Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements considérés comme "incommodes, insalubres et inesthétiques" vont mettre en péril l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes occasionnées par les crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent les seuls survivants de la grande flotte du début du 20e siècle.