IM53000485 - ensemble de 8 peintures monumentales 3 vues Historique : Le faux-appareil de l'ancienne croisée du transept a été réalisé au cours du 15e siècle et repris vers le milieu du 16e siècle lors du percement du trou des cloches. Le faux appareil aux axes faîtiers ornés a été réalisé vers 1490. Le vestige de faux appareil du mur nord de la 1ère travée de la nef pourrait correspondre à cette campagne. Le faux appareil ponctué a été peint immédiatement après la construction de la chapelle dans laquelle il se trouve, entre 1537 et 1541. Le faux appareil blanc sur fond jaune pourrait correspondre à la campagne de construction réalisée entre 1549 et 1556. Les croix de consécration peintes dans le choeur datent vraisemblablement de l'érection de l'église en cathédrale (1855). Le faux appareil des voûtes des 3 travées de la nef actuelle et les croix de consécration de la nef, copies interprétées, ont été peintes ou repeintes dans le dernier quart du 20e siècle. La trace d'une litre, réalisée entre le 16e et le 18e siècle, est visible dans la chapelle sud-est. Description : Les peintures peuvent être aussi bien réalisées à fresque ou débutées à fresque et terminées à sec. L'ensemble de croix de consécration du 19e siècle semble avoir été réalisé sur badigeon. Les 5 faux-appareils ont semble-t-il été réalisés à main levée. Quatre de ces faux-appareils sont rouge sur fond blanc et le 5e est blanc sur fond jaunâtre. Précision(s) sur le décor représenté : Cinq ornements de forme architecturale imitent un appareil de pierre de taille. Dans l'ancienne croisée de transept, il est doté de motifs floraux ou d'étoiles. L'extrémité inférieure des voûtains est ornée d'un rameau sec. Les murs et les voûtes du choeur reconstruits vers 1490 étaient couverts d'un faux-appareil. Les axes faîtiers sont ornés d'un bandeau décoratif, qui est constitué d'un axe autour duquel court un rinceau sur un fond de fleurettes et d'étoiles. Le tout est encadre d'un bandeau bicolore rehaussé de fleurettes et d'étoiles en alternance. Sur chaque bordure extérieure court un redent fleuronné. La voûte de la 1ère chapelle sud du choeur est dotée d'un faux appareil dont les joints verticaux sont ponctués,chacune des croix de consécration fleuronnées est inscrite dans un cercle et accompagnée de rameaux. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000005 - verrière hagiographique de la Vie de saint Pierre 1 vue Historique : Verrière réalisée par le peintre-verrier François Fialeix entre 1848 et 1855. Description : deux barlotières par lancette Précision(s) sur le décor représenté : Huit scènes de la vie de saint Pierre. Dimension(s) : h = 400,la = 150 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001356 - tombeau du père Joseph Coince 1 vue Historique : Tombeau du père Joseph Coince décédé en 1833. Cette tombe fait l'objet d'un pèlerinage dont le rituel consiste à faire offrande au "saint" d'un vêtement d'enfant (le père Coince est invoqué pour la guérison des enfants) que l'on accroche au-dessus de la tombe sur un support prévu à cet effet. En cas de guérison un ex-voto est apporté comme remerciement. Les vêtements sont ensuite redistribués à des familles nécessiteuses. Description : Tombe plate avec au-devant une stèle où est gravée une longue inscription en latin d'un coté et sa traduction en français de l'autre. Une grille ceinture la sépulture où sont déposés de nombreux ex-voto. Précision(s) sur le décor représenté : Un petit édicule (ou support), surmonté de verrières censées protéger de la pluie, est destiné à recevoir les vêtements reçus en offrande. Dimension(s) : l = 196,h = 290,la = 82 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000061 - statue : Vierge, dite Vierge au lys Historique : Cette statue est l'ex-voto de la paroisse, épargnée par la peste en 1835. Elle a été réalisée par le sculpteur A. Toussaint en 1840. Précision(s) sur le décor représenté : Cette Vierge jeune tient dans une main une fleur de lys et pose son autre main sur sa poitrine. Elle foule à ses pieds un serpent. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000006 - verrière hagiographique de la Vie de saint Paul 1 vue Historique : Verrière réalisée par le peintre-verrier François Fialeix entre 1848 et 1855. Description : deux barlotières par lancette Précision(s) sur le décor représenté : Huit scènes de la vie de saint Paul. Dimension(s) : h = 400,la = 150 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000062 - autel, tabernacle, retable, statue du Sacré-Coeur Historique : La statue du Sacré-Coeur est de 1935. Elle remplace un tableau de Julie Phlipot daté de 1835, date vraisemblable de la conception du retable. Il portait l'inscription suivante : "prière de l'évêque, du clergé et des paroissiens au moment de l'épidémie de choléra de 1835". Description : L'autel est en marbre veiné avec deux coeurs en bronze(décor rapporté). La statue est en marbre blanc. Le tabernacle est en calcaire, marbre et cuivre. Le retable est en marbre noir et en calcaire, il se compose d'un étage et d'une travée couronnée par un fronton triangulaire, son entablement est supporté par deux colonnes. Précision(s) sur le décor représenté : Croix rayonnante sur le fronton du tabernacle,deux coeurs, l'un transpercé, l'autre enflammé (?) sur le devant d'autel. Dimension(s) : h = 600,l = 300 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000063 - ensemble de lambris de demi-revêtement 4 vues Historique : Le lambris de demi-revêtement de la nef date probablement du 17e siècle. Il a été démonté (détruit ?) et un de ses éléments est conservé dans l'actuel dépôt départemental d'objets religieux de Torcé-Viviers en Charnie. Le lambris du déambulatoire a été réalisé entre 1841 et 1842 et est toujours en place. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000064 - stalles 11 vues Historique : Le style de ces stalles est celui du 16e siècle, mis-à-part la stalle curiale qui semble être celle conçue en 1682. Elles proviennent de l'ancien couvent de Patience et auraient été achetées au directoire par l'évêque constitutionnel D'Orlodot pour 200 livres. Rapportées à Saint-Vénérand en 1842, elles furent restaurées une première fois en 1845 par M. Raimbault. La stalle curiale restaurée en 1903, porte sur sa partie antérieure (construite à cette période ?) la date de ces travaux. Description : L'ensemble de gauche comprend 19 stalles sur deux rangées plus 1 stalle curiale (plus importante). Le côté droit comprend, toujours sur deux rangées, d'abord 6 stalles, puis 8 autres, les deux groupes étant séparés par un passage. Chaque stalle est séparée par une parclose avec un appui-main sculpté, dont le répertoire est très varié : volutes, feuilles enroulées, têtes humaines ou animales, figurines assises. Les miséricordes s'ornent de têtes d'angelots, de fruits, de feuillages ou de rinceaux. Dimension(s) : l = 1700 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000007 - verrière hagiographique de la Vie de saint Jean-Baptiste Historique : Verrière réalisée entre 1848 et 1855 par le peintre-verrier François Fialeix et offerte à l'église Saint-Vénérand par monsieur Lesegrétain. Description : deux barlotières par lancette Précision(s) sur le décor représenté : Baptême du Christ d'après Poussin. Dimension(s) : h = 200,la = 150 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000008 - verrière hagiographique de la Vie de saint Joseph 1 vue Historique : Verrière réalisée entre 1848 et 1855 par le peintre-verrier François Fialeix d'après un carton de Chatel. Elle fut offerte à l'église Saint-Vénérand par mademoiselle Chevallier. Description : deux barlotières par lancette Précision(s) sur le décor représenté : Mariage de Joseph et Marie d'après Poussin,mort de Joseph d'après Overbeck. Dimension(s) : h = 200,la = 150 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003418 - ensemble composé de huit verrières décoratives 6 vues Historique : Ensemble de huit verrières réalisées en 1848 par le peintre-verrier manceau, Antoine Lusson. Ils ont peut-être été restaurés par Auguste Alleaume en 1932. Précision(s) sur le décor représenté : Verrières ornées de motifs géométriques et de motifs végétaux stylisés. Précision(s) sur les dimensions : Dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'auteur (peinte, sur l'oeuvre, français),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre, français),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003511 - bannière de procession du cercle catholique de Laval 5 vues Historique : Cette bannière de procession a été réalisée entre 1846 et 1878 pour le cercle catholique de Laval. Description : La bannière qui adopte une forme rectangulaire est suspendue à une tringle en bois doré. La partie haute et le bas découpé en trois pointes sont dotés de cordons terminés par des glands dont les franges sont en bouillon doré. Les deux faces sont bordées d'un galon tissé de fil d'or mêlé à des motifs en fils de soie rose et verte. Trois des côtés sont dotés de franges dorées. L'avers, dont le tissu de fond est en satin de soie violette, est orné de motifs réalisés avec des pièces d'étoffe polychromes et des cordonnets en métal doré. Ces broderies sont associées à des pierres de verre rouge et vert ainsi qu'à des paillettes et des cabochons en métal doré. Le tissu de fond du revers est en toile de coton bleu. Il est peint en doré d'une inscription aux lettres gothiques. Matériau(x) et technique(s) : bois : taillé, doré, fil métal (application) : doré, tissé, soie (fil, rose, vert, application) : tissé, soie (violet) : satin, brodé, textile (décor) : polychrome, fil métal (décor) : doré, verre (application, rouge, vert) : taillé à facettes, métal (application) : doré, découpé, coton (bleu) : toile, peint Précision(s) sur le décor représenté : La partie centrale de la face est brodée d'une couronne de feuilles de laurier entourant une croix grecque sur fond de rayons lumineux. Ces motifs sont placés entre deux phylactères portant des inscriptions. Les coins supérieurs et la pointe centrale sont respectivement cousus d'armoiries papales, épiscopales et communales. Le reste du décor se compose de volutes et de fleurs à pistils très saillants. Le revers est peint d'une inscription et ses trois pointes sont ornées d'arabesques. Le galon de la périphérie est ornée de croix pattées et de fleurettes à quatre pétales. Le galon des pourtours est orné de motifs en croix. Dimension(s) : h = 154,la = 88 Précision(s) sur les dimensions : hauteur avec les franges. Inscription(s) : armoiries (brodées, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003531 - ensemble composé de deux chapes 2 vues Historique : Cette paire de chapes rouges a été confectionnée entre 1825 et 1849. Elle était réservée aux grandes fêtes et processions de Pâques, de la Pentecôte et de la Fête-Dieu. Description : Paire de chapes dont le tissu de fond des dos est en soie damassée rose et la doublure en satinette rouge. Elles s'attachent sur la poitrine par une patte d'étoffe. Les pourtours sont soulignés d'un galon tissé en fil d'or et en fil de soie jaune. Le galon qui délimite les orfrois et qui souligne la bordure des chaperons est plus large que celui des pourtours. Les chaperons sont pourvus de franges en fil de soie jaune. Les orfrois et les contours des chaperons sont brochés d'or et de soie jaune. Le motif central des chaperons est broché d'argent et de soie blanche. Matériau(x) et technique(s) : soie (rose) : damas, broché, soie (rose) : satin, soie (doublage, rouge) : satin, fil métal (application) : doré, tissé, soie (application, jaune, fil) : tissé, soie (blanc, jaune, fil), fil métal : argenté, doré Précision(s) sur le décor représenté : Le tissu de fond des dos porte un décor de médaillons réalisés avec des guirlandes de roses, de grenades - éclatées ou pas - et de fleurettes. Ces médaillons accueillent des bouquets de roses. Les orfrois et les chaperons sont brochés de rinceaux de fleurs et de feuilles très découpées. Les rinceaux des chaperons forment une couronne accueillant le triangle de la sainte Trinité sur fond de rayons lumineux. Dimension(s) : h = 147,la = 297 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |