IA53000123 - hôtel dit la Grande Maison, puis couvent de Notre-Dame de la Miséricorde, actuellement maison de retraite 27 vues Historique : Hôtel particulier, dit la Grande Maison, construit au milieu du 16e siècle pour le négociant François Arnoul. La propriété englobe une partie de l'enclos du manoir Ouvrouin dont il subsiste le colombier du 14e siècle. Le logis est remanié et agrandi en 1619 pour Jacques de Chantepie, sieur de la Touche. En 1791, l'édifice est acheté par le sieur Busson qui y est assassiné en 1819. L'année suivante, la propriété est acquise par la fondatrice des soeurs de la Miséricorde, mère Thérèse Rondeau, pour y héberger "des filles perdues et repenties". Tout au long du 19e siècle, la congrégation réalisent diverses constructions parmi lesquelles des classes, une porterie et deux chapelles. La première est bâtie de 1824 à 1825 dans une aile perpendiculaire à la rue de Paradis. Une seconde, plus importante, est édifiée entre 1864 et 1866 sur un terrain donné par les religieuses du Carmel voisin. En 1998, les ailes encadrant la cour d'entrée (dont celle abritant la première chapelle transformée en infirmerie) sont détruites lors de la restructuration des bâtiments. La communauté abrite aujourd'hui une maison de retraite dont le jardin renferme la chapelle funéraire de Thérèse Rondeau. A noter : en 1936, Auguste Alleaume réalise des vitraux pour l'une des deux chapelles. Le livre de caisse du peintre-verrier mentionne en effet : "Vitrerie de la Miséricorde : 2 850 francs". Description : Grande Maison : côté cour, le corps central est encadré de deux pavillons hors-oeuvre coiffés d'un toit à l'impériale tandis qu'un troisième pavillon flanque l'élévation postérieure. Le logis primitif est bâti sur des caves vôutées. Il est reconnaissable à ses petites ouvertures et à sa tourelle d'escalier demi-hors-oeuvre de plan circulaire. Le bâtiment du 17e siècle est doté d'une travée en pierre de calcaire s'achevant par une niche passante. Ses murs sont percés de grandes baies parmi lesquelles des fenêtres à encadrements harpés en granite et/ou calcaire. Une des lucarnes, dégagée lors des remaniements de 1998, porte des armoiries, peut-être celles de la famille Arnoul. L'ensemble des murs est couronné d'une corniche à modillons en calcaire. Chapelle : construite en moellons enduits et en pierre de taille de granite, elle est orientée et adopte un plan en croix latine. Le pignon ouest s'ouvre sur un portail en plein-cintre surmonté d'une rose. Son mur flanqué de contreforts à pinacles est couronné d'un clocher quadrangulaire ouvert sur les quatre faces. Le chevet en abside est augmenté d'une construction en demi-cercle. Aménagée en fausse grotte, elle abrite une statue de la Vierge écrasant un serpent sur un globe terrestre étoilé. Un retable en marbre noir et rose sert d'écrin à la sainte. Ses deux niches latérales délimitées par des colonnes corinthiennes sont occupées par les statues en calcaire de saint Jean et de Marie-Madeleine. L'arc de l'espace central est surmonté de deux anges tenant une couronne dorée. La chapelle conserve également un autel en marbre noir et rose, trois bénitiers en marbre rose dont deux bénitiers d'applique ainsi qu'un reliquaire de Sainte-Faustine donné par Monseigneur Maillard en 1999. Les vitraux d'Alleaume dont elle était probablement dotée ont disparu (déposés ou détruits ?). Chapelle funéraire : elle est orientée. Elle renferme la tombe de Thérèse Rondeau dont la dalle funéraire en marbre blanc veiné de noir est gravée d'une inscription en latin : Hic jacet virgo Deo et proximo devotissima THERESIA RONDEAU quae abdormivit anno salutis 1866 aet atis 72 postquam hane MISERCORDIAE domum a se fundatam per 4 s rexisset annos cujus zelo et Dei ope perfecta sunt opera multa et magna in primis exstructae colligendis 400 puellis aedes aedificatumque Domino templum/Ipsius memori in benedictione est. L'édicule est doté de trois verrières respectivement ornées des initiales T.R., de la figure de Sainte Agathe (le deuxième prénom de Thérèse Rondeau) et de celle de Sainte-Thérèse. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : balance, support : tympan des lucarnes postérieure,sujet : Vierge à l'Enfant, support : lucarne centrale de la façade antérieure,armes non identifiées, comportant 3 oies, support : lucarne sud de la façade antérieure. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000326 - maison 14 vues Historique : Maisons datant probablement de la fin du 15e siècle ou du début du 16e siècle et certainement réunies au 18e siècle. Comme l'atteste la date portée par le linteau d'une fenêtre du premier étage, les élévations antérieures sur rue ont été refaites en 1779. Le pignon est a d'ailleurs conservé une chaîne d'angle en retrait de l'actuel mur gouttereau nord qui pourrait être un vestige du gouttereau antérieur. Si l'escalier date aussi du 18e siècle, la tourelle qui l'accueille et qui est placée à l'arrière de la maison semble plus tardive (elle n'apparaît pas sur le cadastre ancien). Cela paraît également être le cas du toit à faibles pentes et de l'extension latérale formant aile qui est venue agrandir en profondeur le corps de bâtiment est. Ils pourraient effectivement dater du début du 19e siècle. La statuette qui garnit la niche du premier étage semble aussi avoir été réalisée au 18e siècle. En raison de son insalubrité, la maison est démolie le 23 janvier 2008. Date(s) de réalisation : 1779 Description : Maison double en pan de bois et moellons enduits avec deux anciens pas-de-porte commerciaux surmontés de trois niveaux d'habitation dont un étage de comble. Elle est couronnée d'un toit formé d'une charpente à potence. Les premiers et deuxièmes étages des élévations antérieures sur rue sont percées de fenêtres à linteaux délardés auxquelles il faut ajouter pour l'extrémité ouest du premier étage une niche accueillant une Vierge à l'Enfant en terre cuite polychrome. La fenêtre du rez-de-chaussée est surmontée d'une pièce de bois présentant un jeu de rainures horizontales amorties en sifflet. Depuis la rue, un couloir situé derrière le mur pignon est permet d'accéder directement à l'arrière de la parcelle où un escalier hors-oeuvre en charpente situé au centre du mur gouttereau dessert les différents niveaux. Cet escalier s'insère dans une tourelle polygonale constituée de planches en bois. Tournant à gauche, à retours et avec jour, l'escalier est doté d'une rambarde à balustres. A l'intérieur, chaque niveau, fortement remanié au 20e siècle, est scindé en deux logements distincts. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble État de conservation : détruit Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Vierge à l'Enfant, support : niche Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000355 - maison de Clermont 7 vues Historique : Maison construite dans la seconde moitié du 15e siècle. Elle servait de résidence urbaine aux abbés de l'abbaye cistercienne de Clermont. Description : Construite sur une parcelle large, la maison présente son mur gouttereau en façade. Un couloir central dessert l'escalier en vis situé sur la façade postérieure. Le pan de bois à grille présente un encorbellement sur poteaux élargis. Les sablières, les entretoises et les consoles sont ornées de fines moulures. Six consoles sont sculptées de personnages dont le choix iconographique est lié, en grande partie, à l'histoire de l'ordre cistercien et à celle de l'abbaye de Clermont. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Saint-Bernard de Clairvaux, support : console de la façade,sujet : ange portant un blason aux armes illisibles entouré du collier de l'ordre de Saint-Michel, support : console de la façade,sujet : Sainte-Barbe, elle est représentée avec sa tour et tenant la palme du martyr, support : console de la façade,sujet : Saint-Christophe, support : console de la façade,sujet : Saint-Benoît, support : console de la façade Protection MH : Façade et toiture : inscription par arrêté du 15 février 1926 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000429 - usine textile dite Notre-Dame d'Avesnières, actuellement Les Tissus d'Avesnières 1 vue Historique : Usine de tissage mécanique construite en 1876 pour monsieur Henri de la Broise. En 1905, les bâtiments sur quai sont reconstruits d'après les plans de l'architecte lavallois Léopold Ridel qui se charge également de bâtir la maison de maître. A cette date, l'usine compte environ 400 ouvriers et fabrique des coutils. En 1917, l'usine est rachetée par la famille Feinte déjà propriétaire d'une usine de tissage à Armentières, dans le nord de la France. En 1956, l'entreprise ajoute la teinture et l'impression à son activité initiale de tissage qui disparaît totalement en 1968. En 2003, l'usine se spécialise dans l'impression haut de gamme, la teinture et l'ennoblissement de tissus d'ameublement. En 2008, elle fait travailler 54 employés et produit 450 000 m de tissus imprimés pour 150 000 m de tissus teints. La maison de maître a été démolie. Date(s) de réalisation : 1905 Description : Le gros oeuvre des bâtiments sur rue est en moellons enduits. Le bâtiment à l'angle nord-ouest présente des ouvertures et des éléments de décor en pierre de taille de calcaire, alors que le bâtiment central (côté ouest) présente des ouvertures et des éléments de décor en brique. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : Vierge à l'Enfant, support : niche de la façade sur rue Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000664 - chapelle dite grande chapelle 6 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000063 Historique : La grande chapelle, conçue pour devenir l'église paroissiale de la rive gauche, est réalisée en 1897 sur les plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Le père Cyrille Hamelin, alors supérieur de l'Immaculée-Conception, en est l'initiateur. Dans les années 1990, l'intérieur de l'édifice est totalement transformé par l'architecte Yves-Marie Belot. Description : Chapelle néo-romane en pierre de taille de granite et en moellons équarris de calcaire. La croisée du transept est couronnée d'un toit à l'impériale. La voûte du choeur accueille une peinture monumentale de M. Moriceau. Les fenêtres sont dotées de vitraux dont certains d'Auguste Alleaume. Dans les années 1990, la nef a été partagée en trois niveaux afin d'accueillir au rez-de-chaussée le restaurant scolaire, à l'extrémité du premier étage des salles de cours ainsi qu'un oratoire et sur la totalité du deuxième étage une chapelle. Des cuisines sont également construites devant l'ancienne entrée du sanctuaire. D'après une carte postale ancienne, la chapelle conservait un trésor composé d'une chasuble gothique, d'une étole et d'une bourse de bénédictin, d'un grand missel de Tournai, d'une chape, d'une reliure mosaïque, d'un ostensoir de la maison Biais, d'une Vierge de la fondation du Collège, de deux paires de burettes dont une du 17e siècle et d'un évangéliaire provenant de Bruges. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : remanié Précision(s) sur le décor représenté : La scène du Couronnement de la Vierge est inspirée d'une fresque de Fra Angelico et représente l'accueil au Ciel de la Vierge par le Christ qui l'élève au dessus de la multitude des bienheureux. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000668 - chapelle de la très sainte Vierge Immaculée Conception et Saint-Thuribe 11 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000065 Historique : La chapelle du grand séminaire est réalisée en 1882 sur des plans de l'architecte diocésain Coquart placé sous la surveillance de Louis Garnier. Elle est bénite le 17 septembre 1883 sous les vocables de la très sainte Vierge Immaculée conception et de saint Thuribe (deuxième évêque du Mans). Ses vitraux, réalisés par Auguste Alleaume, sont posés en 1894 (étudiés). Comme l'ensemble des bâtiments du séminaire, la chapelle est détruite en 1976. Description : La chapelle était accolée à la façade septentrionale du corps de bâtiment principal, dans l'axe du pavillon central. Construite sur un soubassement en granite, son gros-oeuvre combinait le calcaire de Chauvigny et celui de Noyant. Elle était dotée d'une nef unique à cinq ouvertures cintrées et fausse voûte d'ogives en plâtre imitant la pierre. Le choeur était pourvu d'une voûte en cul-de-four ornée d'une peinture monumentale. Le décor peint se prolongeait de part et d'autre des cinq fenêtres fermées par des vitraux d'Alleaume. Les deux collatéraux surbaissés qui flanquait la nef étaient percés de six baies. L'entrée était surmontée d'une tribune accessible par un escalier extérieur à la chapelle. Le sol était recouvert d'une mosaïque d'Isidore Odorico père. Les murs des collatéraux et de l'abside étaient recouverts d'un lambris de demi-revêtement. L'allée centrale de la nef était bordée de stalles en bois. Le vestibule accueillait deux statues dont une de saint Pierre. Matériau(x) de couverture : ardoise État de conservation : détruit Précision(s) sur le décor représenté : La voûte du choeur était peinte de l'Assomption de la Vierge placée dans une mandorle. Le reste du décor monumental figurait des éléments architecturaux accompagnés de fleurs et du symbole marial couronné ou enfermé dans un cartouche à cuir découpé. L'extrados de l'arc doubleau reçevait l'inscription : ASSUMPTA EST MARIA IN COELUM - GAUDET EXERCITUS ANGELORUM. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000063 - école dite Institution de l'Immaculée Conception 6 vues Historique : L'institution de l'Immaculée Conception est créée par l'abbé Blu en 1865 dans une ancienne école située place des Arts (actuel 46, rue du Jeu-de-Paume). En 1870, elle est transférée rue Crossardière où les bâtiments du futur collège ont été construits entre 1869 et 1870. En 1879, l'abbé Blu est remplacé par le père Cyril Hamelin, ancien oblat du Sacré-Coeur du Mont-Saint-Michel. Grâce à la mobilisation des membres de l'abbaye, celui-ci put recueillir les fonds nécessaires à l'agrandissement du collège. C'est également en 1879, que le lycée est créé avec l'ouverture d'une classe de seconde. Entre 1914 et 1918, l'établissement est transformé en hôpital de guerre. Description : Le gros-oeuvre des bâtiments est en moellons enduits. Le bâtiment principal est surmonté d'un toit à longs pans brisés à croupe. Le fronton curviligne du portail sur rue est orné d'un écu armorié. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Armes de Pontigny,armes du Mont-Saint-Michel,armes non identifiées, de gueules chargé du monogramme de la Vierge au chef d'or chargé d'une étoile, support : tympan du portail sur rue. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 1981 (c) Ville de Laval, 1981 Fonds / classement : Architecture |
IA53000065 - grand séminaire Saint-Thuribe 7 vues Historique : Envisagé dès la création de l'évêché de Laval pour former le clergé du diocèse, le grand séminaire est construit de 1859 à 1864 sur des plans de l'architecte Lambert. Faute de moyens, l'aile méridionale n'est édifiée qu'en 1896. Quant à la chapelle, elle est réalisée en 1882. En 1906, l'établissement est mis sous séquestre et les séminaristes s'installent chez les jésuites de Saint-Michel-du-Cimetière-Dieu où ils resteront jusqu'en 1924. Devenu propriété de l'état, le grand séminaire est transformé en caserne et en hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale. Libéré en 1920, il est vendu à une association diocésaine par enchères publiques des domaines le 22 novembre 1922. En 1924, les séminaristes reprennent possession de leur école qu'ils remettent en état. Entre 1939 et 1945, les bâtiments sont réquisitionnés par les Allemands obligeant les séminaristes à s'installer au couvent de trappistines. La guerre finie, l'établissement reprend ses activités mais les élèves étant de moins en moins nombreux, il ferme définitivement ses portes le 29 juin 1969. La Ville l'achète le 11 septembre 1974 et le fait raser en 1976. Le site est aujourd'hui occupé par des logements collectifs (Les Horizons). Description : Bâtiment de 150 m de long de style néo-Renaissance. Le gros oeuvre était en moellons enduits. Les chaînes d'angle, les bandeaux, la corniche et l'entourage des baies étaient en pierre de taille de calcaire tandis que le socle utilisait le granite. Jusqu'en 1909, la cloche qui occupait le campanile situé au dessus du pavillon d'axe était la Luane c'est-à-dire la cloche de l'ancienne collégiale Saint-Tugal (étudiée). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : détruit Précision(s) sur le décor représenté : Armes de monseigneur Wicart sur l'entablement de la porte de la façade méridionale du pavillon central : d'azur à la croix latine d'argent, au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or. Elles étaient surmontées de la devise de l'évêque : Absit gloriari nisi in cruce. Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000375 - église paroissiale Saint-Melaine Historique : L'église Saint-Melaine fut probablement construite au 12e siècle. Elle était le centre de la première paroisse de la rive gauche, jusqu'à la construction de l'église Saint-Vénérand en 1485. Vendue à un maçon en 1799, l'église était en ruine en 1835. Description : L'édifice comprenait une nef et deux chapelles attenantes. Une statue de Saint-Melaine et une Vierge à l'Enfant du 14e siècle se trouvaient dans cette église. Elles sont aujourd'hui dans l'abbaye du Port-du-Salut à Entrammes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : détruit Précision(s) sur le décor représenté : saint : Saint-Melaine Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000467 - couvent de carmélites, Carmel de l'Immaculée Conception Historique : Le Carmel de Laval est fondé en 1856 sur la propriété de l'ancien manoir Ouvrouin, rue du Hameau (étudié). Malgré la confiscation du couvent après la loi de 1901 sur les congrégations, les religieuses reviennent s'installer à Laval en 1921. Elles ne réintègrent cependant leurs bâtiments de la rue du Hameau qu'en 1930. Mais ceux-ci sont en mauvais état et l'idée d'édifier un petit monastère à la lisière de la ville est lancée. En 1960, les soeurs achètent un terrain au comte d'Aubert et en 1965 le nouveau monastère est édifié. Il est béni par Monseigneur Guilhem les 3 et 4 septembre de la même année. L'architecte qui a en dessiné les plans est le tourangeau Michel Marconnet. L'entreprise lavalloise de travaux publics Brochard et Gaudichet s'est chargée de le construire. Le couvent a été labellisé "Patrimoine du XXe siècle" en 2009. Date(s) de réalisation : 1965 Description : Au milieu d'un enclos rectangulaire de 1 hectare 30 ares, le bâtiment de forme carrée, enserre un petit jardin et un cloître. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : ciment, béton Étage(s) : 1 vaisseau,sous-sol,1 étage carré Précision(s) sur le décor représenté : Personnages du retable : Jean de la Croix présente un coeur enflammé et un livre, Thérèse d'Avila tient un livre et Joseph un lys. Simon Stock et Thérèse de Lisieux sont aussi représentés. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1999 Copyright : (c) Inventaire général, 1999 Fonds / classement : Architecture |
IM53000104 - statue : Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame-Auxiliatrice Appartenant à : retable architecturé à niche de Notre-Name Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000102 Historique : Cette statue a remplacé le tableau originel du retable, consacré à Marie-Madeleine. Description : socle en marbre Précision(s) sur le décor représenté : L'Enfant Jésus et la Vierge sont coiffés d'une couronne. Dimension(s) : h = 118 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000108 - groupe sculpté : Vierge de pitié Appartenant à : retable architecturé à niche de Notre-Dame de pitié Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000107 Historique : Placée après la Révolution sur un retable qui lui est postérieur, cette statue proviendrait de l'ancienne chapelle de la Gaucherie. La qualité du traitement des corps et l'expression des visages, celui du Christ notamment, rappellent les oeuvres de Charles Hoyau et plus particulièrement la Pieta de Vaulandry (Maine-et-Loire). Le groupe sculpté a fait l'objet d'une restauration en 1997. Dimension(s) : h = 168,l = 123 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000130 - ensemble de 2 statues : saint Louis, saint Paul et d'un groupe sculpté : sainte Anne et la Vierge Appartenant à : autel, tabernacle, retable architecturé à niche de sainte Anne Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000129 Dimension(s) : h = 152 Précision(s) sur les dimensions : dimension de la sainte Anne,saint Paul : h = 130,saint Louis : h = 140,5. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000136 - statue : Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame du Sacré-Coeur Appartenant à : autel, tabernacle, retable de Notre-Dame du Sacré-Coeur Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000135 Historique : Auguste Chantepie précise que cette statue respecte le nouveau modèle approuvé par Rome, devant remplacer l'ancien modèle de la Vierge d'Issoudun. Précision(s) sur le décor représenté : La Vierge tient d'une main le Sacré-Coeur et de l'autre l'Enfant Jésus. Dimension(s) : h = 156 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000139 - ensemble de 3 statues : Notre-Dame de Lourdes, anges Appartenant à : autel, tabernacle, retable de Notre-Dame de Lourdes Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000138 Historique : Ensemble de statues probablement réalisées en 1877 (daté par travaux historiques). Précision(s) sur le décor représenté : Vierge de miséricorde dite Notre-Dame de Lourdes. Dimension(s) : h = 158 Précision(s) sur les dimensions : dimension de la Vierge,dimensions des anges : h = 110. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000141 - bas-relief : la Sainte-Famille 1 vue Appartenant à : autel, tabernacle, retable de la Sainte-Famille Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000140 Historique : Bas-relief réalisé en 1870 (daté par travaux historiques). Dimension(s) : h = 62,5,la = 93 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000142 - statue : Vierge à l'Enfant Appartenant à : autel, tabernacle, retable de la Sainte-Famille Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000140 Dimension(s) : h = 123 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000154 - tableau : Nativité Dimension(s) : h = 76,5,la = 61 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre : h = 95,5, la = 80. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000155 - bas-relief : Christ portant sa croix Historique : D'après Jules-Marie Richard, il s'agit de l'antependium de l'ancien autel du retable Saint-François. D'après Auguste Chantepie, il s'agit d'un devant d'autel provenant de la chapelle des Urbanistes de Patience. Il aurait été donné à l'abbé de l'église Notre-Dame par des paroissiens en 1849. Auguste Chantepie précise qu'une restauration a été effectuée en 1937. Description : Bois sculpté en faible relief et peint. Précision(s) sur le décor représenté : Au centre de la composition, le Christ marche en supportant sa croix. A droite, saint François et sainte Claire aident le Christ à porter sa croix. A gauche, saint Jean soutient la Vierge assise à l'écart tandis que sainte Véronique montre le tissu sur lequel vient de s'imprimer la face du Christ. Dimension(s) : h = 61,la = 159 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre : h = 74,5, la = 182,5. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000156 - statue (statuette) : Vierge, dite Notre-Dame de Laval Historique : Cette statue était autrefois placée dans la niche du portail de l'église. En 1978, une restauration remet en valeur sa polychromie. La statue est ensuite placée à l'intérieur de l'église, afin de la préserver. Une copie la remplace depuis 1981 dans la niche du portail. Précision(s) sur le décor représenté : La Vierge est représentée les bras croisés sur la poitrine. Dimension(s) : h = 103,la = 26,pr = 20 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000157 - tableau : Vierge de pitié Précision(s) sur le décor représenté : Pieta d'après un tableau de Van Dyck. Dimension(s) : h = 106,la = 91 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre h = 125, la = 107,5. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000158 - bannière de procession : Vierge et saint François Historique : Bannière réalisée par la maison Dutot d'Alençon en 1857. Description : Sur un fond de velours rouge, chaque face de la bannière est ornée d'un grand médaillon central entouré de quatre autres plus petits. Dans ces médaillons sont évoqués les principaux épisodes de la vie de la sainte Vierge d'un coté et de la vie de saint François de l'autre. Décor représenté : Assomption : (?)Vierge, angelot, nuée, Annonciation : ange, Vierge, colombe, livre, Visitation : Vierge, saint Joseph, sainte Elisabeth, Zacharie, maison, présentation au temple : Vierge, Enfant Jésus, Siméon, personnage, adoration des Bergers : Vierge, Enfant Jésus, Joseph, personnage, croix, rinceau, fleur, candélabre (?), M.A., saint François, crâne, fond de paysage, personnage, Christ, livre, lit, stigmates Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000160 - tableau : Vierge du Rosaire Historique : Il s'agirait d'une copie de "la Vierge au chapelet" de Murillo (1618-1682), Ce tableau est l'oeuvre de Victoire Chastanier (née en 1813 à Paris). Il a été acquis par l'Etat en 1831 et offert par le roi à l'église Notre-Dame en 1841. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000162 - tableau : saint Bernard de Clairvaux Précision(s) sur le décor représenté : La Vierge et de l'Enfant Jésus apparaissent à saint Bernard de Clairvaux assis à sa table de travail. Dimension(s) : la = 191,5 Précision(s) sur les dimensions : dimension sans le cadre,dimension avec le cadre : l = 164. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000163 - tableau : Vierge à l'Enfant Historique : Ce tableau semble être une copie d'un tableau de l'école italienne. Dimension(s) : h = 81,l = 64,5 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec le cadre : h = 98, l = 82. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000167 - haut-relief : Couronnement de la Vierge 1 vue Historique : Haut-relief réalisé par le sculpteur Victor Bariller en 1890. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature(gravée),date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000168 - haut-relief : Voeu de Guy II de Laval 1 vue Historique : Haut-relief réalisé par le sculpteur Victor Bariller en 1890. Décor représenté : scène historique(Vierge à l'Enfant, Apparition, personnage historique : prière, cheval, rivière), fond de paysage(château, ville, pont, personnage, arbre, nuée) Précision(s) sur le décor représenté : Personnage historique : Guy II de Laval sauvé de la noyade grâce à l'intervention de la Vierge promet de lui élever un sanctuaire,source : Cartulaire du Ronceray. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Huet Yvette,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000169 - haut-relief : Voeu de 1871 Historique : Haut-relief réalisé par le sculpteur Victor Bariller en 1890. Décor représenté : scène historique(personnage : évêque, mitre, chape, voeu, foule, clergé, fidèles, Vierge : statue, église : intérieur), bannière, I.H.S., cierge, chapelet Précision(s) sur le décor représenté : L'évêque Casimir Wicart promet à la Vierge de restaurer l'église Notre-Dame d'Avénières, si elle préserve Laval des Prussiens,source historique,20 Janvier 1871. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000177 - groupe sculpté : Sainte Anne et la Vierge Appartenant à : retable architecturé à niche de Sainte Anne Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000175 Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000183 - triptyque : Vierge de pitié 1 vue Historique : Le tableau aurait été exécuté par Coppin de Delf, peintre de la cour de René d'Anjou en 1456, à la demande de Jeanne de Laval, femme de René d'Anjou. Il est offert à l'église du couvent des cordeliers de Laval, avant d'arriver à l'église Notre-Dame d'Avesnières à une date inconnue. Description : Tableau formé de deux panneaux carrés et d'un panneau rectangulaire horizontal, dans un cadre de bois formant trois compartiments. Chaque panneau se compose de plusieurs lames de bois juxtaposées. Décor représenté : scène biblique(Vierge de pitié, Déploration, saint Jean, sainte Madeleine : tristesse), fond de paysage(château, arbre, rocher), scène(saint Simon : scie, portrait), scène(évêque : croix, chape, mitre, portrait), phylactère Précision(s) sur le décor représenté : Portraits de donateurs. Dimension(s) : h = 75,l = 214 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Huet Yvette,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000185 - statue : Vierge de pitié 1 vue Historique : Cette Pieta semble être d'origine bretonne. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ mort semble assis à coté de la Vierge (il n'est ni vraiment sur ses genoux, ni vraiment devant elle). Dimension(s) : h = 60 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000186 - statue : Vierge à l'Enfant 1 vue Précision(s) sur le décor représenté : Jésus montre le sein de sa mère, qu'il saisit de la main. La Vierge, vêtue d'une robe à la taille serrée très haut, devait tenir un sceptre(?) dans sa main droite. Dimension(s) : h = 130 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000188 - statue : Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame d'Avénières 3 vues Historique : Le corps sculpté dans la pierre semble être du 14e siècle, alors que la tête en bois est une réalisation moderne. Cette statue est revêtue d'ornements plus ou moins précieux suivant la solennité des fêtes. Description : La tête, rapportée, est en bois. Le corps est en calcaire peint sur apprêt. Dimension(s) : h = 65 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Huet Yvette,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000191 - ex-voto (triptyque) : la Passion 5 vues Historique : Toutes les scènes s'inspirent d'oeuvres de peintres flamands ou allemands de la Renaissance : le tableau central (Crucifixion) est une reprise d'une oeuvre du peintre anversois Josse Van Clève (1485-1540). La Déploration est une copie d'une gravure d'Albrecht Dürer (Munich Alte Pinakothek). Le tableau du bas (Christ souffrant) est également une copie d'une gravure de Dürer. L'Annonciation et les deux prophètes au-dessus sont des copies de tableaux de Jan Van Eyck (Gand, cathédrale Saint-Bavon, retable de l'Agneau mystique). Décor représenté : Crucifixion : Christ, Vierge, sainte Marie Madeleine, saint Jean, ange, fond de paysage, Montée au Calvaire : sainte Véronique, Vierge, Simon de Cyrène, soldat, ville, fortification, Déploration : Christ, saint Jean, Vierge, saintes Maries, saint Joseph d'Arimathie, saint Nicodème, fond de paysage, resurrection : Christ, soldat, tombeau, Dieu le Père : nuée, globe, Christ souffrant : christ, ange, Vierge, saint Jean, David : lyre, phylactère, sainte, Annonciation : ange, Vierge, Zacharie, Isaïe, colombe, rameau, décor d'architecture, I.H.S., rinceau, instrument de musique, animal fabuleux, arme de main, fleur, chapiteau : fleur de lys, entrelacs Précision(s) sur le décor représenté : sainte : sainte Bylla Aggripina Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000194 - verrière mariale du Couronnement de la Vierge 2 vues Historique : A l'origine, ce vitrail-tableau du 16e siècle était situé dans une des premières chapelles du collatéral nord de la nef. Lors de la reconstruction de celui-ci vers 1885, la verrière, dont les dimensions étaient supérieures à celles des nouvelles baies, fut mise en caisse pour une durée de cinquante ans. Restaurée une première fois au début du 17e siècle, elle le fut encore à plusieurs reprises avant sa repose dans l'actuelle chapelle en 1975 par Avice. L'abbé Louis Saget attribue la verrière à François Hamonnière, "maître peintre et vitrier au Pont de Mayenne". Description : Verrière composée de trois lancettes et d'un tympan comprenant sept jours de réseau (trois soufflets et quatre écoinçons). Précision(s) sur le décor représenté : La verrière représente le Couronnement de la Vierge par la Trinité c'est-à-dire Dieu le Père, le Christ et le Saint-Esprit qui a la forme d'une colombe. A cette scène placée dans un décor architectural antiquisant, se joignent, dans le tympan, trois anges munis d'instruments de musique : un triangle, une vièle à archet et une harpe. Le panneau central du registre inférieur accueille deux anges soutenant un écu armorié de l'Agnus Dei portant l'oriflamme. Ce motif est aujourd'hui effacé. Dimension(s) : h = 350,l = 250 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000204 - statue : Vierge à l'Enfant Historique : Statue réalisée par le sculpteur rennais Barre en 1849 (daté par travaux historiques). Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Tetu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Inventaire général, 1977 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000206 - statue (statuette) : Vierge Historique : Statuette datant peut-être du 18e siècle. Description : Statuette en plâtre moulé et peint. Précision(s) sur le décor représenté : Statuette représentant la Vierge couronnée. Dimension(s) : h = 36,l = 13,pr = 11 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000210 - groupe sculpté : Vierge de pitié ou Notre-Dame des Petits-Champs Historique : Sculpture en plâtre datant peut-être du 18e siècle. Description : Groupe sculpté en calcaire polychrome. Si la facture est grossière, les visages affichent une belle expressivité notamment celui, affligé, de la Vierge qui semble avoir fait l'objet d'un repeint. Dimension(s) : h = 54,l = 59,pr = 26 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000220 - tableau d'autel : Mystère de la Trinité 2 vues Appartenant à : retable architecturé à niche du maître-autel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000219 Historique : Tableau réalisé par le peintre Paul Letourneur en 1640 (date portée). Dimension(s) : h = 274,la = 160.5 Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000228 - statue : Vierge 1 vue Appartenant à : retable architecturé à niche du Sacré-Coeur ou du Saint-Sacrement Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000226 Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000230 - statue : Vierge du Magnificat 1 vue Appartenant à : retable architecturé à niche de la Vierge ou du scapulaire Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000229 Historique : La statue fut donnée à l'église de La Trinité par le marchand lavallois Julien Fardeau et Jeanne Garnier sa femme. En 1683, François II Houdault fut chargé, pour poser la statue, de faire "un cul de lampe" en marbre noir, un encadrement en tuffeau et de graver deux inscriptions (virgini pariturae). Après la Révolution, elle fut placée sur un nouvel autel, avant d'être transférée avec une partie de son encadrement en 1960, à l'extrémité du collatéral droit. Description : marbre blanc de Carrare Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : Vierge en gloire,les rayons de la gloire du retable encadrent la Vierge, qui tient ses mains croisées sur sa poitrine,le mouvement de son corps légèrement déhanché, s'opposé au remou profond des drapés de son manteau. Dimension(s) : h = 155 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000025 - statue de la Vierge à l'Enfant Appartenant à : retable architecturé à niche de la Vierge Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000024 Historique : Cette sttatue réalisée par le sculpteur l. Plouvier en 1657 (daté par travaux historiques) proviendrait du couvent des dominicains. Précision(s) sur le décor représenté : Vierge miraculeuse Dimension(s) : h = 50 Inscription(s) : signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000237 - statue : Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame de la Halle 2 vues Historique : Placée à l'origine dans les vieilles halles de Laval, la statue est en 1852 installée dans le nouveau bâtiment jusqu'à sa destruction en 1892. Suite à une décision du tribunal civil, elle est mise sous séquestre à la cathédrale. Restaurée, elle est placée en 1960 à l'entrée du choeur. Précision(s) sur le décor représenté : L'Enfant Jésus enserre de ses mains jointes un oiseau, très certainement un chardonneret. Avec son front tâché de sang et son goût pour les fleurs de chardon, piquantes comme la couronne d'épines, celui-ci annonce de façon symbolique le sacrifice à venir. D'où l'expression grave, voir soucieuse de la Vierge pressentant les douleurs qui l'attendent. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000241 - tableau : Calvaire 1 vue Précision(s) sur le décor représenté : Composition très structurée : le montant de la croix divise la toile en deux parties égales. Dimension(s) : h = 128,l = 145 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec cadre : h = 137, l = 153. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000244 - tableau : Adoration des Mages 1 vue Historique : Le tableau porte la signature de Bon Boulogne, dit Boulogne l'aîné (1649-1717). De cette oeuvre émane un sentiment de réalisme, ou la dignité royale des mages, n'est perceptible que dans la couronne posée au premier plan et dans la suite, soldats et pages, qui les accompagne. Il a été réalisé entre 1675 et 1717 (daté par travaux historiques). Précision(s) sur le décor représenté : Abandonnant l'attitude d'adoration, de tradition médiévale, la Vierge écarte délicatement de sa main le lange qui couvre son fils pour l'offrir aux regards des mages venus l'adorer. Dimension(s) : h = 405,la = 291 Précision(s) sur les dimensions : dimensions avec cadre. Inscription(s) : signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000251 - groupe sculpté : Education de la Vierge 1 vue Précision(s) sur le décor représenté : Sainte Anne vêtue d'un ample manteau est assise, un livre à la main. Sa fille se tient devant elle, le visage levé vers sa mère qui lui tient la main posée sur le livre. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000263 - patène 1 vue Historique : Patène (N° 4) réalisée vers 1665 par un orfèvre parisien qui n'a pu être identifié. Elle fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Patène en argent partiellement doré. Le décor rapporté de l'umbo est ciselé et repoussé. Précision(s) sur le décor représenté : Un épisode du Crucifiement est representé sur le disque central de la face externe. Il s'agit du coup de lance donné par le centurion Longin. Dimension(s) : d = 16.8 Inscription(s) : poinçon de maître,lettre-date Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000284 - croix de procession Historique : La croix de procession (N° 26) avec ses extrémités polylobées semble dater du 16e siècle. Le noeud et le pommeau sont d'époque postérieure. C'est Pierre Triguel, curé de Vieuvy de 1602 à 1635, qui l'offrit à sa paroisse en 1625. Son auteur n'est pas identifié mais il pourrait s'agir d'un orfèvre lavallois ou éventuellement angevin. Propriété de la commune de Vieuvy, elle a fait l'objet d'un dépôt à la cathédrale de Laval et fait partie de son trésor. Description : Croix de procession à lames d'argent partiellement dorées clouées sur âme de bois. Elle porte un décor repoussé, ciselé et estampé. Le titulus, la figure en ronde-bosse du recto et celle en demi-relief du verso sont rapportés. Le noeud est sphérique. Décor représenté : ornementation (quadrilobe, rinceaux, fleurons, godrons), les Prophètes, le Tétramorphe (aigle de saint Jean, boeuf de saint Luc, lion de saint Marc, ange de saint Matthieu), Christ en croix, Vierge à l'Enfant Précision(s) sur le décor représenté : Les quadrilobes en accolades de l'extrémité des bras, le décor de rinceaux floraux des bras, le carré couvrant la croisée et les godrons du noeud sont hérités du 16e siècle. Le programme iconographique y est aussi traditionnel : sur l'avers, les trois prophètes et un ange tiennent chacun un phylactère apparement vierge de tout nom,sur le revers, le Tétramorphe dont chaque emblème est également accompagné d'un phylactère dont l'inscription latine est en partie effacée. L'originalité réside ici dans la forme carrée des plaques, habituellement circulaires, ciselées de figures relevées en bosse et occupant le centre des quadrilobes. En revanche, l'effigie de la Vierge à l'Enfant, en demi-relief, debout sur une console godronnée, constitue une nouveauté avant qu'elle ne devienne, quelques années plus tard et jusqu'au 18e siècle, le décor habituel du revers des croix de procession. Un remontage désastreux résultant probablement d'une restauration effectuée en 1625, a bouleversé l'ordonnance primitive des plaques rapportées de cette croix. C'est ainsi que du côté du crucifix, l'ange à phylactère de l'extrémité gauche devrait se trouver au revers à la place du prophète. Quant au boeuf ailé de saint Luc, il faudrait le faire virer d'un quart de tour à gauche pour qu'il retrouve une position normale. De même, le crucifix devrait être encadré des symboles des quatre évangélistes et la Vierge des quatre prophètes. Ces anomalies incitent à croire que ces statuettes sont tardives et que la croix en était dépourvue à l'origine. Enfin, le bas de la jambe est gravé d'un écusson surmontant la date de 1625. Dimension(s) : h = 72,2,la = 40,8 Précision(s) sur les dimensions : noeud : d = 11.5. Inscription(s) : armoiries (gravées, sur l'oeuvre),date (gravée, sur l'oeuvre),inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000304 - ciboire 4 vues Historique : Ciboire (N° 45) réalisé à partir de 1846 par l'orfèvre parisien Pierre-Henry Favier. Il fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Ciboire en argent doré au décor ciselé, amati, martelé et ajouré. Certains éléments sont rapportés. Il repose sur un pied à la bordure chantournée et au dessus bombé. La tige de plan circulaire est coupée par un noeud piriforme placé au dessus d'une bague et d'une collerette. La coupe très profonde ferme par un couvercle légèrement conique sommé d'une croix latine. Décor représenté : ornementation (oves feuilles, feuilles, fruits), angelot, blé, roseau, Les instruments de la Passion, figure biblique (Christ : en buste), figure biblique ( Vierge : en buste), figure biblique (saint Joseph : en buste), foi, espérance, charité Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour du pied est orné d'angelots jumelés, d'épis de blé, de roseaux et de médaillons circulaires renfermant des instruments de la Passion (verges et flagrum, couronne d'épine et clous). La partie supérieure présente un décor composé d'une alternance de motifs végétaux (pampre, épis de blé, roseaux) et de cartouches renfermant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. La collerette est ciselée d'oves circulaires et allongés entrelacés. Le noeud se pare de feuillles montantes et de trois cartouches contenant une pampre, des épis de blé et des roseaux. Le dessous de la présente un large motif floral rayonnant. Le reste du décor consiste en trois cartouches à angelots alternant avec trois médaillons ovales accueillant les vertus théologales : la foi (une femme tenant un calice sommé d'une hostie), l'espérance (une femme agenouillée avec l'ancre de la miséricorde) et la charité (une femme assise accompagnée de deux enfants). Le couvercle est orné de cartouches pourvus de fruits, d'une pampre, d'épis de blé et de roseaux. Dimension(s) : h = 32,2,d = 15,9 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 13. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000315 - navette à encens 1 vue Historique : Navette réalisée après 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pu être identifié. Description : Navette à encens en argent au décor martelé et ciselé. Elle repose sur un pied ovale. La cuve est fermée d'un côté par un couvercle plat et fixe qui se prolonge de l'autre en une anse. Le couvercle mobile est doté d'un bouton de préhension. Décor représenté : ornementation (perles, feuilles, volutes, cuir découpé, médaillon, enroulements, coquille, rosace), figure biblique (Christ), figure biblique (Vierge), figure biblique (saint Joseph), angelot Précision(s) sur le décor représenté : Le pied présente un double rang perlé. La panse est orné de tiges feuillues, de volutes et de cuirs découpés renfermant des médaillons ovales à l'effigie du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. La partie fixe du couvercle se pare d'un couple d'angelots sur une nuée. La partie mobile est décorée d'un cuir à enroulements enserrant un petit écusson, de volutes et de coquilles. L'anse prend la forme d'une tige feuillue s'achevant par une rosace. Dimension(s) : h = 13,9,l = 16,5,la = 9,7 Inscription(s) : poinçon de maître,garantie gros ouvrages 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |