IA53000633 - chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Bourdais-Monnier construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule de style néo-roman dont le soubassement est en pierre de taille de granite et les murs en pierre de taille de calcaire. Il est couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. La façade antérieure est percée d'une porte et d'un oculus fermé par un vitrail (étudié). Les façades latérales et postérieure sont dotées de deux fenêtres cintrées. La porte ferme par un vantail en métal peint dont la partie supérieure est ajourée. Elle est flanquée de deux colonnes à chapiteaux feuillagées. Le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief accompagné de l'inscription EGO SUM RESURRECTIO ET VITA. Les fenêtres latérales sont pourvues de remplages en calcaire. Celles de la façade postérieure ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur accueille un autel en calcaire et des plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté du Christ glorieux c'est-à-dire du Christ ressuscité tenant la croix de la victoire sur la mort et l'étendard de la résurrection. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000634 - chapelle funéraire 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Le faîte est ornée d'une crête en pierre. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres latérales et d'un fenêtre postérieure. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnes et le tympan aveugle qui la surmonte est sculpté d'un bas-relief. Le pignon est orné de symboles funéraire et religieux. Les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). Les trois-quarts supérieurs des murs sont décorés d'une frise. L'espace intérieur est meublé d'un autel. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour de la chapelle est décoré d'un ruban plissé. Le tympan est sculpté d'un trilobe. Le fronton-pignon est orné d'une couronne de laurier entourant une croix de Malte. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000635 - chapelle funéraire de la famille Derenne-Dudouet 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Derenne-Dudouet construite au début du 20e siècle (en 1914 ou 1916 ?). Description : Edicule en calcaire bleu de Laval couronné d'un toit en pierre dont le faîte est orné d'une crête. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres cintrées. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux pilastres cannelés dont les parties supérieures sont sculptées du symbole de Dieu le Père. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE DERENNE-DUDOUET surmontée d'une croix. Les baies ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel et de plaques funéraires. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Les pilastres entourant la porte sont sculptés de l'Alpha et de l'Oméga (le commencement et la fin). Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000636 - chapelle funéraire de la famille Lezé 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Lezé construite à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux trilobes et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE LEZE surmontée d'un haut-relief. La corniche est ornée de modillons. Le trilobe du pignon et les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur est meublé d'un autel et de plaques funéraires sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : Le fronton-pignon est orné d'une couronne funéraire. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000637 - chapelle funéraire de la famille Léon Cherouvrier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite peu après 1915 pour accueillir la sépulture de Léon Louis Jules Cherouvrier, médecin auxiliaire au 36ème Colonial, tué à l'ennemi le 18 février 1915. Elle abrite également les dépouilles mortelles de Louis Eugène Marie Cherouvrier (1892-1977) et de son épouse Désirée Jeanne GUERIN (1896-1988) ainsi que celle du Docteur A. Cherouvrier (1897-1985). Description : Edicule de style classique en calcaire bleu de Laval. Il est couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres cintrées et d'un quadrilobe. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. La façade antérieure est cantonnée de pilastres à chapiteaux feuillagés. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE LEON CHEROUVRIER. Le fronton-pignon accueille un bas-relief. Les fenêtres et le quadrilobe ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et gris et d'une croix en bois peinte d'une épitaphe. Les murs sont ornés de trois plaques funéraires en marbre noir gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le fronton-pignon est sculpté d'un bas-relief représentant une palme entourée d'une couronne. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000638 - chapelle funéraire de la famille Caruel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Caruel construite à la fin du 19e siècle (1898 ?). Description : Edicule de style néo-gothique en granite pour le soubassement et en calcaire bleu de Laval pour les murs. Il est couronné d'un toit en pierre et zinc sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, d'un oculus et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes à chapiteaux feuillagés. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE CARUEL. Le tympan aveugle qui le surmonte est gravé de l'un des symboles christiques. La corniche est dotée de modillons. Seule la fenêtre latérale droite a conservé son vitrail (étudié). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre et de plaques funéraires gravées d'épitaphes sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est gravé du symbole du Christ : Chrisme accompagné de l'Alpha et de l'Oméga. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000639 - chapelle funéraire de la famille Bouvier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1908 par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de Germaine Bouvier (1889-1908), Joseph Bouvier, le mari de celle-ci (1861-1917) et madame Bouvier (1867-1937). Date(s) de réalisation : 1908 Description : Edicule de style néo-classique construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres en arcs brisés. La porte ferme par deux vantaux en métal peint et partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan aveugle du fronton-pignon porte un décor sculpté. Les fenêtres ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et de plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté d'un trilobe accueillant une couronne de fleurs. Les écoinçons sont ornés de marguerites. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000640 - chapelle funéraire des familles Royer-Royer 2 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1925 par la Société des Marbres, Pierres et Granits de l'Ouest domiciliée à Laval. Elle accueille les sépultures d'Auguste Royer (1893-1925), de son épouse (1892-1983), de madame Fricot-Royer (1921-1994), d'Auguste Royer (1865-1911), de son épouse Joséphine Jallier et d'Auguste Royer (1860-1937). Description : Edicule construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres et d'un occulus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré dont la partie basse accueille les initiales R R. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre noir à chapiteaux feuillagés. Le tympan du fronton-pignon est orné d'un cartouche accueillant une plaque funéraire en marbre noir gravée de l'inscription FAMILLES ROYER-ROYER. Seul l'oculus du pignon postérieur a conservé sa verrière d'origine. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et noir. Les murs accueillent des plaques en marbre blanc gravées d'épitaphes. Le plafond est peint. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le plafond est peint d'une croix pattée de grandes dimensions. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000641 - chapelle funéraire de la famille Lelièvre-Huau Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite au début du 20e siècle par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de la famille LELIEVRE-HUAU. Description : Edicule de style classique dont le soubassement est en granite et les murs en calcaire. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de trois fenêtres dont deux latérales. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan du fronton-pignon est orné d'un cartouche accueillant une plaque funéraire en marbre rose gravée de l'inscription FAMILLE LELIEVRE-HUAU. Les trois fenêtres ont conservé leurs verrières d'origine (étudiées). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et gris. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000642 - chapelle Sainte-Hélène, actuellement salle de spectacle Historique : Chapelle construite vers 1625 par l'architecte Etienne Corbineau. Elle surmonte une crypte aménagée dans les années 1627-28 pour servir de lieu d'inhumation aux ursulines. En 1848, son espace intérieur est modifié dans un style gothique par l'architecte lavallois Pierre-Aimé Renous. En 2010, les architectes nantais Jean-Marie Lépinay et Gilles Chabènes la transforme en salle de spectacle et salle d'examen. Description : Chapelle : elle est orientée nord-ouest/sud-est. Son gros oeuvre est en moellons enduits. L'entourage des ouvertures du pignon antérieur combine la pierre de taille de granite et celle de calcaire appareillées en bossages. Aux angles nord-ouest et sud-est, deux tours quadrangulaires renfermant deux escaliers en vis permettent d'accéder à la charpente et au clocher. Celui-ci renferme trois cloches dont une est protégée monument historique (étudiée). Au 17e siècle, la chapelle se composait d'une nef unique et d'un choeur rectangulaire surélevé. Ces deux parties étaient séparées par une table de communion en marbre (étudiée) aujourd'hui placée contre les murs latéraux. De cette époque subsistent également deux bénitiers et un pied de lutrin en marbre (étudiés). Le retable en marbre et tuffeau qui ornait le choeur fut détruit à la Révolution. Il en reste des vestiges dans la crypte. En 1848, la nef fut subdivisée en trois vaisseaux aux voûtes d'ogives portées par deux rangées de colonnes à fûts quadrilobés et chapiteaux corinthiens. Depuis sa restauration et sa transformation en salle de spectacle, elle accueille des gradins rétractables composés d'une soixantaine de sièges en velours rouge. Les fenêtres ont été doublées de panneaux acoustiques en bois et le sol a été recouvert d'un parquet en chêne clair. Les stalles (étudiées) ont été entreposées dans l'église Saint-Martin. Crypte : son accès se fait par un couloir de 10 m de long sur 1,60 m de large et 1,80 m de haut. Les murs de celui-ci sont recouverts de nombreux noms parmi lesquels ceux des ouvriers ayant participé à la construction de la crypte et celui de P. Cornilleau, le commanditaire du couvent. La date de 1628 est également inscrite. La crypte prend la forme d'une grande pièce voûtée en berceau de 9,70 m de long sur 6,50 m de large et 2,90 m de haut. Ses murs sont percés de quatre niches rectangulaires aujourd'hui semi-enterrées. Sont également inscrits des noms d'élèves datant des années 1827-1945. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Protection MH : Chapelle du Lycée (cad. CH 146) : inscription par arrêté du 15 février 1926. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000643 - chapelle funéraire de la famille Elie Brillet 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1905 par l'architecte lavallois Louis Garnier. Elle accueille les sépultures d'Elie Gervais Brillet (1809-1874), de son épouse Joséphine Anne Richer (1817-1899), d'Elie Marie Jean Brillet (1841-1913) et de son épouse Clarisse Lecomte (1839-1916). Date(s) de réalisation : 1905 ? Description : Edicule de plan trapézoïdal couronné d'un toit-terrasse. Les murs sont en granite et le toit en pierre. Les façades antérieure et postérieure sont percées d'une porte également trapézoïdale et d'une fenêtre rectangulaire. Celle-ci a conservé sa verrière d'origine. La porte ferme par un vantail en métal peint percé d'une ouverture quadrangulaire. Le linteau qui la surmonte est sculpté de l'inscription FAMILLE ELIE BRILLET. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre. Les murs accueillent deux grandes plaques funéraires en marbre blanc gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : La poignée de porte prend la forme d'une tige dont les extrémités sont pourvues de feuilles. Elle est surmontée d'une fleur semblant être une fleur de camélia. Ces végétaux confèrent un style Art nouveau au vantail. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000645 - pensionnat des Dames du Sacré-Coeur de Jésus, puis école normale catholique du Sacré-Coeur, puis Cours d'Avesnières, actuellement Lycée privé d'Avesnières 3 vues Historique : En 1841, la congrégation des Dames du Sacré-Coeur de Jésus établissent un pensionnat pour jeunes filles aisées dans une demeure achetée par Madame Leclerc de Beaulieu. La maison qui fait partie de la propriété de la Croix-Saget, est alors située 31-33, chemin d'Hydouze sur la commune d'Avesnières. En 1842, le pensionnat dirigé par la mère Barat (aujourd'hui sainte Sophie Barat) est agrandi (par l'architecte Pierre-Aimé Renous ?). En 1904, la Congrégation est expulsée et les bâtiments sont confisqués suite à la loi de séparation des Eglises et de l'Etat. Le 31 janvier 1907, la propriété mise aux enchères pour un prix modique, est achetée par la comtesse Jeanne de Hercé, une mayennaise affiliée à la congrégation des Filles du Coeur de Marie. Elle y installe une école normale catholique d'institutrices laïques appelé Le Sacré-Coeur. En 1966, celui-ci disparait et devient le Cours d'Avesnières regroupant divers établissements de cycles secondaires lavallois (Sainte-Thérèse, Saint-Etienne et le Sacré-Coeur). Le Cours devient mixte en 1967. En 1968, le bâtiment principal est surélevé et un premier préfabriqué est mis en service. Un second est construit en 1972. En 1980, le Cours devient le Lycée privé d'Avesnières qui s'ouvre à l'enseignement technologique secondaire et à l'enseignement supérieur. En 1981, un troisième préfabriqué est bâti. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2011 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2011 (c) Ville de Laval, 2011 Fonds / classement : Architecture |
IA53000049 - prieuré de Bénédictines Sainte-Scholastique, Sainte-Benoît et Notre-Dame-de-Lorette 1 vue Historique : Un décret de l'évêque du Mans, Charles de Beaumanoir, autorisa les bénédictines à s'établir à Laval, au lieu-dit Montmartin, en 1621. La communauté, sous le nom de prieuré de Sainte-Scholastique, a été fondée par la volonté du marchand lavallois Robert Chevalier et de sa femme Lezine Beloce qui donnèrent les terrains dans ce but. Les architectes, Corbineau père et fils (Etienne et Pierre) sont chargés, à partir de 1630, de la réalisation de l'église, placée sous le vocable de Saint-Benoît, d'un dortoir et d'"autres bâtiments", dont un portail extérieur (?). Au 18e siècle les religieuses font construire une petite chapelle dite chapelle Notre-Dame-de-Lorette, "vers les éperons" et la maison du pensionnat. Le prieuré sert de tribunal révolutionnaire et de maison de détention pour les suspects (1793) pendant la Révolution. Au lendemain de celle-ci, en ruine, il est rasé pour la réalisation d'une place publique, l'actuelle place de Hercé. Date(s) de réalisation : 1630 Description : L'église présentait un portail en pierre de taille de tuffeau, avec pignons à rampants. Les portes, les entablements, les fenêtres et les lucarnes des bâtiments annexes étaient également en pierre de taille de tuffeau. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000648 - hôtel, actuellement immeuble de bureaux 7 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000037 Historique : L'hôtel est construit en 1896 sur des plans de Léopold Ridel pour monsieur Adolphe Masseron. Quelques-uns de ses vitraux ont été réalisés en 1903 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. Son registre de caisse mentionne en effet le nom de monsieur Masseron ainsi que la somme de 360 francs. Date(s) de réalisation : 1896 Description : Hôtel particulier construit sur une parcelle extrêmement étroite, d'où sa verticalité, et dont l'architecture éclectique fait de nombreux emprunts au style Renaissance. La façade, côté quai, comporte quatre niveaux dont un étage de comble et cinq travées régulières. Les ouvertures du premier étage à linteau droit avec agrafe ouvragée, sont dotées de balconnets à balustres, à l'exception de la baie de la travée nord qui s'ouvre sur un bow-window ou oriel doté d'une verrière. Au rez-de-chaussée, les ouvertures sont légèrement cintrées alors qu'au deuxième étage elles sont en anse de panier. Sur le toit, les baies à meneau de bois sont parfois insérées dans une ornementation néo-Renaissance avec pilastres, pinacles, consoles et frontons triangulaires ou curvilignes à tympans sculptés de motifs végétaux. L'animation du volume se fait par le jeu des toitures et par l'adjonction de quelques éléments pittoresques : le bow-window, déjà cité, surmontant l'ancienne porte d'entrée, mais aussi une véranda métallique ornée de céramiques polychromes à motifs végétaux stylisés. Les éléments décoratifs, en calcaire, sont mis en valeur par le contraste avec le matériau de remplissage, la brique. A l'intérieur, le vestibule, les salles de réception et les bureaux du rez-de-chaussée ont reçu un décor de boiseries et de panneaux vitrés de syle Louis XV ou néo-Renaissance. Le grand escalier en bois emprunte par contre au style gothique. A noter : Ridel fut également chargé du décor de la salle de bains pour laquelle il dessina deux panneaux décoratifs au style japonisant,ceux-ci représentent des geais sur un éventail déployé et des cigognes pêchant. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : véranda, lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000649 - maison, actuellement immeuble d'habitation 1 vue Historique : Maison construite au début du 20e siècle pour le docteur Loiseleur, fondateur du centre de radiologie de la clinique Sainte-Elisabeth qui jouxtait la demeure de ce dernier. La maison est ensuite devenue la propriété du docteur Barrier qui racheta également une partie du cabinet. Description : Maison à large façade sur rue dont l'accès s'effectue par un perron côté cour. Elle se compose d'un corps central à trois niveaux et de deux corps latéraux n'en possèdant que deux. Les soubassements sont en granite et le gros-oeuvre en moellons enduits. L'ensemble des ouvertures présentent des arcs en anse de panier et des entourages en pierre de calcaire. Celle-ci est également utilisée pour les chaînages d'angle marquant les trois corps de bâtiment. Si les fenêtres du deuxième niveau du corps central sont précédées d'un balcon en bois sur consoles, toutes les autres sont dotées de garde-corps du même matériau. Les avant-toits et les auvents (quatre à deux pentes et un en appentis) prennent également appui sur des aisseliers en bois découpé. Tout en participant au décor de la maison, ceux-ci en renforcent l'aspect pittoresque et lui confèrent un petit air de "chalet". A l'intérieur, les étages sont desservis par un escalier en bois de style néo-gothique dont la rampe d'appui est percé de motifs cruciformes. La cage d'escalier est éclairée par des fenêtres qui accueillaient des vitraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000650 - hôtel Historique : Hôtel construit entre 1850 et 1874 pour Roger Lambelin dont les initiales ornent le manteau de cheminée de l'une des chambres. Au début du 20e siècle, il appartient à monsieur Le Bail dont l'initiale B figure sur la mosaïque décorant le sol du vestibule d'entrée. Description : Hôtel entre cour et jardin de plan carré. Le gros oeuvre est en moellons enduits, les entourages des ouvertures, les chaînages d'angle et les cordons de séparation des étages en pierre de calcaire. La travée d'axe, en légère saillie, superpose les ouvertures en plein cintre parmi lesquelles deux fenêtres ornées de vitraux d'Alleaume. Celle de l'étage supérieur est flanquée de deux baies aveugles. A l'intérieur, le sol de l'entrée est orné d'une mosaïque. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : rez-de-chaussée,2 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : La mosaïque représente un médaillon ovale renfermant la lettre B. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000660 - maison Historique : Maison du début du 20e siècle occupant l'ancien parc de l'hôtel de monsieur Pillon (étudié). Elle a été construite pour monsieur Fortin qui exerçait la profession de marbier (le cimetière de Vaufleury est tout proche). Description : Maison entre cour et jardin dont l'architecture s'apparente à celle d'une résidence de villégiature. Construite en moellons équarris, elle est organisée en trois travées, celle de droite étant en très légère avancée. Cette dernière est percée de fenêtres jumelées que surmonte un toit à longs pans s'achevant par une demi-croupe débordante. L'élévation latérale gauche est couverte du même type de toit avec des aisseliers en bois comme suports du débord. Les niveaux sont marqués par des bandeaux de calcaire et les encadrements latéraux des baies, comme les chaînages d'angle, sont traités en calcaire bleu de Laval. Toutes les grandes ouvertures, y compris le garage, sont surmontées de linteaux métalliques à rosaces. Celui placé au-dessus de la petite fenêtre d'escalier est en calcaire gravé d'un arc en accolade. L'extrémité gauche de la façade gouttereau se prolonge par un bow window à pans coupés et en maçonnerie imitant le pan de bois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée surélevé,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Les parties basses des fenêtres supérieures de l'élévation antérieure droite, sont sculptées de volutes surmontées de visages d'êtres fabuleux. Ces motifs sont précédés de vases contenant des fleurs. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000662 - maison, actuellement immeuble d'habitation Historique : Maison construite à la fin du 19e siècle pour l'avocat Adophe Messager. Au 20e siècle, elle a fait l'objet d'un agrandissement et a été transformé en immeuble d'habitation. Description : Maison de style néo-classique transformée en immeuble d'habitation. A l'origine, la demeure se composait d'un corps de bâtiment à façade sur rue et d'une aile en retour d'équerre de même hauteur. Suite à l'adjonction d'un arrière-corps, elle a perdu son plan régulier en L au profit d'un plan carré. Le gros-oeuvre des deux corps est en moellons enduits. Les chaînages d'angle utilisent à la fois le granite et le calcaire. La corniche et les bandeaux moulurés courant le long des façades sont en pierre de calcaire. L'élévation droite est percée de baies à meneaux au rez-de-chaussée et d'une fenêtre oblongue cantonnée de pilastres doriques à l'étage supérieur. Ces ouvertures sont coiffées de linteaux métalliques ornés de quatrefeuilles. L'aile en retour dont le rez-de-chaussée s'ouvre sur un portail à arc segmentaire est couronnée d'un toit à longs pans perpendiculaire à la rue. L'élévation adjacente est surmontée d'une couverture du même type. Dotée d'une faible pente, elle est disposée parallèlement au mur gouttereau et est dissimulée par un attique à balustrade. La distribution intérieure est inconnue mais il semblerait qu'un atelier d'artiste occupait le troisième niveau. Le gros-oeuvre de l'arrière-corps est en moellons enduits avec des encadrements d'ouvertures en brique rouge. Le toit est à longs pans. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussée,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000663 - chapelle dite petite chapelle Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000063 Historique : La première chapelle de l'Institution est construite à l'initiative du chanoine Jean Blu sur des plans de l'architecte Eugène Boret. Les travaux financés grâce à une souscription, une loterie et des dons anonymes, sont confiés à l'entrepreneur M. Blot. Achevé en 1876, le sanctuaire devient rapidement trop petit pour accueillir les élèves et ce, malgré un agrandissement du bas-côté droit. La construction de la grande chapelle commencée en 1897, entraînera la mutilation de sa nef. Seule la façade sur rue témoigne encore de cette première construction. Date(s) de réalisation : 1876 Description : Chapelle de style néo-gothique. Un texte donne la description suivante de son intérieur primitif : "Au-dessous de la clé de voûte où se réunissent les arceaux de l'abside, était placé l'autel en bois, partcipant à la fois de la sculpture et de la peinture. la table était supportée par quatre colonnettes à base attique et garnie aux chapiteaux de volutes. Derrière ces colonnettes dégagées était le devant d'autel peint et orné d'un médaillon portant le chiffre de l'Immaculée Conception. L'autel, avec gradins et tabernacle, était adossé à un retable couronné d'un entablement supporté par deux colonnettes, le tout richement décoré. Sur ce retable, en arrière de l'autel, des statues de grandeur naturelle formaient trois groupes représentant, l'un, au centre, l'apparition de Lourdes,l'autre, à droite, l'apparition de La Salette,le troisième, à gauche, l'apparition de Pontmain". Depuis sa désaffectation au culte, l'édifice divisé en deux niveaux accueille, au rez-de-chaussée, des chambres froides et des locaux de stockage. L'étage, aujourd'hui abandonné, fut très longtemps occupé par une bibliothèque puis une salle des professeurs. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Architecture |
IA53000664 - chapelle dite grande chapelle 6 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000063 Historique : La grande chapelle, conçue pour devenir l'église paroissiale de la rive gauche, est réalisée en 1897 sur les plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Le père Cyrille Hamelin, alors supérieur de l'Immaculée-Conception, en est l'initiateur. Dans les années 1990, l'intérieur de l'édifice est totalement transformé par l'architecte Yves-Marie Belot. Description : Chapelle néo-romane en pierre de taille de granite et en moellons équarris de calcaire. La croisée du transept est couronnée d'un toit à l'impériale. La voûte du choeur accueille une peinture monumentale de M. Moriceau. Les fenêtres sont dotées de vitraux dont certains d'Auguste Alleaume. Dans les années 1990, la nef a été partagée en trois niveaux afin d'accueillir au rez-de-chaussée le restaurant scolaire, à l'extrémité du premier étage des salles de cours ainsi qu'un oratoire et sur la totalité du deuxième étage une chapelle. Des cuisines sont également construites devant l'ancienne entrée du sanctuaire. D'après une carte postale ancienne, la chapelle conservait un trésor composé d'une chasuble gothique, d'une étole et d'une bourse de bénédictin, d'un grand missel de Tournai, d'une chape, d'une reliure mosaïque, d'un ostensoir de la maison Biais, d'une Vierge de la fondation du Collège, de deux paires de burettes dont une du 17e siècle et d'un évangéliaire provenant de Bruges. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : remanié Précision(s) sur le décor représenté : La scène du Couronnement de la Vierge est inspirée d'une fresque de Fra Angelico et représente l'accueil au Ciel de la Vierge par le Christ qui l'élève au dessus de la multitude des bienheureux. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |