IA53000394 - monument aux morts 1 vue Historique : En 1923, la Ville de Laval souhaite ériger un monument aux morts. Elle retient le projet de l'architecte Hyacinthe Perrin, qu'elle fait modifier : au lieu de l'aigle blessé représentant l'Allemagne vaincue figurera la représentation plus pacifique des armes de Laval. Date(s) de réalisation : 1923 Description : Le monument en forme d'obélisque supporte une statue de Marianne, symbole de la France, à ses pieds, un soldat blessé lui présente la Victoire, sous la forme d'une statuette féminine dorée. Les dimensions sont celles du socle (hauteur du soldat : 200) Précision(s) sur le décor représenté : sujet : personnage profane : Marianne, support : socle devant l'obélisque,sujet : soldat blessé, il tient dans une main une statuette de femme ailée qui porte une couronne végétale, support : au pied de la Marianne à gauche,sujet : armes de la ville de Laval, support : au pied de la Marianne à droite Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IM53000196 - cloche Anne-Françoise-Marie-Charlotte-Ursule Historique : Cloche réalisée par P. Tolet en 1734. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant le donateur,date,signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominque,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000233 - tabernacle à ailes de la Communion 1 vue Appartenant à : ensemble de l'autel secondaire de la Communion Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000368 Historique : Tabernacle qui porte un décor style 1er Empire. Précision(s) sur le décor représenté : Agneau sur le livre au sept sceaux. Dimension(s) : h = 82,l = 241,5,pr = 39 Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000249 - monument funéraire de Monseigneur Wicart 1 vue Historique : Monseigneur Casimir Wicart, nommé en 1855 lors de la création de l'évêché de Laval, fut le premier évêque du nouveau diocèse. Le monument funéraire fut exécuté en 1898 par le sculpteur Jules Blanchard (1832-1916) et la fonderie des frères Thiébaut à Paris. Description : socle du monument en marbre Précision(s) sur le décor représenté : L'évêque Monseigneur Wicart, est agenouillé, les mains jointes. Il se tient dans la position particulière du personnage porté vers l'avant dans un élan mystique. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000250 - monument funéraire de Monseigneur Bougaud 2 vues Historique : Monseigneur Louis Victor Emile Bougaud, évêque de Laval pendant huit mois en 1888 fut inhumé dans la cathédrale cette même année. Le monument fut érige en 1892 par le sculpteur Jules Blanchard et la fonderie des frères Thiébault à Paris. Description : La statue de bronze est posée sur un socle de calcaire. Une plaque de marbre sur le monument porte une inscription. Précision(s) sur le décor représenté : L'évêque : Mgr bougaud, est représenté allongé, les mains jointes et la tête reposant sur un coussin. Dimension(s) : h = 155,5,l = 222,la = 107,5 Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000284 - croix de procession Historique : La croix de procession (N° 26) avec ses extrémités polylobées semble dater du 16e siècle. Le noeud et le pommeau sont d'époque postérieure. C'est Pierre Triguel, curé de Vieuvy de 1602 à 1635, qui l'offrit à sa paroisse en 1625. Son auteur n'est pas identifié mais il pourrait s'agir d'un orfèvre lavallois ou éventuellement angevin. Propriété de la commune de Vieuvy, elle a fait l'objet d'un dépôt à la cathédrale de Laval et fait partie de son trésor. Description : Croix de procession à lames d'argent partiellement dorées clouées sur âme de bois. Elle porte un décor repoussé, ciselé et estampé. Le titulus, la figure en ronde-bosse du recto et celle en demi-relief du verso sont rapportés. Le noeud est sphérique. Décor représenté : ornementation (quadrilobe, rinceaux, fleurons, godrons), les Prophètes, le Tétramorphe (aigle de saint Jean, boeuf de saint Luc, lion de saint Marc, ange de saint Matthieu), Christ en croix, Vierge à l'Enfant Précision(s) sur le décor représenté : Les quadrilobes en accolades de l'extrémité des bras, le décor de rinceaux floraux des bras, le carré couvrant la croisée et les godrons du noeud sont hérités du 16e siècle. Le programme iconographique y est aussi traditionnel : sur l'avers, les trois prophètes et un ange tiennent chacun un phylactère apparement vierge de tout nom,sur le revers, le Tétramorphe dont chaque emblème est également accompagné d'un phylactère dont l'inscription latine est en partie effacée. L'originalité réside ici dans la forme carrée des plaques, habituellement circulaires, ciselées de figures relevées en bosse et occupant le centre des quadrilobes. En revanche, l'effigie de la Vierge à l'Enfant, en demi-relief, debout sur une console godronnée, constitue une nouveauté avant qu'elle ne devienne, quelques années plus tard et jusqu'au 18e siècle, le décor habituel du revers des croix de procession. Un remontage désastreux résultant probablement d'une restauration effectuée en 1625, a bouleversé l'ordonnance primitive des plaques rapportées de cette croix. C'est ainsi que du côté du crucifix, l'ange à phylactère de l'extrémité gauche devrait se trouver au revers à la place du prophète. Quant au boeuf ailé de saint Luc, il faudrait le faire virer d'un quart de tour à gauche pour qu'il retrouve une position normale. De même, le crucifix devrait être encadré des symboles des quatre évangélistes et la Vierge des quatre prophètes. Ces anomalies incitent à croire que ces statuettes sont tardives et que la croix en était dépourvue à l'origine. Enfin, le bas de la jambe est gravé d'un écusson surmontant la date de 1625. Dimension(s) : h = 72,2,la = 40,8 Précision(s) sur les dimensions : noeud : d = 11.5. Inscription(s) : armoiries (gravées, sur l'oeuvre),date (gravée, sur l'oeuvre),inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000301 - reliquaire de Saint Yomède 1 vue Historique : Ce reliquaire contient un fragment d'os crânien de saint Yomède, saint dont les reliques "inventées" en 1842, furent octroyées en 1843 par Rome à l'église de la Trinité de Laval. Si la plupart de ces ossements se trouvent dans une châsse placée sous un autel consacré au saint, un fragment de ceux-ci fait l'objet d'un authentique de 1842 constatant son inclusion dans un reliquaire argenté muni d'une lunule ovale. Il s'agit, selon toute probabilité, du reliquaire objet de la présente fiche. Mais doit-on pour autant dater de la première moitié du 19e siècle, ce reliquaire qui paraît de style plus ancien et dont le médaillon est disproportionn par rapport à la relique qu'elle abrite ? Description : Reliquaire en bronze argenté. Il repose sur un socle rectangulaire à pieds d'angle débordants. La tige est dotée d'un noeud en forme d'urne sommée d'une collerette. La monstrance accueille une lunette vitrée au centre de laquelle apparaît le médaillon contenant la relique : un fragment d'os cranien. Celle-ci est identifiée par une étiquette manuscrite. Précision(s) sur le décor représenté : Les extrémités des pieds sont amortis par des boules. La base du socle et son couronnement sont ornés d'une frise de feuilles. La tranche et le dessus de la collerette sont cannelées. La monstrance est encadrée de deux palmes croisées aboutissant à un grand chrisme axial. Dimension(s) : h = 30,la = 11.5,pr = 8 Inscription(s) : inscription (manuscrite, sur étiquette, latin) Statut de la propriété : propriété d'une association Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000338 - cloche Historique : Cloche fondue en 1456, provenant du château de Craon. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000385 - monument commémoratif : Ambroise Paré 4 vues Historique : Dès 1835, l'élite lavalloise et une poignée d'érudits expriment leur désir d'ériger un monument à la mémoire d'Ambroise Paré. Ce projet moral à leur yeux se justifait pour trois raisons : le triomphe de la science et de la médecine sur les pratiques des guérisseurs, le désir d'offrir un exemple à la jeunesse et le souci des libéraux de donner à l'opinion publique un nouveau type de héros. En 1836, Laval sollicite alors la réalisation d'un monument à Ambroise Paré, considéré comme le père de la chirurgie moderne pour avoir inventé la trépanation, la ligature des artères, la cautérisation des plaies. David d'Angers (1788-1856), sculpteur renommé, auteur de nombreux monuments de grands hommes, propose gracieusement son talent. Le socle a été réalisé sur des dessins de l'architecte Edouard Moll. La statue est financée par une souscription de toute la France et plus particulièrement des habitants du département, du roi de France Louis Philippe et des société scientifiques. Elle est inaugurée en juillet 1840 lors du dixième anniversaire du nouveau régime et de la révolution de Juillet 1830. Pour cette raison, le clergé et la noblesse ne participent pas à la cérémonie qui prit un caractère bourgeois, libéral et orléaniste. Au cours de son histoire, cette statue fut déplacée : de son emplacement initial, place de la Mairie, où elle était entourée d'une grille pour la protéger, à la promenade de Changé en 1866 puis à son emplacement actuel, place du 11 Novembre. En 1881, la plaque où étaient inscrits ces mots "Ambroise Paré, restaurateur de la chirurgie, né à Laval vers l'année 1510" est remplacée. Aujourd'hui, la phrase inscrite est : "Ambroise Paré, fondateur de la chirurgie française, né à Laval en 1517, mort à Paris en 1590". Description : La statue est en bronze, le socle en granite. Ambroise Paré, chirurgien né à Laval (1517-1590), est représenté avec les ouvrages scientifiques qu'il a publiés, les outils qu'il utilisait pour soigner et les armes qui rappellent sa présence sur les champs de bataille. Il adopte une attitude à la fois active, debout prêt à saisir ses instruments, et celle du penseur, l'air réfléchi, la main posée sur son menton barbu. Le choix de cette attitude est un compromis entre l'avis du sculpteur de le représenter assis et celui contraire de la Ville. Soucieux de réalisme et de vérité historique, David d'Angers transcrit les traits du seul portrait connu d'Ambroise Paré et l'habille du costume de l'époque. Précision(s) sur le décor représenté : personnage historique : Ambroise Paré, debout, semble méditer Dimension(s) : h = 261,la = 97,pds = 1200 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du socle = 360. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000424 - monument commémoratif : Béatrix de Gâvre Historique : Béatrix de Gâvre, décédée en 1315, épousa Guy IX de Laval en 1286. Héritière d'une puissante maison de Flandres, elle aurait amené avec elle des ouvriers flamands, qui donnèrent une impulsion nouvelle à une industrie de la toile déjà ancienne à Laval. En 1902, la Société des Arts réunis sollicite une subvention de l'Etat, afin d'offrir à la ville de Laval une statue en bronze de Béatrix de Gâvre. Fondue en 1907, la statue en bronze est l'oeuvre du sculpteur Paul-Louis-Emile Loiseau-Rousseau et des fondeurs E. Capitani, Geny et Cie, fondeurs à Bussy (Haute-Marne). La statue a été mise en place dans la cour du château à la fin de l'année 1913. En 1921, la plaque, réalisée depuis 1913, est posée sur le socle de la statue. Celle-ci est officiellement remise à la Ville par la Société des Arts réunis en juillet 1922. Description : La tête droite, Béatrix de Gâvre se dresse debout. Esquissant un léger mouvement vers l'avant, elle semble avancer d'un pas. Elle est vêtue d'un costume médiéval qu'elle retient de sa main droite. De l'autre, elle porte une navette de métier à tisser. La statue repose sur un socle de granite sur lequel est gravée une inscription. Précision(s) sur le décor représenté : Statue en pied représentant Béatrix de Gâvre,elle est représentée en costume médiéval. Dimension(s) : h = 190 Précision(s) sur les dimensions : socle : h = 185,l = 89,la = 12,plaque : h = 75, la = 50. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |