Des aménagements sont apportés au théâtre. L’électricité est installée ainsi qu’un véritable chauffage, en 1926.
En 1928, Clotilde Souveryn, artiste lyrique devenue professeur de chant, succède à Monsieur Poupart qui devient directeur des Variétés jusqu'en 1935. En 1931, le cinéma parlant fait son apparition au théâtre après avoir été installé aux Variétés. On note une grande continuité dans l'offre lyrique. Les cloches de Corneville, La chaste Suzanne, Les mousquetaires au couvent, Lakmé, le Pays du sourire, Rêve de valse, Manon, La Cocarde de Mimi Pinson, Faust et quelques autres pièces sont régulièrement joués. Les spectateurs peuvent également applaudir des pièces classiques de Racine, Corneille ou Molière, des tournées parmi lesquelles les incontournables Tournées Baret, des revues, concerts et galas. Mais, à la fin des années 1930, l'essentiel des recettes provient de l'exploitation cinématographique.