IA53000345 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel construit vers 1857 pour René Pillon. En 1961, la propriété est achetée par la Ville au propriétaire d'alors, monsieur Du Long de Rosnay. Depuis cette date, elle est occupée par le lycée du Douanier-Rousseau. Date(s) de réalisation : 1857 Description : Les lucarnes sont encadrées de consoles qui supportent un fronton triangulaire percé d'un oculus et coiffé d'une coquille. Le gros-oeuvre de l'édifice est en moellons enduits, il repose sur un socle en pierre de taille de granite. Les chaînes d'angle, la corniche, les ouvertures et les lucarnes sont en pierre de taille de calcaire. L'une des deux entrées est protégée par une marquise en verre que deux fines colonnettes en fonte soutiennent. Le puits de la propriété se trouve aujourd'hui dans l'allée menant au jardin de la maison du 54-56, rue de Paris. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 ; 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000346 - maison Description : Maison dont le gros-oeuvre est en moellons enduits. Ses ouvertures, ses bandeaux et ses chaînes d'angle sont en pierre de taille de calcaire. Les balconnets sont en fer forgé et les lucarnes en bois. La porte d'entrée en bois est ornée de fines moulures. L'édifice adossé aux remparts abrite aujourd'hui les services culturels de la ville. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000347 - maison 1 vue Historique : Maison probablement construite dans la dernière décennie du 19e siècle à l'emplacement du cimetière de la Guétraie, fermé vers 1887. Description : La travée de droite, en légère saillie, possède sa propre toiture (en pavillon). Elle présente un oriel surmonté par un balcon à balustres en calcaire. Le gros-oeuvre est en moellons enduit. Les ouvertures, les chaînes d'angle et l'entablement sont en pierre de taille de calcaire. A signaler les épis de faîtage et la richesse du décor sculpté. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000349 - maison dite Cercle de l'Aurore 18 vues Historique : En 1866, cinquante-deux lavallois signent un "contrat de société pour la construction d'un ^batiment destiné au cercle de l'Aurore". Le bâtiment doit être construit sous la direction et suivant les plans et devis de l'architecte Pierre-Aimé Renous en 1866. Les statuts du cercle de l'Aurore sont publiés en 1868. Ce cercle déménage dans le nouveau local en juillet 1868. Peu d'informations existent concernant ce cercle, on sait seulement que différentes personnes tentent de la reconstituer en 1916. Le bâtiment est vendu par la Société civile par actions de l'Aurore à des particuliers en 1919. En 1927, la Ville de Laval achète le bâtiment pour en faire une bibliothèque, un cours de dessin et de musique et un commissariat de police. En 1930, le bâtiment est destiné à la bibliothèque municipale : une étude architecturale est menée pour adapter le bâtiment à cette fonction. Le projet n'aboutit pas. En 1980, la propriété du bâtiment est transféré à la SAHLM de la ville de Laval, pour en faire ses bureaux. La SAHLM entreprend alors une importante campagne de travaux de restauration et de restructuration interne de l'immeuble, conduite par l'architecte François Parroco. Date(s) de réalisation : 1866 Description : Le Cercle de l'Aurore est un imposant bâtiment formé d'un sous-sol, d'un rez-de-chaussée et de deux étages carrés et comprenant quatre travées sur le quai Gambetta, huit sur la rue de Strasbourg. Le décor du balcon puise largement dans le répertoire ornemental de la Renaissance française. Les ouvertures du second étage, à arc segmentaire, sont surmontées de frontons triangulaires ou curvilignes reposants sur des consoles sculptées. Les travaux réalisés au début des années 1980 ont nettement transformés le bâtiment. La modénature, la balustrade, les bandeaux et reliefs des façades sont restaurés. On crée alors un percement d'attique pour l'éclairement des logements du dernier niveau. Les façades sur cour sont remaniées. Tous les planchers en bois sont démolis et remplacés par des planchers en béton. Désormais, le rez-de-chaussée est occupé par des boutiques, les 1er et 2e étages par les bureaux de la SAHM et les 3e et 4e étages par des logements. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de soubassement,3 étages carrés État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : armes de Laval, support : balcon Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000034 - hôtel de Brée 1 vue Historique : Hôtel construit dans la première moitié du 16e siècle. Les fenêtres du pignon, sur la rue du Jeu-de-Paume, ont été refaites en 1764 pour Joseph Duchemin, sieur du Bois du Pin. La lucarne à baies jumelées a été restaurée au début de ce siècle par l'architecte Garnier. Date(s) de réalisation : 1764 Description : Le corps de logis de l'hôtel est édifié perpendiculairement à la rue, ce qui permet d'établir une vaste cour devant sa façade. Celle-ci est flanquée d'une tour d'escalier hexagonale qui se termine par une pièce haute accessible par une tourelle en surplomb. La lucarne à baies jumelées, encadrée de pilastres ioniques, repose sur un appui sculpté d'armoiries, portant les initiales HQ et CL, alternant avec des consoles à feuillage. A l'intérieur, portes à linteaux sur coussinets et boiseries de l'époque Louis XIV et Louis XV. Une partie du gros-oeuvre des communs est en pan de bois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000355 - maison de Clermont 7 vues Historique : Maison construite dans la seconde moitié du 15e siècle. Elle servait de résidence urbaine aux abbés de l'abbaye cistercienne de Clermont. Description : Construite sur une parcelle large, la maison présente son mur gouttereau en façade. Un couloir central dessert l'escalier en vis situé sur la façade postérieure. Le pan de bois à grille présente un encorbellement sur poteaux élargis. Les sablières, les entretoises et les consoles sont ornées de fines moulures. Six consoles sont sculptées de personnages dont le choix iconographique est lié, en grande partie, à l'histoire de l'ordre cistercien et à celle de l'abbaye de Clermont. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Saint-Bernard de Clairvaux, support : console de la façade,sujet : ange portant un blason aux armes illisibles entouré du collier de l'ordre de Saint-Michel, support : console de la façade,sujet : Sainte-Barbe, elle est représentée avec sa tour et tenant la palme du martyr, support : console de la façade,sujet : Saint-Christophe, support : console de la façade,sujet : Saint-Benoît, support : console de la façade Protection MH : Façade et toiture : inscription par arrêté du 15 février 1926 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000363 - maison 2 vues Historique : Edifice dont le décor porté s'inspirait de la Renaissance. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000365 - église paroissiale Saint-Pierre 8 vues Historique : Face à l'importance du développement du quartier de la gare à la fin du 19e siècle, la création d'une nouvelle paroisse était devenue nécessaire. Celle-ci est officiellement créée en 1900 alors que les travaux de construction de la nouvelle église avaient déjà commencé en janvier 1899. En 1906, ils sont interrompus pour ne reprendre qu'une cinquantaine d'années plus tard. Ainsi, en 1958, à l'initiative de l'association diocésaine de Laval dirigée par l'abbé Hardoin, un choeur en béton conçu d'après les plans de Pierre Vago et inauguré en octobre 1961, est construit. En 1963, l'église subit d'importants travaux intérieurs destinés à harmoniser la partie ancienne de l'édifice et la nouvelle. C'est également à cette époque qu'une sacristie, un oratoire, un narthex et un baptistère sont créés. Description : La façade en granite de l'église adopte le style romano-byzantin. A l'intérieur, la nef néo-gothique à quatre travées est séparée en deux niveaux par une dalle de béton. Des ouvertures fermées par des pavés de verre y ont été aménagées. Cette dalle cache une voûte sur croisées d'ogives aux clés sculptées et peintes de motifs variés. Deux escaliers en granite à vis sans jour conduisent à une tribune en ciment armé, dans l'église et à une galerie extérieure donnant accès aux voûtes. Le choeur moderne, de plan trapeïzodal, repose sur des pilotis et est couvert en terrasse. Les clôtures latérales sont assurées par des cloisons composées de claustras reçevant des dalles de verre. Le sol est recouvert d'un petit carrelage. L'ancien baptistère est éclairé par deux fenêtres dotées de verrières décoratives. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : Le béton des verrières délimite des cadres renfermant des losanges mêlés à des motifs symboliques : des clés, attributs de saint Pierre, et des poissons, allusions au premier métier de pêcheur du saint. Ces motifs sont valorisés par l'utilisation de verres colorés. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000035 - hôtel Duplessis d'Argentré 9 vues Historique : L'hôtel a été construit pour Olivier-Ambroise Dubois en 1771. Frère du sieur de Beauregard, Olivier était comme ce dernier maître des forges de Chailland et de Port-Brillet dont le propriétaire était le comte de Laval. L'important bâtiment de communs (bâtiment industriel ?) semble dater du début du 19e siècle. Date(s) de réalisation : 1771 Description : Le logis se dresse en fond de cour et est flanqué de deux ailes basses abritant les communs. Marquant l'axe des façades sur cour et sur jardin, un fronton triangulaire surmonte la travée centrale. Les seules concessions ornementales d'une architecture rigoureuse sont portées par cette travée appareillée en pierre de taille : pilastres superposés, table surmontant la porte d'entrée et balcon en fer forgé. Les ouvertures sont à linteau délardé, hormis les lucarnes des combles qui sont cintrées. Le fronton est percé d'un oculus côté cour et d'une baie rectangulaire côté jardin. Le décor intérieur d'origine subsiste en grande partie. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Protection MH : le logis proprement dit, en totalité, la cour avec son pavement, le mur de clôture avec ses grilles, le terrain d'assiette de la portion subsistant des anciens jardins, les façades et toitures de l'aile des communs Nord-Est, les façades et toitures d'une partie de l'aile des communs Sud-Ouest. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000368 - ensemble d'édifices à cour commune dit Cour du Grand Louis 1 vue Historique : Le corps de passage sur rue ainsi que le logement attenant et la tourelle d'escalier en fond de cour sont de la seconde moitié du 16e siècle. Deux bâtiments d'habitations sont de 1759 (date portée). Un autre bâtiment est de la fin du 19e ou du début du 20e siècle. Date(s) de réalisation : 1759 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits. Les lucarnes, de la façade sur rue et de la tourelle d'escalier en fond de cour, sont en pierre de taille de calcaire. Elles portent un décor sculpté. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : support : les lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000370 - porte de ville dite Porte Beucheresse 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000159 Historique : Porte de ville probablement construite au 13e siècle. Au cours du premier quart du 15e siècle elle a été remaniée, un chemin de ronde sur mâchicoulis a été réalisé à son sommet et une barbacane a été édifiée. Les ouvertures de la tour de gauche ont été reprises en 187? (date portée), celles de la tour de droite ont été percées au 18e siècle ou au début du 19e siècle. Description : Les deux ouvertures des étages de la tour de gauche présentent un décor néo-renaissance. Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : support : ouvertures de la tour gauche Protection MH : Porte Beucheresse (cad. CI 220,221) : classement par arrêté du 6 mars 1931. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000371 - cimetière de Vaufleury 20 vues Historique : Le premier cimetière municipal est créé le 25 thermidor an XII (13 août 1804) sur un terrain appartenant aux hospices de la Ville : la prairie de la Guétière aujourd'hui occupée par les bâtiments des Archives Départementales. Cette nécropole remplace plusieurs cimetières paroissiaux dont le plus important est celui de la Trinité définitivement fermé en 1807. Les premières inhumations ont lieu vers 1808 mais le 15 novembre 1881, pour des raisons d'hygiène et de saturation, le conseil municipal décide la fermeture du cimetière et son déménagement à Vaufleury, son emplacement actuel. C'est l'architecte municipal, Léopold Ridel qui, entre 1882 et 1886, dessine les plans du nouveau cimetière parmi lesquels ceux des deux pavillons d'entrée destinés à abriter le bureau et le logement du gardien. Le montant des travaux s'élève à 194 268 francs dont 106 336 francs pour l'achat du terrain. Les premiers enterrements ont lieu en 1887. Description : La superficie du cimetière est de 7,5 hectares et 12 000 sépultures pour un peu plus de 66 000 corps inhumés y sont dénombrées. Au centre de celui-ci, la croix de cimetière posée sur une colonne prend la forme d'une croix de Malte. La grande allée et 2 allées transversales sont bordées de 42 chapelles funéraires. 17 d'entre elles ont été étudiées (voir fiches Mérimée),les 25 autres ont simplement été repérées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, ornement architectural, acrotère, gargouille, épis de faîtage, support : les bâtiments d'entrée Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000373 - chapelle funéraire des familles Bretonnière et Vilfeu 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire, probablement réalisée à la fin du 19e siècle, où reposent des membres des familles Bretonnière et Vilfeu. Description : Chapelle très ajourée et très électique, à chevet droit. Elle présente des chapiteaux proches du ionique et des colonnes cannelées. Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000376 - chapelle Sainte-Madeleine dite la Madeleine-du-Roc, actuellement maison 1 vue Historique : Péan le Bret, receveur des tailles, fonde la chapelle le 4 janvier 1490. Elle se trouve près de sa maison, rue de Rivière (appelée aussi rue Boutagu). La chapelle étant "tombée en indigence de reffections", des travaux sont réalisés en 1687-1688 visant au "restablissement et construction de la chapelle" (notamment le remplacement de la charpente). De nouveaux travaux d'entretien sont effectués en 1775-1776 (réfection du carrelage, de l'enduit, suppression du lierre, remplacement de la bordure des deux pignons). La chapelle est vendue le 28 avril 1792 à Daniel Guiard-Lacroix. La chapelle est alors transformée en maison d'habitation. Elle est aujourd'hui enserrée par d'autres constructions plus récentes. Date(s) de réalisation : 1490 Description : En 1775, la chapelle est ainsi décrite dans une montrée : "la chapelle a 24 pieds de longueur, 19 de large, hors oeuvre, construite de pierre commune, soutenue par 4 piliers butant aux 4 angles et 2 au milieu. La voûte est en lunette, dont les arcs doubleaux et les branches d'ogive sont en tuffeau et les lunettes en brique. Une porte d'entrée, une autre en face sert pour l'exploitation du côté du midi, a 6 pieds 6 pouces de large en oeuvre et 7 pieds de long." La chapelle de plan rectangulaire était composée de deux travées voûtées d'ogives. Les ogives retombaient sur des culots ornés de motifs végétaux, d'initiales et de blasons, aujourd'hui bûchés. Les murs étaient couverts de peintures. Une grande fenêtre en arc brisé s'ouvrait sur la façade est. La chapelle a été considérablement remaniée, afin d'être transformée en maison d'habitation. L'extérieur est quasiment méconnaissable. L'intérieur a été divisé en trois niveaux. Les voûtes ont été détruites et remplacées par un plancher en bois. Seuls subsistent dans les murs les retombées des ogives et quelques arcs brisés (arcs formerets). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : culot de la retombée des voûtes,sujet : blasons bûchés, support : culot de la retombée des voûtes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000380 - chapelle Saint-Roch dite chapelle des Morts 1 vue Historique : Le grand cimetière d'Avesnières existait déjà avant 1550. Le 22 mai 1613, les habitants décident d'y construire une chapelle pour les pestiférés et les personnes contagieuses. Le projet est réalisé en 1614 par les architectes Etienne Caharye et Charles Bouvet. Le charpentier Jean Houdu, les couvreurs René Bouvier et François Sesbouez ont également participé à sa réalisation. En 1903, elle renferme notamment les corps de cinq prêtres décédés, anciens curés ou vicaires de Notre-Dame d'Avesnières : M. Marin Gesbert, M. Ambroise-Marin Langlois, M. Pierre-René-Joseph Chérot, M. Jean Verger et M. Félix Pinçon. Le sanctuaire est détruit en 1905 pour laisser la place à l'école publique d'Avesnières. Date(s) de réalisation : 1614 Description : Deux grandes dalles en marbre appliquées à la chapelle indiquaient les sépultures des membres d'une riche famille de fabricants et négociants lavallois. Inscription : cy est la basilique chapelle de Sainct Roch 1614 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |