IA53000640 - chapelle funéraire des familles Royer-Royer 2 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1925 par la Société des Marbres, Pierres et Granits de l'Ouest domiciliée à Laval. Elle accueille les sépultures d'Auguste Royer (1893-1925), de son épouse (1892-1983), de madame Fricot-Royer (1921-1994), d'Auguste Royer (1865-1911), de son épouse Joséphine Jallier et d'Auguste Royer (1860-1937). Description : Edicule construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux fenêtres et d'un occulus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré dont la partie basse accueille les initiales R R. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre noir à chapiteaux feuillagés. Le tympan du fronton-pignon est orné d'un cartouche accueillant une plaque funéraire en marbre noir gravée de l'inscription FAMILLES ROYER-ROYER. Seul l'oculus du pignon postérieur a conservé sa verrière d'origine. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et noir. Les murs accueillent des plaques en marbre blanc gravées d'épitaphes. Le plafond est peint. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le plafond est peint d'une croix pattée de grandes dimensions. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IM53000288 - peinture monumentale : Christ en majesté, Calendrier des mois 7 vues Historique : Les travaux de 1983, engagés pour la remise en état du bâtiment, permirent la redécouverte de ces peintures exécutées vers les années 1200. Description : La peinture a été commencée à fresque et terminée sur enduit sec. Le tracé de la mandorle a été réalisé au compas. A la voûte de la travée droite, le calendrier est peint en deux registres de part et d'autre de l'axe faîtier. Le sens de lecture s'effectue toujours vers le Christ. Décor représenté : Christ glorieux, boeuf de saint Luc, aigle de saint Jean, lion de saint Marc, homme de saint Matthieu, les douze mois(février : femme : assis, feu, mars : homme : taillé, vigne, avril : homme, préhension, branche : feuille, mai : homme, cheval, juin : homme : faux, juillet : homme, moisson, août : homme, battage, octobre : semailles, novembre : homme, porc, gland), ornement à forme géométrique Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ en gloire accompagné des symboles des Evangélistes occupe le cul de four,un ruban plié marque la séparation entre la voûte et le sommet du mur. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peint, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000331 - peinture monumentale : Triomphe de saint Joseph, Sacré-Coeur, sainte Marthe, le vieillard Siméon, la prophétesse Anne, saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth Historique : Cet ensemble homogène a été réalisé par deux peintres. Maurice Chabas, peintre d'origine nantaise, réalise dans son atelier parisien en 1901 (date portée) les bustes du tambour et le triomphe de saint Joseph. Emmanuel Cavaillé-Coll exécute sur place les peintures ornementales et symboliques. Description : Nature de l'enduit indéterminée : plâtre ou chaux. Les médaillons du tambour et le triomphe de saint Joseph sont des toiles marouflées. Décor représenté : saint Joseph : debout, lys, ange : harpe, lys, phylactère, couronne, livre£croix, lys, ornement à forme végétale, colombe, calice, nuée, fleuve du Paradis, étoile£Sacré-Coeur : en buste, sainte Marthe : en buste, homme du nouveau testament(Siméon), femme du nouveau testament(Anne), saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth, croix, ornement à forme végétale£tissu, guirlande, croix : ornement géométrique£étoile, croix, saint Esprit, fleur, bouquet Précision(s) sur le décor représenté : Le décor correspond à un programme unique qui s'articule de haut en bas : à la coupole, la croix timbrée du saint Esprit distribue les Grâces sous forme de fleurs et d'étoiles,au tambour, les médaillons figurés alternent avec des ornements à motifs végétaux dotés de croix,au cul de four de l'abside, sur un semis de fleurs et d'étoiles, deux colombes boivent au calice de la vie placé au pied de la croix,du calice sortent les flots du fleuve du Paradis et un lys rayonnant,au registre supérieur de l'abside, le triomphe de Joseph parmi les anges. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peint, latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Davy Christian,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000357 - peinture monumentale 1 vue Historique : Cette peinture murale avait été commandée par Mgr Richaud (1938-1950), au peintre Adelyne Neveux. "Peinture pour temps de crise", elle a été réalisée dans les années 1942-1943, sous l'occupation allemande. Décor représenté : figures(ermite : debout, chapeau, canne, évêque : saint Julien du Mans, debout, mitre, crosse, chasuble, Vierge : lévitation, robe : étoile, Dieu le Père : assis, croix : colombe, Christ, ermite : agenouillé, livre, oiseau, évêque : saint Turibe, debout, mitre, chasuble, diacre : saint Berthevin : debout, dalmatique, livre, prêtre : groupe, guillotine), architecture religieuse, pont : fleuve identifié, château, fortification, fond de paysage(sécheresse, fleur) Précision(s) sur le décor représenté : Au centre la sainte Trinité : le père présente son fils en croix (croix de couleur sang à cause de Pontmain), tandis que l'Esprit plane sous les traits d'une colombe. A gauche, la Vierge de Pontmain, saint Julien (1er évêque du Maine), l'ermite saint Cénéré qui porte un chapeau de cardinal à cause de son appartenance à la communauté monastique de la basilique vaticane et les prêtres martyrs de la Révolution.A droite, l'ermite saint Fraimbault, saint Turibe (2e évêque du Maine) et le martyr saint Berthevin. En arrière-plan, des édifices religieux de la Mayenne : l'ermitage de saint Cénéré à Saulges, Notre-Dame de Charné à Ernée, la basilique de Pontmain, la cathédrale de Laval, la basilique Notre-Dame de Mayenne, la basilique Notre-Dame de l'Epine à Evron, la basilique d'Avesnières à Laval. Comme pour envelopper le tout, des arbres dénudés dans des terres craquelées à la partie supérieure et des fleurs dans la partie inférieure. Dimension(s) : h = 230,5,l = 447,5 Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000485 - ensemble de 8 peintures monumentales 3 vues Historique : Le faux-appareil de l'ancienne croisée du transept a été réalisé au cours du 15e siècle et repris vers le milieu du 16e siècle lors du percement du trou des cloches. Le faux appareil aux axes faîtiers ornés a été réalisé vers 1490. Le vestige de faux appareil du mur nord de la 1ère travée de la nef pourrait correspondre à cette campagne. Le faux appareil ponctué a été peint immédiatement après la construction de la chapelle dans laquelle il se trouve, entre 1537 et 1541. Le faux appareil blanc sur fond jaune pourrait correspondre à la campagne de construction réalisée entre 1549 et 1556. Les croix de consécration peintes dans le choeur datent vraisemblablement de l'érection de l'église en cathédrale (1855). Le faux appareil des voûtes des 3 travées de la nef actuelle et les croix de consécration de la nef, copies interprétées, ont été peintes ou repeintes dans le dernier quart du 20e siècle. La trace d'une litre, réalisée entre le 16e et le 18e siècle, est visible dans la chapelle sud-est. Description : Les peintures peuvent être aussi bien réalisées à fresque ou débutées à fresque et terminées à sec. L'ensemble de croix de consécration du 19e siècle semble avoir été réalisé sur badigeon. Les 5 faux-appareils ont semble-t-il été réalisés à main levée. Quatre de ces faux-appareils sont rouge sur fond blanc et le 5e est blanc sur fond jaunâtre. Précision(s) sur le décor représenté : Cinq ornements de forme architecturale imitent un appareil de pierre de taille. Dans l'ancienne croisée de transept, il est doté de motifs floraux ou d'étoiles. L'extrémité inférieure des voûtains est ornée d'un rameau sec. Les murs et les voûtes du choeur reconstruits vers 1490 étaient couverts d'un faux-appareil. Les axes faîtiers sont ornés d'un bandeau décoratif, qui est constitué d'un axe autour duquel court un rinceau sur un fond de fleurettes et d'étoiles. Le tout est encadre d'un bandeau bicolore rehaussé de fleurettes et d'étoiles en alternance. Sur chaque bordure extérieure court un redent fleuronné. La voûte de la 1ère chapelle sud du choeur est dotée d'un faux appareil dont les joints verticaux sont ponctués,chacune des croix de consécration fleuronnées est inscrite dans un cercle et accompagnée de rameaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |