IM53000064 - stalles 11 vues Historique : Le style de ces stalles est celui du 16e siècle, mis-à-part la stalle curiale qui semble être celle conçue en 1682. Elles proviennent de l'ancien couvent de Patience et auraient été achetées au directoire par l'évêque constitutionnel D'Orlodot pour 200 livres. Rapportées à Saint-Vénérand en 1842, elles furent restaurées une première fois en 1845 par M. Raimbault. La stalle curiale restaurée en 1903, porte sur sa partie antérieure (construite à cette période ?) la date de ces travaux. Description : L'ensemble de gauche comprend 19 stalles sur deux rangées plus 1 stalle curiale (plus importante). Le côté droit comprend, toujours sur deux rangées, d'abord 6 stalles, puis 8 autres, les deux groupes étant séparés par un passage. Chaque stalle est séparée par une parclose avec un appui-main sculpté, dont le répertoire est très varié : volutes, feuilles enroulées, têtes humaines ou animales, figurines assises. Les miséricordes s'ornent de têtes d'angelots, de fruits, de feuillages ou de rinceaux. Dimension(s) : l = 1700 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000091 - verrière historiée : Vierge Historique : Verrière réalisée par le maître-verrier Rennais Rault en 1945. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003541 - étendard de procession du Coeur Sacré de Jésus, Espoir et Salut de la France 2 vues Historique : Cet étendard de procession a probablement été confectionné entre 1925 et 1949. La combinaison du drapeau tricolore et des inscriptions religieuses à caractère nationaliste témoignent de l'activité des ligues patriotiques sous la houlette des organistions catholiques. Description : Etendard de procession en coton tricolore de plan rectangulaire horizontal. Il est suspendu à une hampe en bois terminée par un fer de lance en laiton autour duquel est nouée une écharpe elle aussi tricolore. Trois des côtés sont dotés de franges de bouillon doré se retrouvant sur les extrémités de l'écharpe. L'essentiel du décor est constitué de broderies mécaniques en fil d'or et en fils de soie polychrome. Précision(s) sur le décor représenté : L'avers de l'étendard est orné du Sacré-Coeur du Christ sur fond de rayons lumineux (coeur de Jésus entouré de la couronne d'épines et portant la blessure de la lance d'où s'échappent quelques gouttes de sang,il est surmonté d'une croix latine jaillissant des flammes). Deux inscriptions sont brodées au dessus et au dessous de ce motif. Dimension(s) : h = 150,la = 180 Précision(s) sur les dimensions : dimensions avec les franges. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003545 - conopée (n° 1) 3 vues Historique : Ce conopée a été confectionné entre 1925 et 1949. Description : Conopée constitué de trois pièces dont le tissu de fond est en soie moirée blanche et la doublure en satinette blanche. Le tour présente une partie basse découpée en pointes plus ou moins saillantes. Chaque pièce est bordée de deux modèles de galon dont un à franges de coton beige et rouge. Le décor des pièces est constitué de broderies mécaniques appliquées en fil d'or et fils de soie polychrome. Elles sont associées à des paillettes de métal doré. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : moiré, brodé, soie (doublage, blanc) : satin, coton (application, beige, rouge, fil) : tissé, fil métal (décor) : doré, soie décor, fil) : polychrome, métal (décor) : doré, découpé Précision(s) sur le décor représenté : La partie centrale du tour est brodée du Chrisme accompagné de l'Alpha et de l'Oméga. Le reste du décor est constitué de rinceaux floraux et feuillus. Dimension(s) : h = 139,la = 235 Précision(s) sur les dimensions : dimension des rideaux,hauteur avec les franges,dimensions du tour, avec les franges : h = 41, la = 235. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003546 - conopée (n° 2) 3 vues Historique : Ce conopée semble avoir été confectionné entre 1925 et 1949. Description : Conopée constitué de trois pièces dont le tissu de fond est en soie blanche. L'ouverture de la pièce centrale et deux des côtés des rideaux sont bordés d'un galon tissé de fils de soie polychrome. Les franges de chacune des pièces sont en bouillon doré. Le décor est principalement constitué de bandes d'étoffe fixées sur le fond. Cette étoffe est rehaussée de fil d'or et de cabochons circulaires en métal doré. Précision(s) sur le décor représenté : Le rideau central du conopée est brodé de l'Alpha et de l'Oméga dans des trilobes à redents. Le galon de toutes les pièces superpose bandes à motifs de ruban plissé et bandes ornées d'ailes d'anges, de grappes à trois grains et de fleurs de lys. Dimension(s) : h = 108,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la pièce centrale, avec les franges : h = 142, la = 52,5,dimensions totales des rideaux, avec les franges. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003589 - calice, patène et boîte 1 vue Historique : Calice et patène réalisés dans les années 30 par un orfèvre qui n'a pu être identifié. Ils ont appartenu au père Guy Robert, prêtre du 11 juin 1933 au 11 juin 1983. Le calice a été consacré le 7 juin 1933 par Monseigneur Eugène Grellier. Description : Calice et patène en argent partiellement doré contenus dans un coffret en bois. Le calice est composé d'un pied circulaire, d'une tige coupée par un noeud plat à six côtes saillantes et d'une large coupe. Le revers de la patène est gravé d'un motif. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied du calice est gravé d'une croix latine. Le disque central de la patène est orné d'une croix grecque aux bras reliés entre eux. Dimension(s) : h = 17,9,d = 31 Précision(s) sur les dimensions : diamètre de la coupe,pied : d = 34,patène : la = 13, 9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973,inscription concernant l'iconographie (gravée, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription (manuscrite, sur étiquette, français),estampille (sur étiquette),armoiries,devise,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003659 - ciboire des malades Historique : Ciboire des malades de style Art déco réalisé vers 1930 par un orfèvre parisien dont les initiales sont V. et F.. Description : Petit ciboire en argent reposant sur un pied circulaire. La cuve est de forme conique et le couvercle légèrement bombé. Celui-ci est surmonté d'un élément de préhension en forme de losange horizontal découpé en son centre. Précision(s) sur le décor représenté : Le losange est percé d'un motif en forme de croix. Dimension(s) : h = 11,5,la = 10 Précision(s) sur les dimensions : largeur du couvercle. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973 Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53002788 - ostensoir-soleil (n° 4) 5 vues Historique : Cet ostensoir-soleil a été réalisé entre 1930 et 1940. Description : Cet ostensoir de style Art Déco repose sur une base circulaire d'où part une tige en ivoire. Celle-ci supporte le réceptacle comprenant une boîte vitrée circulaire destinée à reçevoir la lunule. Des rayons de soleil occupent les espaces situés entre les bras de la croix qui sont amortis. La tige, le noeud, le socle et les rayons du soleil sont parsemés de pierres en verre de couleur. Précision(s) sur le décor représenté : Le socle porte un décor constitué de rinceaux et les bras de la croix sont ornés d'enroulements. Dimension(s) : h = 84,la = 43,pr = 28,8 Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2005 Copyright : (c) Inventaire général, 2005 (c) Ville de Laval, 2005 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003502 - peinture monumentale : La Cigale et La Fourmi 4 vues Historique : Si les travaux préparatoires à l'élaboration de la peinture (esquisse et études) datent de 1895, ce n'est qu'en 1930 que Ludovic Alleaume réalise la peinture. Description : La peinture, de format ovale et marouflée, orne le trumeau de la cheminée de l'ancienne salle des Directeurs. Elle est entourée d'un cadre de stuc qui, comme la cheminée et le trumeau, est richement orné. Précision(s) sur le décor représenté : Scène allégorique autour de l'épargne inspirée de la fable moraliste de Jean de la Fontaine, La Cigale et La Fourmi : alors qu'elle vient lui demander secours et assistance pour l'hiver, la cigale, symbolisant l'imprévoyance, se voit éconduite par la fourmi associée au travail et à l'économie. Le cadre à filet perlé est bordé dans sa moitié supérieure d'une guirlande de feuilles de laurier agrémentée de deux rubans plissés. L'ensemble est coiffé d'un motif en coquille. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |