IA53000120 - hôtel 1 vue Historique : Hôtel particulier construit entre 1849 et 1852 pour M. et Mme Despiau. Mme veuve Gerbault acheta en 1897 cette demeure qui devint la propriété du célèbre navigateur en 1917. Ce dernier s'en sépara deux ans plus tard. Description : L'édifice s'inspire du style de la première Renaissance dans son ornementation et notamment de la maison du Grand Veneur (68, Grande Rue à Laval). La façade arrière présente quatre travées sur trois niveaux sans ornementation, elle est en moellons enduits, alors que la façade antérieure est en pierre de taille de calcaire. Deux cours d'eau traversaient le jardin et la cour de la propriété. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : support : façade antérieure Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000123 - hôtel dit la Grande Maison, puis couvent de Notre-Dame de la Miséricorde, actuellement maison de retraite 27 vues Historique : Hôtel particulier, dit la Grande Maison, construit au milieu du 16e siècle pour le négociant François Arnoul. La propriété englobe une partie de l'enclos du manoir Ouvrouin dont il subsiste le colombier du 14e siècle. Le logis est remanié et agrandi en 1619 pour Jacques de Chantepie, sieur de la Touche. En 1791, l'édifice est acheté par le sieur Busson qui y est assassiné en 1819. L'année suivante, la propriété est acquise par la fondatrice des soeurs de la Miséricorde, mère Thérèse Rondeau, pour y héberger "des filles perdues et repenties". Tout au long du 19e siècle, la congrégation réalisent diverses constructions parmi lesquelles des classes, une porterie et deux chapelles. La première est bâtie de 1824 à 1825 dans une aile perpendiculaire à la rue de Paradis. Une seconde, plus importante, est édifiée entre 1864 et 1866 sur un terrain donné par les religieuses du Carmel voisin. En 1998, les ailes encadrant la cour d'entrée (dont celle abritant la première chapelle transformée en infirmerie) sont détruites lors de la restructuration des bâtiments. La communauté abrite aujourd'hui une maison de retraite dont le jardin renferme la chapelle funéraire de Thérèse Rondeau. A noter : en 1936, Auguste Alleaume réalise des vitraux pour l'une des deux chapelles. Le livre de caisse du peintre-verrier mentionne en effet : "Vitrerie de la Miséricorde : 2 850 francs". Description : Grande Maison : côté cour, le corps central est encadré de deux pavillons hors-oeuvre coiffés d'un toit à l'impériale tandis qu'un troisième pavillon flanque l'élévation postérieure. Le logis primitif est bâti sur des caves vôutées. Il est reconnaissable à ses petites ouvertures et à sa tourelle d'escalier demi-hors-oeuvre de plan circulaire. Le bâtiment du 17e siècle est doté d'une travée en pierre de calcaire s'achevant par une niche passante. Ses murs sont percés de grandes baies parmi lesquelles des fenêtres à encadrements harpés en granite et/ou calcaire. Une des lucarnes, dégagée lors des remaniements de 1998, porte des armoiries, peut-être celles de la famille Arnoul. L'ensemble des murs est couronné d'une corniche à modillons en calcaire. Chapelle : construite en moellons enduits et en pierre de taille de granite, elle est orientée et adopte un plan en croix latine. Le pignon ouest s'ouvre sur un portail en plein-cintre surmonté d'une rose. Son mur flanqué de contreforts à pinacles est couronné d'un clocher quadrangulaire ouvert sur les quatre faces. Le chevet en abside est augmenté d'une construction en demi-cercle. Aménagée en fausse grotte, elle abrite une statue de la Vierge écrasant un serpent sur un globe terrestre étoilé. Un retable en marbre noir et rose sert d'écrin à la sainte. Ses deux niches latérales délimitées par des colonnes corinthiennes sont occupées par les statues en calcaire de saint Jean et de Marie-Madeleine. L'arc de l'espace central est surmonté de deux anges tenant une couronne dorée. La chapelle conserve également un autel en marbre noir et rose, trois bénitiers en marbre rose dont deux bénitiers d'applique ainsi qu'un reliquaire de Sainte-Faustine donné par Monseigneur Maillard en 1999. Les vitraux d'Alleaume dont elle était probablement dotée ont disparu (déposés ou détruits ?). Chapelle funéraire : elle est orientée. Elle renferme la tombe de Thérèse Rondeau dont la dalle funéraire en marbre blanc veiné de noir est gravée d'une inscription en latin : Hic jacet virgo Deo et proximo devotissima THERESIA RONDEAU quae abdormivit anno salutis 1866 aet atis 72 postquam hane MISERCORDIAE domum a se fundatam per 4 s rexisset annos cujus zelo et Dei ope perfecta sunt opera multa et magna in primis exstructae colligendis 400 puellis aedes aedificatumque Domino templum/Ipsius memori in benedictione est. L'édicule est doté de trois verrières respectivement ornées des initiales T.R., de la figure de Sainte Agathe (le deuxième prénom de Thérèse Rondeau) et de celle de Sainte-Thérèse. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : balance, support : tympan des lucarnes postérieure,sujet : Vierge à l'Enfant, support : lucarne centrale de la façade antérieure,armes non identifiées, comportant 3 oies, support : lucarne sud de la façade antérieure. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000124 - hôtel Coustard Duplessis, puis d'Aubert et de la Barre 48 vues Historique : La construction de l'hôtel remonte au plus tard au milieu du 18ème siècle, l'aile sud datant vraisemblablement de la fin du 17e siècle ou du début du 18e siècle. La charpente à potence du corps de logis, caractéristique du 18e siècle, confirmerait cette datation. Son premier occupant est soit Jean Baptiste Coustard Duplessis, seigneur de la Gouesnière, soit son père, Jean Coustard Duplessis. De 1767 à 1822, il est la propriété de Louise Jeanne Coustard Duplessis et de l'époux de celle-ci, François Charles César d'Aubert, seigneur de Launay et de la Patrière, conseiller au Parlement de Bretagne. Le 3 mars 1808, ce dernier fait partage de ses biens et de ceux de sa défunte épouse entre ses six enfants. En 1845, l'hôtel est habité par Louis de la Barre et son épouse Louise d'Aubert, un des six enfants des précédents. C'est probablement à cette époque que les pièces du rez-de-chaussée sont redécorées, parfois dans le style du 18e siècle (voir le salon de compagnie). La propriété est ensuite transmise à leur fils, le comte Gustave de la Barre qui, en 1879, en fait don dans le cadre d'une donation-partage, à ses trois enfants : Gustave Louis, Henri Joseph Hiacynthe et Niélite Louise Marie de la Barre. En 1892, l'hôtel est vendu par adjudication à Ferdinand Lamy de la Chapelle Nougarède qui fait sculpter ses armes et celles de son épouse Marie Geneviève Olympe de Jourdan, sur le tympan du fronton ornant la façade postérieure du corps de logis. A leur mort, leur petite-fille Guillemette, devenue princesse Dominique de Broglie par son mariage, en hérite. En 1939, le jardin est amputé de 646 m2 (achetés 72 000 francs par la Ville de Laval) pour la reconstruction de l'école Alain. L'hôtel est ensuite occupé par les Gatel, puis par les Dutertre et, à partir de 2005, par monsieur et madame Jacques qui le font entièrement rénover. Description : Situé en retrait de la rue, entre cour et jardin, l'hôtel est constitué d'un corps central et de deux ailes en retour très courtes disposées en U. La cour est fermée sur la rue par un mur haut percé d'une porte piétonnière et d'un portail délimité par deux piliers carrés en granite. La façade postérieure du corps central s'ouvre sur une terrasse dont quelques marches donnent accès au jardin et aux communs. Ceux-ci sont construits en pan de bois et sont couverts d'un toit à longs pans brisés et à croupes. En 1879, d'après l'acte de donation-partage, l'hôtel possédait un jardin à l'anglaise et un autre à usage de potager avec accès sur la place du marché Saint-Vénérand. Il était également agrémenté d'une terrasse latérale menant à un kiosque. Le gros oeuvre de l'hôtel est en moellons enduits et les entourages des ouvertures à linteaux délardés sont en granite et calcaire. Les deux travées centrales de la façade postérieure sont encadrées de chaînages en calcaire qui définissent un axe de symétrie. Ces deux travées sont couronnées d'un fronton triangulaire au tympan sculpté. Le rez-de-chaussée du corps central, construit sur une cave divisée en six parties, comprend sept pièces qui en 1879 étaient occupées par une cuisine, une décharge, une salle à manger, un office, un salon de compagnie, une lingerie et une bibliothèque. Aujourd'hui, il se compose d'une arrière-cuisine ou office, d'une cuisine, d'une salle à manger et d'un salon de compagnie. Toutes ces pièces font 30m2 hormis le salon de compagnie qui fait 50m2. Le premier étage accueille trois chambres, deux antichambres et quatre cabinets de toilette reliés par un corridor. Les deux pièces situées à chaque extrémité sont conçues comme des appartements privés avec chambres et antichambres. Le rez-de-chaussée et le premier étage sont desservis par un escalier d'honneur situé à l'extrémité sud du corps de logis. Ses marches sont en granite et sa rampe à courbes et contre-courbes en fer forgé. Le comble est occupé par un grenier tripartite où l'on peut voir, au sol, des pièces de bois légèrement cintrées destinées à soutenir les poutres des étages inférieurs. L'aile nord se compose d'une écurie et d'une remise surmontées d'une grande chambre et d'un grenier. Quant à l'aile sud, elle est occupée par une chambre de bonnes et un fruitier. En 1879, outre le fruitier, on y trouvait deux chambres et un cabinet de toilette. Les deux ailes et les deux appartements privés de l'étage sont desservis par deux escaliers de service en bois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan du fronton triangulaire est sculpté aux armes des familles Lamy de la Chapelle Nougarède (une colombe dans le blason gauche) et de Jourdans de Fleins (trois roses dans le blason droit). Les blasons sont sommés d'une couronne et entourés de deux lions. L'ensemble est encadré par de grandes palmes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000023 - immeuble Historique : Immeuble néoclassique construit vers le milieu du 19e siècle. Description : L'édifice comporte quatre niveaux dont un niveau d'attique et 5 travées. Trois larges travées formées d'arcades en plein-cintre occupent la hauteur des deux premiers niveaux,elles alternent avec des travées plus étroites. A l'intérieur des travées contenant les arcades, de larges ouvertures ont été percées au rez-de-chaussée qui renforcent l'impression d'étroitesse des fenêtres du premier étage. Le rez-de-chaussée est en pierre de taille de granite, le premier étage est en pierre de taille de calcaire et les étages supérieurs sont en moellons enduits. Ces derniers présentent des travées régulières. Au troisième niveau, les ouvertures à linteau droit sont surmontées d'un corps de moulure. L'étage d'attique, séparé du précédent par un bandeau mouluré fortement saillant, est surmonté d'un entablement en calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,3 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000025 - hôpital Saint-Joseph, puis hôpital Saint-Julien, puis maison de retraite Historique : En 1649, la duchesse de la Trémoille pose la première pierre de l'hôpital Saint-Joseph à l'emplacement des anciennes lices seigneuriales, non loin de l'hôpital Saint-Julien devenu trop petit. Sa gestion est confiée aux Filles Hospitalières de Saint-Joseph de La Flèche. En 1714, est construit le bâtiment dit des Incurables puis, en 1750, le portail de la rue Sainte-Anne est réalisé. En 1804, un pensionnat est ouvert et en 1810, la congrégation est confirmée dans son rôle hospitalier : l'hôpital accueille les malades, les indigents et les militaires. Au cours du 19e siècle, l'établissement est progressivement reconstruit dans sa totalité : édification des salles Saint-Joseph et Sainte-Anne en 1834 (elles seront prolongées en 1871), de la maison de l'aumônier en 1853, des salles Saint-Charles et Saint-Pierre en 1856 (également agrandies en 1871) puis du bâtiment des militaires de 1872 à 1873. La chapelle, oeuvre de Léopold Ridel, devait achever les gros travaux en 1899. L'hôpital Saint-Joseph prit le nom d'hôpital Saint-Julien afin de rappeler l'antériorité de ce premier établissement détruit au siècle dernier. Après avoir accueilli une maison de retraite, les bâtiments un temps inoccupés font l'objet d'une décision d'achat par la Ville en avril 2011. Description : Les bâtiments de l'hôpital s'organisent autour d'une cour principale servant d'espace d'entrée et de cours secondaires. Leur gros-oeuvre est en moellons enduits. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000285 - maison 1 vue Historique : Maison construite vers le milieu du 19e siècle. Elle est achetée en 1910 pour servir de local à la pension de famille Jeanne d'Arc, fondé par l'abbé Girandier (ancêre du foyer de jeunes travailleurs actuel). Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits. Les ouvertures des étages à fasces, les bandeaux, les chaînes d'angle et l'entablement sont en pierre de taille de calcaire. Au rez-de-chaussée, les ouvertures et les chaînes d'angle sont en granite. A noter à l'intérieur un carrelage peint d'hermines de Bretagne et un escalier en bois, à retours avec jour avec balustres, puis en fonte de fer aux niveaux supérieurs. Un autre escalier, en vis sans jour, est plus ancien. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000288 - immmeuble à logements de tisserand 2 vues Historique : Ensemble de constructions identiques construit vers 1850. Ces logements sont un assemblage de modules répétitifs juxtaposés sous un même toit. ils étaient la propriété de l'entreprise et étaient loués par le patron aux employés. Description : Chaque logement présente deux ouvertures rectangulaires identiques au niveau du sol. La façade sur la rue Saint-Nicolas comprend un niveau supplémentaire, mais est de même hauteur que la façade sur la rue du Pré-Boudier. Niche sur le pan coupé. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000333 - maison Historique : Maison du 18e siècle, remaniée vers 1850 pour Gabriel René Duchemin. Les écuries et la remise ont été construites vers 1853. Description : L'encadrement des ouvertures est en pierre de taille de granite. Les linteaux sont légèrement cintrés, ainsi que la corniche en bois des lucarnes. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000466 - château fort dit musée du Vieux-Château et palais de justice 163 vues Historique : Vers 1020, Guy 1er le "fondateur" construit un château sur un promontoire rocheux dominant la Mayenne et destiné à contrôler un gué d'origine gallo-romaine. Ce premier château en bois qui s'étend jusqu'au pied de la cathédrale actuelle, possède une enceinte de terre. A cheval sur cette enceinte, une motte verrouille l'accès du plateau. Il est fort probable qu'une seconde motte est établie à l'intérieur de cette enceinte, près de l'emplacement de la galerie (actuel Château-Neuf). Vers la fin du 11e siècle, le logis primitif dont l'arase des murs subsiste, est agrandi vers l'est d'un édifice en pierre de plan rectangulaire qui sera aménagé en chapelle vers 1170. Au début du 13e siècle, le château se replie sur l'extrémité de l'éperon où est construit un donjon circulaire en pierre. D'après les résultats apportés par une étude dendrochronologique réalisée en 2011, son hourd est réalisé entre 1219 et 1227. A la même époque, des logis seigneuriaux sont réalisés. Ils sont très fortement remaniés au milieu du 15e siècle à l'instigation du comte Guy 14 qui en 1456 aménage la vaste salle couverte d'une voûte lambrissée (datée par travaux historiques). Au début du 16e siècle, des travées à hautes lucarnes en pierre sculptée viennent orner les façades sur cour. C'est probablement à la même époque que ces mêmes façades sont recouvertes de peintures murales (faux appareil en pierre ?, médaillon accueillant un personnage en cuirasse ?, colosse ?). Face à ce vieux château, le projet d'une vaste galerie est élaboré en 1508 (daté par travaux historiques). Elle est réalisée vers 1542 sous la direction du maître-maçon Jehan Garnyer (date et attribution par travaux historiques) pour Guy 17. En 1631, un pavillon est ajouté à l'extrémité nord. En 1747, la galerie, est restaurée et embellie par Danjou (attribution et date par travaux historiques). A la Révolution, les tribunaux s'installent au Château-Neuf, tandis que les prisons sont transférées au Vieux-Château. Entre 1829 et 1833, l'architecte départemental Maximilien Godefroy reconstruit le pavillon nord de la galerie. Entre 1839 et 1840, il dote cette dernière d'un campanile destiné à accueillir l'horloge municipale réalisée par Julien Gourdin, un horloger établi à Mayet dans la Sarthe. Cette horloge au mécanisme exceptionnel sera entièrement réparée par son auteur en 1857. C'est probablement Godefroy qui réalise également vers 1839 le mur de clôture. En 1851 (date et attribution par source), l'architecte Pierre-Aimé Renous restaure la chapelle du Vieux-Château. A partir de 1854 (date et attribution par source), il réalise le pavillon nord et l'aile en retour de la galerie. La construction de cette dernière nécessita la démolition de la tour de l'Horloge. Entre 1909 et 1910, le campanile est entièrement reconstruit dans son style d'origine. A partir de 1911, l'architecte Louis Garnier (date et attribution par source) restaure le Vieux-Château devenu propriété de la Ville en 1909. Il fait également installer à l'extrémité de l'aile sud un escalier provenant du logis abbatial de Clermont. La voûte lambrissée de la salle d'honneur est refaite en 1913 (datée par étude dendrochronologique). Le Vieux Château est devenu progressivement un musée à partir des années 1920. Description : Le gros oeuvre du Vieux-Château est en moellons. Les ouvertures sur cour sont en granite au rez-de-chaussée et en calcaire aux étages. De plan circulaire, le donjon présente un diamètre de 14 m à sa base pour une hauteur totale de 33 m. Ses quatre niveaux maçonnés sont couronnés d'un hourd combiné à une charpente de toit. Structure charpentée formant galerie, le hourd se compose principalement de deux enrayures superposées et axées sur un poinçon central. Toutes ses pièces de bois sont en chêne. Le Château-Neuf est en pierre de taille de calcaire, côté cour et en moellon enduit, côté rivière. L'ensemble des toitures est en ardoise, hormis celle du campanile de la galerie qui est en cuivre. La galerie fait 7 m de profondeur. Le décor sculpté de la Renaissance est présent sur les travées d'ouvertures du Vieux-Château et dans les pleins de travées du Château-Neuf. Au Vieux-Château : escalier hors-oeuvre (escalier de Clermont), escalier dans-oeuvre entre la cour et la rue du Val-de-Mayenne, et escalier dans-oeuvre dans le donjon. Au Château-Neuf, escalier dans-oeuvre à retours avec jour. Les vitreries losangées du Vieux-Chateau semblent avoir été réalisées par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : arabesque, rinceau, candélabre, pilastre, animal fantastique, trophée, cartouche, cuir découpé, médaillon, armoiries, buste d'homme, ordre antique, guirlande, vase, ornement végétal, ange, pierre, buste humain, homme Précision(s) sur le décor représenté : armes martelées,armes illisibles,les murs de l'aile sud étaient recouverts de peintures murales semblant représenter une imitation d'appareil de pierre de taille, un médaillon renfermant un buste humain et un homme debout, penché vers l'avant et portant une poutre. Protection MH : Château Vieux (cad. CI 54) : classement par liste de 1840 ; galerie du Château Neuf (cad. CI 67) : classement par liste de 1840 ; façades, toitures, ancienne salle des pas perdus et escalier principal de l'aile sud du Château Neuf (cad CI 67) : inscription par arrêté du 7 mars 2006. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000099 - hôtel Historique : Hôtel construit vers le milieu du 18e siècle. Il a été agrandi au cours du siècle suivant, notamment par l'adjonction d'un pavillon contre le pignon est. Description : Fronton curviligne, sculpté de motifs floraux, sur la façade sur jardin. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : fronton de la façade sur jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000453 - four à chaux du Bourny 2 vues Historique : En 1844, Pierre Gerbault demande l'autorisation de construire deux fours à chaux dans un champ dépendant de la closerie du Bourny. L'usine du Bourny est officiellement fondée en 1858. Date(s) de réalisation : 1844 Description : Quatre importantes ouvertures permettaient d'acheminer la chaux dans le four. Étage(s) : en rez-de-chaussée État de conservation : vestiges Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Architecture |
IA53000658 - ferme du Bois-Gamats Historique : Sous l'Ancien Régime, la métairie était sans doute la principale ferme du domaine de la seigneurie du Bois-Gamats. En 1808, elle comprenait deux bâtiments principaux, un logis-étable et une étable-grange, ainsi que deux bâtiments secondaires. Le logis a été reconstruit à l'écart des bâtiments agricoles, probablement au milieu du 19e siècle. Les deux dépendances principales ont été complètement remaniées et agrandies ou reconstruites au même emplacement, sans doute dans la première décennie du 20e siècle (peut-être en 1907, date d'achat de la propriété par le comte de Banville). Les dépendances secondaires ont été réédifiées (seconde remise et poulailler) ou édifiées (remise à matériel) au cours de la seconde moitié du 19e siècle. Le logis a été remanié dans la 2e moitié du 20e siècle, par la transformation, sur la façade postérieure, d'une fenêtre en porte et par le percement d'une nouvelle porte sur le pignon est. La porte de l'écurie et celle de l'étable à boeufs ont été agrandies, sans doute dans les années 1950, après l'abandon de la traction animale. La ferme a été dissociée du château du Bois-Gamats à la mort de Monsieur de Banville en 1977. Elle a été rachetée par la Ville de Laval au cours des années 1990. La seconde remise a été entièrement remaniée au début du 21e siècle. Dans les années d'après-guerre, la métairie s'étendait sur 40 hectares et disposait d'un cheptel de 40 boeufs et d'une dizaine de vaches. Description : L'ancienne ferme du Bois-Gamats comprend cinq bâtiments en moellons de grès, de calcaire marbrier et secondairement de schiste, disposés irrégulièrement autour d'une cour. Le logis, situé au sud, est pourvu d'un sous-sol qui servait de cellier et de laiterie, d'un rez-de-chaussée composé d'une pièce principale encadrée de deux chambres et d'un comble à surcroît occupé par le grenier. Les chambres sont éclairées au sud, sur la façade postérieure. Les baies sont entourées dans leur partie basse de pierres de taille de granite et surmontées d'arcs en plein-cintre en brique. La niche qui accueillait une statuette et les jours d'aération du comble, en demi-lune, sont également en brique. Les deux dépendances principales bordent la cour à l'ouest et à l'est. La première abritait, du sud au nord, le fournil situé à l'emplacement de l'ancien logis, la porcherie avec, contre la façade postérieure, un enclos délimité par des murets, un fond de grange, avec au fond, la sellerie, et l'écurie. La fosse à purin se trouvait à l'extrémité du bâtiment. La seconde abritait l'étable à boeufs, un fond de grange et l'étable à vaches et à veaux. Toutes les deux sont dotées de combles à haut surcroît. Leurs ouvertures sont en granite taillé sauf les portes des fonds de grange, à piédroits de moellons et linteau de bois, et les petits jours verticaux de l'écurie-grange-fournil, encadrés de briques. Leurs angles, sauf ceux du pignon sud de l'étable-grange, sont en pierres de taille de granite. Leurs planchers sont constitués de poutrelles métalliques (IPN) et de solives en bois. Les murs sont consolidés par des renforts en fonte aux embouts circulaires. Leurs charpentes, du type à potence, sont moisées. La remise à matériel est dotée d'une structure de poteaux de bois, chemisée de pierre sur les côtés nord et est. Elle abritait entre autre la batteuse qui, dès les années 1920, fonctionnait grâce à un moteur électrique. Le poulailler est doté d'encadrements de baies en brique. La seconde remise, désormais close de murs de bois dans sa partie nord, abritait notamment dans l'après-guerre le pressoir et l'aplatisseur à céréales (dit moulin). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée surélevé,comble à surcroît,sous-sol Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Foisneau Nicolas,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Inventaire général, 2012 Fonds / classement : Architecture |
IM53000145 - orgue, buffet d'orgue 1 vue Historique : L'orgue réalisé dans les ateliers de M. Sergent à Paris en 1851 fut acquis pour 10000 F. Le buffet, quant à lui, fut réalisé par un ouvrier de la paroisse, M. Mulot. D'après Chantepie, une première réparation eut lieu en 1869 puis une restauration très complète en 1936 (restauration effectuée par la maison Gloton, à Nantes). Une délibération du Conseil de fabrique évoque un relevage complet en 1878. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000253 - ensemble : orgue, buffet d'orgue, tribune 1 vue Historique : Edifiées sur une tribune construite en 1772 par le sculpteur Lemaitre, les grandes orgues de la cathédrale sont d'Aristide Cavaillé-Coll. Le buffet d'orgue de style néo-gothique fut jugé trop chétif à l'époque, il est l'oeuvre d'Alphonse Simil, architecte du facteur d'orgue parisien. Les restaurations entreprises entre 1974 et 1980, outre la remise en état de l'instrument, portèrent sur la suppression de tous les ajouts postérieurs à Cavaillé-Coll. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000304 - ciboire 4 vues Historique : Ciboire (N° 45) réalisé à partir de 1846 par l'orfèvre parisien Pierre-Henry Favier. Il fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Ciboire en argent doré au décor ciselé, amati, martelé et ajouré. Certains éléments sont rapportés. Il repose sur un pied à la bordure chantournée et au dessus bombé. La tige de plan circulaire est coupée par un noeud piriforme placé au dessus d'une bague et d'une collerette. La coupe très profonde ferme par un couvercle légèrement conique sommé d'une croix latine. Décor représenté : ornementation (oves feuilles, feuilles, fruits), angelot, blé, roseau, Les instruments de la Passion, figure biblique (Christ : en buste), figure biblique ( Vierge : en buste), figure biblique (saint Joseph : en buste), foi, espérance, charité Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour du pied est orné d'angelots jumelés, d'épis de blé, de roseaux et de médaillons circulaires renfermant des instruments de la Passion (verges et flagrum, couronne d'épine et clous). La partie supérieure présente un décor composé d'une alternance de motifs végétaux (pampre, épis de blé, roseaux) et de cartouches renfermant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. La collerette est ciselée d'oves circulaires et allongés entrelacés. Le noeud se pare de feuillles montantes et de trois cartouches contenant une pampre, des épis de blé et des roseaux. Le dessous de la présente un large motif floral rayonnant. Le reste du décor consiste en trois cartouches à angelots alternant avec trois médaillons ovales accueillant les vertus théologales : la foi (une femme tenant un calice sommé d'une hostie), l'espérance (une femme agenouillée avec l'ancre de la miséricorde) et la charité (une femme assise accompagnée de deux enfants). Le couvercle est orné de cartouches pourvus de fruits, d'une pampre, d'épis de blé et de roseaux. Dimension(s) : h = 32,2,d = 15,9 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 13. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000315 - navette à encens 1 vue Historique : Navette réalisée après 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pu être identifié. Description : Navette à encens en argent au décor martelé et ciselé. Elle repose sur un pied ovale. La cuve est fermée d'un côté par un couvercle plat et fixe qui se prolonge de l'autre en une anse. Le couvercle mobile est doté d'un bouton de préhension. Décor représenté : ornementation (perles, feuilles, volutes, cuir découpé, médaillon, enroulements, coquille, rosace), figure biblique (Christ), figure biblique (Vierge), figure biblique (saint Joseph), angelot Précision(s) sur le décor représenté : Le pied présente un double rang perlé. La panse est orné de tiges feuillues, de volutes et de cuirs découpés renfermant des médaillons ovales à l'effigie du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. La partie fixe du couvercle se pare d'un couple d'angelots sur une nuée. La partie mobile est décorée d'un cuir à enroulements enserrant un petit écusson, de volutes et de coquilles. L'anse prend la forme d'une tige feuillue s'achevant par une rosace. Dimension(s) : h = 13,9,l = 16,5,la = 9,7 Inscription(s) : poinçon de maître,garantie gros ouvrages 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000320 - ostensoir-soleil 1 vue Historique : Ostensoir-soleil (N° 61) réalisé par l'orfèvre parisien Jean Philippe Adolphe Dejean après 1846, date de la mise en service de son poinçon. Il fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Ostensoir-soleil en argent doré au décor martelé, repoussé et ciselé. Il repose sur une base rectangulaire à quatre pieds involutés. La partie supérieure de la base est dotée d'un socle en forme de tronc pyramidal à galbe concave. La tige, de plan circulaire, est pourvue d'une collerette et d'un noeud à profil piriforme. Elle est surmontée de la monstrance à oculus vitré dont le pourtour est souligné de perles. Ce dernier occupe le centre d'une monture de laquelle partent les rayons d'une gloire sommée d'une croix latine rapportée dont les bras sont rehaussés de pierres fines de couleur. Décor représenté : ornementation (feuilles d'acanthe, cartouche, oves, canaux, palmettes, feuilles), Agneau mystique (gloire, couché, croix, livre, sceau), Trinité (nuée, rayons lumineux), vigne (cep), angelot, blé Précision(s) sur le décor représenté : Le bandeau inférieur de la base est orné de feuilles d'acanthe tombantes. Les quatre faces du socle sont décorées de cartouches accueillant, sur l'avers, l'Agneau mystique en gloire couché sur la croix elle-même posée sur le Livre aux Sept Sceaux, au revers, le symbole trinitaire en gloire et sur les côtés, un cep de vigne. La terrasse est décorée d'oves circulaire et allongés, de canaux et de palmettes. La base du noeud se pare de feuilles montantes. La partie intermédiaire présente un décor constitué d'une alternance d'angelots et de cartouches contenant des épis de blé et une pampre. La partie supérieure prend la forme d'une gerbe de blé sur laquelle est ligaturé, au recto et au verso, un cep de vigne. Les rayons de la gloire émergent d'une nuée dont la face antérieure est ponctuée de six angelots dont quatre sont jumelés. Dimension(s) : h = 80,5,la = 41 Précision(s) sur les dimensions : pied : la = 23,1, pr = 18. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000334 - ensemble composé de deux verrières à personnages : Saint Louis roi et Vierge à l'Enfant 4 vues Historique : Ensemble de deux verrières à personnages exécutées au milieu du 19e siècle par le peintre-verrier Antoine Lusson probablement dans son atelier du Mans. Description : La verrière dédiée à la Vierge à l'Enfant est peu identifiable car obturée par l'extérieur. Décor représenté : figure (Saint Louis : couronne, sceptre, église), figure biblique (Vierge à l'Enfant : Vierge, Christ, globe, croix, sceptre, couronne), ornementation (arcature, élément végétal) Précision(s) sur le décor représenté : Verrières hagiographiques dont la composition s'inspire de celle des verrières gothiques. Placées en vis-à-vis, elles représentent Saint Louis roi et La Vierge à l'Enfant placés sous des arcatures valorisant leur sainteté. Saint Louis est figuré avec ses attributs traditionnels : le costume royal semé de lis de France, la couronne, le sceptre et le modèle de la Sainte-Chapelle. La Vierge est également couronnée et dotée d'un sceptre. Les bordures des 2 verrières sont larges et ornées de motifs végétaux parmi lesquels des feuilles d'acanthe Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 1980 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000375 - verrière historiée : Martyrs 3 vues Historique : Verrière réalisée par le maître-verrier Fialeix au milieu du 19e siècle. Décor représenté : saint Etienne, saint Laurent, saint Gervais, saint Protais, saint Maurice : compagnon, saint : palme, ange : palme, livre, épée, gril, gloire, monogramme : Christ Précision(s) sur le décor représenté : Quatre scènes principales sont représentées : la lapidation de saint Etienne, saint Laurent brûlé vif, la décollation des saints Protais et Gervais, saint Maurice et ses compagnons passés par le glaive. Le couronnement représente des anges qui portent les instruments des martyrs,saint Iomede tient une palme. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000439 - boîte aux saintes huiles Historique : Boîte aux saintes huiles réalisée après 1838 par l'orfèvre Demarquet. Dans la boîte il manque une ampoule. L'une des croix surmontant l'une des 2 ampoules subsistantes est brisée. Description : La boîte est en laiton argenté, les ampoules sont en argent. Dimension(s) : h = 14,1,l = 16,pr = 6,9 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la boîte,dimensions des ampoules : h = 6,5, pr = 3,7. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000443 - patène Historique : Patène réalisée par l'orfèvre Trouillier(?) après 1838 (daté par poinçons). Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000444 - calice Historique : Calice réalisé par un orfèvre, portant les initiales B et R, après 1838 (daté par poinçon). Description : fausse coupe Décor représenté : ornement(à feuille, à fruit), croix pattée, angelot : tête, aile, Vierge, saint Pierre, Christ, femme : croix, calice, femme : ancre, femme : enfant, Instrument de la Passion Dimension(s) : h = 30,d = 15,5 Précision(s) sur les dimensions : diamètre du pied. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000445 - patène Historique : Patène réalisée par l'orfèvre parisien Pierre-Henry Favier dont le poinçon a été insculpé en 1846. Dimension(s) : d = 15,4 Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent après 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000446 - calice et patène Historique : Calice et patène réalisés après 1838 (daté par poinçons) par l'orfèvre Chevron. Description : Emaux sur la fausse coupe, le noeud et le pied du calice. Agneau pascal en émaux sur la patène. Dimension(s) : h = 27,5 Précision(s) sur les dimensions : hauteur du calice,diamètre de la coupe : d=10.9,diamètre du pied : d=18.1,diamètre de la patène : d=15.9. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent après 1838,inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000449 - patène Historique : Patène réalisée par l'orfèvre parisien Jean Philippe Adolphe Dejean après 1846 (daté par poinçons). Dimension(s) : d = 14,9 Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000453 - ostensoir Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000454 - crosse pastorale Historique : Crosse d'évêque réalisée par le maître orfèvre parisien Placide Poussielgue-Rusand entre 1847 et 1891 (daté par poinçons). Le décor est inspiré des motifs du 16e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : la crosse s'achève en enroulement par une tête de dragon,dans cet enroulement, la Vierge à l'Enfant se tient debout sur le dragon. Dimension(s) : h = 184,5 Précision(s) sur les dimensions : hauteur totale,hauteur de l'élément supérieur : h = 48,5. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000476 - encensoir 1 vue Historique : Encensoir réalisé par l'orfèvre parisien Jean Philippe Adolphe Dejean après 1846 (date de la mise en service de son poinçon). Dimension(s) : h = 25,5 Précision(s) sur les dimensions : panse : la = 11,pied : d = 7,1. Inscription(s) : poinçon de maître,poinçon Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000485 - ensemble de 8 peintures monumentales 3 vues Historique : Le faux-appareil de l'ancienne croisée du transept a été réalisé au cours du 15e siècle et repris vers le milieu du 16e siècle lors du percement du trou des cloches. Le faux appareil aux axes faîtiers ornés a été réalisé vers 1490. Le vestige de faux appareil du mur nord de la 1ère travée de la nef pourrait correspondre à cette campagne. Le faux appareil ponctué a été peint immédiatement après la construction de la chapelle dans laquelle il se trouve, entre 1537 et 1541. Le faux appareil blanc sur fond jaune pourrait correspondre à la campagne de construction réalisée entre 1549 et 1556. Les croix de consécration peintes dans le choeur datent vraisemblablement de l'érection de l'église en cathédrale (1855). Le faux appareil des voûtes des 3 travées de la nef actuelle et les croix de consécration de la nef, copies interprétées, ont été peintes ou repeintes dans le dernier quart du 20e siècle. La trace d'une litre, réalisée entre le 16e et le 18e siècle, est visible dans la chapelle sud-est. Description : Les peintures peuvent être aussi bien réalisées à fresque ou débutées à fresque et terminées à sec. L'ensemble de croix de consécration du 19e siècle semble avoir été réalisé sur badigeon. Les 5 faux-appareils ont semble-t-il été réalisés à main levée. Quatre de ces faux-appareils sont rouge sur fond blanc et le 5e est blanc sur fond jaunâtre. Précision(s) sur le décor représenté : Cinq ornements de forme architecturale imitent un appareil de pierre de taille. Dans l'ancienne croisée de transept, il est doté de motifs floraux ou d'étoiles. L'extrémité inférieure des voûtains est ornée d'un rameau sec. Les murs et les voûtes du choeur reconstruits vers 1490 étaient couverts d'un faux-appareil. Les axes faîtiers sont ornés d'un bandeau décoratif, qui est constitué d'un axe autour duquel court un rinceau sur un fond de fleurettes et d'étoiles. Le tout est encadre d'un bandeau bicolore rehaussé de fleurettes et d'étoiles en alternance. Sur chaque bordure extérieure court un redent fleuronné. La voûte de la 1ère chapelle sud du choeur est dotée d'un faux appareil dont les joints verticaux sont ponctués,chacune des croix de consécration fleuronnées est inscrite dans un cercle et accompagnée de rameaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003212 - calice (n° 1) 1 vue Historique : Ce calice a été réalisé après 1838 par un orfèvre qui n'a pu être identifié. Description : Calice en argent à coupe droite évasée vers le bord et fausse-coupe ciselée, découpée et repercée. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige à noeud piriforme placé entre deux collerettes au décor ciselé. Le pied circulaire et légèrement bombé est orné de médaillons rapportés. Ils sont accompagnés de motifs ciselés et gravés. Décor représenté : ornementation (rosace, fleur, palmes, rai-de-coeur, cartouche, pampres, roseau, blé, feuille de laurier), scène biblique (Agonie du Christ), scène biblique (Montée au Calvaire), scène biblique (Calvaire), scène biblique (Cène), scène biblique (Jésus devant Pilate), scène biblique (Ascension) Précision(s) sur le décor représenté : Le cavet du pied est orné de rosaces entrecoupées de bandes accueillant une fleur placée entre deux palmes. Le talon est limité par une bande de rais-de-coeur. Il est décoré de médaillons ovales représentant l'Agonie du Christ, la Montée au Calvaire et le Calvaire. Ils sont séparés par des cartouches accueillant des pampres, des roseaux et des épis de blé. Ces motifs se retrouvent sur le noeud placé au dessus d'une collerette à feuilles de laurier et sur la fausse-coupe. Cette dernière est ornée de trois médaillons représentant la Cène, Jésus devant Pilate et l'Ascension. Dimension(s) : h = 31,3 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 15, 6,coupe : d = 9,5. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon grosse garantie Paris 1819-1838,poinçon 1er titre Paris 1819-1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003213 - ensemble composé d'un calice et d'une patène (n° 2) 1 vue Historique : Ce calice et cette patène ont été réalisés à partir de 1857, date d'insculpation du poinçon de l'orfèvre parisien Antoine Jolivet. Description : Calice et patène en argent doré. Le calice est doté d'une coupe semi ovoïde habillée d'une fausse-coupe. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige de plan circulaire à noeud plat et côtelé. La tige est elle-même vissée sur un pied circulaire dont la tranche est ornée de filigranes. Le revers de la patène porte un décor ciselé et gravé. Précision(s) sur le décor représenté : La tranche du pied du calice est ornée d'une frise de rinceaux. Sa partie haute est formée de palmes alternant avec des pendentifs de perles. Ces motifs se retrouvent sur la fausse-coupe. Les côtes saillantes du noeud sont soulignées de perles. Le revers de la patène est gravé d'une croix pattée entourée d'un ruban plissé. Dimension(s) : h = 24 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 14,2,coupe : d = 9,5 : patène : d = 15. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003216 - ensemble composé d'un calice et d'une patène (n° 3) 1 vue Historique : Ce calice et cette patène ont été réalisés au milieu du 19e siècle par l'orfèvre parisien Jean Philippe-Adolphe Dejean dont le poinçon a été insculpé en 1846. Description : Calice en argent. Il est doté d'une coupe droite évasée vers le bord et ceinte d'une fausse-coupe ciselée, découpée et repercée. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige à noeud ovoïde et collerettes émergeant d'un pied sphérique au talon légèrement bombé. Le revers de la patène porte un décor repoussé et ciselé au mat. Décor représenté : ornementation (feuilles, cartouche, croix, godrons, médaillon, bouquet, fleurs, ove, angelot), figure biblique (Christ), figure biblique (Saint Pierre), figure biblique (Saint Paul), les vertus théologales (foi, espérance, charité), figure biblique (Vierge à l'Enfant) Précision(s) sur le décor représenté : Calice de style rocaille. Le cavet du pied porte un décor constitué de motifs feuillus et de cartouches dont un renfermant une croix. Le talon qui est limité par une bande de godrons est orné de médaillons ovales accueillant les bustes du Christ, de saint pierre et de saint Paul. Ces médaillons alternent avec des cartouches renfermant des bouquets de fleurs. Le noeud, placé entre deux collerettes à oves, s'orne de feuilles d'eau et d'angelots séparées par des chutes de fleurs. Ces angelots se retrouvent sur la fausse-coupe dont le décor est constitué de médaillons accueillant les vertus théologales : la foi, l'espérance et la charité. Le revers de la patène est occupé par une Vierge à l'Enfant. Dimension(s) : h = 31,d = 16,8 Précision(s) sur les dimensions : diamètre de la patène,coupe : d = 9,6. Inscription(s) : poinçon de fabricant Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003223 - ciboire (n° 6) 5 vues Historique : Ce ciboire est l'oeuvre conjointe des orfèvres parisiens Jean Philippe Adolphe Dejean, Louis Demarquet et Arthur Demarquet. La coupe a été réalisée par les frères Demarquet entre 1889 ? (1868 ?), année d'insculpation de leur poinçon et 1939 ? (1890 ?), année de son biffage. La fausse-coupe et le pied ont quant à eux été réalisés par Jean Philippe Adolphe Dejean à partir de 1846, année d'insculpation de son poinçon. Description : Ciboire en argent doré dont la coupe s'emboîte dans une fausse-coupe ajourée. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige de section circulaire à noeud piriforme placé entre deux collerettes. La coupe est fermée par un couvercle à ressaut sommé d'une croix fondue. La tige est vissée sur un pied sphérique légèrement bombé. L'ensemble du décor est repoussé, ciselé, ciselé au mat et fondu pour les éléments rapportés. Il est enrichi de pierres en verre bleu, violet et vert. Décor représenté : ornementation (volutes, végétal, ove, cartouche, angelot, bouquets : fleurs, médaillon, fleurette), figure biblique (Christ : en buste), figure biblique (Vierge : en buste), figure biblique (Saint Joseph : en buste) Précision(s) sur le décor représenté : Ciboire de style rocaille se caractérisant par la richesse et la complexité de son décor. Le cavet du pied est orné de volutes et de motifs végétaux. Son talon, limité par une frise d'oves, est orné de cartouches aux bords chantournés. Ils alternent avec des angelots se répétant sur le noeud et la fausse-coupe. Celle-ci est formée de médaillons accueillant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. Ils sont entrecoupés par des médaillons plus petits renfermant des bouquets de fleurs. La bordure du couvercle est soulignée d'une frise de câbles et son ressaut reproduit les motifs de cartouches aux bords chantournés. La croisée de la croix sommitale est matérialisée par un petit médaillon et les bras par trois fleurettes. Dimension(s) : h = 35,3 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 16,6,couvercle : d = 16. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poincon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003240 - ostensoir-soleil (n° 2) 3 vues Historique : Cet ostensoir-soleil a été réalisé au milieu du 19e siècle par la manufacture parisienne d'orfèvrerie et de bronzes d'église Thiery. Pour sa réalisation, le fabricant a utilisé plusieurs sources d'inspiration. Ainsi, si la gloire est très courante dans sa forme au 19e siècle, la présence de l'ange est une référence à l'orfèvrerie gothique. Description : Ostensoir-soleil en bronze argenté contenu dans une boîte. Il est composé d'un socle pyramidal quadripode, d'une tige figurée façonnée en ronde bosse et d'une gloire en cuivre contenant la custode. L'ensemble est surmonté d'une croix rapportée dont les bras sont amortis. Précision(s) sur le décor représenté : Quatre pieds formés de volutes soutiennent la base dont les deux faces principales sont ornées, pour l'une, de l'Agneau mystique en gloire couché sur la croix elle-même posée sur le Livre aux Sept Sceaux, pour l'autre, du triangle symbolisant la Trinité. En guise de tige, un ange tenant une palme dans la main gauche est posé sur un petit promontoire s'apparentant à un rocher. La gloire est formée de rayons lumineux et d'une couronne de nuées parsemée d'angelots. Dimension(s) : h = 75,5,la = 36,5,pr = 14,5 Inscription(s) : inscription concernant le fabricant (sur étiquette) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003242 - coffret aux saintes-huiles (n° 1) 2 vues Historique : Ce coffret aux saintes huiles et ses ampoules ont été réalisés à partir de 1838. Description : Coffret en bois de plan rectangulaire posé sur un socle porté par quatre pieds en bronze. Le couvercle et le corps sont ornés de frises en cuivre argenté au décor estampé. Les fioles en argent qu'il contient sont cylindriques et coiffées d'un couvercle bombé. Elles sont identifiées par des inscriptions gravées sur la panse et le couvercle. Précision(s) sur le décor représenté : Les quatre pieds sont griffés et feuillus. Le corps du coffret est délimité par une frise d'acanthes et de palmettes. Cette dernière se retrouve sur la partie inférieure du couvercle. Les fioles ont des bords moulurés et les couvercles sont surmontés d'une croix. Dimension(s) : h = 12, 5,la = 10, 3,pr = 15 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du coffret,ampoules : h = 6,2 , d = 3. Inscription(s) : poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838,inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003283 - ostensoir-soleil (n° 3) 1 vue Historique : Cet ostensoir-soleil a vraisemblablement été réalisé au milieu du 19e siècle. Description : Ostensoir-soleil en bronze doré. Il est composé d'un pied à six lobes au décor ciselé, d'une tige de plan polygonal, d'un noeud aplati et d'une monture en cuivre formée de rayons. Celle-ci entoure une lunette circulaire vitrée dont le pourtour est orné d'une couronne polylobée. L'ensemble est surmonté d'une croix rapportée et vissée sur un des rayons. Dimension(s) : h = 55,7,la = 28,5 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 14,5. Inscription(s) : inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003403 - ciboire des malades Historique : Ciboire des malades réalisé après 1838 par un orfèvre qui n'a pu être identifié et dont les initiales semblent être A. et D.. Description : Petit ciboire en argent composé d'un pied circulaire légèrement bombé, d'une large coupe à l'intérieur doré et d'un couvercle sommé d'une croix treflée. Précision(s) sur le décor représenté : Comme c'est souvent le cas pour les ciboires des malades, celui-ci ne possède d'autre décor qu'une frise à câble sur le rebord de la coupe. Dimension(s) : h = 7,d = 3,4 Précision(s) sur les dimensions : diamètre du pied,coupe : d = 4,2. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003405 - ostensoir-soleil Historique : Ostensoir-soleil réalisé entre 1838 et 1973 par un orfèvre parisien dont le nom est peut-être Keppler. Description : Ostensoir-soleil en bronze et cuivre dorés. Il est contenu dans une boîte portant une étiquette au nom de A. JARRY A LAVAL. L'ostensoir repose sur une base circulaire polylobée soutenue par quatre pieds ajourés. Le dessus est parsemé de médaillons en émail et de pierres en verre rouge. La tige sphérique est dotée d'un noeud circulaire aplati à quatre boutons d'émail alternant avec des pierres en verre rouge. Le centre de la monture en cuivre accueille une boîte vitrée en argent doré. Elle est cernée de pierres en verre translucide et d'une inscription en latin. L'oculus s'insère dans une monture plus petite en émail peint elle-même parsemée de quatre émaux cloisonnés et figurés. La partie supérieure de la monture est dotée d'une petite croix aux bras amortis et à la croisée émaillée. Décor représenté : ornementation (volutes, pomme de pin, quadrilobe, lys, perles, palmettes, feuille d'eau, chevron), figure (Saint Louis : en buste), Evangéliste (Saint Jean : en buste, phylactère, Aigle de saint Jean), Evangéliste (Saint Luc : en buste, phylactère, Boeuf de saint Luc), Evangéliste (Saint Matthieu : en buste, phylactère, Homme de saint Matthieu), Evangéliste (Saint Marc : en buste, phylactère, Lion de saint Marc), Agneau mystique Précision(s) sur le décor représenté : Quatre pieds à volutes et pommes de pin soutiennent la base sur le dessus de laquelle sont placés des médaillons accueillant trois motifs végétaux (?) et une représentation de saint Louis. Les boutons du noeud sont émaillés d'un motif floral stylisé. Le quadrilobe à semis de fleurs de lys dorées est parsemé de médaillons abritant les figures des Evangélistes accompagnés d'un phylactère au nom de chacun et du Tétramorphe : Aigle de saint Jean, Boeuf de saint Luc, Homme de saint Matthieu et Lion de saint Marc. Son pourtour est souligné d'une guirlande de pampres auxquelles se mêlent des pommes de pin. La croisée de la croix sommitale est dotée d'un médaillon orné de l'Agneau vexillaire et d'une inscription en latin. Le reste du décor est constitué de frises perlées, de palmettes, de feuilles d'eau et de chevrons (?). Dimension(s) : h = 82,la = 42,5,d = 26,5 Précision(s) sur les dimensions : diamètre du socle. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973,inscription concernant l'iconographie (sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général;(c) Ville de Laval; Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003406 - ensemble composé d'un encensoir et d'une navette à encens Historique : L'encensoir a été réalisé entre 1819 et 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pu être identifié. La navette à encens a été réalisée à partir de 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pu également être identifié et dont les initiales semblent être P.B.R.. Description : Encensoir en argent composé d'un pied circulaire, d'une coupe en forme de poire renversée, d'un couvercle repercé divisé en deux niveaux par un tore et d'une coupelle d'attache des chaînes. La navette à encens en argent est formée d'un pied et d'une cuve ovales. Celle-ci est fermée par un couvercle dont la partie fixe se prolonge en une anse. Le décor des deux pièces est repoussé et ciselé au trait. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied de l'encensoir est souligné d'une frise à entrelacs, perles et godrons alternés s'étendant sur le tore du couvercle. La panse de la cuve est formée d'un culot de canaux et d'un couronnement de godrons. Le niveau inférieur du couverle est ajouré de motifs floraux et le niveau supérieur est orné de canaux. La coupelle d'attache des chaînes est ciselée d'une fleur. La panse de la navette est décorée de canaux. La partie fixe du couvercle accueille un demi motif floral et la partie mobile, une coquille, une palmette et une tulipe stylisées. La bordure du pied de la navette porte un décor d'entrelacs, de perles et de godrons alternés. Dimension(s) : h = 26,7,d = 12 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de l'encensoir : hauteur sans les chaînes d'attache,diamètre de la cuve,navette à encens : h = 11,l = 16,5,la = 7,8. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon de garantie,poinçon de titre de l'argent,poinçon de recense,poinçon d'association des orfèvres Précision(s) sur inscription(s) : Poinçon de fabricant non identifié : losange vertical portant P. (?) B. (?) R. (?), poinçon de fabricant insculpé sur le pied et la partie mobile du couvercle de la navette à encens, grosse garantie Paris 1819-1838 sur le pied, le couvercle et la coupelle d'attache des chaînes de l'encensoir, grosse garantie Paris 1819-1838 insculpée sur le pied et la partie mobile du couvercle de la navette à encens, 1er titre Paris 1819-1838 insculpé sur la cuve, le couvercle et la coupelle d'attache des chaînes de l'encensoir, 2e titre Paris 1819-1838 insculpé sur la cuve ? et sur la partie mobile du couvercle de la navette à encens, grosse recence 1838 insculpée sur la cuve, le couvercle et la coupelle d'attache des chaînes de l'encensoir, grosse recence 1838 insculpée sur le pied de la navette à encens, poinçon d'association des orfèvres de Paris insculpé sur la coupelle d'attache des chaînes de l'encensoir. Statut de la propriété : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général;(c) Ville de Laval; Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003409 - ensemble du mobilier et du décor du choeur Historique : Ensemble homogène réalisé au milieu du 19e siècle. Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003410 - ensemble composé de huit statuettes : anges 3 vues Appartenant à : lambris de demi-revêtement Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003413 Historique : Ensemble de six statuettes réalisées au milieu du 19e siècle. Description : Ensemble ornant la partie en hémicycle du lambris de demi-revêtement et composé de huit statuettes en bois fruitier vernis. Chaque statuette est dotée d'une base et six d'entres elles sont posées sur des socles en forme de colonnettes à chapiteaux. Les deux statuettes placées derrière le maître-autel reposent sur des socles à culots (?). Les ailes de chaque statuette sont rapportées. Précision(s) sur le décor représenté : Tous les anges sont vêtus d'une robe et d'un manteau. Trois d'entre eux tiennent un encensoir dans la main droite (anges thuriféraires), trois autres présentent un phylactère gravé d'une inscription latine et les deux derniers sont représentés agenouillés, les mains jointes. Dimension(s) : h = 74,5,la = 29,5,pr = 19 Inscription(s) : inscription (gravée, sur partie rapportée, latin),marque (gravée, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003411 - ensemble composé d'un maître-autel et d'un tabernacle 2 vues Appartenant à : ensemble du mobilier et du décor du choeur de la chapelle Saint-Louis Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003409 Historique : Maître-autel et tabernacle réalisés au milieu du 19e siècle. Le tabernacle se trouve aujourd'hui dans la nouvelle chapelle. Description : Maître-autel et tabernacle en bois à motifs sculptés, rapportés et dorés. L'autel est appuyé contre un fond d'autel et la table repose sur des consoles. La porte du tabernacle est dotée d'un haut-relief en bois polychrome. La face antérieure et les deux faces latérales sont parsemées de pierres en verre incolore, jaune, bleu, rouge et vert. Décor représenté : figure (Saint Louis : en pied, portant, coeur, Pélican mystique), ornementation (rinceaux, entrelacs, perles, ove, dard, décor d'architecture, colonnette, chapiteau composite), croix Précision(s) sur le décor représenté : La face antérieure du maître-autel présente trois arcatures en plein-cintre séparées par des colonnettes à chapiteaux composites peintes de losanges renfermant des motifs à quatre points. L'intérieur des arcatures est sculpté d'un semis de fleurs. Les angles du tabernacle sont pourvus de colonnes à chapiteaux composites supportant, pour les côtés, un entablement surmonté de deux frontons en plein-cintre. La porte est entièrement recouverte de deux types de motifs cruciformes. Le pourtour de celle-ci est sculpé d'arabesques et une de ses voussures est ornée d'entrelacs à grosses perles. L'entablement de la face antérieure et les frontons latéraux sont bordés de frises à oves et dards. Saint Louis est représenté en roi et placé sous un dais architecturé. Il porte le coeur de Jésus dans la main droite et dans la main gauche et le Pélican mystique dans la main gauche. Dimension(s) : h = 62,la = 55,5,pr = 45 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du tabernacle. Inscription(s) : inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003412 - exposition 1 vue Historique : Exposition réalisé au milieu du 19e siècle et se trouvant actuellement au dessus des fonts baptismaux. Description : Exposition mobile en bois doré s'apparentant à un baldaquin. Elle est composée de quatre colonnes supportant un dais en forme de voûte en pendentifs. Précision(s) sur le décor représenté : Les colonnes sont dotées de chapiteaux corinthiens. Les cintres du couronnement sont bordées d'une frise à grosses perles. Chaque angle est orné d'une longue feuille d'acanthe. L'ensemble est surmonté d'une croix. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003413 - lambris de demi-revêtement 1 vue Appartenant à : ensemble du décor et du mobilier du choeur de la chapelle Saint-Louis Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003409 Historique : Lambris de demi-revêtement de style néo-roman réalisé au milieu du 19e siècle. Description : Lambris de demi-revêtement en chêne occupant l'ensemble du choeur et dont la partie centrale est en hémicycle. Les parties latérales sont composées d'un soubassement à crédence, d'une travée centrale, de deux demies-travées, d'un entablement à pilastres et d'un couronnement doté d'une niche centrale en plein-cintre. La travée située derrière l'autel est sommée d'un baldaquin porté par deux colonnes à chapiteaux. La partie supérieure est évidée de façon à dégager la verrière. Décor représenté : ornementation (colonne, chapiteau, ove, dard, rosace, entrelacs, perles, denticules, cartouche, palmette, coquilles, pot à feu, médaillon, quadrilobe), figure (angelot : portant, écu, I.H.S.), croix Précision(s) sur le décor représenté : Les parties latérales sont dotées de colonnes à chapiteaux composites. L'essentiel du décor est composé de frises portant des motifs variés (oves et dards, rosaces, entrelacs et perles, denticules), d'arcatures, de cartouches à palmettes, de coquilles et de pots à feu. Les parties latérales sont sculptées de bandeaux ornés de médaillons dont les parties centrales sont peintes de quadrilobes. La travée située derrière l'autel est gravée de motifs cruciformes (?) et la partie supérieure est ornée d'un angelot portant un écu sur lequel apparait l'I.H.S.. Les colonnes du baldaquin sont peintes de losanges agrémentés d'éléments cruciformes. Dimension(s) : la = 1073 Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003414 - ensemble composé de deux reliquaires 1 vue Appartenant à : ensemble du mobilier et du décor du choeur de la chapelle Saint-Louis Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003409 Historique : Ensemble de deux reliquaires datant de la seconde moitié du 19e siècle. Description : Reliquaires en bois de plan rectangulaire et dont les faces antérieures sont peintes de motifs dorés au milieu desquels se détache une pierre en verre rouge. Les longues faces sont couronnées de corniches cintrées en leur milieu. Elles sont percées d'ouvertures géminées fermées par des vitres derrière lesquelles sont suspendus deux médaillons. Ils contiennent les reliques de saints identifiés par des étiquettes en papier. Un troisième médaillon est posé sur un coussin en soie de velours rouge cousu de fil d'argent et doté d'une pierre en verre jaune. Précision(s) sur le décor représenté : Les parois des faces antérieures sont peintes d'un quadrillage ponctué de fleurs à quatre pétales. Les corniches sont bordées d'oves et les fenêtres de grosses perles. Dimension(s) : h = 25,5,la = 26,7,pr = 16,6 Inscription(s) : inscription (manuscrite, sur étiquette, latin) Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003416 - chemin de croix 1 vue Historique : Chemin de croix réalisé au milieu du 19e siècle. Description : Les quatorze peintures présentent des sommets trilobés et sont placées dans des cadres en bois. Précision(s) sur le décor représenté : Le registre supérieur de chaque station est parsemé de motifs cruciformes alternant avec des points. Les cadres sont sommés d'une croix et présentent un décor architecturé : les côtés sont soulignés de pilastres cannelés à chapiteaux ioniques et les couronnements prennent la forme de toits à deux pentes. Ceux-ci sont pourvus de deux motifs feuillus et stylisés en acrotères. Dimension(s) : la = 65,4 Précision(s) sur les dimensions : largeur à l'intérieur du cadre. Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003417 - fonts baptismaux 2 vues Historique : Fonts baptismaux datant du milieu du 19e siècle. Description : Fonts baptismaux en marbre noir veiné de blanc. Ils sont formés d'un pied parallélépipèdique et d'une cuve ovoïde fermant par un couvercle en cuivre à deux poignées. Précision(s) sur le décor représenté : La bordure du couvercle est ciselée d'une frise à godrons très allongés. Dimension(s) : h = 99,l = 65,5,la = 49 Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003520 - ornement rose composé de deux chapes, d'une chasuble, de deux dalmatiques, de deux étoles, de trois manipules et d'un voile de calice 2 vues Historique : Cet ornement rose incomplet a été confectionné dans la seconde moitié du 19e siècle. Description : Ornement rose incomplet dont le tissu de fond est en gros de Tours. La doublure des chapes, de la chasuble et des dalmatiques est en bougran rouge. Celle des accessoires est en toile de coton rouge. Toutes les pièces sont bordées de galon tissé de fil de soie jaune. Les chapes s'attachent sur la poitrine au moyen d'une patte munie de deux crochets reliés à deux anneaux. Les chaperons sont dotés de franges en fil de soie jaune. Comme les orfrois, ces derniers portent un décor broché en fil de soie jaune. Matériau(x) et technique(s) : soie (rose) : gros de Tours, broché, lin (doublage, rouge) : toile, coton (doublage, rouge) : toile, soie (application, jaune, fil) : tissé, soie (décor, jaune, fil) Précision(s) sur le décor représenté : Les orfrois et les chaperons sont brochés de bouquets de fleurs variées associés à des tiges florales et feuillues. Certaines feuilles présentent un fond quadrillé. Le galon des pourtours est orné de motifs formant croix et losanges. Dimension(s) : h = 136,la = 303 Précision(s) sur les dimensions : dimensions des chapes. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003529 - ornement doré composé de trois chapes, d'une chasuble, de deux dalmatiques, d'une étole, d'une étole diaconale, de trois manipules, de deux voiles de calice et d'une bourse de corporal 7 vues Historique : Cet ornement doré complet a été confectionné au milieu du 19e siècle. Description : Ornement complet et homogène dont le tissu de fond est en drap d'or broché de soie polychrome, d'or et d'argent. La doublure est en satinette rouge. Les chapes s'attachent sur la poitrine par une patte d'étoffe. La chasuble est de forme française. Les étoles et les manipules sont dotés de pattes en "battoir" accentué. Toutes les pièces, hormis le voile de calice, sont bordées d'un galon tissé de fil d'or et de fil de soie jaune. Ce même galon délimite les orfrois des chapes, de la chasuble et des dalmatiques. Les chaperons, les étoles, les manipules et le voile de calice sont pourvus de franges en fil d'or. Précision(s) sur le décor représenté : Le tissu de fond de l'ornement porte deux décors. Le premier est constitué de bouquets de fleurettes à cinq pétales, de roses et d'autres fleurs s'apparentant à des marguerites. L'ensemble est entouré de guirlandes réalisées avec des pampres, des épis de blé et des glands. Le deuxième se compose de bouquets de pivoines aux tiges nouées par deux cordons à glands et délimités par des guirlandes mêlant rubans et pivoines. Le galon de toutes les pièces est orné d'une alternance d'ailes d'anges et de pampres. Dimension(s) : h = 136,2,la = 302 Précision(s) sur les dimensions : dimensions d'une chape,dimensions de la chasuble : h = 108, la = 68. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003532 - ornement vert composé d'une chape, d'une chasuble, de deux dalmatiques, d'une étole, d'une étole diaconale, de trois manipules, d'un voile de calice et d'une bourse de corporal 7 vues Historique : Cet ornement vert complet a été confectionné dans la seconde moitié du 19e siècle. Description : Ornement vert complet dont le tissu de fond est en soie damassée et la doublure en satinette verte. La chape s'attache sur la poitrine par une patte d'étoffe. La chasuble est de forme française. Les étoles et les manipules sont dotés de pattes en "battoirs" peu accentués. Toutes les pièces, hormis le voile de calice, sont bordées d'un galon tissé de fil d'or et de fil de soie jaune. Ce même galon délimite les orfrois des chapes, de la chasuble et des dalmatiques. Le voile de calice est bordé d'un galon festonné imitant la dentelle en fil d'or (crépine). Le chaperon de la chape, les étoles et les manipules sont pourvus de franges en fil de métal doré. Le chaperon et le croisement de la croix dorsale à redents de la chasuble sont ornés de motifs en broderie d'or. Ces derniers sont associés à des pierres en verre de couleur, de la cannetille, des paillettes et des cabochons en métal doré. Les motifs en relief et en fils de soie polychrome sont montés sur carton et réalisés aux points frisés et guipés. Les croix latines des accessoires sont confectionnées avec du galon mécanique et les croix de Malte avec de la crépine. Matériau(x) et technique(s) : soie (vert) : damas, brodé, soie (doublage, vert) : satin, fil métal (application) : doré, tissé, soie (application, jaune, fil) : tissé, fil métal (décor) : argenté, doré, verre (décor) : taillé à facettes, polychrome, cannetillé, métal (décor) : doré, découpé, soie (décor, fil) : polychrome Précision(s) sur le décor représenté : Le tissu de fond de l'ornement porte un riche décor végétal constitué de fleurs ouvertes et en boutons, de feuilles de chêne, de baies et d'un motif de galon festonné. Les chaperons et le croisement de la croix dorsale de la chasuble sont brodés d'une couronne de fleurs à pistils très longs encadrant l'I.H.S.. Le H. du symbole christique est surmonté de rayons lumineux. Le galon de toutes les pièces est orné d'une alternance d'ailes d'anges et de pampres. Dimension(s) : h = 138,la = 282 Précision(s) sur les dimensions : dimensions d'une chape,dimensions d'une dalmatique : h =51, la = 104,5,dimensions de la chasuble : h = 107, la = 67,5,dimensions de l'étole : l = 117 (avec les franges), la = 22,5,dimensions de l'étole diaconale : l = 116,5 (avec les franges), la 22,6,dimensions d'un manipule : l = 51 (avec les franges), la = 21,6,dimensions du voile de calice : l = 60, la = 58,dimensions de la bourse de corporal : l = 27,6, la = 22. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |