IA53000013 - hôtel Farcy de Pontfarcy 4 vues Historique : Dernière demeure élevée en bordure de la place de Hercé, cet hôtel a été construit vers 1845 pour Frédéric Farcy de Pontfarcy. C'est ici qu'est né le navigateur Alain Gerbault en 1893. Les bâtiments et le parc ont été vendus à la "sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence" par la comtesse de Hercé en 1952. Date(s) de réalisation : 1845 Description : La travée d'axe de l'édifice est marquée par deux jambes à bossages, répétées aux angles. Les trois niveaux de hauteur décroissante sont séparés par des cordons moulurés. La façade, à cinq travées, est percée de très nombreuses fenêtres encadrées de persiennes dont le rythme répétitif engendre une certaine monotonie. Le gros-oeuvre est en moellons enduits, les jambes à bossages, les cordons de moulures et l'entourage des baies sont en pierre de taille de calcaire ou de granite au rez-de-chaussée. Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés Précision(s) sur le décor représenté : sujet : personnage profane, ornement végétal, support : grille de clôture Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000373 - chapelle funéraire des familles Bretonnière et Vilfeu 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire, probablement réalisée à la fin du 19e siècle, où reposent des membres des familles Bretonnière et Vilfeu. Description : Chapelle très ajourée et très électique, à chevet droit. Elle présente des chapiteaux proches du ionique et des colonnes cannelées. Étage(s) : en rez-de-chaussée Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000039 - kiosque à musique 10 vues Historique : Réalisé par les établissements Bâtard de Nantes sur des plans de Georget, l'architecte voyer de la ville, le kiosque à musique installé au coeur de la promenade de Changé nouvellement créée, est inauguré le 6 mai 1879. Pour son projet, l'architecte s'est inspiré du kiosque élevé par Sauvageot à Rouen trois ans auparavant. Les différentes sociétés musicales de Laval comme l'Harmonie municipale et la musique régimentaire s'y succéderont pour des concerts très appréciés de la population. L'édicule a fait l'objet de deux campagnes de restauration en 1997 et 2010-2011. Date(s) de réalisation : 1879 Description : Sur un soubassement en pierre de taille de granite, le kiosque de forme polygonale est ceint d'une balustrade en bois posée en encorbellement. La toiture est portée par de fins piliers de bois moulurés. L'ensemble est surmonté d'un lanternon d'inspiration classique à petites ouvertures cintrées. Celles-ci sont flanquées de consoles moulurées et surmontées de frontons triangulaires. Le lanternon est lui-même couvert d'un dôme polygonal nervuré et coiffé d'un pot à feu. Depuis sa restauration en 1997, l'auvent a retrouvé une partie de son décor de pots à feux et de frontons triangulaires. A l'origine, les tables situées au dessous de ces derniers comportaient les noms de grands compositeurs. Effacées, en 2011, elles ont reçu de nouveaux patronymes : Meyerbeer, Adam, Halévy, Aubert, Chérubini, Offenbach, Berlioz, Meyer, Rossini et Bizet. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000447 - hôtels, immeubles, maisons 1 vue Historique : Le chiffre de 3744 bâtis comprend uniquement les édifices antérieurs à 1940. Une demeure conserve des vestiges du 11e siècle et une autre du 12e siècle. 4% des constructions repérées ou sélectionnées datent (tout ou partie) du 15e siècle, 12% sont du 16e siècle, 14% du 17e siècle, 29% du 18e siècle, 32% du 19e siècle et 7% de la première moitié du 20e siècle. Liste des dates portées : 1503,1561,1607,1614,1615,1619,1640,1662,1674,1725,1727,1730,1733,1742,1746,1750 (2),1762,1768,1769,1777,1778,1779,1781,1782,1785,1803 (2),1808,1813,1823,1827,1830,1843,1870,1877,1882,1896. Il subsiste peu de vestiges antérieurs au XVe siècle : la période qui suit la guerre de Cent Ans favorise le renouveau du bâti dans une structure urbaine qui n'évolue guère, prisonnière de l'enceinte fortifiée et d'un parcellaire déjà défini. La disparité paraît importante entre les constructions aérées établies dans la moitié nord-ouest de la vieille cité et le parcellaire étroit et dense du quartier sud-est, le long de la Grande-Rue et des voies adjacentes. Dans la seconde moitié du XVIe siècle, l'accroissement du nombre des carrières (pour l'exploitation du marbre notamment), accélère la disparition du pan de bois au profit de la pierre. Après une longue période de stagnation au XVIIe siècle, l'activité du bâtiment reprend au début du siècle suivant. Dans un premier temps, elle se limite principalement au tissu ancien. Puis dans la seconde partie du siècle, les nouvelles constructions gagnent les terrains périphériques (place du Gast, rue du Lycée, hauteurs de Bel-Air) où le parcellaire, moins contraignant, permet de donner plus d'ampleur aux bâtiments. Le mouvement va se poursuivre au XIXe siècle et même s'accentuer avec la création des nouveaux quartiers le long de l'axe est-ouest et aux abords de la gare. Description : A Laval, quelques types spécifiques ont été mis en évidence : les maisons de tisserands, les maisons à pans de bois et les maisons à pans de bois avec galerie. Une analyse typologique des demeures a permis d'établir les statistiques suivantes. Parmi les demeures lavalloises : 22 % présentent une façade sur rue, 19 % une façade étroite sur rue, 16 % une façade large sur rue, 8 % occupent l'intégralité de la parcelle, 10 % l'angle de deux rues. En outre 6 % des édifices sont disposés en fond de parcelle, 3 % entre cour et jardin, 4 % au centre de la parcelle et 5 % sont disposés latéralement. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : bois, pan de bois, pierre, calcaire, granite, marbre, schiste, grès, moellon, pierre de taille, moellon sans chaîne en pierre de taille, pierre avec brique en remplissage, brique, brique et pierre à assises alternées, fer, torchis, ciment, essentage d'ardoise, enduit, enduit partiel, appareil mixte Statut de la propriété : propriété privée;propriété publique; Rédacteur(s) de la notice : Tétu Odile,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000458 - chapelle funéraire Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Description : Chapelle funéraire en granite. Sur une voûte en berceau brisé, la toiture présente un décor d'écailles également en granite. La porte en métal comporte des motifs floraux. A l'intérieur statue en plâtre (?) de Saint-Paul. Les verrières des quadrilobes antérieur et postérieur, bien qu'en très mauvais état, sont toujours visibles (étudiées). Les autres ont disparu. Matériau(x) de gros œuvre et mise en œuvre : granite Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : croix celtique, support : pignon de la façade antérieure,sujet : symbole alpha et oméga, croix, calice, quatrefeuille, support : tympan de la façade antérieure Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000459 - chapelle funéraire de la famille J. Hébert-Penlou 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire des familles J.Hébert-Penlou réalisée vers la fin du 19e siècle par l'entrepreneur lavallois H.Blot et le maître carrier P.Brault de Louvigné-du-Désert. Description : Chapelle funéraire en granite dont le couvrement en calcaire est surmonté d'un sarcophage. Inscription : initiales entrelacées et signatures. La fenêtre postérieure a conservé la bordure de sa verrière. Étage(s) : en rez-de-chaussée Précision(s) sur le décor représenté : sujet : symbole funéraire : sarcophage (?), support : couverture de la chapelle Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000466 - château fort dit musée du Vieux-Château et palais de justice 163 vues Historique : Vers 1020, Guy 1er le "fondateur" construit un château sur un promontoire rocheux dominant la Mayenne et destiné à contrôler un gué d'origine gallo-romaine. Ce premier château en bois qui s'étend jusqu'au pied de la cathédrale actuelle, possède une enceinte de terre. A cheval sur cette enceinte, une motte verrouille l'accès du plateau. Il est fort probable qu'une seconde motte est établie à l'intérieur de cette enceinte, près de l'emplacement de la galerie (actuel Château-Neuf). Vers la fin du 11e siècle, le logis primitif dont l'arase des murs subsiste, est agrandi vers l'est d'un édifice en pierre de plan rectangulaire qui sera aménagé en chapelle vers 1170. Au début du 13e siècle, le château se replie sur l'extrémité de l'éperon où est construit un donjon circulaire en pierre. D'après les résultats apportés par une étude dendrochronologique réalisée en 2011, son hourd est réalisé entre 1219 et 1227. A la même époque, des logis seigneuriaux sont réalisés. Ils sont très fortement remaniés au milieu du 15e siècle à l'instigation du comte Guy 14 qui en 1456 aménage la vaste salle couverte d'une voûte lambrissée (datée par travaux historiques). Au début du 16e siècle, des travées à hautes lucarnes en pierre sculptée viennent orner les façades sur cour. C'est probablement à la même époque que ces mêmes façades sont recouvertes de peintures murales (faux appareil en pierre ?, médaillon accueillant un personnage en cuirasse ?, colosse ?). Face à ce vieux château, le projet d'une vaste galerie est élaboré en 1508 (daté par travaux historiques). Elle est réalisée vers 1542 sous la direction du maître-maçon Jehan Garnyer (date et attribution par travaux historiques) pour Guy 17. En 1631, un pavillon est ajouté à l'extrémité nord. En 1747, la galerie, est restaurée et embellie par Danjou (attribution et date par travaux historiques). A la Révolution, les tribunaux s'installent au Château-Neuf, tandis que les prisons sont transférées au Vieux-Château. Entre 1829 et 1833, l'architecte départemental Maximilien Godefroy reconstruit le pavillon nord de la galerie. Entre 1839 et 1840, il dote cette dernière d'un campanile destiné à accueillir l'horloge municipale réalisée par Julien Gourdin, un horloger établi à Mayet dans la Sarthe. Cette horloge au mécanisme exceptionnel sera entièrement réparée par son auteur en 1857. C'est probablement Godefroy qui réalise également vers 1839 le mur de clôture. En 1851 (date et attribution par source), l'architecte Pierre-Aimé Renous restaure la chapelle du Vieux-Château. A partir de 1854 (date et attribution par source), il réalise le pavillon nord et l'aile en retour de la galerie. La construction de cette dernière nécessita la démolition de la tour de l'Horloge. Entre 1909 et 1910, le campanile est entièrement reconstruit dans son style d'origine. A partir de 1911, l'architecte Louis Garnier (date et attribution par source) restaure le Vieux-Château devenu propriété de la Ville en 1909. Il fait également installer à l'extrémité de l'aile sud un escalier provenant du logis abbatial de Clermont. La voûte lambrissée de la salle d'honneur est refaite en 1913 (datée par étude dendrochronologique). Le Vieux Château est devenu progressivement un musée à partir des années 1920. Description : Le gros oeuvre du Vieux-Château est en moellons. Les ouvertures sur cour sont en granite au rez-de-chaussée et en calcaire aux étages. De plan circulaire, le donjon présente un diamètre de 14 m à sa base pour une hauteur totale de 33 m. Ses quatre niveaux maçonnés sont couronnés d'un hourd combiné à une charpente de toit. Structure charpentée formant galerie, le hourd se compose principalement de deux enrayures superposées et axées sur un poinçon central. Toutes ses pièces de bois sont en chêne. Le Château-Neuf est en pierre de taille de calcaire, côté cour et en moellon enduit, côté rivière. L'ensemble des toitures est en ardoise, hormis celle du campanile de la galerie qui est en cuivre. La galerie fait 7 m de profondeur. Le décor sculpté de la Renaissance est présent sur les travées d'ouvertures du Vieux-Château et dans les pleins de travées du Château-Neuf. Au Vieux-Château : escalier hors-oeuvre (escalier de Clermont), escalier dans-oeuvre entre la cour et la rue du Val-de-Mayenne, et escalier dans-oeuvre dans le donjon. Au Château-Neuf, escalier dans-oeuvre à retours avec jour. Les vitreries losangées du Vieux-Chateau semblent avoir été réalisées par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Étage(s) : sous-sol,1 étage carré,étage de comble Décor représenté : arabesque, rinceau, candélabre, pilastre, animal fantastique, trophée, cartouche, cuir découpé, médaillon, armoiries, buste d'homme, ordre antique, guirlande, vase, ornement végétal, ange, pierre, buste humain, homme Précision(s) sur le décor représenté : armes martelées,armes illisibles,les murs de l'aile sud étaient recouverts de peintures murales semblant représenter une imitation d'appareil de pierre de taille, un médaillon renfermant un buste humain et un homme debout, penché vers l'avant et portant une poutre. Protection MH : Château Vieux (cad. CI 54) : classement par liste de 1840 ; galerie du Château Neuf (cad. CI 67) : classement par liste de 1840 ; façades, toitures, ancienne salle des pas perdus et escalier principal de l'aile sud du Château Neuf (cad CI 67) : inscription par arrêté du 7 mars 2006. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000047 - prieuré de bénédictines, puis église paroissiale Notre-Dame, actuellement basilique Notre-Dame d'Avesnières 32 vues Historique : Une église était mentionnée comme ancienne au début du 11e siècle, et avait été restaurée vers 1040 - 1050 par Yves de Saint-Berthevin. Vers 1073 elle est donnée aux bénédictines du Ronceray d'Angers qui en font le siège d'un prieuré. L'édifice est, dès lors, à la fois prioral et paroissial. Les religieuses sont à l'origine de sa reconstruction dans la seconde moitié du 12e siècle. Les premières travées de la nef, partiellement détruites par les anglais en 1429, ne sont reprises qu'en 1478. La flèche a été réalisée par le maître maçon Jamet Nepveu de 1534 à 1538. En mauvaise état, elle a été reconstruite à l'identique par l'architecte Lambert entre 1874 et 1876. Les deux premières travées de la nef ainsi que la façade sont reconstruites, de 1883 à 1887, par les architectes E. Lambert et Eugène-Joseph Hawke. Description : L'église est formée d'un choeur à déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes. Les chapelles du transept sont orientées et la nef comprend deux bas-côtés. L'édifice est voûté d'ogives sur le choeur, le transept et la nef, alors que le déambulatoire et les bas-côtés de la nef sont voûtés d'arêtes. Quant aux chapelles elles sont voûtées en cul-de-four (comme l'abside du choeur). Étage(s) : 3 vaisseaux État de conservation : restauré Précision(s) sur le décor représenté : sujet : animal fantastique, griffon, support : contrefort de la travée centrale de l'élévation antérieure Protection MH : Eglise Notre-Dame-d'Avénières (cad. BZ 3) : classement par liste de 1840. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000631 - chapelle funéraire de la famille Le Segrétain du Patis 1 vue Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Vers 1887, Frédéric Louis Le Segrétain du Patis fait construire une chapelle funéraire destinée à accueillir la dépouille mortelle de sa deuxième épouse, Zénobie Emilie Esnault, décédée le 14 janvier 1879 dans sa 48e année. Cette inhumation à certainement fait l'objet d'une exhumation préalable. Il y fait également transférer le corps de sa première femme, Adèle Girard, morte le 20 août 1861 à l'âge de 63 ans. Lui-même décède le 26 novembre 1891. La date portée 1880 ne correspond a aucun évènement identifié (édification de la chapelle et décès des membres de la famille). Description : Edicule néo-gothique en pierre de taille de granite couronné d'un toit en pierre à deux versants lui-même doté d'une croix. Il est percé d'une porte, d'un trilobe, de deux fenêtres latérales et d'un oculus. La porte ferme par un vantail en métal peint partiellement ajouré. La partie supérieure de celui-ci porte un décor en fer forgé entourant la date 1880 et les initiales FLS pour Frédéric Le Segrétain. Le trilobe du pignon ferme par un vitrail toujours en place (étudié). Les autres verrières ont disparu. L'espace intérieur accueille un autel et des plaques funéraires en marbre gravées d'épitaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : Les trois-quarts supérieurs du vantail présentent un décor de volutes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000632 - chapelle funéraire de la famille de Boisricheux Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IA53000371 Historique : Chapelle funéraire de la famille de Boisricheux construite à la fin du 19e siècle (après 1886). Description : Chapelle funéraire en pierre de taille de granite couronnée d'un toit en pierre lui-même surmonté d'une croix. Elle est percée d'une porte, de deux fenêtres latérales en arcs brisés et de deux trilobes. La porte ferme par un vantail en métal peint dont la partie haute présente un décor en fer forgé doté d'une verrière amovible (étudiée). Le linteau est gravé de l'inscription FAMILLE DE BOISRICHEUX. Le trilobe du pignon et la fenêtre latérale gauche ont conservé leurs vitraux (étudiés). La corniche est pourvue de denticules. L'espace intérieur accueille un autel en granite, une statue du Sacré-Coeur, des plaques funéraires et une croix. Ces dernières sont en marbre blanc et gravées d'épithaphes. Étage(s) : 1 vaisseau État de conservation : inégal suivant les parties Précision(s) sur le décor représenté : La partie haute du vantail présente un décor constitué de volutes. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |