IA53000351 - maison 1 vue Historique : Maison construite à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle et qui a été légèrement remaniée au 18e siècle (notamment la ferronnerie et la porte). Époque(s) secondaire(s) de réalisation : 18e siècle Description : La maison présente un encorbellement sur poteaux élargis avec sablières, entretoises et consoles ornées de fines moulures, mais le pan de bois est masqué par un enduit. Une ouverture chanfreinée en pierre de taille de granite subsiste au premier étage de la travée de gauche. L'imposte de la porte ainsi que le balconnet du deuxième étage sont en fer forgé : ils sont caractéristiques du 18e siècle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000354 - maison dite des Guérins Historique : Maison de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Description : Maison à encorbellement sur poteaux élargis. Le gros-oeuvre du rez-de-chaussée, ainsi que les façades latérales étaient en moellons enduits. Les premier et deuxième étages de la façade sur rue étaient en pan de bois. Les sablières, les entretoises et les consoles de l'étage étaient ornées de fines moulures. Une tourelle, hors-oeuvre et de plan polygonal, abritait l'escalier. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000357 - maison 2 vues Historique : Maison construite à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle. Elle a été fortement remaniée au 19e siècle, puis à nouveau dans la seconde moitié du 20e siècle, où l'on a supprimé les transformations du siècle précédent. Description : Maison à pan de bois qui présente un encorbellement sur tête de solives au premier niveau. Le gros-oeuvre du rez-de-chaussée est essentiellement en moellons de calcaire. A l'intérieur, les portes chanfreinées à coussinets et une cheminée avec piédroits chanfreinés sont en granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000359 - maison Historique : Maison de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Description : Maison dont la plus grande partie du pan de bois est masqué par un enduit. Elle présente des encorbellements sur poteaux élargis, avec des consoles, des sablières et des entretoises moulurées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000360 - maison 1 vue Historique : Maison de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Description : Maison à pan de bois qui présente des encorbellements sur poteaux élargis, avec consoles, sablières et entretoises ornées de fines moulures. Les sablières de plancher du second niveau sont sculptées d'accolades. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000388 - maison dite de maître Pierre Briand 2 vues Historique : Maison de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle. Description : Le rez-de-chaussée, composé d'un vitrage continu à armature de poteaux de bois, est soutenu par un bahut de granite. Entre les pans de bois le remplissage est fait de briques. La maison présente deux encorbellements, dont les sablières, les entretoises et les consoles sont moulurées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : restauré Protection MH : Façades et toitures du pavillon d'entrée du 17e siècle et celles de la maison du 16e siècle (cad. CI 54) : classement par arrêté du 14 juin 1929. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000048 - prieuré de génovéfains Sainte-Catherine 5 vues Historique : C'est Avoise de Craon qui fonde en 1224 le prieuré Sainte-Catherine, prieuré conventuel de chanoines réguliers dépendant de l'abbaye de la Real en Poitou. Une première église est consacrée en 1247. Celle-ci ainsi que le cloître et une partie des bâtiments sont reconstruits entre 1468 et 1508 pour le prieur François Lesné. En 1693, le cloître est à nouveau reconstruit. En 1776, un incendie détruit plusieurs bâtiments et entraîne de nombreux remaniements. Sous la Révolution, l'église devient paroissiale sous le titre de Notre-Dame. Peu de temps après, elle et le cloître sont rasés alors que les autres bâtiments sont vendus comme biens nationaux. En 1816, l'ancien prieuré est occupé par les trappistines nouvellement arrivées à Laval. Elles y restent jusqu'en 1859, date d'achèvement de leur nouveau couvent à la Coudre. Ensuite, les bâtiments dont le logis du prieur sont transformés en moulin, puis en magasins de boissons avant d'être vendus en 1925 à l'entreprise de bâtiment George Pinon. En 1976, les deux pavillons du logement prioral sont rasés. Aujourd'hui, le corps de bâtiment central de celui-ci est encore debout. Il subsiste également la grande bâtisse du 17e siècle autrefois adossée au côté sud du cloître. Des vestiges de ce dernier sont également visibles sur les murs délimitant le parking de la résidence le Prieuré Sainte-Catherine. Description : L'étage de la grande bâtisse aux travées régulières est dotée d'ouvertures dont les encadrements en pierre de taille de granite sont chanfreinées. Au rez-de-chaussée, les fenêtres remaniées ont conservé leurs linteaux d'origine en marbre rose de Saint-Berthevin. Situé contre le côté nord du cloître, le logement du prieur se composait d'un corps de logis avec deux pavillons latéraux (du 16e siècle ?). Celui de droite était carré avec un étage formant saillie et l'autre était octogonal. Selon l'abbé Angot, la première église consacrée en 1247 possédait une crypte dotée d'un autel dédié à sainte Marie-Madeleine. Il écrit également que l'église reconstruite au 15e siècle était "grande, orientée régulièrement" et qu'"on y voyait de riches vitraux". D'après un plan conservé à la Bibliothèque Nationale, ce deuxième sanctuaire se composait d'une nef dotée de plus de cinq travées séparées par des contreforts et percées de hautes fenêtres. Le chevet était plat et un clocher élancé surmontait un toit à deux pans. Côté sud, l'église était pourvue d'une chapelle dont le pignon s'ouvrait sur un grand portail surmonté d'une rose. Jusqu'en 1791, date de leur vente à la Monnaie par le district, l'église abritait un bras d'argent doré relevé en bosse avec la tête de saint Jean-Baptiste, un ostensoir en vermeil garni de pierreries et une statue-reliquaire en argent de Sainte-Catherine (les reliques de la sainte avaient été offertes par Jeanne de Laval). Le prieuré semble également avoir été en possession d'une autre Sainte-Catherine. Datant du 13e siècle, cette sculpture en calcaire polychrome figure la sainte avec deux des instruments de son martyre : l'épée de sa décollation et une des roues brisées par la foudre rappelant son supplice manqué. La statue se trouve aujourd'hui à l'Université de Kingston dans l'Ontario, au Canada. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000096 - hôtel dit maison du Chastelais Historique : En 1479, un titre de rente foncière, sur la maison du Chastelais au tertre Malvoisin, est constitué par Jehan de Mathefelon au profit du chapitre de Saint-Tugal. La maison prend appui sur les anciennes fortifications de la ville. Description : Plusieurs ouvertures sont chanfreinées. Une première travée (proche du mur d'enceinte) comporte un niveau supplémentaire par rapport aux deux travées suivantes. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000431 - manoir du Grand Aligné 1 vue Historique : Manoir construit à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle pour la famille Hatry. En 1686, le maître maçon François Laigneau réalise dans l'enceinte de la propriété un bâtiment long de 71 pieds et large de 22 pour Françoise Cazet. Les lucarnes du corps de logis gauche sont réalisées en 1714. Cette partie de la demeure et la chapelle furent extrêmement endommagés lors des bombardements de 1944 et détruits. Une porte du bâtiment disparu aurait été remployée à la chapelle Saint-Pierre de Saulges en Mayenne. Description : Le gros oeuvre est en moellons de calcaire. L'encadrement des baies est en pierre de taille de granite ou de calcaire (pour la partie supérieure de l'élévation antérieure de la tour). Le manoir conserve sa belle tour qui passe du plan carré au dernier étage au plan hexagonale vers le bas. Deux culots figurés supportent le carré supérieur et sur le côté nord subsiste une tourelle en encorbellement. La tour renferme un escalier monumental en vis et une pièce d'abitation. Ses murs sont percés de bouches à feu. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : sujet : tête d'homme, support : tourelle d'escalier culot d'angle droit,sujet : tête de femme, support : tourelle d'escalier culot d'angle gauche Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Inventaire général, 1976 Fonds / classement : Architecture |
IM53000492 - ensemble des décors peints Historique : Ces peintures monumentales s'échelonnent du 1er quart du 12e siècle au 16e siècle(?). Quatre peintures n'ont pas été étudiées : un saint évêque(?) situé dans l'abside de la chapelle nord, un faux appareil peint dans la chapelle sud, des priants très effacés et une longue inscription situés sous le cycle de sainte Catherine peint au mur nord de la nef. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003206 - ensemble composé de vingt-quatre culs-de-lampe 24 vues Historique : Les culs-de-lampe numéros 1, 5, 11 et 15 ont probablement été réalisés entre 1485 et 1521. Les culs-de-lampe numéros 9, 19, 21, 22, 23 et 24 auraient été sculptés entre 1530 et 1565. Les culs-de-lampe numéros 2, 3, 4, 6, 7, 8 et 10 auraient été faits entre 1602 et 1606. Les culs-de-lampe numéros 12, 13, 14, 16, 17 et 20 ont vraissemblablement été réalisés vers 1642. Le cul-de-lampe numéro 18 a été entièrement resculpté en 2005. Description : Les voûtes des collatéraux du choeur reposent sur 20 culs-de-lampe (culs-de-lampe numéros 1 à 20). Les 4 autres sont disposés de part et d'autre des baies de l'abside. Tous les culs-de-lampe sont figurés. Précision(s) sur le décor représenté : 19 des 20 culs-de-lampe des collatéraux du choeur figurent des anges dont 9 au moins portent les instruments de la Passion parmi lesquels : la croix (cul-de-lampe numéros 6 et 16), le marteau (cul-de-lampe numéro 8), les verges de la flagellation (cul-de-lampe numéro 11), la colonne et les tenailles (cul-de-lampe numéro 15) et les clous (cul-de-lampe numéro 17). Dans l'abside, 3 des culs-de-lampe représentent des bustes d'hommes portant barbe et moustache. Certains culs-de-lampe sont accompagnés d'un décor à godrons (culs-de-lampe numéros 1, 2, 5, 9, 12, 22, 23 et 24), à feuilles d'eau (culs-de-lampe numéros 2 et 12 ), à feuilles de chêne (cul-de-lampe numéro 8) et à palmettes (culs-de-lampe numéros 17 et 18). Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2006 Copyright : (c) Inventaire général, 2006 (c) Ville de Laval, 2006 Fonds / classement : Objets mobiliers |