IA53000336 - maison de tisserand 1 vue Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000033 - hôtel dit château de Bel-Air 5 vues Historique : Hôtel attribué à l'architecte Pierre Pommeyrol. Il a été construit entre 1779 et 1786 pour Pierre-François Delaunay, sieur de Fresnay, négociant en toile. Des galeries souterraines et des grottes ont été réalisées en 1786 par le maître-maçon René Meignan. La propriété a été démembrée par le percement de la rue Hoche et le lotissement de l'ancien jardin au cours du 19e siècle. Date(s) de réalisation : 1779 Description : Côté ouest, la façade s'anime d'un avant-corps semi-circulaire creusé d'une niche à coquille abritant une statue de Flore. Les lucarnes sont cintrées, alors que les autres ouvertures de cette façade sont à linteau droit. La lucarne centrale est accostée de petits ailerons et encadrée par deux lucarnes à oculus. Un bandeau de pierre blanche sépare le premier du second étage, il est cintré au niveau de la niche centrale. Deux escaliers épousant la forme de l'avant-corps donnent accès à deux terrasses latérales, situées au niveau du rez-de-chaussée surélevé. Au-dessus de la niche centrale, un médaillon sculpté des initiales V.L.T. (Vive La Toile) proclame l'origine de la fortune de François de Launay. Sur la façade est, un avant-corps à deux travées, en légère saillie, est surmonté d'un fronton triangulaire, où figure Apollon entouré des attributs symbolisant la science et les arts. Un jardin, réduit par le percement des rues alentours, s'étend devant la façade est. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Flore, support : niche dans la partie semi-circulaire sujet : buste d'Apollon, coq, planète, symboles des arts et de la science, objets divers, support : tympan du fronton triangulaire de la façade est Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000367 - ensemble d'édifices à cour commune Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000369 - ensemble d'édifices de tisserand à cour commune dit la Croix de Vin Historique : Groupe de maisons qui avaient été construites majoritairement au 17e siècle, hormis quelques unes réalisées aux 18e et 19e siècles. Description : Ancien village de tisserands. Chaque maison comportait un sous-sol partiellement enterré servant d'atelier de tissage. Au dessus, le rez-de-chaussée surélevé, servait de logement. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000046 - couvent de clarisses urbanistes dit couvent de Patience, actuellement maisons et immeuble 3 vues Historique : Le couvent de Patience des religieuses de l'ordre de Sainte-Claire ou urbanistes, est le premier couvent de femmes construit à Laval. Il a été fondé en 1494 par Guy XV comte de Laval et Catherine d'Alençon, sa femme. Réalisés dans le premier quart du 16e siècle, la chapelle avait été consacrée le 23 juillet 1525, les bâtiments furent agrandis en 1547 par le maître maçon Jamet Nepveu, père d'une jeune novice. Au début du 17e siècle, de nouvelles transformations modifièrent l'aspect du couvent. Des bâtiments qui entouraient le cloître, ne subsistent que deux vastes corps en équerre, à l'est et au nord. La chapelle a été détruite en 1798. Au 19e siècle, les bâtiments ont été transformés pour servir d'habitation. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 19e siècle Description : Des constructions du couvent ne subsistent que deux ailes en équerre : l'aile nord-est se compose d'un bâtiment à trois niveaux et un comble présentant un toit à longs pans à croupe. Il a été plusieurs fois remaniés, notamment aux 18e et 19e siècles. Au pignon ouest, un escalier droit extérieur dessert le second niveau. L'aile est se compose de trois corps de bâtiments juxtaposés. Celui du nord, comprenant trois niveaux sur sous-sol, présente de nombreux éléments du 17e siècle hormis sur sa façade est, très remaniée dans ses ouvertures au début du 19e siècle. Le corps central qui renferme un escalier voûté en berceau incliné, présente une corniche à modillons. Le corps sud comporte quatre niveaux. On lit au-dessus de sa porte la date 1567. Sa façade est percée d'ouvertures étroites du 16e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,3 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000630 - chapelle Saint-Louis 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000056 Historique : Comme les bâtiments hospitaliers, la chapelle est construite par l'architecte parisien Edouard Moll et est bénite le 25 septembre 1848. Depuis sa désaffection au culte en 2008, elle est utilisée comme entrepôt. Date(s) de réalisation : 1843 Description : Chapelle de plan allongé et orientée formant un épi dans l'ensemble des bâtiments en quadrilatère de l'ancien hôpital. La porte d'entrée à laquelle on accède par cinq marches en granit est surmontée d'un tympan sculpté protégé par un dais triangulaire. L'occulus de la partie haute accueillait une horloge aujourd'hui disparue. Le clocher est couronné d'un toit à l'impériale. A l'intérieur, la nef en une seule travée est couverte d'une voûte plate à caissons (en mauvais état). Le choeur est en cul-de-four et sa voûte est peinte façon ciel étoilé. Le sol est recouvert d'un carrelage dont certains motifs géométriques forment des croix. L'entrée est surmontée d'une tribune (d'orgue ?). Deux galeries en bois supportées par des colonnes en fonte courent le long du premier étage. Ces galeries donnaient accès aux anciens dortoirs. La base des murs est protégée par un lambris de demi-revêtement en chêne. La chapelle est ouverte sur l'extérieur par des baies en plein cintre. Celles qui ne sont pas murées accueillent des verrières d'Antoine Lusson et des frères Champigneulle (étudiées). Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois, les a restaurées en 1932 (coût de la restauration : 8 400 francs). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : désaffecté,menacé Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté de saint Vincent de Paul reçevant 4 religieuses et une femme lui présentant des enfants. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2008 (c) Ville de Laval, 2008 Fonds / classement : Architecture |
IA53000647 - maison Historique : Maison construite dans le deuxième quart du19e siècle. Description : Maison de notable placée entre une cour pavée et un jardin d'agrément. Elle se compose d'un corps principal doté d'un toit aux pentes très douces et de ce qui semble être une construction plus récente. Le gros-oeuvre des façades antérieures est en moellons enduits. Les entourages des ouvertures, les pilastres d'angles et les cordons séparant les différents niveaux utilisent la pierre de calcaire. Les baies rectangulaires sont dotées d'appuis posés sur des corbeaux. Ceux de l'étage sont pourvus de garde-corps en fer forgé. Le comble est éclairé par trois lucarnes aux fenêtres à arc segmentaire. Un perron en pierre de granite donne accès à l'entrée. Il est protégé par une marquise en fonte de style Napoléon III venant rompre la sobriété de la façade. Cet auvent est accompagnée de deux luminaires d'applique et de deux grattoirs à chaussures installés de chaque côté de l'emmarchement. L'ensemble, auquel il faut adjoindre la porte d'entrée, est certainement l'oeuvre du ferronnier d'art lavallois Bourny. A l'intérieur, la maison est ornée de vitraux d'Alleaume et d'une peinture monumentale. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000649 - maison, actuellement immeuble d'habitation 1 vue Historique : Maison construite au début du 20e siècle pour le docteur Loiseleur, fondateur du centre de radiologie de la clinique Sainte-Elisabeth qui jouxtait la demeure de ce dernier. La maison est ensuite devenue la propriété du docteur Barrier qui racheta également une partie du cabinet. Description : Maison à large façade sur rue dont l'accès s'effectue par un perron côté cour. Elle se compose d'un corps central à trois niveaux et de deux corps latéraux n'en possèdant que deux. Les soubassements sont en granite et le gros-oeuvre en moellons enduits. L'ensemble des ouvertures présentent des arcs en anse de panier et des entourages en pierre de calcaire. Celle-ci est également utilisée pour les chaînages d'angle marquant les trois corps de bâtiment. Si les fenêtres du deuxième niveau du corps central sont précédées d'un balcon en bois sur consoles, toutes les autres sont dotées de garde-corps du même matériau. Les avant-toits et les auvents (quatre à deux pentes et un en appentis) prennent également appui sur des aisseliers en bois découpé. Tout en participant au décor de la maison, ceux-ci en renforcent l'aspect pittoresque et lui confèrent un petit air de "chalet". A l'intérieur, les étages sont desservis par un escalier en bois de style néo-gothique dont la rampe d'appui est percé de motifs cruciformes. La cage d'escalier est éclairée par des fenêtres qui accueillaient des vitraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000666 - hôtel 1 vue Historique : Hôtel construit à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle (pour monsieur Chubilleau ?). Description : Hôtel néo-Renaissance disposant d'une cour latérale et d'un jardin en arrière de parcelle. Côté rue, le gros-oeuvre est en pierre de taille de calcaire (pierre de Caen ?) sur un soubassement combinant meulière et granite. Côtés cour et jardin, il est en moellons recouverts d'enduit. L'élévation antérieure est divisée en trois travées. Celle de gauche est délimitée par des pilastres, doriques au premier niveau, ioniques au second. Ces derniers encadrent une croisée à arc déprimé pourvue de deux meneux et une baie rectangulaire précédée d'un balconnet à balustrade,l'ensemble est surmonté d'une lucarne à ailerons et fronton triangulaire. Les ouvertures à fasces de l'étage sont surmontées de corniches placées au dessus de consoles en forme de volutes. La travée latérale gauche est valorisée par un toit en pavillon dont le faîte est orné d'une crête en fonte que délimitent deux épis de faîtage. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussé surélevé,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000088 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel particulier ou grosse maison datant de la fin du 17e siècle ou du début du 18e siècle. Il a probablement été construit sur deux ou trois parcelles ayant fait l'objet d'un remembrement. Au 15e ou au 16e siècle, ces parcelles auraient été occupées par des maisons (commerçantes ? à pans de bois ?) dotées de caves voûtées en berceau brisé et à soupaux. Ces caves se trouvent aujourd'hui sous la cour pavée. La demeure actuelle conserve des éléments du 18e siècle parmi lesquels un escalier et une charpente. Description : Hôtel sur cour à plan régulier en U construit perpendiculairement à la rue Renaise. L'accès aux combles se fait par l'intermédiaire d'un escalier en bois à balustres. La charpente est de type charpente à potence. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000101 - blanchisserie le Grand Dôme 3 vues Historique : Au 17e siècle, le Grand Dôme est une lavanderie ou blanchisserie située sur la commune de Changé. Elle est alors la propriété de François Delaporte (ou de la Porte) qui, avant de reprendre l'affaire familiale à l'âge de quarante ans, avait occupé plusieurs postes dans les consulats français du Levant. Chancelier à Candie en Crète puis au Caire, il avait achevé sa carrière comme "vice-consul de la nation française" à Rosette, en Egypte. En 1701, la blanchisserie c'est-à-dire la maison de maître, le pré et la lavanderie avec "les arrivouers et les dépendances" sont vendus à André-Louis-Joseph Lasnier, sieur du Plessis et prêtre qui fait bâtir une chapelle. L'établissement devient ensuite la propriété de Monsieur Frin puis du négociant Jean Georget avant d'appartenir au 19e siècle aux frères Joseph et Alphonse Le Segretain qui reconstruisent entièrement la maison de maître. Lors des bombardements du viaduc en 1944, les bâtiments situés le long de la voie de chemin de fer à savoir, la maison, la chapelle, l'orangerie et la volaillerie sont totalement détruits. La famille Devé en était alors propriétaire. De la propriété d'origine séparée en deux parcelles après la guerre, il ne subsiste aujourd'hui qu'une demeure (étudiée) achetée par le peintre-verrier Auguste Alleaume en 1898 ainsi qu'une construction qui, au 18e siècle, était peut-être une écurie. Description : En 1735, le pré d'étendage du Grand Dôme "alignait 4000 pieux vieux et neufs". Au moment de sa destruction en 1944, la maison de maître était constituée d'un corps central flanqué de deux pavillons percés de fenêtres à croisillons. Les murs étaient couronnés d'une corniche à denticules. D'après le plan de la propriété réalisé par le dessinateur amateur Félix Désille, l'espace situé entre les deux pavillons était occupé par une véranda à laquelle on accèdait du jardin par un escalier en fer-à-cheval. Dans son ouvrage "Recherches sur Changé-les-Laval" paru en 1882, le chanoine Louis Marie François Guiller fait une brève description de la chapelle : "La chapelle du Dôme n'offre rien de remarquable. Sa forme est absidiale, à pans coupés. On y voit deux statues, celles de saint Louis et de saint Joseph. Le tableau, placé au dessus de l'autel, représente la Naissance de Notre-Seigneur,deux autres, l'Adoration des Mages et la Présentation. Dans le mur, à droite en entrant, c'est-à-dire du côté de l'épître, existe une piscine. Nous n'avons pu découvrir à quel saint elle était dédiée". La chapelle renfermait également un bas-relief du Baptême du Christ (étudié). Celui-ci se trouve aujourd'hui à la cathédrale. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Bureau Arnaud,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000103 - hôtel de Hercé Historique : Hôtel particulier construit dans la seconde moitié du 18e siècle. Description : L'élévation est du bâtiment présente une travée centrale en saillie, couronnée d'un fronton triangulaire. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies, les chaînes d'angle, les bandeaux, la corniche et le fronton sont en pierre de taille de granite au rez-de-chaussée et de calcaire au premier étage. La façade postérieure possède un balconnet et une rampe d'escalier en fer forgé. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000106 - hôtel de Vaucenay, puis hôtel Piquois Historique : Le négociant Jean-Baptiste Piquois, acquéreur de l'ancien hôtel Vaucenay en 1771, fait édifier sur cet emplacement un nouvel hôtel. Cet hôtel, ainsi que les magasins servant pour son négoce de toile, est réalisé par les architectes Pierre Pommeyrol et Denis Pampelune. L'escalier extérieur est supprimé vers 1950,l'intérieur de l'hôtel a été complètement réaménagé. Date(s) de réalisation : 1772 Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies, les bandeaux, et la corniche sont en pierre de taille de calcaire. Une rampe d'escalier en fer forgé (aujourd'hui à l'abbaye de Clermont) porte les initiales de Louise Turpin du Cormier, femme de Jean-Baptiste Piquois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : buste de Jean-Baptiste Piquois (?), support : médaillon au dessus de la porte donnant sur la rue des curés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000364 - maison 1 vue Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de soubassement,2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Monuments historiques, 1996 Fonds / classement : Architecture |
IA53000414 - ferme de la Grande Ribaudière Historique : Ferme, dite la Grande Ribaudière, réalisée au 16e ou au 17e siècle. Description : Le gros oeuvre est en moellons. Certaines ouvertures et portes sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Architecture |
IA53000442 - maison Date(s) de réalisation : 1868 Description : Le gros oeuvre de la travée centrale est en brique, les tourelles et le reste de l'édifice sont recouvert d'un enduit. Le pittoresque de cette maison naît de ce contraste de matériaux, mais aussi de la variété de sa silhouette (jeux des toits, tourelles demi hors-oeuvre, lucarnes) et de la référence à un style historique (le gothique). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Architecture |
IA53000446 - moulin à farine dit moulin de la Coconnière 2 vues Historique : Sous l'Ancien Régime, les deux moulins de la Coconnière faisaient partie du domaine de la seigneurie du même nom. En 1850, le moulin situé à l'est fut donné avec l'ancien manoir de la Coconnière par Jacques Ruffin aux hospices de Laval. En 1852, il servait à "dépiquer le trèfle et le froment" et était doté de deux paires de meules. Il cessa peu après son activité puis fut démoli. Le moulin situé à l'ouest est par contre encore conservé aujourd'hui. Il est antérieur au 19e siècle mais a été entièrement transformé dans la seconde moitié du 19e siècle alors qu'il était la propriété de monsieur Trochon. La majorité de ses baies, sa charpente, ses planchers et ses cheminées résultent de ces transformations effectuées en deux étapes. D'après les patentes, en 1862 il a été doté d'un système de transmission en fonte dit à l'anglaise et est passé d'une à deux paires de meules qui ne pouvaient fonctionner simultanément. A cette date, il comportait également un nettoyeur à grains et une bluterie. Suite à la cessation de son activité en 1883, il a été totalement vidé de ses machines et de son mécanisme pour être entièrement converti en habitation. Une partie de ses baies a de nouveau été remaniée à la fin du 20e siècle. Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 19e siècle Description : Le moulin de la Coconnière prend directement place sur la rive droite du ruisseau Saint-Nicolas (ex ruisseau du Quartier ou ruisseau de Barbé). Il s'agit donc d'un moulin de rive. Le bâtiment construit majoritairement en moellons de calcaire marbrier, a une surface de 150 m2 et est doté d'un étage carré. Ses baies sont principalement en brique. Au temps de son activité, sa partie sud abritait le moulin proprement dit et sa partie nord le logis du meunier. Selon ses actuels propriétaires, il comportait deux cheminées adossées au mur de refend au rez-de-chaussée et deux autres à l'étage. Seule la cheminée de l'étage a été vue : elle est dotée d'une hotte en brique portée par des consoles en quart de rond en bois, elle-même appuyée sur de faux piédroits en pierre de calcaire marbrier. La charpente est du type à fermes portiques dit aussi à entrait retroussé. Le moulin a perdu sa roue hydraulique verticale dont l'emplacement est parfaitement visible. En 1880, il comptait une vanne de décharge de 1 m de large qui était accolée à un déversoir dont la largeur était 3,4 m. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage en surcroît,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Foisneau Nicolas Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Architecture |
IA53000101 - blanchisserie le Grand Dôme 3 vues Historique : Au 17e siècle, le Dôme est une lavanderie ou blanchisserie située sur la commune de Changé. Elle est alors la propriété de François de La Porte, négociant blanchisseur et ancien consul du roi Louis XIV en Egypte. En 1701, les bâtiments dont la maison de maître, le pré et la lavanderie avec "les arrivouers et les dépendances" sont vendus à André-Louis-Joseph Lasnier, sieur du Plessis et prêtre, qui fait bâtir une chapelle. La lavanderie-blanchisserie devient ensuite la propriété de Monsieur Frin puis du négociant Jean Georget avant d'appartenir, au 19e siècle, aux frères Joseph et Alphonse Le Segretain qui remanient entièrement la maison de maître. Lors des bombardements de la voie ferrée en 1944, les constructions situées le long de la voie de chemin de fer c'est-à-dire la chapelle, l'orangerie, la volaillerie et le garage ainsi que la maison de maître sont entièrement détruits. De la propriété d'origine séparée en deux parcelles après la guerre, il ne subsiste qu'un bâtiment qui, au 18e siècle, devait être une écurie ainsi que l'ancienne maison (de contremaître ?) qui fut achetée par le peintre-verrier Auguste Alleaume en 1898. Description : D'après les photographies anciennes, la maison de maître était constituée d'un corps central flanqué de deux pavillons percés de fenêtres à croisillons. Les murs étaient couronnés d'une corniche à denticules. Selon un plan de Félix Désille, archiviste et dessinateur amateur, l'espace situé entre les deux pavillons était occupé par une véranda à laquelle on accèdait du jardin par un escalier en fer-à-cheval. Dans son ouvrage "Recherches sur Changé-les-Laval" paru en 1882, le chanoine Louis Marie François Guiller fait une brève description de la chapelle et écrit notamment : "La chapelle du Dôme n'offre rien de remarquable. Sa forme est absidiale, à pans coupés. On y voit deux statues, celles de saint Louis et de saint Joseph. Le tableau, placé au dessus de l'autel, représente la Naissance de Notre-Seigneur,deux autres, l'Adoration des Mages et la Présentation. Dans le mur, à droite en entrant, c'est-à-dire du côté de l'épître, existe une piscine. Nous n'avons pu découvrir à quel saint elle était dédiée". Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |