IA53000345 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel construit vers 1857 pour René Pillon. En 1961, la propriété est achetée par la Ville au propriétaire d'alors, monsieur Du Long de Rosnay. Depuis cette date, elle est occupée par le lycée du Douanier-Rousseau. Date(s) de réalisation : 1857 Description : Les lucarnes sont encadrées de consoles qui supportent un fronton triangulaire percé d'un oculus et coiffé d'une coquille. Le gros-oeuvre de l'édifice est en moellons enduits, il repose sur un socle en pierre de taille de granite. Les chaînes d'angle, la corniche, les ouvertures et les lucarnes sont en pierre de taille de calcaire. L'une des deux entrées est protégée par une marquise en verre que deux fines colonnettes en fonte soutiennent. Le puits de la propriété se trouve aujourd'hui dans l'allée menant au jardin de la maison du 54-56, rue de Paris. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 ; 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000062 - orphelinat-école du Sacré-Coeur, puis petit séminaire, puis foyer Saint-André, actuellement maison du diocèse 1 vue Historique : L'orphelinat primitif est fondé en 1835 dans une maison appelée Nazareth et située Carrefour-aux-Toiles. Il accueille alors jusqu'à leur majorité des jeunes filles sans famille. En 1841, l'établissement est transféré dans une propriété du 10, rue d'Avesnières achetée par mademoiselle d'Aubert de Loresse au pensionnat des Dames du Sacré-Coeur de Jésus (actuel Lycée privé d'Avesnières). Au milieu du 19e siècle, l'orphelinat se compose de 65 personnes : 4 dames, 7 maîtresses, 3 domestiques et 51 enfants. La chapelle, qui figure sur le cadastre de 1839, est bénite le 2 octobre 1841. L'établissement de bienfaisance est ensuite transformé en petit séminaire qui fonctionnera jusque dans les années 1960 : la chapelle est désaffectée au culte en 1966. En 1970, il devient un foyer d'hébergement pour lycéens : le foyer Saint-André. En 1989, à l'initiative de Monseigneur Louis-Marie Billé, il est remplacé par la Maison du diocèse. A partir de 2012, l'institution fait l'objet de travaux de restauration et d'agrandissements conduits par l'architecte lavalloise Nathalie Chardon. Date(s) de réalisation : 2012 Description : La chapelle, de style néoclassique, a été partiellement remaniée en 1949 : son choeur a été reconstruit en béton et ses cinq baies en plein-cintre ont été dotées de dalles de verre de Gabriel Loire. Celles-ci semblent avoir remplacé des vitraux du peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. La façade occidentale (la chapelle n'est pas orientée) est sommée d'un fronton triangulaire. Après sa désaffection au culte en 1966, le sanctuaire accueille une partie des réserves de la bibliothèque diocésaine et les ouvrages de l'ancien grand séminaire. En 2014, il est entièrement rénové et de nouveau affecté au culte. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau,sous-sol,3 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : La baie d'axe du chevet est fermée par une dalle de verre représentant la croix. Les quatre autres représentent le Tétramorphe : aigle de saint Jean, boeuf de saint Luc, homme de saint Matthieu et lion de saint Marc. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000658 - ferme du Bois-Gamats Historique : Sous l'Ancien Régime, la métairie était sans doute la principale ferme du domaine de la seigneurie du Bois-Gamats. En 1808, elle comprenait deux bâtiments principaux, un logis-étable et une étable-grange, ainsi que deux bâtiments secondaires. Le logis a été reconstruit à l'écart des bâtiments agricoles, probablement au milieu du 19e siècle. Les deux dépendances principales ont été complètement remaniées et agrandies ou reconstruites au même emplacement, sans doute dans la première décennie du 20e siècle (peut-être en 1907, date d'achat de la propriété par le comte de Banville). Les dépendances secondaires ont été réédifiées (seconde remise et poulailler) ou édifiées (remise à matériel) au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Le logis a été remanié dans la 2e moitié du 20e siècle, par la transformation, sur la façade postérieure, d'une fenêtre en porte et par le percement d'une nouvelle porte sur le pignon est. La porte de l'écurie et celle de l'étable à boeufs ont été agrandies, sans doute dans les années 1950, après l'abandon de la traction animale. La ferme a été dissociée du château du Bois-Gamats à la mort de Monsieur de Banville en 1977. Elle a été rachetée par la Ville de Laval au cours des années 1990. La seconde remise a été entièrement remaniée au début du 21e siècle. Dans les années d'après-guerre, la métairie s'étendait sur 40 hectares et disposait d'un cheptel de 40 boeufs et d'une dizaine de vaches. Description : L'ancienne ferme du Bois-Gamats comprend cinq bâtiments en moellons de grès, de calcaire marbrier et secondairement de schiste, disposés irrégulièrement autour d'une cour. Le logis, situé au sud, est pourvu d'un sous-sol qui servait de cellier et de laiterie, d'un rez-de-chaussée composé d'une pièce principale encadrée de deux chambres et d'un comble à surcroît occupé par le grenier. Les chambres sont éclairées au sud, sur la façade postérieure. Les baies sont entourées dans leur partie basse de pierres de taille de granite et surmontées d'arcs en plein-cintre en brique. La niche qui accueillait une statuette et les jours d'aération du comble, en demi-lune, sont également en brique. Les deux dépendances principales bordent la cour à l'ouest et à l'est. La première abritait, du sud au nord, le fournil situé à l'emplacement de l'ancien logis, la porcherie avec, contre la façade postérieure, un enclos délimité par des murets, un fond de grange, avec au fond, la sellerie, et l'écurie. La fosse à purin se trouvait à l'extrémité du bâtiment. La seconde abritait l'étable à boeufs, un fond de grange et l'étable à vaches et à veaux. Toutes les deux sont dotées de combles à haut surcroît. Leurs ouvertures sont en granite taillé sauf les portes des fonds de grange, à piédroits de moellons et linteau de bois, et les petits jours verticaux de l'écurie-grange-fournil, encadrés de briques. Leurs angles, sauf ceux du pignon sud de l'étable-grange, sont en pierres de taille de granite. Leurs planchers sont constitués de poutrelles métalliques (IPN) et de solives en bois. Les murs sont consolidés par des renforts en fonte aux embouts circulaires. Leurs charpentes, du type à potence, sont moisées. La remise à matériel est dotée d'une structure de poteaux de bois, chemisée de pierre sur les côtés nord et est. Elle abritait entre autre la batteuse qui, dès les années 1920, fonctionnait grâce à un moteur électrique. Le poulailler est doté d'encadrements de baies en brique. La seconde remise, désormais close de murs de bois dans sa partie nord, abritait notamment dans l'après-guerre le pressoir et l'aplatisseur à céréales (dit moulin). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée surélevé,comble à surcroît,sous-sol Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Foisneau Nicolas,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Inventaire général, 2012 Fonds / classement : Architecture |
IM53003668 - crête de toit Historique : Ornement qui courrait sur le faîte du toit de l'ancien musée des Beaux-Arts. Il a peut-être été réalisé par le serrurier lavallois Bourny qui est l'auteur de la porte cochère de la clôture. Il a été démonté après 1980. Description : Crête de toit composé de 21 éléments en fer forgé. Précision(s) sur le décor représenté : Chaque élément formant la crête est constitué de deux volutes affrontés constituant un cartouche. Celui-ci est partagé par une tige dont les extrémités s'achèvent par une fleur à cinq pétales et une pomme de pin. Dimension(s) : h = 93,la = 71,pr = 5 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003618 - deux verrières décoratives 5 vues Édifice de conservation : hôtel Historique : Verrières réalisées en 1921 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. D'après le registre de caisse de l'atelier, elles auraient coûté 990 francs à leur commanditaire, monsieur Le Bail. Description : Vitraux en verre laminé de reliefs ornant les deux fenêtres en plein-cintre de la façade sur cour. Précision(s) sur le décor représenté : Verrières dont les plombs dessinent des motifs géométriques divers. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003664 - verrière figurée : Sacré-Coeur (baie 201) 2 vues Historique : Verrière commandée à Auguste Alleaume par l'Ambulance Nazareth. Celle-ci était l'un des vingt-trois hôpitaux bénévoles en service pendant la Première Guerre mondiale. Elle occupait l'hospice Nazareth c'est-à-dire l'ancien hôtel Périer du Bignon situé rue du Marchis. En 1915, l'Ambulance aurait fait don de ce vitrail à la communauté des petites soeurs de Saint-François pour leur chapelle. Dans le registre de caisse du peintre-verrier, à la date du 28 juin 1915, la somme de 200 francs apparaît avec la mention "Reçu de monsieur le chanoine Cesbron pour Nazareth". Le vitrail a été déposé. Description : Verrière circulaire qui devait fermer l'oculus de la façade occidentale. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ représenté en buste écarte sa tunique afin d'offrir son coeur qui est centré. Celui-ci est figuré rayonnant, enflammé, percé, ceint d'une couronne d'épines et surmonté d'une croix. Dimension(s) : d = 0,80 Précision(s) sur les dimensions : dimension apparaissant dans le registre de production du peintre-verrier. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le donateur (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003665 - cinq verrières légendaires : Vie de saint François d'Assise (baies 0, 1, 2, 3 et 4) 8 vues Historique : Ensemble de cinq verrières néo-gothiques dessinées et réalisées en 1903 pour la chapelle du Tiers-Ordre (chapelle Saint-François) par le peintre-verrier Auguste Alleaume. Pour ces vitraux, les sommes suivantes apparaissent dans le livre de caisse de l'artiste : 440 francs en 1900 et 2 500 francs en 1903. Description : Verrières en plein-cintre fermant les baies de l'ancien choeur. Chacune d'elles est dotée de trois barlotières et de plusieurs vergettes. Précision(s) sur le décor représenté : Chaque verrière est composée d'une superposition de trois médaillons renfermant des scènes tirées de la vie de saint François d'Assise. Dans l'ordre de numérotation des baies et de bas en haut sont représentés : saint François malade, les Funérailles de saint François, la Glorification de saint François (baie 0), saint François et le Tiers-Ordre, l'Accolade fraternelle de saint François et de saint Dominique de Guzman, la Tentation vaincue à la Portioncule ou le Miracle des roses (baie 1), l'Approbation de la Règle de l'ordre par le pape Honorin, l'Apparition de saint Pierre et de saint Paul, la Stigmatisation de saint François (baie 2), saint François donne son manteau à un pauvre, saint François sous la protection de l'évêque, saint François à genoux devant le Christ en croix qui lui enjoint de réparer l'Eglise (baie 3), saint François montre la croix à ses compagnons, saint François coupe les cheveux de sainte Claire d'Assise pour sa prise d'habit, le Mariage de saint François avec la Pauvreté (baie 4). La bordure du vitrail d'axe alterne avec des couronnes et les trois clous de la Passion. Dimension(s) : d = 0,54 Précision(s) sur les dimensions : diamètre des médaillons à lobes et à redents (d'après le registre de production du peintre-verrier). Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre, latin),date (peinte, sur l'oeuvre, latin) Commentaire sur l'intérêt de l’œuvre : Verrières dont la composition, les couleurs et les motifs décoratifs reprennent ceux des vitraux du 12e siècle ("de style XII" est noté dans le registre de production d'Alleaume). Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003670 - verrière figurée décorative : Femme au panier 5 vues Historique : Verrière réalisée vers 1930 par Auguste Alleaume d'après un dessin de son frère Ludovic. Au vu du registre de caisse de l'atelier, elle aurait coûté 3 000 francs à son commanditaire, le docteur Loiseleur pour la maison duquel elle a été exécutée. Dans son répertoire des oeuvres, Auguste Alleaume parle également "de vitraux de style moderne pour plusieurs fenêtres coupées par l'escalier, dans la maison, ornement et fleurs, hortensia, panneaux différents". Ces verrières, certainement au nombre de deux, ont été démontées, démantelées et remontées dans la maison du 37, boulevard Félix-Grat (voir la fiche IM53003706). Dans son registre des comptes, Auguste Alleaume indique qu'elles ont été réalisées pour la somme de 3 000 francs. En 2015, le vitrail a été déposé et acheté par la Ville de Laval. Description : Verrière à arc en anse de panier dotée de deux barlotières. Précision(s) sur le décor représenté : Verrière représentant une femme brune vêtue d'une robe blanche à fleurs jaunes (l'épouse du docteur Loiseleur ?) et cueillant les roses d'une pergola (cette dernière est toujours en place au fond de la cour). Dimension(s) : h = 186,2,la = 94,6 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003672 - trois verrières décoratives 2 vues Historique : Verrières réalisées par Auguste Alleaume à la fin de sa carrière c'est-à-dire dans les années 1930. Description : Verrières en verre laminé de reliefs prenant la forme de trois panneaux rectangulaire à motifs répétitifs bleus et bruns. Précision(s) sur le décor représenté : Les trois panneaux sont ornés de motifs modernes s'apparentant à des cornes et des quart-de-rond. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003673 - verrière décorative 2 vues Édifice de conservation : maison Historique : Verrière réalisée vers 1910 par Auguste Alleaume pour la maison de monsieur Pinçon, représentant de commerce. D'après le registre de caisse de l'atelier, elle aurait coûté 570 francs. Description : Les châssis des vantaux sont pivotant alors que ceux des dessus de porte sont fixes. Les verres colorés utilisent les trois couleurs primaires. Précision(s) sur le décor représenté : Verrière dont les plombs dessinent des motifs géométriques dont la combinaison génère une figure très dynamique. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003674 - verrière décorative 2 vues Édifice de conservation : maison Historique : Verrière réalisée vers 1910 par le peintre-verrier Auguste Alleaume pour la maison de monsieur Pinçon, représentant de commerce. Description : La porte-fenêtre est constituée de deux vantaux dont les parties supérieures accueillent des châssis dormant en vitrail. Les deux panneaux formant la verrière sont en verre lisse coloré et en verre cathédrale translucide. Précision(s) sur le décor représenté : Verrière dont les plombs dessinent des cadres étirés renfermant des médaillons garnis de fleurs stylisées. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003675 - verrière décorative 1 vue Édifice de conservation : maison Historique : Grande verrière réalisée en 1904 par Auguste Alleaume pour monsieur Fortin, marbrier. La somme de 235 francs aparaît dans le registre de caisse du peintre-verrier. Elle a fait l'objet d'une restauration par Alain Guillemot. Description : La verrière est constituée de quatre châssis pivotant et de quatre châssis dormant. Les panneaux en vitrail montés sur les châssis pivotant sont dotés de trois barlotières. Précision(s) sur le décor représenté : Grande verrière dont les plombs dessinent des chaînons. Les bordures alternent cives et triangles affrontés. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003677 - huit verrières décoratives 2 vues Historique : Verrières de la fin du 19e siècle probablement réalisées par Auguste Alleaume, peintre-verrier installé à Laval. Leur commanditaire en était Adolphe Messager, avocat et fils du célèbre peintre lavallois Jean-Baptiste Messager (1812-1885). Description : Panneaux occupant le tympan des deux fenêtres. Précision(s) sur le décor représenté : Les plombs des huit panneaux dessinent des motifs quadrangulaires ou rectangulaires ponctués de losanges ou de motifs végétaux stylisés. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privé Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |