IA53000001 - chapelle, puis église paroissiale de la Trinité, actuellement cathédrale de la Sainte-Trinité 38 vues Historique : L'Eglise est édifiée en 1070 à l'initiative de l'abbaye de la Couture du Mans. Les murs de la nef et la voûte de type angevin sont exhaussés dans le quatrième quart du 12e siècle. Une nouvelle campagne de travaux débute dans la deuxième moitié du 15e siècle : la sacristie est d'abord construite en 1462, puis le porche de la rue des Curés vers 1465 et la façade ouest en 1483. Deux ans plus tard des travaux démarrent en vue de l'agrandissement du choeur. Au 16e siècle, entre 1517 et 1541, deux chapelles sont réalisées à l'angle nord-est de ce nouveau choeur et elles sont voûtées par Jamet Nepveu en 1541 c'est-à-dire au moment de la construction d'une troisième chapelle (à l'angle sud-est). Quelques années plus tard, entre 1549 et 1556, deux nouvelles chapelles sont édifiées sur le côté nord-est du choeur. Le bras gauche du transept est commencé en 1575 par le maître maçon Pierre Guillot. Interrompus par les Guerres de Religion, les travaux reprennent en 1595 et sont achevés en 1597 par Jean Guillot. Le grand escalier extérieur latéral qui le dessert est de 1734. Côté sud, le bras droit du transept et le collatéral droit du choeur ont été réalisés entre 1847 et 1850 par l'abbé Tournesac. Les travaux de construction de la sacristie actuelle datent de 1897 et sont les derniers agrandissements apportés à cet édifice. Les reconstructions en style roman de la façade sud et de la partie supérieure du clocher sont en effet réalisées en 1889 et en 1900 par les architectes Louis Formigé et Louis Garnier. Les piliers quadrangulaires de l'ancienne croisée romane qui obstruaient le choeur sont également remplacés par des colonnes cylindriques ne modifiant pas la surface au sol de l'édifice. Entre 1894 et 1933, le peintre-verrier Auguste Alleaume est intervenu à de nombreuses reprises à la cathédrale. Outre la réalisation des vitreries de la nef, il semble avoir restauré l'ensemble de celles déjà en place (étudiés). Description : Eglise primitive à passages dits bérrichons. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : Cathédrale de la Trinité (cad. CI 244) : classement par liste de 1840 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000025 - hôpital Saint-Joseph, puis hôpital Saint-Julien, puis maison de retraite Historique : En 1649, la duchesse de la Trémoille pose la première pierre de l'hôpital Saint-Joseph à l'emplacement des anciennes lices seigneuriales, non loin de l'hôpital Saint-Julien devenu trop petit. Sa gestion est confiée aux Filles Hospitalières de Saint-Joseph de La Flèche. En 1714, est construit le bâtiment dit des Incurables puis, en 1750, le portail de la rue Sainte-Anne est réalisé. En 1804, un pensionnat est ouvert et en 1810, la congrégation est confirmée dans son rôle hospitalier : l'hôpital accueille les malades, les indigents et les militaires. Au cours du 19e siècle, l'établissement est progressivement reconstruit dans sa totalité : édification des salles Saint-Joseph et Sainte-Anne en 1834 (elles seront prolongées en 1871), de la maison de l'aumônier en 1853, des salles Saint-Charles et Saint-Pierre en 1856 (également agrandies en 1871) puis du bâtiment des militaires de 1872 à 1873. La chapelle, oeuvre de Léopold Ridel, devait achever les gros travaux en 1899. L'hôpital Saint-Joseph prit le nom d'hôpital Saint-Julien afin de rappeler l'antériorité de ce premier établissement détruit au siècle dernier. Après avoir accueilli une maison de retraite, les bâtiments un temps inoccupés font l'objet d'une décision d'achat par la Ville en avril 2011. Description : Les bâtiments de l'hôpital s'organisent autour d'une cour principale servant d'espace d'entrée et de cours secondaires. Leur gros-oeuvre est en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000003 - église paroissiale Saint-Vénérand 49 vues Historique : L'absence de lieu de culte à proximité incita les habitants du quartier du Pont-de-Mayenne à la réalisation de l'église de Saint-Vénérand. Le 16 mai 1485, le comte de Montfort (futur Guy XV) posait la première pierre de l'édifice. En 1500 la fine flèche en ardoise du clocher, oeuvre du charpentier Jean Bodin, est achevée. A partir de 1522 des travaux d'agrandissement débutent par la nef et se poursuivent par le transept et le choeur, dont les voûtes sont achevées en 1565 (porte la date). La nef est allongée d'une travée, avec réutilisation de la partie inférieure de l'ancienne façade (de style Louis XII). La partie supérieure du porche et la tourelle d'escalier, attribuées au maître maçon Jamet Nepveu, sont terminées en 1594 (porte la date) dans le style renaissance. Au 17e siècle, le bras droit du transept est agrandi (vers 1602), des chapelles sont réalisées à l'ouest (en 1642) et à l'est (en 1690) du choeur, et François Langlois allonge le bras gauche du transept (entre 1690 et 1697). Une dernière chapelle est réalisée en 1705. Au 19e siècle des voûtes de briques viennent se substituer au voûtement d'origine dans la nef et le transept (en 1853, 1854), puis l'architecte Eugène Boret ajoute deux bas-côtés supplémentaires en 1870. En 1891, la restauration de la façade par l'architecte Louis Garnier termine le cycle des grands travaux. Les ajouts du 19e siècle ont été supprimés lors des restaurations entamées en 1987 et achevées en 2006. Description : Voûte en pendentif (à caissons) avec clef pendante. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux Précision(s) sur le décor représenté : Armes de François de Laval : écartelé : au 1er d'azur à trois fleurs de lys d'or, qui est de France aux 2ème et 3ème d'or à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d'argent et cantonnée de seize alérions d'azur, qui est de Montmorency-Laval,au 4ème d'azur à trois fleurs de lys d'or et au bâton componné d'argent et de gueules, qui est d'Evreux,sur le tout : de gueules au lion contourné et couronné d'argent, qui est de Vitré,support : pilier de la façade occidentale. Protection MH : Eglise Saint-Vénérand, à l'exclusion des deux bas-côtés du 19e siècle (désormais détruits) (cad. AX 66) : classement par arrêté du 3 juin 1975. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1979 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000369 - ensemble d'édifices de tisserand à cour commune dit la Croix de Vin Historique : Groupe de maisons qui avaient été construites majoritairement au 17e siècle, hormis quelques unes réalisées aux 18e et 19e siècles. Description : Ancien village de tisserands. Chaque maison comportait un sous-sol partiellement enterré servant d'atelier de tissage. Au dessus, le rez-de-chaussée surélevé, servait de logement. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000396 - croix de chemin dite croix d'Hydouze ou croix Saiget Historique : Croix sobre du 18e siècle (?). En haut de la croix, de chaque côté, se trouvaient 2 statues représentant la Vierge et saint Jean, placées dans 2 niches en pierre sculptées fermées par des grilles en fer forgé. Ces statues furent enlevées en 1960. Description : La croix repose sur un petit socle cubique, son fût présente une base carrée moulurée. L'ensemble est chanfreiné. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000397 - croix de chemin dite Croix-de-Pierre Historique : Croix du début du 16e siècle qui marquait la limite entre les paroisses d'Avesnières et de la Trinité. Description : Son socle présentait une figuration sphérique angulaire de têtes d'hommes, désormais effacées. Le fût, octogonal et de petite taille, porte en décor un médaillon losangé fleurdelysé. Précision(s) sur le décor représenté : sujet : médaillon fleurdelysé (en partie effacé), support : sommet de la croix Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000403 - fontaine du Puits-Rocher, fontaine des Trois-Croix 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000628 Historique : Mentionnée en 1516, cette fontaine est réédifiée en granite au 18e siècle. Elle était située à l'angle de la rue de Paradis et de la rue du Hameau et n'a été transférée à son emplacement actuel, le jardin de la Perrine, qu'en 1936. Description : La bouche et le bassin sont abrités sous une trompe en demi cul-de-four. Protection MH : Fontaine publique (cad. CE 113) : inscription par arrêté du 2 décembre 1929. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000047 - prieuré de bénédictines, puis église paroissiale Notre-Dame, actuellement basilique Notre-Dame d'Avesnières 32 vues Historique : Une église était mentionnée comme ancienne au début du 11e siècle, et avait été restaurée vers 1040 - 1050 par Yves de Saint-Berthevin. Vers 1073 elle est donnée aux bénédictines du Ronceray d'Angers qui en font le siège d'un prieuré. L'édifice est, dès lors, à la fois prioral et paroissial. Les religieuses sont à l'origine de sa reconstruction dans la seconde moitié du 12e siècle. Les premières travées de la nef, partiellement détruites par les anglais en 1429, ne sont reprises qu'en 1478. La flèche a été réalisée par le maître maçon Jamet Nepveu de 1534 à 1538. En mauvaise état, elle a été reconstruite à l'identique par l'architecte Lambert entre 1874 et 1876. Les deux premières travées de la nef ainsi que la façade sont reconstruites, de 1883 à 1887, par les architectes E. Lambert et Eugène-Joseph Hawke. Description : L'église est formée d'un choeur à déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes. Les chapelles du transept sont orientées et la nef comprend deux bas-côtés. L'édifice est voûté d'ogives sur le choeur, le transept et la nef, alors que le déambulatoire et les bas-côtés de la nef sont voûtés d'arêtes. Quant aux chapelles elles sont voûtées en cul-de-four (comme l'abside du choeur). Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : animal fantastique, griffon, support : contrefort de la travée centrale de l'élévation antérieure Protection MH : Eglise Notre-Dame-d'Avénières (cad. BZ 3) : classement par liste de 1840. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000646 - chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs et de l'Invention de la Croix 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000645 Historique : La chapelle est édifiée en 1842 (par l'architecte Pierre-Aimé Renous ?) en remplacement d'un sanctuaire provisoire dit de l'Immaculée-Conception qui avait été aménagé dans la maison du chemin d'Hydouze. La nouvelle chapelle est bénite sous le vocable de Notre-Dame des Sept Douleurs et de l'Invention de la Croix, le 15 septembre 1844. Sa cloche, à qui furent donnés les prénoms de Christiane, Berthe et Andrée, est baptisée le 24 juin 1933. Depuis 1980, l'édifice est divisé en deux dans sa hauteur et accueille des salles de cours. Date(s) de réalisation : 1842 Description : La chapelle a la particularité de posséder un clocher déporté de forme octogonale. Ses murs sont percés de baies en plein-cintre et couronnés d'une voûte en berceau. Jusqu'en 1907, l'intérieur était revêtu d'un décor néo-classique composé, entre autres, de pilastres cannelés à chapiteaux composites. L'ensemble des murs étaient recouverts de peintures monumentales. Ceux du choeur étaient peints des figures en pied de sainte Agnès et de saint Louis de Gonzague. Les deux peintures murales encadraient une statue (en plâtre polychrome ?) du Sacré-Coeur placé derrière le maître-autel en marbre blanc. Celui-ci était flanqué de deux autels latéraux surmontés des statues de la Vierge, à gauche, de saint Joseph, à droite. Les baies étaient fermées par des vitraux à motifs géométriques (losanges) et figuratifs (verrières de Mater Admirabilis et de la Vierge de Lourdes). Vers 1860-1862, un orgue construit par le belge Hypopolyte Loret fut installé sur la tribune. Au moment de leur expulsion en 1904, les religieuses donnèrent ou vendirent une grosse partie du mobilier. L'orgue fut ainsi acheté par le comte Jacques de Vaujuas-Langan qui en fit don à l'église de Launay-Villiers. En 1907, les peintures murales furent supprimées. En 1933, une cloche dénommée Christiane-Berthe-Andrée, vint remplacer la cloche d'origine descendue le 14 juillet 1904. A la même époque, les vitraux furent remplacés par des verrières de Michel Soutra aujourd'hui disparu. Dans les années 1945-1950, un grand crucifix fut accroché derrière le maître-autel. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2011 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2011 (c) Ville de Laval, 2011 Fonds / classement : Architecture |
IA53000664 - chapelle dite grande chapelle 6 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000063 Historique : La grande chapelle, conçue pour devenir l'église paroissiale de la rive gauche, est réalisée en 1897 sur les plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Le père Cyrille Hamelin, alors supérieur de l'Immaculée-Conception, en est l'initiateur. Dans les années 1990, l'intérieur de l'édifice est totalement transformé par l'architecte Yves-Marie Belot. Description : Chapelle néo-romane en pierre de taille de granite et en moellons équarris de calcaire. La croisée du transept est couronnée d'un toit à l'impériale. La voûte du choeur accueille une peinture monumentale de M. Moriceau. Les fenêtres sont dotées de vitraux dont certains d'Auguste Alleaume. Dans les années 1990, la nef a été partagée en trois niveaux afin d'accueillir au rez-de-chaussée le restaurant scolaire, à l'extrémité du premier étage des salles de cours ainsi qu'un oratoire et sur la totalité du deuxième étage une chapelle. Des cuisines sont également construites devant l'ancienne entrée du sanctuaire. D'après une carte postale ancienne, la chapelle conservait un trésor composé d'une chasuble gothique, d'une étole et d'une bourse de bénédictin, d'un grand missel de Tournai, d'une chape, d'une reliure mosaïque, d'un ostensoir de la maison Biais, d'une Vierge de la fondation du Collège, de deux paires de burettes dont une du 17e siècle et d'un évangéliaire provenant de Bruges. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : remanié Précision(s) sur le décor représenté : La scène du Couronnement de la Vierge est inspirée d'une fresque de Fra Angelico et représente l'accueil au Ciel de la Vierge par le Christ qui l'élève au dessus de la multitude des bienheureux. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000665 - chapelle Saint-Julien Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000025 Historique : La chapelle, édifiée pour 300 000 francs sur des plans de Léopold Ridel, achève les gros travaux de l'hôpital Saint-Julien. Les vitraux dont elle ornée sont réalisés entre 1901 et 1902 par Auguste Alleaume. D'après le registre de caisse du peintre-verrier, leur réalisation s'est faite pour un coût total d'environ 8 000 francs. Après sa désaffection au culte dans les années 1980, l'édifice est utilisé comme espace d'exposition. Depuis 2000, la chapelle est utilisée comme atelier et réserve muséale Date(s) de réalisation : 1901 Description : Chapelle en croix latine orientée sud-nord et dont l'entrée principale occupe le bras ouest du transept autrefois réservé au public. De style romano-byzantin, l'édifice se distingue par son entrée richement ornée : sculptures en bas-relief dont une Vierge à l'enfant tenant un lys et une statue de Saint Joseph, rose, arcatures etc.. La croisée du transept est coiffée d'une tour lanterne à tambour et dôme ovale. Un lanternon portant croix surmonte l'ensemble. Un campanile à flèche polygonale renferme une cloche installée en 1901. Le bras gauche du transept, anciennement choeur des religieuses, est constitué d'une salle basse à deux rangées de cinq arcatures et d'un étage. Le plafond de la salle basse est couvert d'un solivage en chêne sculpté. Ce qui correspond à la nef stricto sensu et qui se caractérise par sa faible longueur, était réservé aux malades et communiquait avec l'hôpital. Le choeur qui décrit un demi-cercle est peu profond. Le décor intérieur est particulièrement digne d'intérêt et, exception faite des vitraux d'Auguste Alleaume, fut exécuté sous la direction de Léopold Ridel : peintures monumentales réalisées par les peintres nantais et parisien Maurice Chabas et Emmanuel Cavaillé-Col, sculptures de l'artiste nantais Joseph Vallet. Nonobstant le pignon du transept ouest, la tour lanterne à tambour, dôme et lanternon qui utilisent la pierre de taille de calcaire, la chapelle est construite en moellons de moyen appareil. Les murs sont percés de baies en plein-cintre. État de conservation : désaffecté,mauvais état Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Architecture |
IA53000050 - prieuré de bénédictins Saint-Martin 20 vues Historique : Le prieuré qui dépendait de l'abbaye Saint-Martin de Tours, a été fondé vers 1050 par Guy 1er de Laval. L'église qui a été construite dans la seconde moitié du 11e siècle fermait l'un des côtés d'une cour carrée entourée de bâtiments conventuels. Au 15e siècle les bâtiments subissent quelques remaniements : percement de nouvelles fenêtres dans les murs sud de la nef et du transept, réfection de la voûte d'ogive du carré du transept et reconstruction du logis prioral. Ce dernier est agrandit vers 1720 pour le prieur Daniel Bonnenfant de Brivezac. Fermée en 1791, l'église servit de caserne puis de magasin jusqu'à son acquisition par le chanoine le Segrétain en 1879. Celui-ci entreprend de la transformer en aumônerie militaire et de la remanier : la tour du transept est couronnée de merlons et de créneaux en 1895. Ces rajouts sont supprimés en 1995. Aujourd'hui, l'église est désaffectée au culte. Description : L'édifice de style roman a été construit en grès clair de petit appareil et grès roussard de gros appareil pour les contreforts, les chaînes d'angle et les ouvertures. La nef unique était autrefois flanquée de contreforts dont on distingue les arrachements à l'extérieur. 5 fenêtres en plein-cintre ébrasées vers l'intérieur subsistent au nord, tandis que le mur sud présente des baies en arc brisé. La nef vient buter sur une croisée plus étroite. De part et d'autre de l'arcade centrale, deux passages latéraux de type "Berrichons" donnent accès aux bras du transept. Sur ces derniers s'ouvrent des chapelles orientées. Elles encadrent un sanctuaire composé d'une travée droite et d'une abside rétrécie. Autrefois situé sur la façade occidentale, le portail fut remonté, peut être au 18e siècle, dans le mur nord de la nef. Taillé dans le granite, il présente une voussure en plein-cintre formée de 3 rouleaux qui possèdent chacun une moulure au décor particulier, témoignage de l'influence normande. Dalles de verre par Gabriel Loire de Chartres réalisés en 1951. Celle de la baie axiale de l'abside représente l'acte de charité pour lequel saint Martin est le plus connu. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : grès, moellon Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : Eglise Saint-Martin (ancienne), y compris les peintures murales (cad. CL 323) : classement par arrêté du 11 décembre 1979. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000063 - école dite Institution de l'Immaculée Conception 6 vues Historique : L'institution de l'Immaculée Conception est créée par l'abbé Blu en 1865 dans une ancienne école située place des Arts (actuel 46, rue du Jeu-de-Paume). En 1870, elle est transférée rue Crossardière où les bâtiments du futur collège ont été construits entre 1869 et 1870. En 1879, l'abbé Blu est remplacé par le père Cyril Hamelin, ancien oblat du Sacré-Coeur du Mont-Saint-Michel. Grâce à la mobilisation des membres de l'abbaye, celui-ci put recueillir les fonds nécessaires à l'agrandissement du collège. C'est également en 1879, que le lycée est créé avec l'ouverture d'une classe de seconde. Entre 1914 et 1918, l'établissement est transformé en hôpital de guerre. Description : Le gros-oeuvre des bâtiments est en moellons enduits. Le bâtiment principal est surmonté d'un toit à longs pans brisés à croupe. Le fronton curviligne du portail sur rue est orné d'un écu armorié. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Armes de Pontigny,armes du Mont-Saint-Michel,armes non identifiées, de gueules chargé du monogramme de la Vierge au chef d'or chargé d'une étoile, support : tympan du portail sur rue. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 1981 (c) Ville de Laval, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000080 - manoir dit hospice de la Coconnière 9 vues Historique : Ancien manoir du 17e siècle dont il ne subsiste qu'une petite partie dont une tourelle d'escalier. En 1850, son propriétaire, le prêtre Jacques Ruffin, le cède aux hospices de Laval ainsi que les terrains de la Coconnière. Dans la seconde moitié du 19e siècle, de nouveaux bâtiments sont réalisés dont, en 1875, une chapelle néo-gothique édifiée sur des plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Entre 1925 et 1929, Auguste Alleaume la dote de vitraux utilisant principalement le verre blanc (les sommes de 2 300 et 9 500 francs apparaissent dans le registre de caisse du peintre-verrier). Jusqu'à la construction de l'église Sainte-Thérèse, le sanctuaire servit de lieu de culte aux nouveaux habitants de Saint-Nicolas. La chapelle est détruite en 1990. Date(s) de réalisation : 1875 Description : La partie subsistante de l'ancien manoir est en moellons. Les constructions du 19e siècle sont en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000375 - église paroissiale Saint-Melaine Historique : L'église Saint-Melaine fut probablement construite au 12e siècle. Elle était le centre de la première paroisse de la rive gauche, jusqu'à la construction de l'église Saint-Vénérand en 1485. Vendue à un maçon en 1799, l'église était en ruine en 1835. Description : L'édifice comprenait une nef et deux chapelles attenantes. Une statue de Saint-Melaine et une Vierge à l'Enfant du 14e siècle se trouvaient dans cette église. Elles sont aujourd'hui dans l'abbaye du Port-du-Salut à Entrammes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : détruit Précision(s) sur le décor représenté : saint : Saint-Melaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000381 - oratoire, puis chapelle de la Croix-Couverte ou chapelle des Touches ou chapelle des Petits-Champs 2 vues Historique : Ancien oratoire devenu chapelle et qui d'après sa première appellation a peut-être remplacé une croix couverte d'un auvent. Ses origines sont mystérieuses : certaines traditions le présentent comme un des plus vieux sanctuaires de Laval, d'autres affirment qu'il aurait été construit à l'époque de la première croisade "pour servir aux pélerins qui circulaient dans la campagne mayennaise et leur signaler un point d'eau tout proche". En effet, l'oratoire a été édifié à un carrefour très important de voies anciennes : les unes reliant le gué d'Avesnières à celui de Pritz en direction du Mont-Saint-Michel, les autres s'en allant vers Saint-Melaine, Mayenne et Montsûrs. Une troisième hypothèse plaide en faveur d'un bâtiment annexe de l'abbaye cistercienne de Fontaine-Daniel. Celle-ci se base sur des documents du 13e siècle reconnaissant à ces moines des droits sur des terres et des vignes se trouvant à proximité de l'édifice. En 1703, une lettre adressée au prieur-curé de Saint-Vénérand par le secrétaire de l'évêque du Mans lui "permet de bénir la Croix-Couverte si c'est une chapelle de l'enceinte du cimetière de Saint-Vénérand ou proche l'église", mais refuse l'autorisation" si c'est une chapelle champestre...". Si ses origines sont anciennes, le petit sanctuaire est reconstruit ou remanié en 1788 comme l'indique le millésime gravé sur la clef de l'arc d'encadrement de la porte. De 1903 à 1974, date correspondant à l'extension de la zone Industrielle des Touches, il est situé sur l'emprise de la ferme des Petits-Champs. Jusqu'à la fin des années 1950, trois jours avant l'Ascension, la procession des rogations s'y rendait après avoir fait une halte à une fontaine voisine appelée "fontaine des Semailles", du nom d'un champs voisin. La chapelle est restaurée par la maison Grevet dans les années 1980. En 2007, elle est donnée à la Ville de Laval par les descendants de la famille Chevalier qui en était propriétaire. A noter : jusqu'au lendemain de la Seconde guerre mondiale, du calcaire bleu était extrait d'une carrière située au sud de la chapelle. Date(s) de réalisation : 1788 Description : Le sanctuaire est bâti sur un petit promontoire en calcaire bleu de Laval. Cette pierre se retrouve sous forme de moellons enduits dans le gros-oeuvre mais aussi dans l'emmarchement réalisé avec de gros blocs. Le mur pignon à deux contreforts est couronné d'un petit campanile de plan carré. La pente des versants du toit est adoucie par des coyaux. L'arc segmentaire de la porte d'entrée est réalisé avec de la pierre calcaire. Il est surmonté d'un motif constitué d'un croissant de lune (symbole marial ?) sommé d'une croix pattée (croix de consécration ?). A l'intérieur, le vaisseau est couvert d'une fausse voûte en berceau cachant ce qui paraît être une charpente "à fermes portiques", type fréquemment mis-en-oeuvre au 18e siècle. La table en granite de l'autel est gravée d'une croix de consécration. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000430 - mausolée dit chapelle de la Croix-Bataille Historique : Cette chapelle a été élevée à la mémoire du prince de Talmont, guillotiné à Laval en 1794. Elle s'élève sur les hauteurs du lieu-dit "les Landes de la croix bataille" où se déroula une importante bataille entre l'armée vendéenne et l'armée républicaine le 25 octobre 1793. Le monument est construit par l'architecte Pierre-Aimé Renous sur les plans de l'architecte Pierre Delarue en 1829. Resté inachevé, il a été détruit et vendu pour ses matériaux en 1868. Date(s) de réalisation : 1829 Description : La chapelle était précédée d'un portique à fronton triangulaire reposant sur 4 colonnes à chapiteaux doriques(?). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Architecture |
IA53000432 - prieuré de bénédictins, actuellement église paroissiale Saint-Sulpice 5 vues Historique : Construite à l'emplacement d'un édifice antérieur, l'église d'origine date de la fin du 11e siècle ou du début du 12e siècle. La nef a été reconstruite en 1874 par l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Date(s) de réalisation : 1874 Description : La nef s'ouvre sur un choeur plus étroit composé d'une travée droite et d'une abside. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : grès, moellon Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000433 - prieuré de bénédictins, chapelle Notre-Dame-de-Pritz 5 vues Historique : Dans un acte qui l'attribuait à l'évêque Béraire, un monastère est mentionné à Pritz, en 710, à l'emplacement d'un cimetière du haut Moyen Age. Restaurés au lendemain des incursions normandes, les bâtiments sont confiés aux moines de l'abbaye bénédictine de la Couture du Mans lors de la création de la baronnie de Laval au début du 11e siècle. La chapelle devient la première église paroissiale de la nouvelle agglomération. A cette époque le chevet est modifié par la reconstruction du choeur et des absidioles du transept. La nef est également prolongée vers l'ouest au début du 12e siècle. La construction de l'église de la Trinité près du château, puis le transfert du siège paroissial, ne lui conserveront qu'un rôle de chapelle priorale. Au 14e siècle la partie orientale du choeur est détruite et remplacée par un chevet plat. Description : Depuis les destructions du 14e siècle, la chapelle présente une longue nef à vaisseau unique se terminant par un choeur peu profond. Deux chapelles flanquées d'absidioles s'ouvrent au nord et au sud. Le haut de la nef conserve des vestiges de maçonnerie à cordons de brique remontant au haut Moyen Age, tandis que les murs gouttereaux occidentaux présentent des traces d'un petit appareil en arêtes de poisson probablement du début du 12e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : chapelle, y compris les restes de peintures murales (cad. AE 4) : classement par arrêté du 2 mars 1938. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000434 - chapelle, puis église paroissiale Sainte-Anne Historique : En 1864, la fabrique de l'église d'Avesnières acquiert un terrain au village de Thévalles destiné à la construction d'une chapelle de secours. Celle-ci est édifiée en 1868. Elle est desservie par le clergé d'Avesnières jusqu'en 1899. Des travaux d'entretien dont la réfection de la couverture sont réalisés en 1924. En 1925, ses vitraux sont restaurés par Auguste Alleaume (mention dans le registre comptable du peintre-verrier). Au printemps 1996, l'église fait à nouveau l'objet d'importants travaux : la voûte en plâtre existante est démolie et remplacée par des lattes de châtaignier sur ossature de chêne et corbeaux de béton. Date(s) de réalisation : 1868 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits, la façade occidentale en pierre de taille de calcaire. Le chevet est à 3 pans. Le pignon occidental forme un clocher-mur à 2 baies. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IM53000116 - retable architecturé à niche de saint François Historique : Conformément aux dispositions testamentaires de François Caset, conseiller au parlement de Bretagne, Jeanne Marest, sa veuve, commande un retable dédié à saint François. Le marché passé avec Pierre Corbineau est signé le 31 juillet 1637 et les travaux sont achevés le 1er juillet 1638. Décor représenté : ornement(guirlande, chute végétale, console, modillon, à denticule, chapiteau corinthien, panier fleuri, corne d'abondance, feuille, ornement architectural), angelot, cartouche(croix, bras) Précision(s) sur le décor représenté : Dans le cartouche, les armoiries de l'ordre des franciscains. Dimension(s) : h = 830 h,l = 338 Inscription(s) : emblématique(peinte) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000153 - statue : Christ en croix Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000155 - bas-relief : Christ portant sa croix Historique : D'après Jules-Marie Richard, il s'agit de l'antependium de l'ancien autel du retable Saint-François. D'après Auguste Chantepie, il s'agit d'un devant d'autel provenant de la chapelle des Urbanistes de Patience. Il aurait été donné à l'abbé de l'église Notre-Dame par des paroissiens en 1849. Auguste Chantepie précise qu'une restauration a été effectuée en 1937. Description : Bois sculpté en faible relief et peint. Précision(s) sur le décor représenté : Au centre de la composition, le Christ marche en supportant sa croix. A droite, saint François et sainte Claire aident le Christ à porter sa croix. A gauche, saint Jean soutient la Vierge assise à l'écart tandis que sainte Véronique montre le tissu sur lequel vient de s'imprimer la face du Christ. Dimension(s) : h = 61,la = 159 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre : h = 74,5, la = 182,5. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000190 - croix : Christ en croix 2 vues Historique : D'inspiration espagnole, ce Christ du 15e siècle, semble être adossé à une croix du 19e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ est représenté dans une attitude très raide. Sa taille est ceinte d'un perizonium aux plis couchés, croisés sur le devant. Il est cloué sur une croix aux extrémités amorties par des quadrilobes peints aux symboles des évangélistes. Dimension(s) : h = 180 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000215 - chemin de croix 16 vues Historique : Le chemin de croix est peint en 1844 et 1845 par Lanoë, maître de peinture au collège de Pontlevoy dans le Loir-et-Cher. Il forme un ensemble iconographique homogène. L'artiste s'est inspiré de tableaux de maîtres comme Le Caravage et Annibale Carrache. Description : Les cadres sont en bois peint. Ils sont ornés d'une bordure d'oves et de motifs végétaux mêlés à des médaillons dans les angles. Les croix sont en fonte. Précision(s) sur le décor représenté : Les 14 stations du chemin de croix. Dimension(s) : h = 194,5,la = 146 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans cadre,dimensions avec cadre : h = 208, la = 159.5,dimensions du cadre : h = 270,la = 172,3,pr = 8,3. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000284 - croix de procession Historique : La croix de procession (N° 26) avec ses extrémités polylobées semble dater du 16e siècle. Le noeud et le pommeau sont d'époque postérieure. C'est Pierre Triguel, curé de Vieuvy de 1602 à 1635, qui l'offrit à sa paroisse en 1625. Son auteur n'est pas identifié mais il pourrait s'agir d'un orfèvre lavallois ou éventuellement angevin. Propriété de la commune de Vieuvy, elle a fait l'objet d'un dépôt à la cathédrale de Laval et fait partie de son trésor. Description : Croix de procession à lames d'argent partiellement dorées clouées sur âme de bois. Elle porte un décor repoussé, ciselé et estampé. Le titulus, la figure en ronde-bosse du recto et celle en demi-relief du verso sont rapportés. Le noeud est sphérique. Décor représenté : ornementation (quadrilobe, rinceaux, fleurons, godrons), les Prophètes, le Tétramorphe (aigle de saint Jean, boeuf de saint Luc, lion de saint Marc, ange de saint Matthieu), Christ en croix, Vierge à l'Enfant Précision(s) sur le décor représenté : Les quadrilobes en accolades de l'extrémité des bras, le décor de rinceaux floraux des bras, le carré couvrant la croisée et les godrons du noeud sont hérités du 16e siècle. Le programme iconographique y est aussi traditionnel : sur l'avers, les trois prophètes et un ange tiennent chacun un phylactère apparement vierge de tout nom,sur le revers, le Tétramorphe dont chaque emblème est également accompagné d'un phylactère dont l'inscription latine est en partie effacée. L'originalité réside ici dans la forme carrée des plaques, habituellement circulaires, ciselées de figures relevées en bosse et occupant le centre des quadrilobes. En revanche, l'effigie de la Vierge à l'Enfant, en demi-relief, debout sur une console godronnée, constitue une nouveauté avant qu'elle ne devienne, quelques années plus tard et jusqu'au 18e siècle, le décor habituel du revers des croix de procession. Un remontage désastreux résultant probablement d'une restauration effectuée en 1625, a bouleversé l'ordonnance primitive des plaques rapportées de cette croix. C'est ainsi que du côté du crucifix, l'ange à phylactère de l'extrémité gauche devrait se trouver au revers à la place du prophète. Quant au boeuf ailé de saint Luc, il faudrait le faire virer d'un quart de tour à gauche pour qu'il retrouve une position normale. De même, le crucifix devrait être encadré des symboles des quatre évangélistes et la Vierge des quatre prophètes. Ces anomalies incitent à croire que ces statuettes sont tardives et que la croix en était dépourvue à l'origine. Enfin, le bas de la jambe est gravé d'un écusson surmontant la date de 1625. Dimension(s) : h = 72,2,la = 40,8 Précision(s) sur les dimensions : noeud : d = 11.5. Inscription(s) : armoiries (gravées, sur l'oeuvre),date (gravée, sur l'oeuvre),inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000311 - patène 1 vue Historique : Patène (N° 52) réalisée entre 1838 et 1844 par l'orfèvre parisien Hippolyte François Bertrand-Paraud dont le poinçon de fabricant fut en service de 1837 à 1844. Elle fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Patène en argent doré dont la face externe présente des motifs gravés. Précision(s) sur le décor représenté : La face externe est gravée de trois cercles ponctués et d'une couronne d'épines renfermant l'I.H.S. placé entre entre une croix et un coeur sommé de trois clous en éventail. Dimension(s) : d = 14,4 Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000319 - croix pectorale 1 vue Historique : Croix pectorale (N° 60) datant du 18e siècle ou du 19e siècle. Un dispositif arrière datant probablement du 19e siècle lui a été adapté afin de la placer sur le rayon supérieur de la gloire de l'ostensoir de l'orfèvre Louis Loque (IM53000318). Elle fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Croix plate en argent doré à décor ciselé. Le centre est rehaussé de petits diamants. Elle est complétée par des montures fixées au revers et dotées de pierres précieuses : quatre grosses gemmes ovales (disparues) aux extrémités des branches, quatre petits grenats (disparus) cantonnant le croisillon central et trente-deux petits diamants (dont six ont disparu) pour le reste de l'encadrement. La monture de la gemme inférieure se prolonge vers le bas par une languette amincie sur laquelle sont rivées, à la suite, une longue et étroite pierre de jais cernée par un ovale de vingt brillants. La pierre est chargée en son centre d'un diamant placé entre deux fleurons d'argent incrustés de cinq petits brillants. La base de la languette accueille une grosse améthyste terminale à monture ciselée. Dimension(s) : l = 16,3,la = 6,7 Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000321 - croix d'autel 1 vue Précision(s) sur le décor représenté : Instruments de la Passion sur le pied. Dimension(s) : h = 142,5,la = 43,2 Précision(s) sur les dimensions : pied : la = 23,3,pr = 16,9. Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000322 - croix de procession 3 vues Historique : Croix de procession (N° 62) réalisée entre 1700 et 1724 par un artisan non identifié. Description : Croix en cuivre argenté au décor ciselé et repoussé. La figure en ronde-bosse et le titulus sont rapportés. La croix est posée sur une douille aplatie placée au dessus d'un noeud vaguement piriforme. Précision(s) sur le décor représenté : Les bras de la croix présentent des moulures rectilignes et sont amortis par des fleurons à feuilles et coquilles. La croisée est ornée d'un médaillon à tête d'angelot entouré de courts rayons solaires, au recto et d'une gloire, au verso. Le Christ a les bras très relevés. Le culot du noeud se pare de croisillons ponctués de fleurettes. La partie renflée accueille un décor rocaille et la partie supérieure des canaux. La douille est décorée d'un entrelacs rubanné autour de fleurons. Dimension(s) : h = 85,5,la = 49 Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000323 - calice et patène Historique : Ensemble calice et patène réalisé par l'orfèvre parisien A Cabaret vers la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Description : Calice et patène en argent doré. Le décor du calice est repoussé, ciselé et rehaussé d'émaux peints. Celui de la patène est gravé et également émaillé. Le calice repose sur un pied à huit lobes alternativement gros et petits. Ces derniers sont sommés de pierres à montures carrées. La partie supérieure du pied se prolonge pour former la tige polygonale coupée par un noeud circulaire aplati placé au dessus d'une collerette. La coupe ovoïde est habillée d'une fausse-coupe enrichie de pierres à montures carrées. Décor représenté : ornementation (palmettes, cartouche, crochets, rosaces, palmettes), scène biblique (Jardin des oliviers), scène biblique (Crucifixion), scène biblique (Mise au tombeau), scène biblique (La Résurrection), scène biblique (Annonciation), scène biblique (Jésus et les Docteurs), scène biblique (Jésus guérissant), scène biblique (Entrée à Jérusalem), scène biblique (Cène) Précision(s) sur le décor représenté : Calice et patène néo-gothiques. Le dessus du pied est délimité par un tore orné de palmettes. Le départ de la tige accueille quatre cartouches triangulaires représentant le Jardin des oliviers, la Crucifixion, la Mise au tombeau et la Résurrection. Les baguettes placées entre les cartouches sont décorées de crochets. Le noeud se pare de rosaces placées entre deux frises à palmettes. La fausse-coupe est délimitée par deux bandeaux gravés d'inscriptions. Les quatre cartouches qui la composent renferment des scènes figurant l'Annonciation, Jésus et les Docteurs, Jésus guérissant (l'aveugle et le paralytique) et l'Entrée à Jérusalem. Les baguettes qui cantonnent les cartouches sont recouvertes de crochets sommées de palmettes. Le centre de la patène représente la Cène entourée d'une couronne de palmettes. Dimension(s) : h = 24,2,d = 15,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 8,9,patène : d = 14,9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris,inscription (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'auteur (gravée, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000324 - calice et patène 2 vues Historique : Calice et patène réalisés dans le dernier quart du 16e siècle. Il a appartenu au prêtre Pierre Pivert qui a fait graver son nom sous le calice avant 1647 (date de son décès). Propriété de la commune de La Bigottière, l'ensemble a fait l'objet d'un dépôt à la cathédrale et fait partie de son trésor. Description : Calice et patène en argent doré dont le décor est repoussé et ciselé. Le calice repose sur un pied polylobé (onze lobes arrondis) au dessus bombé. La tige de plan circulaire est coupée par un noeud de même profil. Décor représenté : ornementation (godrons, fruits, feuilles), angelot : tête, aile, Jardin des oliviers, Flagellation du Christ, Couronnement d'épines, Jésus présenté au peuple, Montée au Calvaire, Jésus dépouillé de ses vêtements, Crucifixion, la Résurrection, Les Evangélistes, les apôtres, I.H.S, Cène, Les Instruments de la Passion Précision(s) sur le décor représenté : Le dessus du pied du calice est orné de quatre médaillons renfermant des scènes de la Passion : le Jardin des oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines et Jésus présenté au peuple (Ecce Homo). Quatre autres épisodes sont représentés sur la coupe : la Montée au Calvaire, Jésus dépouillé de ses vêtements, la Crucifixion et la Résurrection. Le noeud se pare de niches accueillant les quatre évangélistes et leurs attributs. Les apôtres sont figurés sur les onze lobes du pied (il manque Judas). La partie centrale de la patène accueille l'I.H.S. entouré de la Cène. Le rebord présente tous Les Instruments de la Passion : l'aiguière et le bassin du lavement des mains de Pilate, le coq du Reniement, l'échelle de la Descente de croix, la main qui soufflette le Christ, la robe sans couture et les dés qui servirent à la tirer au sort, la couronne d'épines, la colonne de la Flagellation, la Croix, les trois clous, les deniers de Judas tombant en cascade d'une bourse renversée, la lanterne de Malchus, le voile de Véronique, l'éponge, la lance de la transfixion et le marteau qui enfonça les clous. Dimension(s) : h = 24,7,d = 16,4 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 10,patène : d = 16. Inscription(s) : poinçon de maître,lettre-date,inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000390 - statue : Christ en croix 1 vue Historique : Christ en croix, en bois polychrome du 17e siècle. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000398 - statue : Christ en croix Historique : Ce Christ a été réalisé au 15e siècle, alors que son support néo-gothique remonte seulement au 19e siècle. Il se trouvait installé, au siècle dernier, au-dessus de la poutre de gloire (elle même au-dessus de la clôture de choeur) au sommet d'un gâble et était encadré par la Vierge et saint Jean, posés sur des pinacles. Précision(s) sur le décor représenté : Ce Christ en croix était situé au sommet d'un gâble ajouré,à ses cotés, saint Jean et la Vierge reposaient sur des pinacles (disparus(?)). Sa taille est ceinte d'un perizonium et sa tête coiffée d'une couronne d'épines. Dimension(s) : h = 185,la = 140 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du Christ avec la croix,dimensions du Christ sans la croix : h = 160, la = 120. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1987 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000410 - groupe sculpté : Portement de croix Historique : Groupe non relié évoquant le Portement de Croix ou la Montée au Calvaire, réalisé en terre cuite au 17e siècle. Au début du siècle, la Vierge avait pris place plus près du Christ au centre du groupe. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ au centre porte sa croix, à sa droite Simon de Cyrène semble vouloir l'aider à porter son fardeau,sainte véronique présente le linge où apparaît le visage du Christ,sainte Marie-Madeleine richement vêtue ouvre une coupe remplie de parfum(?),la Vierge, les bras croisés, semble attendre la suite avec sérénité. Dimension(s) : h = 180,l = 300 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000428 - monument funéraire (gisants) de Guy XII et Jeanne de Laval Historique : Monument sépulcral de Jeanne de Laval et de son époux Guy XII, réalisé entre 1433 et 1450. Seul le coeur de Jeanne fut apporté a Clermont (son corps fut inhumé aux cordeliers de Laval). Description : Enfeu surmonté d'un gâble aux rampants ornés de fleurons, dans lequel s'inscrit un motif armorié. Le socle est décoré de 6 petits arcs en accolade encadrant chacun une statuette. Précision(s) sur le décor représenté : Personnage historique : Guy XII décédé en 1422 et Jeanne de Laval sa femme décédée en 1433,les statuettes du socle n'ont pas été identifiées. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000454 - crosse pastorale Historique : Crosse d'évêque réalisée par le maître orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand entre 1847 et 1891 (daté par poinçons). Le décor est inspiré des motifs du 16e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : la crosse s'achève en enroulement par une tête de dragon,dans cet enroulement, la Vierge à l'Enfant se tient debout sur le dragon. Dimension(s) : h = 184,5 Précision(s) sur les dimensions : hauteur totale,hauteur de l'élément supérieur : h = 48,5. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000464 - croix-reliquaire de la vraie croix Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000466 - croix-reliquaire de la vraie croix Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000467 - croix d'autel Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000468 - croix-reliquaire de la vraie croix Historique : Croix-reliquaire réalisée par l'orfèvre liégeois J. Wilmotte fils en 1890 (date portée). Précision(s) sur le décor représenté : un ange présente la couronne d'épines,un médaillon au centre de la croix contient la relique Dimension(s) : h = 40,8,la = 20,2 Précision(s) sur les dimensions : largeur de la traverse,diamètre du pied : d = 17,2. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000478 - ciboire 1 vue Historique : Ciboire réalisé par le maître orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand entre 1847 et 1891 (daté par poinçon). Dimension(s) : h = 21,d = 11,6 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 9. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000480 - calice et patène 1 vue Historique : Ensemble calice et patène réalisé par l'orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand et donné à la cathédrale par l'évêque de Laval Victor Maréchal en 1887. Description : calice à pied polylobé avec noeud plat à boutons et collerettes,fausse coupe Décor représenté : ornement (à fleur, à rinceau), Cène, Calvaire, Mise au tombeau, Apparition à Thomas, Tétramorphe, histoire de Moïse (la Pâque, le Frappement du rocher, adoration du veau d'or, grappe de la Terre Promise), dragon£agneau mystique Précision(s) sur le décor représenté : Des scènes de la Passion et de la vie du Christ ressuscité figurent dans les médaillons de la fausse coupe (la Cène, le Calvaire, la Mise au tombeau et l'Incrédulité de saint Thomas). Les attributs des quatre évangelistes sont visibles sur les boutons du noeud. Au pied du calice, quatre scènes de l'histoire de Moïse sont séparées par des dragons moulés. Un Agneau mystique figure au dos de la patène. Dimension(s) : h = 27,d = 16,2 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 11,5,patène : d = 16,7. Inscription(s) : inscription,poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000497 - peinture monumentale : croix de consécration Appartenant à : ensemble des décors peints Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000492 Historique : Cette croix de consécration a peut-être été réalisée dans le cours du 1er quart du 13e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : Croix inscrite dans un cercle et accompagnée de feuillages. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000504 - peinture monumentale : croix de consécration Appartenant à : ensemble des décors peints Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000492 Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001302 - plateau et ampoule à huile sainte 1 vue Historique : Le plateau et sa boîte à huile, qui porte les initiales O S, ont été réalisés par l'orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand entre 1847 et 1891. Description : La boîte à huile se visse sur le plateau. Une seconde boîte à huile a disparu. Dimension(s) : l = 24,la = 17,9 Précision(s) sur les dimensions : burette : h = 11,6. Inscription(s) : poinçon de maître,petite garantie 2e titre Paris(?),inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001341 - ensemble de 4 clefs de voûte 4 vues Historique : Au centre, les armoiries des comtes de Laval et du roi de France sur un même écu (parti). Dans les chapelles attenantes, les armoiries des comtes de Laval d'un coté et les armoiries du roi de France de l'autre. L'ensemble a été réalisé à partir de 1485. Description : clef de voûte en forme d'écu Précision(s) sur le décor représenté : Les 4 clefs de voûte portent des armoiries dont 1 est illisible,1 clef de voûte, armoriée aux armes des Laval, est surmontée d'une couronne comtale(?),1 clef de voûte, armoriée aux armes de France, est surmontée d'une couronne(?) et portée par 2 angelots. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : armoiries Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001353 - tombeau de la famille Bâtard 1 vue Historique : Tombe d'enfant de la famille Bâtard probablement réalisée en 1881. On peut lire une inscription poétique gravée dans le marbre. Description : La tombe légèrement inclinée supporte la statue d'un enfant allongé. Au-devant de celle-ci une croix. Deux autres tombes de la famille Bâtard encadrent cette tombe. Précision(s) sur le décor représenté : L'enfant, la tête sur un oreiller et une petite croix dans les mains, semble dormir sur un matelas drapé. Au-devant une grande croix (des roses sont sculptées au milieu de la traverse). Dimension(s) : l = 142,h = 180,la = 53,5 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001361 - tombeau de la famille Conilleau Perlemoine 1 vue Historique : Tombe de la famille Conilleau Perlemoine Miaille, probablement réalisée au début du 20e siècle. Madame Louis Conilleau née Perlemoine avait en 1903 fondé l'imprimerie "Vve Conilleau" entre la place Saint-Tugal et la rue des Déportés. Description : La sépulture est formée d'un socle rectangulaire en pierre que délimite, sur la longueur, des garde-fous en marbre surmontés de 2 pots à feu. A l'extrémité, une dalle rectangulaire portant les inscriptions est encadrée de pinacles(?) et surmontée d'une croix (l'ensemble est également en marbre). Un bac a fleurs(?) fermant la tombe porte les initiales entrelacées P et C. Dimension(s) : h = 295,la = 100,l = 200 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001390 - chemin de croix Historique : Le chemin de croix fut érigé en 1877. Précision(s) sur le décor représenté : Les 14 scènes du Chemin de croix. Dimension(s) : h = 154,l = 81,5 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Just Carole Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |