IA53000112 - hôtel de Sèze 5 vues Historique : La partie gauche de cet hôtel particulier a été construite en 1561 et remaniée en 1674 (dates portées). La partie de droite a été réalisée en 1614. Le corps de logis sur rue et la tourelle sur l'arrière sont vraisemblablement de cette époque. En 1730, l'hôtel est modifié et agrandi par la construction de l'aile en retour d'équerre. La clef de la porte cochère (porte qui réunit les parties de gauche et de droite) présente sur un écu les initiales R D B. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits. Le porche est en marbre rose,la porte sur rue en pierre de taille de granite. De nombreuses ouvertures sont en pierre de taille de calcaire, notamment les lucarnes de l'aile en retour sur jardin qui présentent des frontons triangulaires ou curvilignes dont certains tympans sont sculptés de motifs floraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : tympan de certains frontons,sujet : fleur de lys, support : angles supérieurs de certaines fenêtres Protection MH : Façades et toitures des bâtiments principaux et des communs ; escalier à balustres de bois ; chambre du premier étage sur rue avec ses boiseries : inscription par arrêté du 21 septembre 1983. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000130 - hôtel Description : Le gros-oeuvre de l'édifice est en moellons enduits, les chaînes d'angle et les entourages des baies sont en pierre de taille de granite. Les lucarnes et le fronton ouvragé sont en calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : tympan du fronton de la façade sur rue Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000140 - maison Historique : Maison construite en 1640. Date(s) de réalisation : 1640 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : piédroit d'une baie sur jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000013 - hôtel Farcy de Pontfarcy 4 vues Historique : Dernière demeure élevée en bordure de la place de Hercé, cet hôtel a été construit vers 1845 pour Frédéric Farcy de Pontfarcy. C'est ici qu'est né le navigateur Alain Gerbault en 1893. Les bâtiments et le parc ont été vendus à la "sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence" par la comtesse de Hercé en 1952. Date(s) de réalisation : 1845 Description : La travée d'axe de l'édifice est marquée par deux jambes à bossages, répétées aux angles. Les trois niveaux de hauteur décroissante sont séparés par des cordons moulurés. La façade, à cinq travées, est percée de très nombreuses fenêtres encadrées de persiennes dont le rythme répétitif engendre une certaine monotonie. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les jambes à bossages, les cordons de moulures et l'entourage des baies sont en pierre de taille de calcaire ou de granite au rez-de-chaussée. Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : sujet : personnage profane, ornement végétal, support : grille de clôture Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000188 - hôtel 4 vues Historique : D'après les résultats d'une étude dendrochronologique réalisée en 2006, l'hôtel a été construit entre 1506 et 1509. Description : La façade sur rue présente du pan de bois enduit, des encorbellements sur poteaux élargis avec des sablières, des consoles et des entretoises moulurées. Les écoinçons des entretoises ainsi que les consoles sont sculptées de feuilles d'acanthes. La façade sur cour présente des ouvertures chanfreinées et une tourelle d'escalier. Au dernier étage de celle-ci, le passage du plan polygonal au plan carré se fait par l'intermédiaire d'un cul de lampe pyramidal dont l'amortissement est sculpté de têtes humaines. Un arc de décharge en pierre est visible au dessus de la porte. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : pigeatres de l'étage,sujet : tête d'homme, support : culots de la tourelle d'escalier Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000024 - couvent de franciscains Notre-Dame-des Cordeliers, puis église paroissiale Notre-Dame-des-Cordeliers et caserne Corbineau, actuellement église paroissiale Notre-Dame-des-Cordeliers et immeuble à logements 49 vues Historique : Les franciscains sont appelés à Laval en 1394 par Guy 12 et Jeanne de Laval. Le campanile, le cimetière, les dortoirs, le réfectoire et la chapelle Notre-Dame-de-Lorette sont réalisés entre 1397 et 1398. L'Eglise comporte une nef et un seul bas-côté,elle est dédiée à Notre-Dame et a été consacrée en 1407. Le clocher est achevé en 1484 (détruit). Le portail de l'église, attribué à Jacques Corbineau et le cloître à colonnes de marbre ont été réalisés dans la première moitié du 17e siècle. Les colonnes du cloître ont été réutilisées pour décorer l'hôtel du cardinal Fesch à Paris en 1809. L'architecte lavallois Pierre-Aimé Renous réalise le second bas-côté en 1863 (date portée) ainsi que le voûtement sur croisée d'ogives. Une partie des panneaux peints de l'ancienne voûte est déposée au musée de Laval. Entre temps, en 1812, la ville avait vendu une partie des bâtiments conventuels au département pour leur transformation en caserne militaire. Elle prend le nom d'un général d'empire mort à la bataille d'Eylau en 1807, Corbineau. Bien qu'agrandie d'un important corps de logis dans la seconde moitié du 19e siècle, le régiment qui s'y trouvait, le 28e de ligne, quitte Laval laissant la caserne vide. Description : Le grand vaisseau continu de la nef de l'église, s'ouvre au nord sur des chapelles qui se traduisent à l'extérieur par des pignons multiples. Ceux-ci sont percés de grands fenestrages refaits au 19e siècle. Le portail principal de l'édifice, à bossages et clef pendante, est encadré, au niveau inférieur, par des pilastres cannelés et bagués qui soutiennent un fronton triangulaire brisé garni d'une niche. A la partie supérieure, un oculus à chambranle à agrafes, flanqué d'ailerons est surmonté d'un fronton cintré brisé. Le gros oeuvre est en moellons enduits, l'entourage des baies ainsi que le portail principal sont en pierre de taille de calcaire. Les premiers niveaux des contreforts sont en pierre de taille de granite. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 vaisseaux Précision(s) sur le décor représenté : Les clés de voûte centrales ont conservé leurs pendants en bois polychrome. Ceux des clés de voûte latérales ont été déposés et entreposés au Château-Neuf. Le sol est recouvert d'un décor en mosaïque datant certainement du 2e quart du 20e siècle. Il représente notamment des marguerites dont les pétales accueillent des fleurs de lys. Ce décor aurait été réalisé par l'entreprise Zocchetto. Protection MH : Eglise des Cordeliers (cad. CH 21) : inscription par arrêté du 15 février 1926. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1977 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000371 - cimetière de Vaufleury 20 vues Historique : Le premier cimetière municipal est créé le 25 thermidor an XII (13 août 1804) sur un terrain appartenant aux hospices de la Ville : la prairie de la Guétière aujourd'hui occupée par les bâtiments des Archives Départementales. Cette nécropole remplace plusieurs cimetières paroissiaux dont le plus important est celui de la Trinité définitivement fermé en 1807. Les premières inhumations ont lieu vers 1808 mais le 15 novembre 1881, pour des raisons d'hygiène et de saturation, le conseil municipal décide la fermeture du cimetière et son déménagement à Vaufleury, son emplacement actuel. C'est l'architecte municipal, Léopold Ridel qui, entre 1882 et 1886, dessine les plans du nouveau cimetière parmi lesquels ceux des deux pavillons d'entrée destinés à abriter le bureau et le logement du gardien. Le montant des travaux s'élève à 194 268 francs dont 106 336 francs pour l'achat du terrain. Les premiers enterrements ont lieu en 1887. Description : La superficie du cimetière est de 7,5 hectares et 12 000 sépultures pour un peu plus de 66 000 corps inhumés y sont dénombrées. Au centre de celui-ci, la croix de cimetière posée sur une colonne prend la forme d'une croix de Malte. La grande allée et 2 allées transversales sont bordées de 42 chapelles funéraires. 17 d'entre elles ont été étudiées (voir fiches Mérimée),les 25 autres ont simplement été repérées. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, ornement architectural, acrotère, gargouille, épis de faîtage, support : les bâtiments d'entrée Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000373 - chapelle funéraire des familles Bretonnière et Vilfeu 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire, probablement réalisée à la fin du 19e siècle, où reposent des membres des familles Bretonnière et Vilfeu. Description : Chapelle très ajourée et très électique, à chevet droit. Elle présente des chapiteaux proches du ionique et des colonnes cannelées. Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000376 - chapelle Sainte-Madeleine dite la Madeleine-du-Roc, actuellement maison 1 vue Historique : Péan le Bret, receveur des tailles, fonde la chapelle le 4 janvier 1490. Elle se trouve près de sa maison, rue de Rivière (appelée aussi rue Boutagu). La chapelle étant "tombée en indigence de reffections", des travaux sont réalisés en 1687-1688 visant au "restablissement et construction de la chapelle" (notamment le remplacement de la charpente). De nouveaux travaux d'entretien sont effectués en 1775-1776 (réfection du carrelage, de l'enduit, suppression du lierre, remplacement de la bordure des deux pignons). La chapelle est vendue le 28 avril 1792 à Daniel Guiard-Lacroix. La chapelle est alors transformée en maison d'habitation. Elle est aujourd'hui enserrée par d'autres constructions plus récentes. Date(s) de réalisation : 1490 Description : En 1775, la chapelle est ainsi décrite dans une montrée : "la chapelle a 24 pieds de longueur, 19 de large, hors oeuvre, construite de pierre commune, soutenue par 4 piliers butant aux 4 angles et 2 au milieu. La voûte est en lunette, dont les arcs doubleaux et les branches d'ogive sont en tuffeau et les lunettes en brique. Une porte d'entrée, une autre en face sert pour l'exploitation du côté du midi, a 6 pieds 6 pouces de large en oeuvre et 7 pieds de long." La chapelle de plan rectangulaire était composée de deux travées voûtées d'ogives. Les ogives retombaient sur des culots ornés de motifs végétaux, d'initiales et de blasons, aujourd'hui bûchés. Les murs étaient couverts de peintures. Une grande fenêtre en arc brisé s'ouvrait sur la façade est. La chapelle a été considérablement remaniée, afin d'être transformée en maison d'habitation. L'extérieur est quasiment méconnaissable. L'intérieur a été divisé en trois niveaux. Les voûtes ont été détruites et remplacées par un plancher en bois. Seuls subsistent dans les murs les retombées des ogives et quelques arcs brisés (arcs formerets). Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : culot de la retombée des voûtes,sujet : blasons bûchés, support : culot de la retombée des voûtes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000391 - immeuble Historique : Maison probablement construite au début du deuxième quart du 20e siècle. Elle porte un décor de style Art déco. Description : Le gros-oeuvre est en moellons enduits. L'encadrement des ouvertures, la corniche, les chaînes d'angle ainsi que l'ensemble du premier étage sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000395 - monument aux morts de la Guerre de 1870 2 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Monument aux morts de la guerre de 1870, réalisé sur des dessins de l'architecte Léopold Ridel et exécuté par le sculpteur André Joseph Allar en 1904. A son emplacement reposent 504 soldats français morts durant ce conflit. Date(s) de réalisation : 1904 Description : Le groupe sculpté symbolisant la Patrie veillant sur ses enfants, est adossé à un obélisque. Le monument porte les inscriptions : PATRIA, ANNO 1870 1871, L.RIDEL ARCTE, MCMIV, ALLAR. Précision(s) sur le décor représenté : sujet : une femme guerrière est armée d'une épée et à ses pieds un homme se meure Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000408 - fontaine du square de Boston 1 vue Historique : Fontaine érigée vers 1883 en remplacement d'un premier bassin dont l'emplacement près du kiosque à musique était jugé dangereux. Description : La partie supérieure de la fontaine a disparu. Il s'agissait d'une statue féminine portant un oiseau (?) et un jet d'eau. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000423 - moulin à cylindres dit moulin de la Gare 3 vues Historique : Minoterie construite au début du 20e siècle puis transformée en logements. En 1926, elle est la propriété de Ch. Guillot. Le bâtiment est détruit en 1996. Description : Le gros oeuvre est en moellons enduits. L'encadrement des ouvertures, harpées à bossages, et les contreforts sont en pierre de taille de calcaire. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés État de conservation : détruit après inventaire Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : sommet des pilastres Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000439 - maison Historique : Maison construite en 1923 par l'architecte Georges Rousseau pour messieurs Deleurme et Durand. Elle occupe l'emplacement de l'ancienne auberge de La Perle dont les mentions remontent au 17e siècle et qui, en 1770, alors qu'elle fait office de bureau d'enregistrement des aides, est achetée par François Delaunay, sieur de Fresnay, négociant en toiles et propriétaire de l'hôtel de Bel-Air. Date(s) de réalisation : 1923 Description : Maison qui se rattache à l'architecture éclectique du 19e siècle : dans ses formes, elle mêle des références à l'art classique et des influences de l'Art nouveau (oriel de la façade et silhouette découpée des toits). Le décor est lui aussi fortement inspiré de l'Art nouveau (masques surmontant les baies du rez-de-chaussée et motifs végétaux). Au bas du mur, à gauche, on peut lire l'inscription "LAUS DEO, FR."qui à l'origine se trouvait sur la façade de l'auberge de La Perle. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000441 - maison 1 vue Historique : Maison construite pour L. P. Martin Bruneau entre 1842 et 1844. Les deux demeures voisines (n° 8 et n° 10 rue Ambroise Paré) sont de la même époque et d'une architecture très proche (quoique plus sobre dans le décor). Elles ont également été réalisées pour le compte de Martin Bruneau, propriétaire d'un terrain qui formait une seule et même parcelle. Description : La maison présente un fronton triangulaire au riche tympan sculpté et un balcon en fonte de fer au premier niveau de la travée centrale. Deux lucarnes percées d'oculus encadrent le fronton. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000443 - maison dite Cercle de l'Union puis Cercle militaire, actuellement chambre de commerce et d'industrie 2 vues Historique : En 1867, M. Foucault de Vauguyon sollicite l'autorisation d'ouverture d'un nouveau cercle, sous le nom cercle de l'Union, formé par la réunion de trois cercles lavallois : le cercle de la rue des Fossés, le cercle du Balcon et le Petit cercle. Le premier décembre 1867, deux sociétés sont constituées par acte notarié : la société des abonnés du cercle de l'Union et la société des propriétaires de l'hôtel du cercle de l'Union. Cette dernière est constituée pour acquérir des terrains et anciennes maisons, quai de l'Impératrice, et pour construire l'hôtel destiné à servir de local à cette société et à être loué à la société des abonnés de cercle de l'Union. Le cercle de l'Union est dissout le 28 février 1891. M. Travers en est l'adjudicataire le 13 juin 1891. Dans les années 1920, le bâtiment est loué d'une part au Cercle militaire et d'autre part à différents commerces. La chambre de commerce et d'industrie, sous-locataire du Cercle militaire depuis 1922, décide l'acquisition de l'immeuble par délibération du 25 juin 1927. La vente est conclue le 5 décembre 1927. Date(s) de réalisation : 1868 Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage de comble Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Just Carole Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000445 - maison, puis imprimerie Veuve Conilleau, puis établissement administratif communal 8 vues Historique : Joseph Bonneau, juge de paix, était propriétaire de plusieurs parcelles entre la place des Arts et la rue du Murier. Il fit construire vers 1851 une maison place des Arts (près de la bibliothèque, aujourd'hui un bâtiment administratif) puis une autre vers 1861 sur la rue de l'Hôtel de Ville récemment percée. L'ensemble fut vendu vers 1897 à la Société Civile de Sainte-Marie qui était déjà propriétaire du grand bâtiment nouvellement construit sur l'ancienne rue du Pilier-Vert. Cette institution vendit les anciennes propriétés Bonneau le 9 décembre 1903, à Mme veuve Conilleau qui y établit peu après l'imprimerie : "Vve Conilleau". Les ateliers (détruits) ont été construits place Saint-Tugal (ex-place des Arts), devant l'ancienne maison Bonneau qui servait de bureaux à l'entreprise. Le magasin de commerce a été réalisé peu après 1903 à l'emplacement de la seconde maison Bonneau rue des Déportés (ex-rue de l'Hôtel de Ville). Description : Le gros-oeuvre des bureaux (vers 1851, place Saint-Tugal) est en moellons enduits,les chaînes d'angle, les bandeaux, la corniche et l'entourage des ouvertures sont en pierre de taille de calcaire. Les ouvertures du rez-de-chaussée sont sommées d'un fronton triangulaire. Le magasin (vers 1903, rue des Déportés) est en pierre de taille de calcaire. Il présente à l'étage un balcon en fer forgé et des motifs sculptés dans les écoinçons. L'entablement est surmonté d'un fronton brisé à volutes rentrantes. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 2 étages carrés,1 étage carré État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000452 - garage, actuellement magasin de commerce 2 vues Historique : Garage construit dans la première moitié du 20e siècle (entre 1920 et 1930?) pour la sellerie-carrosserie de P. Poulain. Cette entreprise a été reprise par les frères Leroux (sellerie, carrosserie, automobiles, voitures attelées). Description : Le gros-oeuvre de l'édifice est en brique peinte. Le fronton polylobé et les balcons, en fonte de fer à motifs floraux, rappellent le style Art déco. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : brique Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000456 - école Jacques Prévert 1 vue Historique : Les plans de cette école, signés de l'architecte-voyer Georget, portent les dates de 1879 et 1880. Salle d'asile à l'origine, elle aurait été construite grâce à Mme Jacques Sosson qui avait légué en 1876 à l'évêché une importante somme d'argent pour construire une église de secours, une école et une salle d'asile. Date(s) de réalisation : 1879 Description : La façade réalisée sur la rue Magenta n'est pas tout à fait la même que celle dessinée sur les plans de Georget. Les 4 travées centrales de celle-ci forment un avant-corps légèrement saillant et comportent de nombreux éléments en pierre de taille de calcaire. Le gros-oeuvre des bâtiments de l'école est en moellons enduits. Le mur de clôture sur la rue Magenta est en pierre de taille de calcaire, au centre les piles du portail présentent un décor floral sculpté. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : restauré Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000462 - hôtel 2 vues Historique : Hôtel particulier probablement construit vers 1850. Il est aujourd'hui englobé dans l'enceinte de l'école Sainte-Thérèse. Date(s) de réalisation : 1850 Description : Edifice, d'inspiration Renaissance qui présente un riche décor ornemental. Au premier niveau, les trois ouvertures médianes s'ouvrent sur un même balcon, en fonte de fer, supporté par des consoles. Ces ouvertures présentent des frontons cintrés soutenus par des putti et prolongés par un décor de feuilles de vignes. Les éléments de décor sont en calcaire, le gros-oeuvre est en moellon enduit. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000463 - maison dite les Tilleuls 1 vue Historique : Maison dite les tilleuls construite pour M. et Mme Dubois qui achètent le terrain en 1894. Description : L'édifice est disposé latéralement par rapport à la rue. Les ouvertures sont en briques et pierres. A noter le décor d'architecture et la véranda qui présente une frise en métal ornée de motifs floraux. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 3 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : armes non identifiées, support : tympan du fronton curviligne au dessus de la porte d'entrée côté jardin Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000464 - chapelle funéraire de la famille Arché 3 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille Arché réalisée vers la fin du 19e siècle par l'entrepreneur lavallois Henri Pillon et le sculpteur C. Mézière dont les noms sont gravés de part et d'autre de la porte d'entrée. Description : Chapelle funéraire en pierre de taille de calcaire qui présente de nombreux éléments sculptés : colonnes engagées à chapiteaux, bandeau, corniche, consoles, figurines. Toutes les consoles sont différentes : des têtes de monstres alternent avec des figures féminines et des feuilles d'acanthes. Le faîtage porte un décor de fleur de lys. L'imposte et l'oculus antérieur ont conservé leurs verrières (étudiées). Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : animal fabuleux (ailes), support : à droite et à gauche du tympan de la porte Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000466 - château fort dit musée du Vieux-Château et palais de justice 163 vues Historique : Vers 1020, Guy 1er le "fondateur" construit un château sur un promontoire rocheux dominant la Mayenne et destiné à contrôler un gué d'origine gallo-romaine. Ce premier château en bois qui s'étend jusqu'au pied de la cathédrale actuelle, possède une enceinte de terre. A cheval sur cette enceinte, une motte verrouille l'accès du plateau. Il est fort probable qu'une seconde motte est établie à l'intérieur de cette enceinte, près de l'emplacement de la galerie (actuel Château-Neuf). Vers la fin du 11e siècle, le logis primitif dont l'arase des murs subsiste, est agrandi vers l'est d'un édifice en pierre de plan rectangulaire qui sera aménagé en chapelle vers 1170. Au début du 13e siècle, le château se replie sur l'extrémité de l'éperon où est construit un donjon circulaire en pierre. D'après les résultats apportés par une étude dendrochronologique réalisée en 2011, son hourd est réalisé entre 1219 et 1227. A la même époque, des logis seigneuriaux sont réalisés. Ils sont très fortement remaniés au milieu du 15e siècle à l'instigation du comte Guy 14 qui en 1456 aménage la vaste salle couverte d'une voûte lambrissée (datée par travaux historiques). Au début du 16e siècle, des travées à hautes lucarnes en pierre sculptée viennent orner les façades sur cour. C'est probablement à la même époque que ces mêmes façades sont recouvertes de peintures murales (faux appareil en pierre ?, médaillon accueillant un personnage en cuirasse ?, colosse ?). Face à ce vieux château, le projet d'une vaste galerie est élaboré en 1508 (daté par travaux historiques). Elle est réalisée vers 1542 sous la direction du maître-maçon Jehan Garnyer (date et attribution par travaux historiques) pour Guy 17. En 1631, un pavillon est ajouté à l'extrémité nord. En 1747, la galerie, est restaurée et embellie par Danjou (attribution et date par travaux historiques). A la Révolution, les tribunaux s'installent au Château-Neuf, tandis que les prisons sont transférées au Vieux-Château. Entre 1829 et 1833, l'architecte départemental Maximilien Godefroy reconstruit le pavillon nord de la galerie. Entre 1839 et 1840, il dote cette dernière d'un campanile destiné à accueillir l'horloge municipale réalisée par Julien Gourdin, un horloger établi à Mayet dans la Sarthe. Cette horloge au mécanisme exceptionnel sera entièrement réparée par son auteur en 1857. C'est probablement Godefroy qui réalise également vers 1839 le mur de clôture. En 1851 (date et attribution par source), l'architecte Pierre-Aimé Renous restaure la chapelle du Vieux-Château. A partir de 1854 (date et attribution par source), il réalise le pavillon nord et l'aile en retour de la galerie. La construction de cette dernière nécessita la démolition de la tour de l'Horloge. Entre 1909 et 1910, le campanile est entièrement reconstruit dans son style d'origine. A partir de 1911, l'architecte Louis Garnier (date et attribution par source) restaure le Vieux-Château devenu propriété de la Ville en 1909. Il fait également installer à l'extrémité de l'aile sud un escalier provenant du logis abbatial de Clermont. La voûte lambrissée de la salle d'honneur est refaite en 1913 (datée par étude dendrochronologique). Le Vieux Château est devenu progressivement un musée à partir des années 1920. Description : Le gros oeuvre du Vieux-Château est en moellons. Les ouvertures sur cour sont en granite au rez-de-chaussée et en calcaire aux étages. De plan circulaire, le donjon présente un diamètre de 14 m à sa base pour une hauteur totale de 33 m. Ses quatre niveaux maçonnés sont couronnés d'un hourd combiné à une charpente de toit. Structure charpentée formant galerie, le hourd se compose principalement de deux enrayures superposées et axées sur un poinçon central. Toutes ses pièces de bois sont en chêne. Le Château-Neuf est en pierre de taille de calcaire, côté cour et en moellon enduit, côté rivière. L'ensemble des toitures est en ardoise, hormis celle du campanile de la galerie qui est en cuivre. La galerie fait 7 m de profondeur. Le décor sculpté de la Renaissance est présent sur les travées d'ouvertures du Vieux-Château et dans les pleins de travées du Château-Neuf. Au Vieux-Château : escalier hors-oeuvre (escalier de Clermont), escalier dans-oeuvre entre la cour et la rue du Val-de-Mayenne, et escalier dans-oeuvre dans le donjon. Au Château-Neuf, escalier dans-oeuvre à retours avec jour. Les vitreries losangées du Vieux-Chateau semblent avoir été réalisées par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : arabesque, rinceau, candélabre, pilastre, animal fantastique, trophée, cartouche, cuir découpé, médaillon, armoiries, buste d'homme, ordre antique, guirlande, vase, ornement végétal, ange, pierre, buste humain, homme Précision(s) sur le décor représenté : armes martelées,armes illisibles,les murs de l'aile sud étaient recouverts de peintures murales semblant représenter une imitation d'appareil de pierre de taille, un médaillon renfermant un buste humain et un homme debout, penché vers l'avant et portant une poutre. Protection MH : Château Vieux (cad. CI 54) : classement par liste de 1840 ; galerie du Château Neuf (cad. CI 67) : classement par liste de 1840 ; façades, toitures, ancienne salle des pas perdus et escalier principal de l'aile sud du Château Neuf (cad CI 67) : inscription par arrêté du 7 mars 2006. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000639 - chapelle funéraire de la famille Bouvier 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire construite vers 1908 par l'entrepreneur lavallois Bazin. Elle accueille les sépultures de Germaine Bouvier (1889-1908), Joseph Bouvier, le mari de celle-ci (1861-1917) et madame Bouvier (1867-1937). Date(s) de réalisation : 1908 Description : Edicule de style néo-classique construit en calcaire bleu de Laval sur une terrasse en granite. Il est couronné d'un toit en pierre lui-même sommé d'une croix. Les murs sont percés d'une porte et de deux fenêtres en arcs brisés. La porte ferme par deux vantaux en métal peint et partiellement ajouré. Elle est flanquée de deux colonnettes en marbre rose à chapiteaux feuillagés. Le tympan aveugle du fronton-pignon porte un décor sculpté. Les fenêtres ont conservé leurs vitraux. L'espace intérieur est meublé d'un autel en marbre blanc et de plaques funéraires gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Le tympan est sculpté d'un trilobe accueillant une couronne de fleurs. Les écoinçons sont ornés de marguerites. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Architecture |
IA53000648 - hôtel, actuellement immeuble de bureaux 7 vues Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000037 Historique : L'hôtel est construit en 1896 sur des plans de Léopold Ridel pour monsieur Adolphe Masseron. Quelques-uns de ses vitraux ont été réalisés en 1903 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. Son registre de caisse mentionne en effet le nom de monsieur Masseron ainsi que la somme de 360 francs. Date(s) de réalisation : 1896 Description : Hôtel particulier construit sur une parcelle extrêmement étroite, d'où sa verticalité, et dont l'architecture éclectique fait de nombreux emprunts au style Renaissance. La façade, côté quai, comporte quatre niveaux dont un étage de comble et cinq travées régulières. Les ouvertures du premier étage à linteau droit avec agrafe ouvragée, sont dotées de balconnets à balustres, à l'exception de la baie de la travée nord qui s'ouvre sur un bow-window ou oriel doté d'une verrière. Au rez-de-chaussée, les ouvertures sont légèrement cintrées alors qu'au deuxième étage elles sont en anse de panier. Sur le toit, les baies à meneau de bois sont parfois insérées dans une ornementation néo-Renaissance avec pilastres, pinacles, consoles et frontons triangulaires ou curvilignes à tympans sculptés de motifs végétaux. L'animation du volume se fait par le jeu des toitures et par l'adjonction de quelques éléments pittoresques : le bow-window, déjà cité, surmontant l'ancienne porte d'entrée, mais aussi une véranda métallique ornée de céramiques polychromes à motifs végétaux stylisés. Les éléments décoratifs, en calcaire, sont mis en valeur par le contraste avec le matériau de remplissage, la brique. A l'intérieur, le vestibule, les salles de réception et les bureaux du rez-de-chaussée ont reçu un décor de boiseries et de panneaux vitrés de syle Louis XV ou néo-Renaissance. Le grand escalier en bois emprunte par contre au style gothique. A noter : Ridel fut également chargé du décor de la salle de bains pour laquelle il dessina deux panneaux décoratifs au style japonisant,ceux-ci représentent des geais sur un éventail déployé et des cigognes pêchant. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble Précision(s) sur le décor représenté : sujet : ornement végétal, support : véranda, lucarnes Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |