Trois catégories de femmes fréquentaient les bateaux-lavoirs. Les simples ménagères s'y rendaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier c'est-à-dire les employées du buandier et les laveuses installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées.