IA53000115 - hôtel Périer du Bignon, puis Nazareth, puis hospice, actuellement hôtel de tourisme et restaurant 68 vues Historique : Hôtel construit en 1777 pour Pierre Périer du Bignon, époux de Marie Félicité du Mans. En 1793, le sieur du Bignon est guillotiné et l'hôtel passe quelques années plus tard à Gabriel de la Broise, son petit-fils, puis aux Foucault de Laubinière (en 1817) et aux Duchemin de Vaubernier (en 1834). Ces derniers le conservent jusqu'en 1898, date à laquelle la propriété est cédée à une société civile religieuse qui y installe une école et un hospice portant le nom de Nazareth. La société civile de Sainte-Marie d'Evron chargée de l'administration de cette nouvelle institution (fondée par Louis Barré, curé de la cathédrale, en 1890) réalise, vers 1900, une chapelle contre le pignon ouest du corps de logis principal. Dans le même temps, elle entreprend le réaménagement de l'intérieur de l'ancien hôtel (principalement de son aile est). En 2010, les bâtiments sont reconvertis en hôtel-restaurant. Date(s) de réalisation : 1777 Description : Le gros-oeuvre de l'hôtel est en moellons enduits. Les chaînes, les bandeaux, la corniche, les entourages des baies et le fronton sont en calcaire au premier niveau et en granite au rez-de-chaussée. Au centre du corps de logis principal, l'escalier monumental est doté d'une rampe en fer forgé. Deux autres escaliers à balustres en bois desservent les ailes est et ouest. De nombreuses cheminées (toutes différentes), des boiseries, des parquets et des pavages en terre cuite subsistent dans certaines pièces de la demeure aux caves voûtées. Un petit bâtiment derrière l'aile ouest, abrite le magasin froid, parfois qualifié de "séchoir à gibier". C'est une petite pièce fraîche et aérée qui servait de garde-manger. Les armes de la famille Périer du Bignon sont les suivantes : écu chargé d'un chevron accompagné de trois poiriers, deux en chef, un en pointe, un oiseau béquetant le pied du troisième à dextre. Dans son livre "Histoire de Laval", Jacques Salbert fait mention d'un inventaire fournissant une description de la disposition de la propriété au moment de sa mise sous séquestre en 1794 : " On y compte deux vestibules, un grand salon meublé de dix-sept chaises, deux sofas et quatre fauteuils, ainsi que deux meubles d'angle, une pendule et un lustre à poulie,à côté une salle, cinq chambres, deux antichambres, dix cabinets, ces petites pièces à usages divers attenant aux pièces principales, une cuisine, un office, une boulangerie, une laverie, un magasin froid, pièce fraîche et aérée servant de garde-manger, trois mansardes, deux greniers, une fruiterie,dans les communs une remise, une sellerie, un grenier à foin, un bûcher, le tout couvrant cinq caves. L'ensemble entre cour et jardin est complété par un pavillon, une orangerie et deux magasins où sont exposés et vendus les tissus. Un décompte succint des meubles, vaisselle et linge de maison permet d'estimer la position sociale du négociant : onze tables, trois bancs, cent vingt et une chaise, cinquante- quatre fauteuils, deux sofas, vingt-cinq tables à jeu, quarante-cinq lits, treize armoires, deux secrétaires, deux bibliothèques, trois meubles d'angle, un coffre, quatre bureaux, un dressoir, deux guéridons,en ce qui concerne la vaisselle, trois cent soixante-douze assiettes et trente-huit plats,pour le linge de maison, cent vingt-trois nappes, deux cents torchons, vingt-quatre tabliers... A cet inventaire sommaire s'ajoutent trois statues "en pied", une voiture à quatre roues et une chaise de poste." Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : cartouche, grotesque, volute, pilastre, fronton, guirlande, trophée : trompe de chasse, carquois, fusil, lance, feuillage, crâne d'animal, blason Précision(s) sur le décor représenté : support : travée centrale et tympan du fronton triangulaire de la façade antérieure,balcons en fer forgé sur les deux façades,armes de la famille Périer du Bignon Protection MH : hôtel proprement dit, deux ailes en retour sur la cour (à l'exclusion de la chapelle construite à la fin du 19e siècle), petit magasin froid dit "séchoir à gibier" situé dans la cour à l'arrière de la cuisine, cour d'entrée avec son pavement, jardin au sud et murs de clôture de l'ensemble avec les portails sur la rue du Marchis et sur la place du Gast. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000124 - hôtel Coustard Duplessis, puis d'Aubert et de la Barre 48 vues Historique : La construction de l'hôtel remonte au plus tard au milieu du 18ème siècle, l'aile sud datant vraisemblablement de la fin du 17e siècle ou du début du 18e siècle. La charpente à potence du corps de logis, caractéristique du 18e siècle, confirmerait cette datation. Son premier occupant est soit Jean Baptiste Coustard Duplessis, seigneur de la Gouesnière, soit son père, Jean Coustard Duplessis. De 1767 à 1822, il est la propriété de Louise Jeanne Coustard Duplessis et de l'époux de celle-ci, François Charles César d'Aubert, seigneur de Launay et de la Patrière, conseiller au Parlement de Bretagne. Le 3 mars 1808, ce dernier fait partage de ses biens et de ceux de sa défunte épouse entre ses six enfants. En 1845, l'hôtel est habité par Louis de la Barre et son épouse Louise d'Aubert, un des six enfants des précédents. C'est probablement à cette époque que les pièces du rez-de-chaussée sont redécorées, parfois dans le style du 18e siècle (voir le salon de compagnie). La propriété est ensuite transmise à leur fils, le comte Gustave de la Barre qui, en 1879, en fait don dans le cadre d'une donation-partage, à ses trois enfants : Gustave Louis, Henri Joseph Hiacynthe et Niélite Louise Marie de la Barre. En 1892, l'hôtel est vendu par adjudication à Ferdinand Lamy de la Chapelle Nougarède qui fait sculpter ses armes et celles de son épouse Marie Geneviève Olympe de Jourdan, sur le tympan du fronton ornant la façade postérieure du corps de logis. A leur mort, leur petite-fille Guillemette, devenue princesse Dominique de Broglie par son mariage, en hérite. En 1939, le jardin est amputé de 646 m2 (achetés 72 000 francs par la Ville de Laval) pour la reconstruction de l'école Alain. L'hôtel est ensuite occupé par les Gatel, puis par les Dutertre et, à partir de 2005, par monsieur et madame Jacques qui le font entièrement rénover. Description : Situé en retrait de la rue, entre cour et jardin, l'hôtel est constitué d'un corps central et de deux ailes en retour très courtes disposées en U. La cour est fermée sur la rue par un mur haut percé d'une porte piétonnière et d'un portail délimité par deux piliers carrés en granite. La façade postérieure du corps central s'ouvre sur une terrasse dont quelques marches donnent accès au jardin et aux communs. Ceux-ci sont construits en pan de bois et sont couverts d'un toit à longs pans brisés et à croupes. En 1879, d'après l'acte de donation-partage, l'hôtel possédait un jardin à l'anglaise et un autre à usage de potager avec accès sur la place du marché Saint-Vénérand. Il était également agrémenté d'une terrasse latérale menant à un kiosque. Le gros oeuvre de l'hôtel est en moellons enduits et les entourages des ouvertures à linteaux délardés sont en granite et calcaire. Les deux travées centrales de la façade postérieure sont encadrées de chaînages en calcaire qui définissent un axe de symétrie. Ces deux travées sont couronnées d'un fronton triangulaire au tympan sculpté. Le rez-de-chaussée du corps central, construit sur une cave divisée en six parties, comprend sept pièces qui en 1879 étaient occupées par une cuisine, une décharge, une salle à manger, un office, un salon de compagnie, une lingerie et une bibliothèque. Aujourd'hui, il se compose d'une arrière-cuisine ou office, d'une cuisine, d'une salle à manger et d'un salon de compagnie. Toutes ces pièces font 30m2 hormis le salon de compagnie qui fait 50m2. Le premier étage accueille trois chambres, deux antichambres et quatre cabinets de toilette reliés par un corridor. Les deux pièces situées à chaque extrémité sont conçues comme des appartements privés avec chambres et antichambres. Le rez-de-chaussée et le premier étage sont desservis par un escalier d'honneur situé à l'extrémité sud du corps de logis. Ses marches sont en granite et sa rampe à courbes et contre-courbes en fer forgé. Le comble est occupé par un grenier tripartite où l'on peut voir, au sol, des pièces de bois légèrement cintrées destinées à soutenir les poutres des étages inférieurs. L'aile nord se compose d'une écurie et d'une remise surmontées d'une grande chambre et d'un grenier. Quant à l'aile sud, elle est occupée par une chambre de bonnes et un fruitier. En 1879, outre le fruitier, on y trouvait deux chambres et un cabinet de toilette. Les deux ailes et les deux appartements privés de l'étage sont desservis par deux escaliers de service en bois. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan du fronton triangulaire est sculpté aux armes des familles Lamy de la Chapelle Nougarède (une colombe dans le blason gauche) et de Jourdans de Fleins (trois roses dans le blason droit). Les blasons sont sommés d'une couronne et entourés de deux lions. L'ensemble est encadré par de grandes palmes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000263 - maison 4 vues Historique : Maison et atelier de fabrique de chandelles construits par l'architecte Alfred Boutreux pour monsieur Pellier en 1854. Des deux petits pavillons à un niveau encadrant la demeure, celui de gauche a été surhaussé de deux étages à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Date(s) de réalisation : 1854 Description : L'atelier de fabrique de chandelles est situé dans le sous-sol. Sur la façade sur rue, le gros-oeuvre est en moellons enduits, les chaînes d'angle, l'encadrement des baies, les bandeaux et la corniche sont en pierre de taille de calcaire. L'encadrement des baies, sur la façade arrière et sur la travée de gauche de la façade sur rue, est en brique. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000357 - maison 2 vues Historique : Maison construite à la fin du 15e siècle ou au début du 16e siècle. Elle a été fortement remaniée au 19e siècle, puis à nouveau dans la seconde moitié du 20e siècle, où l'on a supprimé les transformations du siècle précédent. Description : Maison à pan de bois qui présente un encorbellement sur tête de solives au premier niveau. Le gros-oeuvre du rez-de-chaussée est essentiellement en moellons de calcaire. A l'intérieur, les portes chanfreinées à coussinets et une cheminée avec piédroits chanfreinés sont en granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000365 - église paroissiale Saint-Pierre 8 vues Historique : Face à l'importance du développement du quartier de la gare à la fin du 19e siècle, la création d'une nouvelle paroisse était devenue nécessaire. Celle-ci est officiellement créée en 1900 alors que les travaux de construction de la nouvelle église avaient déjà commencé en janvier 1899. En 1906, ils sont interrompus pour ne reprendre qu'une cinquantaine d'années plus tard. Ainsi, en 1958, à l'initiative de l'association diocésaine de Laval dirigée par l'abbé Hardoin, un choeur en béton conçu d'après les plans de Pierre Vago et inauguré en octobre 1961, est construit. En 1963, l'église subit d'importants travaux intérieurs destinés à harmoniser la partie ancienne de l'édifice et la nouvelle. C'est également à cette époque qu'une sacristie, un oratoire, un narthex et un baptistère sont créés. Description : La façade en granite de l'église adopte le style romano-byzantin. A l'intérieur, la nef néo-gothique à quatre travées est séparée en deux niveaux par une dalle de béton. Des ouvertures fermées par des pavés de verre y ont été aménagées. Cette dalle cache une voûte sur croisées d'ogives aux clés sculptées et peintes de motifs variés. Deux escaliers en granite à vis sans jour conduisent à une tribune en ciment armé, dans l'église et à une galerie extérieure donnant accès aux voûtes. Le choeur moderne, de plan trapeïzodal, repose sur des pilotis et est couvert en terrasse. Les clôtures latérales sont assurées par des cloisons composées de claustras reçevant des dalles de verre. Le sol est recouvert d'un petit carrelage. L'ancien baptistère est éclairé par deux fenêtres dotées de verrières décoratives. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : Le béton des verrières délimite des cadres renfermant des losanges mêlés à des motifs symboliques : des clés, attributs de saint Pierre, et des poissons, allusions au premier métier de pêcheur du saint. Ces motifs sont valorisés par l'utilisation de verres colorés. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000368 - ensemble d'édifices à cour commune dit Cour du Grand Louis 1 vue Historique : Le corps de passage sur rue ainsi que le logement attenant et la tourelle d'escalier en fond de cour sont de la seconde moitié du 16e siècle. Deux bâtiments d'habitations sont de 1759 (date portée). Un autre bâtiment est de la fin du 19e ou du début du 20e siècle. Date(s) de réalisation : 1759 Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits. Les lucarnes, de la façade sur rue et de la tourelle d'escalier en fond de cour, sont en pierre de taille de calcaire. Elles portent un décor sculpté. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : support : les lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000451 - immeuble 4 vues Historique : Immeuble construit à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Le rez-de-chaussée ainsi que la partie gauche du premier étage ont été remaniés dans la deuxième moitié du 20e siècle. Les deux premiers niveaux étaient à l'origine occupés par le magasin de verreries et porcelaines Marcou-Levrot qui a fermé ses portes en 1982. Description : Le gros-oeuvre de la façade sur rue est en moellons enduits. Les ouvertures du troisième et du quatrième niveaux sont en pierre de taille de calcaire, elles présentent d'importants décors sculptés à motifs architecturaux et floraux. Au premier étage, un remaniement malheureux est venu masquer (ou détruire ?) l'un des deux tableaux de céramiques peintes, et il empiète sur le second tableau. Porte cochère au rez-de-chaussée. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,3 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000463 - maison dite les Tilleuls 1 vue Historique : Maison dite les tilleuls construite pour M. et Mme Dubois qui achètent le terrain en 1894. Description : L'édifice est disposé latéralement par rapport à la rue. Les ouvertures sont en briques et pierres. A noter le décor d'architecture et la véranda qui présente une frise en métal ornée de motifs floraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : armes non identifiées, support : tympan du fronton curviligne au dessus de la porte d'entrée côté jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000629 - atelier d'artiste, puis usine de chapellerie, actuellement salle de sport 17 vues Édifice de conservation : maison Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000627 Historique : Atelier construit vers 1899 pour le peintre-verrier Auguste Alleaume. D'après Francis Bellanger, son neveu, il est édifié sur des plans de l'architecte lavallois Louis Marchal. Toujours d'après Francis Bellanger, la menuiserie est réalisée par monsieur Tricot, un artisan installé dans le quartier. En 1939, Auguste Alleaume, alors âgé de 85 ans, laisse la direction de son atelier à Francis Bellanger et à son gendre Alexis Martinol. Lors des bombardements de la voie ferrée en 1944, toutes les vitres de l'atelier sont brisées. Après la guerre, l'atelier est vendu et transformé en usine de chapellerie. Il est aujourd'hui occupé par une salle de sport. En 1893, l'atelier avait pour adresse le 33 rue de Bootz. Date(s) de réalisation : 1899 Description : A la demande d'Auguste Alleaume, l'atelier est exposé au nord "pour que la lumière extérieure non éclatante ne gêne pas pour peindre les vitraux à exposer le long des grandes baies vitrées" (Francis Bellanger). Le bâtiment associe des éléments de structure en bois à une maçonnerie combinant calcaire et brique. Le corps principal à pignon aigu est percé d'une haute fenêtre dont l'arc brisé est souligné d'un encadrement en granite. Il est couronné d'un toit à longs pans débordants. L'appentis qui le jouxte présente une structure à pan de bois à laquelle se mêle de la brique dans sa partie supérieure. La tour de plan carré à toit en pavillon accueille un escalier hors-oeuvre. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie,Bureau Arnaud Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Architecture |
IA53000636 - chapelle funéraire de la famille Lezé 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Lezé construite à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle (après 1886). Description : Edicule en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, de deux trilobes et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE LEZE surmontée d'un haut-relief. La corniche est ornée de modillons. Le trilobe du pignon et les deux fenêtres latérales ont conservé leurs vitraux (étudiés). L'espace intérieur est meublé d'un autel et de plaques funéraires sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau Précision(s) sur le décor représenté : Le fronton-pignon est orné d'une couronne funéraire. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000638 - chapelle funéraire de la famille Caruel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Caruel construite à la fin du 19e siècle (1898 ?). Description : Edicule de style néo-gothique en granite pour le soubassement et en calcaire bleu de Laval pour les murs. Il est couronné d'un toit en pierre et zinc sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte, d'un oculus et de deux fenêtres. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes à chapiteaux feuillagés. Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE CARUEL. Le tympan aveugle qui le surmonte est gravé de l'un des symboles christiques. La corniche est dotée de modillons. Seule la fenêtre latérale droite a conservé son vitrail (étudié). L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre et de plaques funéraires gravées d'épitaphes sur les murs. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est gravé du symbole du Christ : Chrisme accompagné de l'Alpha et de l'Oméga. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000639 - chapelle funéraire de la famille Bouvier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1908 par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de Germaine Bouvier (1889-1908), Joseph Bouvier, le mari de celle-ci (1861-1917) et madame Bouvier (1867-1937). Date(s) de réalisation : 1908 Description : Edicule de style néo-classique construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres en arcs brisés. La porte ferme par deux vantaux en métal peint et partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan aveugle du fronton-pignon porte un décor sculpté. Les fenêtres ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et de plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté d'un trilobe accueillant une couronne de fleurs. Les écoinçons sont ornés de marguerites. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000664 - chapelle dite grande chapelle 6 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000063 Historique : La grande chapelle, conçue pour devenir l'église paroissiale de la rive gauche, est réalisée en 1897 sur les plans de l'architecte Eugène-Joseph Hawke. Le père Cyrille Hamelin, alors supérieur de l'Immaculée-Conception, en est l'initiateur. Dans les années 1990, l'intérieur de l'édifice est totalement transformé par l'architecte Yves-Marie Belot. Description : Chapelle néo-romane en pierre de taille de granite et en moellons équarris de calcaire. La croisée du transept est couronnée d'un toit à l'impériale. La voûte du choeur accueille une peinture monumentale de M. Moriceau. Les fenêtres sont dotées de vitraux dont certains d'Auguste Alleaume. Dans les années 1990, la nef a été partagée en trois niveaux afin d'accueillir au rez-de-chaussée le restaurant scolaire, à l'extrémité du premier étage des salles de cours ainsi qu'un oratoire et sur la totalité du deuxième étage une chapelle. Des cuisines sont également construites devant l'ancienne entrée du sanctuaire. D'après une carte postale ancienne, la chapelle conservait un trésor composé d'une chasuble gothique, d'une étole et d'une bourse de bénédictin, d'un grand missel de Tournai, d'une chape, d'une reliure mosaïque, d'un ostensoir de la maison Biais, d'une Vierge de la fondation du Collège, de deux paires de burettes dont une du 17e siècle et d'un évangéliaire provenant de Bruges. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : remanié Précision(s) sur le décor représenté : La scène du Couronnement de la Vierge est inspirée d'une fresque de Fra Angelico et représente l'accueil au Ciel de la Vierge par le Christ qui l'élève au dessus de la multitude des bienheureux. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000666 - hôtel 1 vue Historique : Hôtel construit à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle (pour monsieur Chubilleau ?). Description : Hôtel néo-Renaissance disposant d'une cour latérale et d'un jardin en arrière de parcelle. Côté rue, le gros-oeuvre est en pierre de taille de calcaire (pierre de Caen ?) sur un soubassement combinant meulière et granite. Côtés cour et jardin, il est en moellons recouverts d'enduit. L'élévation antérieure est divisée en trois travées. Celle de gauche est délimitée par des pilastres, doriques au premier niveau, ioniques au second. Ces derniers encadrent une croisée à arc déprimé pourvue de deux meneux et une baie rectangulaire précédée d'un balconnet à balustrade,l'ensemble est surmonté d'une lucarne à ailerons et fronton triangulaire. Les ouvertures à fasces de l'étage sont surmontées de corniches placées au dessus de consoles en forme de volutes. La travée latérale gauche est valorisée par un toit en pavillon dont le faîte est orné d'une crête en fonte que délimitent deux épis de faîtage. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,rez-de-chaussé surélevé,1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000669 - maison Historique : Maison construite peu après 1901, date du percement de la rue Félix-Faure, pour Jules Trohel, poète lavallois mort en 1966. Endommagée pendant les bombardements de la voie ferrée de 1944, elle fait l'objet de remaniements dans les années 1950-1960. Description : Maison entre cour et jardin disposée perpendiculairement à la rue. Le gros-oeuvre est en moellons recouverts d'un enduit de ciment. La corniche et les entourages des ouvertures sont en en pierre de taille de calcaire. Celles-ci sont dotées d'arcs segmentaires et de clés. La fenêtre d'axe située au premier étage de la façade méridionale est soulignée d'un balcon. Jusqu'en 1944, cette baie devait être dotée d'un vitrail d'Auguste Alleaume. Le toit à quatre pans est pourvu de lucarnes : quatre côté cour et deux côté rue. La façade arrière est percée de deux oculi à entourages de brique. Ceux-ci sont destinés à éclairer la cage d'escalier. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : étage de soubassement,rez-de-chaussée surélevé,1 étage carré,1 étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Architecture |
IA53000629 - atelier d'artiste, puis usine de chapellerie, actuellement salle de sport 17 vues Édifice de conservation : maison Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000627 Historique : Atelier construit en 1899 pour le peintre-verrier Auguste Alleaume en remplacement de son premier lieu de travail situé 33, rue de Bootz (aujourd'hui rue du Dôme). D'après Francis Bellanger, le neveu d'Alleaume, ce bâtiment est édifiée sur des plans de l'architecte lavallois Louis Marchal. Toujours selon Francis Bellanger, les travaux de menuiserie sont réalisés par monsieur Tricot, un artisan installé dans le quartier. En 1939, Auguste Alleaume, alors âgé de 85 ans, laisse la direction de son atelier à son neveu et à son gendre Alexis Martinol. En 1944, lors des bombardements de la voie ferrée par les alliés, toutes les vitres du bâtiment sont soufflées. Après la guerre, l'atelier est vendu et transformé en usine de chapellerie. Il est aujourd'hui occupé par une salle de sport. Date(s) de réalisation : 1899 Description : L'atelier est exposé au nord " pour que la lumière extérieure non éclatante ne gêne pas pour peindre les vitraux à exposer le long des grandes baies vitrées" (Francis Bellanger). Son matérieu de construction principal est le moellon. Le corps de bâtiment gauche est percé d'une grande fenêtre dont l'arc brisé est souligné de granite. Cette construction est couronnée d'un toit à longs pans débordants. L'appentis qui la jouxte ouvre sur une baie quadrangulaire surmontée d'une fausse ferme à entrait, poinçon et aisseliers. La tourelle de plan carré à toit en pavillon accueille un escalier hors-oeuvre. Matériau(x) de couverture : ardoise Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie,Bureau Arnaud Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IM53000323 - calice et patène Historique : Ensemble calice et patène réalisé par l'orfèvre parisien A Cabaret vers la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Description : Calice et patène en argent doré. Le décor du calice est repoussé, ciselé et rehaussé d'émaux peints. Celui de la patène est gravé et également émaillé. Le calice repose sur un pied à huit lobes alternativement gros et petits. Ces derniers sont sommés de pierres à montures carrées. La partie supérieure du pied se prolonge pour former la tige polygonale coupée par un noeud circulaire aplati placé au dessus d'une collerette. La coupe ovoïde est habillée d'une fausse-coupe enrichie de pierres à montures carrées. Décor représenté : ornementation (palmettes, cartouche, crochets, rosaces, palmettes), scène biblique (Jardin des oliviers), scène biblique (Crucifixion), scène biblique (Mise au tombeau), scène biblique (La Résurrection), scène biblique (Annonciation), scène biblique (Jésus et les Docteurs), scène biblique (Jésus guérissant), scène biblique (Entrée à Jérusalem), scène biblique (Cène) Précision(s) sur le décor représenté : Calice et patène néo-gothiques. Le dessus du pied est délimité par un tore orné de palmettes. Le départ de la tige accueille quatre cartouches triangulaires représentant le Jardin des oliviers, la Crucifixion, la Mise au tombeau et la Résurrection. Les baguettes placées entre les cartouches sont décorées de crochets. Le noeud se pare de rosaces placées entre deux frises à palmettes. La fausse-coupe est délimitée par deux bandeaux gravés d'inscriptions. Les quatre cartouches qui la composent renferment des scènes figurant l'Annonciation, Jésus et les Docteurs, Jésus guérissant (l'aveugle et le paralytique) et l'Entrée à Jérusalem. Les baguettes qui cantonnent les cartouches sont recouvertes de crochets sommées de palmettes. Le centre de la patène représente la Cène entourée d'une couronne de palmettes. Dimension(s) : h = 24,2,d = 15,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 8,9,patène : d = 14,9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,grosse garantie 1er titre Paris,inscription (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'auteur (gravée, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000329 - ensemble du maître-autel : autel, tabernacle, demi-relief 2 vues Décor représenté : scène biblique(Joseph : résurrection, Christ, Vierge, ange), figure(ange : la couronne d'épines, ange : roseau, Christ : Agneau), ornement(à chapiteau composite, à pot à fleur, à feuille, à godron) Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ et Marie, penchés sur saint Joseph, semblent le réveiller,autour d'eux, des anges observent la scène. Dimension(s) : l = 300 Précision(s) sur les dimensions : piliers : h = 150. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001360 - tombeau de la famille Souchu-Servinière 1 vue Historique : Sépulture de la famille Souchu-Servinière, dont le plus illustre représentant est Théophile qui fut médecin en chef de l'Hôtel-Dieu de Laval, conseiller municipal et député de la Mayenne. Description : La sépulture se compose de 7 colonnes surmontées chacune d'une urne funéraire. Toutes les colonnes n'ont pas la même taille. Dimension(s) : h = 173,la = 36 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la plus haute des colonnes,dimensions totale de la sépulture : l=402,la=200 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003215 - pavillon de ciboire 1 vue Historique : Pavillon de ciboire datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. Description : Pavillon de ciboire taillé dans de la soie moirée blanche à décor peint. La bordure de son ouverture centrale est brodée de fil d'or et son pourtour est pourvu de franges de bouillon doré. Précision(s) sur le décor représenté : Le pourtour est peint d'une couronne végétale formée de rinceaux végétaux adossés auxquels se mêlent des épis de blé. L'I.H.S. apparaît au dessus de l'un des couples de rinceaux. Dimension(s) : d = 52 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003218 - ciboire (n° 1) 1 vue Historique : Ce ciboire est l'oeuvre conjointe des orfèvres parisiens Charles Denis Noël Martin, Jean Philippe Adolphe Dejean, Louis Demarquet et Arthur Demarquet. Le pied et le couvercle ont été réalisés par Martin et Dejean entre 1838 et 1846. La coupe et la fausse-coupe ont été refaites par les frères Demarquet entre 1889 ? (1868 ?), année d'insculpation de leur poinçon et 1939 (1890 ?), année de son biffage. Description : Ciboire en argent à coupe aplatie et fausse-coupe. Celles-ci sont vissées sur une tige de section circulaire à noeud piriforme. L'ensemble repose sur un pied circulaire bombé en talon comme le couvercle. Les médaillons de la fausse-coupe et du pied sont moulés et rapportés. Décor représenté : ornementation (gerbe : blé, roseau, pampres, rosace, rai de coeur, médaillon, cartouche, feuille d'eau), figure biblique (Christ : en buste), figure biblique (Vierge : en buste), figure biblique (Saint Joseph : en buste), figure biblique (Dieu le Père), figure biblique (Saint-Esprit), figure biblique (Le Verbe) Précision(s) sur le décor représenté : Le cavet du pied est orné de cartouches à gerbes de blé, roseaux et pampres entrecoupés de rosaces. Le talon, comme le couvercle, est délimité par une bande de rais de coeur. Il présente un décor formé de médaillons à guirlandes accueillant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. Ces médaillons sont entrecoupés de cartouches renfermant des gerbes de blé, des roseaux et des pampres. Ces trois motifs se répètent sur le noeud, la fausse-coupe et le couvercle. Sur le noeud ils alternent avec des rosaces, sur la fausse-coupe avec des médaillons représentant Dieu le Père, le Saint Esprit et le Verbe, et sur le couvercle avec des angelots. Les sommet du noeud et du couvercle sont ornés de feuilles d'eau. Dimension(s) : h = 28,8 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 13,1,couvercle : d = 13,2. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003220 - ciboire (n° 3) 1 vue Historique : Ce ciboire a été réalisé conjointement par un orfèvre inconnu dont l'une des initiales est J. et par les frères Demarquet dont le poinçon a été insculpé en 1889 et biffé en 1939. Description : Ciboire en argent à coupe aplatie fermée par un couvercle légèrement bombé. Celui-ci est sommé d'une croix rapportée placée sur un culot. La coupe est vissée sur une tige dotée d'un noeud circulaire et aplati. L'ensemble repose sur un pied hémisphérique. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied, la coupe et le couvercle sont ornés de rinceaux et de frises perlées. Les extrémités des bras de la croix sommitale sont amortis par un motif feuillu. Dimension(s) : h = 27 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 12,4,coupe : d = 11. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poinçon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003223 - ciboire (n° 6) 5 vues Historique : Ce ciboire est l'oeuvre conjointe des orfèvres parisiens Jean Philippe Adolphe Dejean, Louis Demarquet et Arthur Demarquet. La coupe a été réalisée par les frères Demarquet entre 1889 ? (1868 ?), année d'insculpation de leur poinçon et 1939 ? (1890 ?), année de son biffage. La fausse-coupe et le pied ont quant à eux été réalisés par Jean Philippe Adolphe Dejean à partir de 1846, année d'insculpation de son poinçon. Description : Ciboire en argent doré dont la coupe s'emboîte dans une fausse-coupe ajourée. La coupe et la fausse-coupe sont vissées sur une tige de section circulaire à noeud piriforme placé entre deux collerettes. La coupe est fermée par un couvercle à ressaut sommé d'une croix fondue. La tige est vissée sur un pied sphérique légèrement bombé. L'ensemble du décor est repoussé, ciselé, ciselé au mat et fondu pour les éléments rapportés. Il est enrichi de pierres en verre bleu, violet et vert. Décor représenté : ornementation (volutes, végétal, ove, cartouche, angelot, bouquets : fleurs, médaillon, fleurette), figure biblique (Christ : en buste), figure biblique (Vierge : en buste), figure biblique (Saint Joseph : en buste) Précision(s) sur le décor représenté : Ciboire de style rocaille se caractérisant par la richesse et la complexité de son décor. Le cavet du pied est orné de volutes et de motifs végétaux. Son talon, limité par une frise d'oves, est orné de cartouches aux bords chantournés. Ils alternent avec des angelots se répétant sur le noeud et la fausse-coupe. Celle-ci est formée de médaillons accueillant les bustes du Christ, de la Vierge et de saint Joseph. Ils sont entrecoupés par des médaillons plus petits renfermant des bouquets de fleurs. La bordure du couvercle est soulignée d'une frise de câbles et son ressaut reproduit les motifs de cartouches aux bords chantournés. La croisée de la croix sommitale est matérialisée par un petit médaillon et les bras par trois fleurettes. Dimension(s) : h = 35,3 Précision(s) sur les dimensions : pied : d = 16,6,couvercle : d = 16. Inscription(s) : poinçon de fabricant,poincon garantie et titre argent Paris depuis 1838 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003256 - ensemble composé de deux chandeliers à branches d'église (n° 1) 1 vue Historique : Ensemble de deux chandeliers à branches d'église datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. Description : Chandeliers en bronze dotés de trois branches : deux latérales et une centrale. Les bobèches sont en verre. Précision(s) sur le décor représenté : Les bases sont formées de feuilles longues et courtes alternées. Des tiges à fleurs de lys et feuilles de vigne partent des branches latérales. La tige centrale s'enrichit d'une pampre et les bobèches ont la forme de corolle. Dimension(s) : h = 31,la = 32,5,pr = 22 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003272 - ensemble composé de trois vases d'autel 1 vue Historique : Ces trois vases d'autel datent de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle. Description : Vases en bronze doré composés de socles tripodes, de panses piriformes et de longs cols à ouvertures découpées. Les éléments formant les anses et les pieds sont rapportés. Une partie du décor est peint en rouge. Précision(s) sur le décor représenté : La face antérieure des panses est ornée d'un double quadrilobe enfermant les initiales du Christ encadrées de l'Alpha et de l'Oméga. La partie supérieure des panses est décorée d'une frise à dents de scie. Les anses ont la forme d'animaux fabuleux. Dimension(s) : h = 33,la = 18,5,pr = 16 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |