IM53003408 - présentation du mobilier de l'édifice 5 vues Historique : Liste supplémentaire : dans la sacristie : un tronc, bois sculpté et peint, 19e siècle,un meuble de sacristie, bois vernis, 2e quart 19e siècle,un meuble de sacristie comprenant un confessionnal et une fontaine de sacristie, bois vernis, 2e quart 19e siècle,à l'aumônerie de l'hôpital : un ensemble de treize rochets, lin et pour certains dentelle, 2e moitié 19e siècle,dans la chapelle : une statue du Sacré-Coeur, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,cinq statues de la Vierge, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue de Saint Louis, plâtre polychrome avec des rehauts de peinture dorée sur les vêtements, couronne d'épines sur un coussin, signature en bas à droite (D. Consani), 2e moitié 19e siècle,une statue de Sainte Jeanne d'Arc, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue du Curé d'Ars, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,dans la nouvelle chapelle : table avec un tiroir, chêne vernis et bois fruitier, hauteur = 70, largeur = 95, profondeur = 59,5, 1ère moitié 18e siècle,une statue de l'Immaculée Conception, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue de Saint Joseph, avec Jésus, bois polychrome, signature sur le côté droit du socle (R. Gourdon), 20e siècle,une statue de Saint Louis, plâtre polychrome, signature peinte sur le côté droit du socle (D. Consani), 2e moitié 19e siècle,une statue de Sainte Thérèse de Lisieux, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,un harmonium, bois, médaillon avec une incription : "MEDAILLE D'OR 1867 A PARIS COUTY & RICHARD PARIS USINE A VAPEUR", 2e moitié 19e siècle. Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003579 - navette à encens 2 vues Historique : Navette à encens réalisée par Ambroise-Julien Lasnier, orfèvre lavallois actif de 1776 jusque dans le premier quart du 19e siècle. Comme l'indique l'inscription sur le pied, Monsieur Périer du Couannier l'a offerte à la fabrique de la Sainte-Trinité le 7 janvier 1806. Description : Navette en argent gravé. Elle est constituée d'un pied ovale, d'une nef fermant par un couvercle à charnières qui s'ouvre sur une partie de la navette et d'une anse dont l'extrémité est dotée d'une petite boule. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied est orné de feuilles d'eau surmontant une inscription en partie illisible. L'extrémité du couvercle est gravée d'un cartouche entouré d'une guirlande de feuilles. Il renferme le symbole de la Trinité accompagné d'une date. Dimension(s) : l = 14,1,la = 8 Précision(s) sur les dimensions : largeur de la nef. Inscription(s) : poinçon de fabricant,moyenne garantie départements 1798-1809,inscription concernant le donateur (gravée),date (gravée) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003711 - le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre Historique : Jusqu'en 1961, le bas de la nef a fait office de choeur et, à ce titre, était meublé d'un maître-autel en bois (voir ci-dessous), d'un Christ en croix, de la statue de Notre-Dame de Pontmain et de celle de saint Pierre. La nef proprement dite était ornée d'un autel secondaire, d'une chaire à prêcher et d'un chemin de croix. Le maître-autel et l'autel secondaire ont été démantelés et en partie réutilisés. La Vierge de Pontmain a été déplacée dans le baptistère transformé en oratoire. Les autres pièces ont disparu. Liste supplémentaire : un autel, bois, arcades néo-romanes, limite 19e siècle 20e siècle,un ensemble de douze bancs de fidèles, bois, une partie provient de la communauté religieuse de Saint-Georges-de-L'Isle de Saint-Fraimbault-de-Prières et une autre a été réalisée par Joseph Jeusse, 20e siècle,un ensemble de prie-Dieu, bois, limite 19e siècle 20e siècle,un ensemble de trois tabourets de célébrant, bois, milieu 20e siècle,un ensemble de six chaises (de célébrant ?), bois, 20e siècle,un ensemble de six stalles, bois, quatre sièges par stalle, proviennent d'un carmel manchois, 20e siècle,un cierge pascal, bronze doré, base triangulaire, décor végétal et animaux fabuleux, 1er quat 20e siècle,un ostensoir-soleil, métal doré, pied polylobé, noeud plat à médaillons émaillés, 1er quart 20e siècle,un encensoir, bronze, décor végétal et têtes d'angelot, début 20e siècle,un encensoir, bronze, de forme circulaire, début 20e siècle,une navette à encens et sa cuillère, bronze, début 20e siècle,un seau à eau bénite et son goupillon, bronze, décor végétal et inscription sur la panse de la messe : ASPERGES.ME.DOMINE.ISOPOET.MUNDABOR (= Lave-moi, Seigneur, avec l'hysope, et je serai purifié [antienne du rite de la messe, extraits du Psaume 51]), début 20e siècle,deux verrières décoratives, baies libres rectangulaires à une barlotière et une vergette, verre antique bulleux et plomb, 3e quart 20e siècle,chemin de croix, quatorze dessins à l'encre noire sur papier, cadres, père Joseph Cousin et deux copies de Hermeline de Montecler (troisième et dixième station), 4e quart 20e siècle,statue de Notre-Dame de Pontmain, plâtre peint, inscription : MES PRIEZ MES ENFANTS DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS MON FILS SE LAISSE TOUCHER, décapitée et restaurée, limite 19e siècle 20e siècle,Vierge à l'Enfant, terre cuite polychrome, la Vierge est couronnée et tient une fleur de lys symbolisant sa pureté, son fils présente une colombe, provient de la congrégation des soeurs de la Charité de Notre-Dame d'Evron, 19e siècle,tableau : Saint-Pierre et Saint-Vénérand, huile sur toile, cadre, saint Pierre avec la clé et saint Vénérand avec la palme des martyrs, les deux saints patrons de la nouvelle paroisse créée en 1998 sont revêtus de jaune et d'ocre symbolisant le rayonnement de la présence de Dieu, de vert, couleur de l'espérance, de rouges évoquant le sang des martyrs et de violets, signes des temps des épreuves du passage de la mort à la vie, Joseph Cousin, 4e quart 20e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0xcb27718) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003718 - maître-autel, lutrin et trois sièges de célébrant Historique : Ensemble liturgique réalisé vers 1961 par les Etablissements Mélanger de Laval d'après des dessins du père Courteille. Description : L'autel combine ré-utilisation et création : la table en marbre provient du maître-autel primitif et le pied droit d'un autel secondaire qui se trouvait dans la nef. Celui-ci a été taillé de façon à reçevoir le bras droit de la croix réalisée en pierre reconstituée. Le lutrin associe ce même matériau au bois. Les sièges de célébrant sont également réalisés en pierre reconstituée. Très bas, ils se composent d'un socle cubique et d'un dossier très bas, celui du siège central étant plus élevé. Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0xcc515e8) Dimension(s) : h = 100,l = 160,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du maître-autel,dimensions du pupitre : h = 117, la = 59,5,dimensions du siège de présidence : h = 69,5, la = 49. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |