style classique dont le soubassement est en granite et les murs en calcaire. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de trois fenêtres dont deux latérales. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan du fronton-pignon est orné d'un cartouche accueillant une plaque funéraire en marbre rose gravée de l'inscription FAMILLE LELIEVRE-HUAU. Les trois fenêtres ont conservé leurs verrières d'origine (étudiées). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et gris. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000642 - chapelle Sainte-Hélène, actuellement salle de spectacle Historique : Chapelle construite vers 1625 par l'architecte Etienne Corbineau. Elle surmonte une crypte aménagée dans les années 1627-28 pour servir de lieu d'inhumation aux ursulines. En 1848, son espace intérieur est modifié dans un style gothique par l'architecte lavallois Pierre-Aimé Renous. En 2010, les architectes nantais Jean-Marie Lépinay et Gilles Chabènes la transforme en salle de spectacle et salle d'examen. Description : Chapelle : elle est orientée nord-ouest/sud-est. Son gros oeuvre est en moellons enduits. L'entourage des ouvertures du pignon antérieur combine la pierre de taille de granite et celle de calcaire appareillées en bossages. Aux angles nord-ouest et sud-est, deux tours quadrangulaires renfermant deux escaliers en vis permettent d'accéder à la charpente et au clocher. Celui-ci renferme trois cloches dont une est protégée monument historique (étudiée). Au 17e siècle, la chapelle se composait d'une nef unique et d'un choeur rectangulaire surélevé. Ces deux parties étaient séparées par une table de communion en marbre (étudiée) aujourd'hui placée contre les murs latéraux. De cette époque subsistent également deux bénitiers et un pied de lutrin en marbre (étudiés). Le retable en marbre et tuffeau qui ornait le choeur fut détruit à la Révolution. Il en reste des vestiges dans la crypte. En 1848, la nef fut subdivisée en trois vaisseaux aux voûtes d'ogives portées par deux rangées de colonnes à fûts quadrilobés et chapiteaux corinthiens. Depuis sa restauration et sa transformation en salle de spectacle, elle accueille des gradins rétractables composés d'une soixantaine de sièges en velours rouge. Les fenêtres ont été doublées de panneaux acoustiques en bois et le sol a été recouvert d'un parquet en chêne clair. Les stalles (étudiées) ont été entreposées dans l'église Saint-Martin. Crypte : son accès se fait par un couloir de 10 m de long sur 1,60 m de large et 1,80 m de haut. Les murs de celui-ci sont recouverts de nombreux noms parmi lesquels ceux des ouvriers ayant participé à la construction de la crypte et celui de P. Cornilleau, le commanditaire du couvent. La date de 1628 est également inscrite. La crypte prend la forme d'une grande pièce voûtée en berceau de 9,70 m de long sur 6,50 m de large et 2,90 m de haut. Ses murs sont percés de quatre niches rectangulaires aujourd'hui semi-enterrées. Sont également inscrits des noms d'élèves datant des années 1827-1945. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : Chapelle du Lycée (cad. CH 146) : inscription par arrêté du 15 février 1926. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000643 - chapelle funéraire de la famille Elie Brillet 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1905 par l'architecte lavallois Louis Garnier. Elle accueille les sépultures d'Elie Gervais Brillet (1809-1874), de son épouse Joséphine Anne Richer (1817-1899), d'Elie Marie Jean Brillet (1841-1913) et de son épouse Clarisse Lecomte (1839-1916). Date(s) de réalisation : 1905 ? Description : Edicule de plan trapézoïdal couronné d'un toit-terrasse. Les murs sont en granite et le toit en pierre. Les façades antérieure et postérieure sont percées d'une porte également trapézoïdale et d'une fenêtre rectangulaire. Celle-ci a conservé sa verrière d'origine. La porte ferme par un vantail en métal peint percé d'une ouverture quadrangulaire. Le linteau qui la surmonte est sculpté de l'inscription FAMILLE ELIE BRILLET. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre. Les murs accueillent deux grandes plaques funéraires en marbre blanc gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : La poignée de porte prend la forme d'une tige dont les extrémités sont pourvues de feuilles. Elle est surmontée d'une fleur semblant être une fleur de camélia. Ces végétaux confèrent un style Art nouveau au vantail. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000645 - pensionnat des Dames du Sacré-Coeur de Jésus, puis école normale catholique du Sacré-Coeur, puis Cours d'Avesnières, actuellement Lycée privé d'Avesnières 3 vues Historique : En 1841, la congrégation des Dames du Sacré-Coeur de Jésus établissent un pensionnat pour jeunes filles aisées dans une demeure achetée par Madame Leclerc de Beaulieu. La maison qui fait partie de la propriété de la Croix-Saget, est alors située 31-33, chemin d'Hydouze sur la commune d'Avesnières. En 1842, le pensionnat dirigé par la mère Barat (aujourd'hui sainte Sophie Barat) est agrandi (par l'architecte Pierre-Aimé Renous ?). En 1904, la Congrégation est expulsée et les bâtiments sont confisqués suite à la loi de séparation des Eglises et de l'Etat. Le 31 janvier 1907, la propriété mise aux enchères pour un prix modique, est achetée par la comtesse Jeanne de Hercé, une mayennaise affiliée à la congrégation des Filles du Coeur de Marie. Elle y installe une école normale catholique d'institutrices laïques appelé Le Sacré-Coeur. En 1966, celui-ci disparait et devient le Cours d'Avesnières regroupant divers établissements de cycles secondaires lavallois (Sainte-Thérèse, Saint-Etienne et le Sacré-Coeur). Le Cours devient mixte en 1967. En 1968, le bâtiment principal est surélevé et un premier préfabriqué est mis en service. Un second est construit en 1972. En 1980, le Cours devient le Lycée privé d'Avesnières qui s'ouvre à l'enseignement technologique secondaire et à l'enseignement supérieur. En 1981, un troisième préfabriqué est bâti. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2011 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2011 (c) Ville de Laval, 2011 Fonds / classement : Architecture |
IA53000049 - prieuré de Bénédictines Sainte-Scholastique, Sainte-Benoît et Notre-Dame-de-Lorette 1 vue Historique : Un décret de l'évêque du Mans, Charles de Beaumanoir, autorisa les bénédictines à s'établir à Laval, au lieu-dit Montmartin, en 1621. La communauté, sous le nom de prieuré de Sainte-Scholastique, a été fondée par la volonté du marchand lavallois Robert Chevalier et de sa femme Lezine Beloce qui donnèrent les terrains dans ce but. Les architectes, Corbineau père et fils (Etienne et Pierre) sont chargés, à partir de 1630, de la réalisation de l'église, placée sous le vocable de Saint-Benoît, d'un dortoir et d'"autres bâtiments", dont un portail extérieur (?). Au 18e siècle les religieuses font construire une petite chapelle dite chapelle Notre-Dame-de-Lorette, "vers les éperons" et la maison du pensionnat. Le prieuré sert de tribunal révolutionnaire et de maison de détention pour les suspects (1793) pendant la Révolution. Au lendemain de celle-ci, en ruine, il est rasé pour la réalisation d'une place publique, l'actuelle place de Hercé. Date(s) de réalisation : 1630 Description : L'église présentait un portail en pierre de taille de tuffeau, avec pignons à rampants. Les portes, les entablements, les fenêtres et les lucarnes des bâtiments annexes étaient également en pierre de taille de tuffeau. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000648 - hôtel, actuellement immeuble de bureaux 7 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000037 Historique : L'hôtel est construit en 1896 sur des plans de Léopold Ridel pour monsieur Adolphe Masseron. Quelques-uns de ses vitraux ont été réalisés en 1903 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. Son registre de caisse mentionne en effet le nom de monsieur Masseron ainsi que la somme de 360 francs. Date(s) de réalisation : 1896 Description : Hôtel particulier construit sur une parcelle extrêmement étroite, d'où sa verticalité, et dont l'architecture éclectique fait de nombreux emprunts au style Renaissance. La façade, côté quai, comporte quatre niveaux dont un étage de comble et cinq travées régulières. Les ouvertures du premier étage à linteau droit avec agrafe ouvragée, sont dotées de balconnets à balustres, à l'exception de la baie de la travée nord qui s'ouvre sur un bow-window ou oriel doté d'une verrière. Au rez-de-chaussée, les ouvertures sont légèrement cintrées alors qu'au deuxième étage elles sont en anse de panier. Sur le toit, les baies à meneau de bois sont parfois insérées dans une ornementation néo-Renaissance avec pilastres, pinacles, consoles et frontons triangulaires ou curvilignes à tympans sculptés de motifs végétaux. L'animation du volume se fait par le jeu des toitures et par l'adjonction de quelques éléments pittoresques : le bow-window, déjà cité, surmontant l'ancienne porte d'entrée, mais aussi une véranda métallique ornée de céramiques polychromes à motifs végétaux stylisés. Les éléments décoratifs, en calcaire, sont mis en valeur par le contraste avec le matériau de remplissage, la brique. A l'intérieur, le vestibule, les salles de réception et les bureaux du rez-de-chaussée ont reçu un décor de boiseries et de panneaux vitrés de syle Louis XV ou néo-Renaissance. Le grand escalier en bois emprunte par contre au style gothique. A noter : Ridel fut également chargé du décor de la salle de bains pour laquelle il dessina deux panneaux décoratifs au style japonisant,ceux-ci représentent des geais sur un éventail déployé et des cigognes pêchant. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : véranda, lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000649 - maison, actuellement immeuble d'habitation 1 vue Historique : Maison construite au début du 20e siècle pour le docteur Loiseleur, fondateur du centre de radiologie de la clinique Sainte-Elisabeth qui jouxtait la demeure de ce dernier. La maison est ensuite devenue la propriété du docteur Barrier qui racheta également une partie du cabinet. Description : Maison à large façade sur rue dont l'accès s'effectue par un perron côté cour. Elle se compose d'un corps central à trois niveaux et de deux corps latéraux n'en possèdant que deux. Les soubassements sont en granite et le gros-oeuvre en moellons enduits. L'ensemble des ouvertures présentent des arcs en anse de panier et des entourages en pierre de calcaire. Celle-ci est également utilisée pour les chaînages d'angle marquant les trois corps de bâtiment. Si les fenêtres du deuxième niveau du corps central sont précédées d'un balcon en bois sur consoles, toutes les autres sont dotées de garde-corps du même matériau. Les avant-toits et les auvents (quatre à deux pentes et un en appentis) prennent également appui sur des aisseliers en bois découpé. Tout en participant au décor de la maison, ceux-ci en renforcent l'aspect pittoresque et lui confèrent un petit air de "chalet". A l'intérieur, les étages sont desservis par un escalier en bois de style néo-gothique dont la rampe d'appui est percé de motifs cruciformes. La cage d'escalier est éclairée par des fenêtres qui accueillaient des vitraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |