IA53000355 - maison de Clermont 7 vues Historique : Maison construite dans la seconde moitié du 15e siècle. Elle servait de résidence urbaine aux abbés de l'abbaye cistercienne de Clermont. Description : Construite sur une parcelle large, la maison présente son mur gouttereau en façade. Un couloir central dessert l'escalier en vis situé sur la façade postérieure. Le pan de bois à grille présente un encorbellement sur poteaux élargis. Les sablières, les entretoises et les consoles sont ornées de fines moulures. Six consoles sont sculptées de personnages dont le choix iconographique est lié, en grande partie, à l'histoire de l'ordre cistercien et à celle de l'abbaye de Clermont. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Saint-Bernard de Clairvaux, support : console de la façade,sujet : ange portant un blason aux armes illisibles entouré du collier de l'ordre de Saint-Michel, support : console de la façade,sujet : Sainte-Barbe, elle est représentée avec sa tour et tenant la palme du martyr, support : console de la façade,sujet : Saint-Christophe, support : console de la façade,sujet : Saint-Benoît, support : console de la façade Protection MH : Façade et toiture : inscription par arrêté du 15 février 1926 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000459 - chapelle funéraire de la famille J. Hébert-Penlou 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire des familles J.Hébert-Penlou réalisée vers la fin du 19e siècle par l'entrepreneur lavallois H.Blot et le maître carrier P.Brault de Louvigné-du-Désert. Description : Chapelle funéraire en granite dont le couvrement en calcaire est surmonté d'un sarcophage. Inscription : initiales entrelacées et signatures. La fenêtre postérieure a conservé la bordure de sa verrière. Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : symbole funéraire : sarcophage (?), support : couverture de la chapelle Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000466 - château fort dit musée du Vieux-Château et palais de justice 163 vues Historique : Vers 1020, Guy 1er le "fondateur" construit un château sur un promontoire rocheux dominant la Mayenne et destiné à contrôler un gué d'origine gallo-romaine. Ce premier château en bois qui s'étend jusqu'au pied de la cathédrale actuelle, possède une enceinte de terre. A cheval sur cette enceinte, une motte verrouille l'accès du plateau. Il est fort probable qu'une seconde motte est établie à l'intérieur de cette enceinte, près de l'emplacement de la galerie (actuel Château-Neuf). Vers la fin du 11e siècle, le logis primitif dont l'arase des murs subsiste, est agrandi vers l'est d'un édifice en pierre de plan rectangulaire qui sera aménagé en chapelle vers 1170. Au début du 13e siècle, le château se replie sur l'extrémité de l'éperon où est construit un donjon circulaire en pierre. D'après les résultats apportés par une étude dendrochronologique réalisée en 2011, son hourd est réalisé entre 1219 et 1227. A la même époque, des logis seigneuriaux sont réalisés. Ils sont très fortement remaniés au milieu du 15e siècle à l'instigation du comte Guy 14 qui en 1456 aménage la vaste salle couverte d'une voûte lambrissée (datée par travaux historiques). Au début du 16e siècle, des travées à hautes lucarnes en pierre sculptée viennent orner les façades sur cour. C'est probablement à la même époque que ces mêmes façades sont recouvertes de peintures murales (faux appareil en pierre ?, médaillon accueillant un personnage en cuirasse ?, colosse ?). Face à ce vieux château, le projet d'une vaste galerie est élaboré en 1508 (daté par travaux historiques). Elle est réalisée vers 1542 sous la direction du maître-maçon Jehan Garnyer (date et attribution par travaux historiques) pour Guy 17. En 1631, un pavillon est ajouté à l'extrémité nord. En 1747, la galerie, est restaurée et embellie par Danjou (attribution et date par travaux historiques). A la Révolution, les tribunaux s'installent au Château-Neuf, tandis que les prisons sont transférées au Vieux-Château. Entre 1829 et 1833, l'architecte départemental Maximilien Godefroy reconstruit le pavillon nord de la galerie. Entre 1839 et 1840, il dote cette dernière d'un campanile destiné à accueillir l'horloge municipale réalisée par Julien Gourdin, un horloger établi à Mayet dans la Sarthe. Cette horloge au mécanisme exceptionnel sera entièrement réparée par son auteur en 1857. C'est probablement Godefroy qui réalise également vers 1839 le mur de clôture. En 1851 (date et attribution par source), l'architecte Pierre-Aimé Renous restaure la chapelle du Vieux-Château. A partir de 1854 (date et attribution par source), il réalise le pavillon nord et l'aile en retour de la galerie. La construction de cette dernière nécessita la démolition de la tour de l'Horloge. Entre 1909 et 1910, le campanile est entièrement reconstruit dans son style d'origine. A partir de 1911, l'architecte Louis Garnier (date et attribution par source) restaure le Vieux-Château devenu propriété de la Ville en 1909. Il fait également installer à l'extrémité de l'aile sud un escalier provenant du logis abbatial de Clermont. La voûte lambrissée de la salle d'honneur est refaite en 1913 (datée par étude dendrochronologique). Le Vieux Château est devenu progressivement un musée à partir des années 1920. Description : Le gros oeuvre du Vieux-Château est en moellons. Les ouvertures sur cour sont en granite au rez-de-chaussée et en calcaire aux étages. De plan circulaire, le donjon présente un diamètre de 14 m à sa base pour une hauteur totale de 33 m. Ses quatre niveaux maçonnés sont couronnés d'un hourd combiné à une charpente de toit. Structure charpentée formant galerie, le hourd se compose principalement de deux enrayures superposées et axées sur un poinçon central. Toutes ses pièces de bois sont en chêne. Le Château-Neuf est en pierre de taille de calcaire, côté cour et en moellon enduit, côté rivière. L'ensemble des toitures est en ardoise, hormis celle du campanile de la galerie qui est en cuivre. La galerie fait 7 m de profondeur. Le décor sculpté de la Renaissance est présent sur les travées d'ouvertures du Vieux-Château et dans les pleins de travées du Château-Neuf. Au Vieux-Château : escalier hors-oeuvre (escalier de Clermont), escalier dans-oeuvre entre la cour et la rue du Val-de-Mayenne, et escalier dans-oeuvre dans le donjon. Au Château-Neuf, escalier dans-oeuvre à retours avec jour. Les vitreries losangées du Vieux-Chateau semblent avoir été réalisées par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : arabesque, rinceau, candélabre, pilastre, animal fantastique, trophée, cartouche, cuir découpé, médaillon, armoiries, buste d'homme, ordre antique, guirlande, vase, ornement végétal, ange, pierre, buste humain, homme Précision(s) sur le décor représenté : armes martelées,armes illisibles,les murs de l'aile sud étaient recouverts de peintures murales semblant représenter une imitation d'appareil de pierre de taille, un médaillon renfermant un buste humain et un homme debout, penché vers l'avant et portant une poutre. Protection MH : Château Vieux (cad. CI 54) : classement par liste de 1840 ; galerie du Château Neuf (cad. CI 67) : classement par liste de 1840 ; façades, toitures, ancienne salle des pas perdus et escalier principal de l'aile sud du Château Neuf (cad CI 67) : inscription par arrêté du 7 mars 2006. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000467 - couvent de carmélites, Carmel de l'Immaculée Conception Historique : Le Carmel de Laval est fondé en 1856 sur la propriété de l'ancien manoir Ouvrouin, rue du Hameau (étudié). Malgré la confiscation du couvent après la loi de 1901 sur les congrégations, les religieuses reviennent s'installer à Laval en 1921. Elles ne réintègrent cependant leurs bâtiments de la rue du Hameau qu'en 1930. Mais ceux-ci sont en mauvais état et l'idée d'édifier un petit monastère à la lisière de la ville est lancée. En 1960, les soeurs achètent un terrain au comte d'Aubert et en 1965 le nouveau monastère est édifié. Il est béni par Monseigneur Guilhem les 3 et 4 septembre de la même année. L'architecte qui a en dessiné les plans est le tourangeau Michel Marconnet. L'entreprise lavalloise de travaux publics Brochard et Gaudichet s'est chargée de le construire. Le couvent a été labellisé "Patrimoine du XXe siècle" en 2009. Date(s) de réalisation : 1965 Description : Au milieu d'un enclos rectangulaire de 1 hectare 30 ares, le bâtiment de forme carrée, enserre un petit jardin et un cloître. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : ciment, béton Étage(s) : 1 vaisseau,sous-sol,1 étage carré Précision(s) sur le décor représenté : Personnages du retable : Jean de la Croix présente un coeur enflammé et un livre, Thérèse d'Avila tient un livre et Joseph un lys. Simon Stock et Thérèse de Lisieux sont aussi représentés. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1999 Copyright : (c) Inventaire général, 1999 Fonds / classement : Architecture |
IM53000010 - verrière légendaire des Docteurs Historique : Verrière réalisée par le peintre-verrier François Fialeix en 1854. Description : deux barlotières par lancette, six vergettes par lancette Précision(s) sur le décor représenté : Sur la lancette gauche, Sainte Jeanne de Chantal en compagnie de saint François de Sales et la conversion de saint Augustin. Sur la lancette droite, saint Léon devant Attila, saint Ambroise devant Théodose. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000139 - ensemble de 3 statues : Notre-Dame de Lourdes, anges Appartenant à : autel, tabernacle, retable de Notre-Dame de Lourdes Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000138 Historique : Ensemble de statues probablement réalisées en 1877 (daté par travaux historiques). Précision(s) sur le décor représenté : Vierge de miséricorde dite Notre-Dame de Lourdes. Dimension(s) : h = 158 Précision(s) sur les dimensions : dimension de la Vierge,dimensions des anges : h = 110. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000154 - tableau : Nativité Dimension(s) : h = 76,5,la = 61 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre : h = 95,5, la = 80. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000158 - bannière de procession : Vierge et saint François Historique : Bannière réalisée par la maison Dutot d'Alençon en 1857. Description : Sur un fond de velours rouge, chaque face de la bannière est ornée d'un grand médaillon central entouré de quatre autres plus petits. Dans ces médaillons sont évoqués les principaux épisodes de la vie de la sainte Vierge d'un coté et de la vie de saint François de l'autre. Décor représenté : Assomption : (?)Vierge, angelot, nuée, Annonciation : ange, Vierge, colombe, livre, Visitation : Vierge, saint Joseph, sainte Elisabeth, Zacharie, maison, présentation au temple : Vierge, Enfant Jésus, Siméon, personnage, adoration des Bergers : Vierge, Enfant Jésus, Joseph, personnage, croix, rinceau, fleur, candélabre (?), M.A., saint François, crâne, fond de paysage, personnage, Christ, livre, lit, stigmates Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000167 - haut-relief : Couronnement de la Vierge 1 vue Historique : Haut-relief réalisé par le sculpteur Victor Bariller en 1890. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature(gravée),date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000191 - ex-voto (triptyque) : la Passion 5 vues Historique : Toutes les scènes s'inspirent d'oeuvres de peintres flamands ou allemands de la Renaissance : le tableau central (Crucifixion) est une reprise d'une oeuvre du peintre anversois Josse Van Clève (1485-1540). La Déploration est une copie d'une gravure d'Albrecht Dürer (Munich Alte Pinakothek). Le tableau du bas (Christ souffrant) est également une copie d'une gravure de Dürer. L'Annonciation et les deux prophètes au-dessus sont des copies de tableaux de Jan Van Eyck (Gand, cathédrale Saint-Bavon, retable de l'Agneau mystique). Décor représenté : Crucifixion : Christ, Vierge, sainte Marie Madeleine, saint Jean, ange, fond de paysage, Montée au Calvaire : sainte Véronique, Vierge, Simon de Cyrène, soldat, ville, fortification, Déploration : Christ, saint Jean, Vierge, saintes Maries, saint Joseph d'Arimathie, saint Nicodème, fond de paysage, resurrection : Christ, soldat, tombeau, Dieu le Père : nuée, globe, Christ souffrant : christ, ange, Vierge, saint Jean, David : lyre, phylactère, sainte, Annonciation : ange, Vierge, Zacharie, Isaïe, colombe, rameau, décor d'architecture, I.H.S., rinceau, instrument de musique, animal fabuleux, arme de main, fleur, chapiteau : fleur de lys, entrelacs Précision(s) sur le décor représenté : sainte : sainte Bylla Aggripina Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000194 - verrière mariale du Couronnement de la Vierge 2 vues Historique : A l'origine, ce vitrail-tableau du 16e siècle était situé dans une des premières chapelles du collatéral nord de la nef. Lors de la reconstruction de celui-ci vers 1885, la verrière, dont les dimensions étaient supérieures à celles des nouvelles baies, fut mise en caisse pour une durée de cinquante ans. Restaurée une première fois au début du 17e siècle, elle le fut encore à plusieurs reprises avant sa repose dans l'actuelle chapelle en 1975 par Avice. L'abbé Louis Saget attribue la verrière à François Hamonnière, "maître peintre et vitrier au Pont de Mayenne". Description : Verrière composée de trois lancettes et d'un tympan comprenant sept jours de réseau (trois soufflets et quatre écoinçons). Précision(s) sur le décor représenté : La verrière représente le Couronnement de la Vierge par la Trinité c'est-à-dire Dieu le Père, le Christ et le Saint-Esprit qui a la forme d'une colombe. A cette scène placée dans un décor architectural antiquisant, se joignent, dans le tympan, trois anges munis d'instruments de musique : un triangle, une vièle à archet et une harpe. Le panneau central du registre inférieur accueille deux anges soutenant un écu armorié de l'Agnus Dei portant l'oriflamme. Ce motif est aujourd'hui effacé. Dimension(s) : h = 350,l = 250 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000210 - groupe sculpté : Vierge de pitié ou Notre-Dame des Petits-Champs Historique : Sculpture en plâtre datant peut-être du 18e siècle. Description : Groupe sculpté en calcaire polychrome. Si la facture est grossière, les visages affichent une belle expressivité notamment celui, affligé, de la Vierge qui semble avoir fait l'objet d'un repeint. Dimension(s) : h = 54,l = 59,pr = 26 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000220 - tableau d'autel : Mystère de la Trinité 2 vues Appartenant à : retable architecturé à niche du maître-autel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000219 Historique : Tableau réalisé par le peintre Paul Letourneur en 1640 (date portée). Dimension(s) : h = 274,la = 160.5 Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000227 - tableau d'autel : saint Charles Borromée 2 vues Appartenant à : retable architecturé à niche du Sacré-Coeur ou du Saint-Sacrement Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000226 Historique : Ce tableau a été réalisé d'après une gravure de François de Poilly. Il aurait été peint vers 1805. Description : peinture encastrée, montage sur châssis Précision(s) sur le décor représenté : Parmi les personnages représentés figure le père Matagrin, curé de La Trinité de Laval de 1802 à 1806. Dimension(s) : h = 203,l = 117,6 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec cadre : h = 212, l = 124.4. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000232 - tableau d'autel : le songe d'Elie 3 vues Appartenant à : retable architecturé de la Communion Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000231 Historique : Tableau réalisé par le peintre A. Domaine en 1813. Précision(s) sur le décor représenté : Elie fuyant Akhab et Jézabel s'endort sous un genêt,un ange le réveille et lui dit "lève-toi et mange". Dimension(s) : l = 146,5,h = 268 Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |