IA53000629 - atelier d'artiste, puis usine de chapellerie, actuellement salle de sport 17 vues Édifice de conservation : maison Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000627 Historique : Atelier construit vers 1899 pour le peintre-verrier Auguste Alleaume. D'après Francis Bellanger, son neveu, il est édifié sur des plans de l'architecte lavallois Louis Marchal. Toujours d'après Francis Bellanger, la menuiserie est réalisée par monsieur Tricot, un artisan installé dans le quartier. En 1939, Auguste Alleaume, alors âgé de 85 ans, laisse la direction de son atelier à Francis Bellanger et à son gendre Alexis Martinol. Lors des bombardements de la voie ferrée en 1944, toutes les vitres de l'atelier sont brisées. Après la guerre, l'atelier est vendu et transformé en usine de chapellerie. Il est aujourd'hui occupé par une salle de sport. En 1893, l'atelier avait pour adresse le 33 rue de Bootz. Date(s) de réalisation : 1899 Description : A la demande d'Auguste Alleaume, l'atelier est exposé au nord "pour que la lumière extérieure non éclatante ne gêne pas pour peindre les vitraux à exposer le long des grandes baies vitrées" (Francis Bellanger). Le bâtiment associe des éléments de structure en bois à une maçonnerie combinant calcaire et brique. Le corps principal à pignon aigu est percé d'une haute fenêtre dont l'arc brisé est souligné d'un encadrement en granite. Il est couronné d'un toit à longs pans débordants. L'appentis qui le jouxte présente une structure à pan de bois à laquelle se mêle de la brique dans sa partie supérieure. La tour de plan carré à toit en pavillon accueille un escalier hors-oeuvre. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie,Bureau Arnaud Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Architecture |
IA53000661 - maison Historique : Maison construite au début du 20e siècle pour Daniel Oelhert (1849-1920), géologue amateur et conservateur des musées d'archéologie et d'histoire naturelle de Laval. De 1954 à 2004, elle fut la propriété du docteur Deslandes. Description : Maison à organisation complexe constituée de trois bâtiments : un logis à façade sur rue, un corps postérieur et une aile en retour d'équerre. Elle s'accompagne d'une construction à étage renfermant notamment un garage. Un passage d'entrée surmonté d'une verrière à deux pentes sépare celle-ci de l'habitation. L'ensemble forme un plan en U. Côté rue, le gros-oeuvre du corps de bâtiment est en moellons enduits et en briques ocre-jaune pour le niveau supérieur (en raison d'une surélévation ?). Côté jardin, il combine briques ocre et rouge formant un décor géométrique. Les étages inférieurs sont dissimulés par un arrière-corps à deux niveaux en retour d'équerre. Le rez-de-chaussée est en brique poychrome disposée en assises alternées. Le mur sous-appui de la galerie est en faux pan de bois avec briques ocre-jaune en remplage. Le gros-oeuvre de l'aile en retour est en moellons enduits. La brique est uniquement utilisée pour les encadrements et pour le bow-window à pans coupés venant prolonger l'extrémité du premier étage. Une construction latérale en appentis vient encore agrandir cette partie de la maison. L'arrière-corps, peu profond et très ouvert, superpose fenêtres à arc segmentaire au rez-de-chaussée et fenêtres à arc déprimé à l'étage. Les ouvertures basses de sa façade latérale sont coiffées de linteaux métalliques à rosaces. Ceux-si se retrouvent de manière identique sur la construction en brique renfermant le garage actuel. Les couvertures varient d'un bâtiment à l'autre : terrasse pour le logis à façade sur rue, toit à deux pentes pour la dépendance et l'aile en retour, appentis pour l'arrière-corps et l'extension de l'aile en retour d'équerre. L'appentis débordant de l'arrière-corps repose sur des aisseliers en bois. Si l'élévation sur rue se caractérise par la sobriété de son architecture, tel n'est pas le cas de celle de la façade postérieure et des autres corps de bâtiment. Ceux-ci affichent en effet un style pittoresque résultant de l'utilisation de la brique polychrome, du pan de bois et des toitures débordantes. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000071 - gare des chemins de fer départementaux 5 vues Historique : Projetée des 1855, la création d'un réseau de tramway d'intérêt local ne se concrétise qu'en 1900 et 1901 avec l'ouverture des lignes, Laval / Saint-Jean-sur-Erve puis Laval / Landivy. Point de jonction de ces deux voies, la gare de Laval est construite par l'architecte de la ville Léopold Ridel entre 1895 et 1900. L'atelier de réparation des locomotives a été détruit en 1980. Description : Le gros-oeuvre du bâtiment est en moellons équarris de calcaire gris-bleu. Pour le décor, l'architecte utilise la brique (cheminées, arc des ouvertures du rez-de-chaussée et de l'étage), la céramique polychrome (bandeau, corniche) et la faïence (entourage de l'horloge, corniche). On trouve également sur l'édifice du granite (soubassement), du calcaire blanc (bandeau, cheminées) et du bois (aisseliers, ferme débordante). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000413 - ferme de Tuloup Historique : Ferme probablement construite au 16e ou au 17e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000421 - moulin à farine du Bois Gamats Historique : Ce moulin à farine situé sur la rive droite de la Mayenne est signalé dans un titre de 1584. Au 17e siècle, il est la propriété des Lefebvre de la Falluère. En 1828, il appartient à Monsieur de La Faluère de Marigné et dispose d'une roue verticale extérieure faisant fonctionner une paire de meules. A sa destruction vers 1863, il compte deux paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Just Carole,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IA53000657 - usine de construction navale, dite chantier Chaussivert 12 vues Historique : Chantier naval fondé en 1900 par Jean-Marie Chaussivert au lieu-dit Port-Arthur 14, chemin vicinal à Changé. Jusqu'à la cessation de son activité en 2003, le chantier familial qui était spécialisé dans la construction en bois à clin a fabriqué des embarcations pour les rivières et les étangs de la région (prames et plates utilisées pour la pêche et la chasse aux canards d'où leur nom de "chasse-canards") ainsi que des annexes et des canots voile-avirons. Jusqu'à la seconde guerre mondiale, le chantier a également été chargé du montage et de la réparation des bateaux-lavoirs de la ville dont les coques à fond plat étaient construites à Angers. En 1909, l'établissement en a construit un, amarré rive gauche en face de la rue de la Cale. Jean-Marie Chaussivert, le fondateur du chantier, avait été formé par son beau-père, monsieur Gaumer, charpentier de bateaux à Juvardeil dans le Maine-et-Loire. Date(s) de réalisation : 1900 Description : HASH(0xe36b970) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2003 Copyright : (c) Inventaire général, 2003 Fonds / classement : Architecture |
IA53000629 - atelier d'artiste, puis usine de chapellerie, actuellement salle de sport 17 vues Édifice de conservation : maison Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000627 Historique : Atelier construit en 1899 pour le peintre-verrier Auguste Alleaume en remplacement de son premier lieu de travail situé 33, rue de Bootz (aujourd'hui rue du Dôme). D'après Francis Bellanger, le neveu d'Alleaume, ce bâtiment est édifiée sur des plans de l'architecte lavallois Louis Marchal. Toujours selon Francis Bellanger, les travaux de menuiserie sont réalisés par monsieur Tricot, un artisan installé dans le quartier. En 1939, Auguste Alleaume, alors âgé de 85 ans, laisse la direction de son atelier à son neveu et à son gendre Alexis Martinol. En 1944, lors des bombardements de la voie ferrée par les alliés, toutes les vitres du bâtiment sont soufflées. Après la guerre, l'atelier est vendu et transformé en usine de chapellerie. Il est aujourd'hui occupé par une salle de sport. Date(s) de réalisation : 1899 Description : L'atelier est exposé au nord " pour que la lumière extérieure non éclatante ne gêne pas pour peindre les vitraux à exposer le long des grandes baies vitrées" (Francis Bellanger). Son matérieu de construction principal est le moellon. Le corps de bâtiment gauche est percé d'une grande fenêtre dont l'arc brisé est souligné de granite. Cette construction est couronnée d'un toit à longs pans débordants. L'appentis qui la jouxte ouvre sur une baie quadrangulaire surmontée d'une fausse ferme à entrait, poinçon et aisseliers. La tourelle de plan carré à toit en pavillon accueille un escalier hors-oeuvre. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie,Bureau Arnaud Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000421 - moulin à farine dit moulin du Bois Gamats Historique : Ce moulin à farine situé sur la rive gauche de la Mayenne est signalé dans un titre de 1584. Au 17e siècle, il est la propriété des Lefebvre de La Falluère. En 1828, il appartient à Monsieur de La Falluère de Marigné et dispose d'une roue verticale extérieure faisant fonctionner une paire de meules. A sa destruction vers 1863, il compte deux paires de meules. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Architecture |
IM53003230 - ensemble composé d'un calice, d'une patène, d'un plateau à burettes, d'une burette, d'une sonnette d'autel et d'une boîte (chapelle n° 3) 4 vues Historique : Cette chapelle réalisée après 1851 est une copie de celle dessinée par le révérend-père Martin et exécutée par Placide Poussièlgue-Rusand pour le sacre en 1850 de Monseigneur de Dreux-Brezé, évêque de Moulins. Cette dernière avait été présentée à l'Exposition Universelle de Londres de 1851 où elle avait eu un grand succès. Cette oeuvre revêt une certaine importance dans l'histoire de l'art néo-gothique français car elle est le début d'une série de créations s'inspirant du style du 13e siècle. Comme l'indique l'inscription gravée sous le pied du calice, Monseigneur Sebeaux a fait don de la chapelle à Notre-Dame-des-Cordeliers en 1891. Description : Chapelle contenu dans un coffret en bois. Elle comprend un calice, une patène, deux burettes avec leur plateau (plateau à burettes) et une sonnette d'autel. Le calice, la patène et le plateau à burettes sont en argent. La coupe du calice est de forme semi ovoïde. Elle est habillée d'une fausse-coupe constituée de filigranes semés de cabochons en verre coloré et de médaillons en émail champlevé. Elle est vissée sur une tige à noeud circulaire aplati doté de quatre boutons émaillés. La tige est elle-même vissée sur un pied polylobé dont la tranche est filigranée et dont le dessus accueille un décor en émail. Le reste de l'ornementation est ciselé. Le centre de la patène est orné d'un disque émaillé entouré d'une inscription gravée. Le plateau à burettes est de forme ovale et ses extrémités sont trilobées. L'aile est pourvue de filigranes enrichis de cabochons en verre coloré et de quatre médaillons en émail champlevé. Les burettes reposent sur des pieds quadrilobés et offrent un décor de filigranes et de médaillons émaillés. Ces derniers se retrouvent sur la sonnette d'autel en bronze. Matériau(x) et technique(s) : argent : fondu, moulé, ciselé, doré, repoussé, émail champlevé, filigranes, décor en relief, décor rapporté, bronze : fondu, moulé, doré, verre (coloré) : taillé en cabochon, bois : taillé Décor représenté : ornementation (dragon, dauphin, médaillon), scène biblique (Canaan, raisin), scène biblique (Moïse, Le Serpent d'airain), scène biblique (Moïse, rocher), scène biblique (la Pâque), scène biblique (Cène), scène biblique (Calvaire), scène biblique (Descente de croix), scène biblique (Apparition à Thomas), Agneau mystique, figure biblique (Vierge à l'Enfant), figure (Sainte Thérèse), figure biblique (Sainte Anne), figure biblique (Saint Jean-Baptiste) Précision(s) sur le décor représenté : Chapelle de style néo-Louis XIII. Le dessus du pied du calice est orné d'émaux représentant quatre scènes de l'Ancien Testament : le raisin de Canaan, Moïse et le serpent d'airain, Moïse frappant le rocher et la Pâque juive. Les petits lobes servent de supports à des dragons dont les queues se regroupent autour de la partie basse de la tige. Les boutons du noeud sont décorés de médaillons représentant la Vierge à l'Enfant, sainte Thérèse, sainte Anne et saint Jean-Baptiste. Les médaillons de la fausse-coupe sont illustrés de quatre épisodes du Nouveau Testament : la Cène, le Calvaire, la Descente de Croix et l'Incrédulité de saint Thomas. Le disque central de la patène est orné de l'Agneau mystique, nimbé, crucifère et vexillaire dont le sang s'écoule dans un calice. Ce motif est entouré d'une inscription en latin. Les quatre médaillons du plateau représentent les prophètes de l'Ancien Testament : Isaïe, Ezechiel, Jérémie et Daniel. Les figures de Jérémie et de Daniel se retrouvent sur la burette à eau. La clochette est décorée d'enroulements de tiges florales et de médaillons renfermant des croix. Les extrémités des bras de celle-ci sont amorties par des motifs tréflés. Le sommet de l'anse est figurée par deux têtes de dauphins. Dimension(s) : h = 24,9,d = 16,2 Précision(s) sur les dimensions : diamètre du pied,coupe : d = 9,9,patène : d = 14,9,plateau : l = 27, la = 17,6,burette : h = 14,4, d = 6,5,clochette : h = 10,6, d = 5,9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838,inscription concernant l'iconographie (gravée sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le donateur (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'auteur (sur étiquette, français) Précision(s) sur inscription(s) : Poinçon de fabricant identifié : initiales PPR, étoile, croix et ancre en sautoir, coeur enflammé dans un losange horizontal, poinçon de fabricant sur la coupe et le pied du calice, sur la patène et sous le plateau, poinçon de garantie et de titre argent sur le rebord de la coupe et sur le pied du calice, inscription gravée sous le pied du calice : DONNE A NOTRE DAME PAR MONSEIGNEUR SEBEAUX, 1891, inscription gravée sur la patène : PANIS VIRUS- AGNUS DEI, inscription sur une étiquette collée à l'intérieur du coffret : MANUFACTURE D'ORFEVRERIE ET DE BRONZE DE P. POUSSIELGUE RUSAND 15, RUE CASSETTE PARIS. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003279 - tenture d'église de La Sainte Famille 4 vues Historique : Tenture d'église datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle et dont l'iconographie met le travail à l'honneur. Description : Tenture d'église à double face dont le fond est en soie moirée blanche. La traverse et les embouts sont en bois, doré pour ces derniers. Les visages, les mains et les pieds des figures sont peints sur toile. Le reste du décor est principalement constitué de broderie d'application c'est-à-dire de morceaux d'étoffe fixés sur le fond et parfois sertis. Quelques éléments sont brodés de fils de soie polychrome selon la technique du passé. La tenture est pourvue de cordons latéraux terminés par des glands à franges de bouillon doré. Elle est rangée dans un coffre en bois pourvu d'un cylindre autour duquel elle est enroulée. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : moiré, brodé, textile (application) : polychrome, soie : fil, polychrome, toile (support) : peinture à l'huile, verre : coloré, taillé à facettes, fil métal : doré, bois : doré, taillé Précision(s) sur le décor représenté : La face est ornée d'une représentation de la Sainte Famille montrant Jésus, assis, jouant d'un instrument à cordes, la Vierge, assise, cousant un vêtement, et saint Joseph, debout, derrière un établi avec une scie dans les mains. Cette scène s'inscrit dans un médaillon dont le haut et le bas sont ornés de deux quadrilobes accueillant des écussons armoriés. De ce médaillon s'échappent des tiges florales et feuillues. Les deux pans inférieurs sont également brodés de deux quadrilobes renfermant des écussons armoriés. Dimension(s) : la = 145,h = 340 Inscription(s) : inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),armoiries (sur parties rapportées) Précision(s) sur inscription(s) : Inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le phylactère présent sur la face : INSPICE ET FAC, inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le revers : LABOR HONOR ET VIRTUS, armoiries au dessus de la Sainte Famille : de gueules à la ruche bordonnante d'or, armoiries au dessous de la Sainte Famille : de gueules au Pélican mystique d'or, armoiries de la Ville de Laval sur la pan inférieur gauche : de gueules au léopard d'or, armoiries de l'ordre des franciscains sur le pan inférieur droit : d'azur à la croix d'or, encadrée par deux bras aux mains présentant les stigmates, l'un nu, du Christ, l'autre vêtu de tanné, de saint François. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |