IM53000025 - statue de la Vierge à l'Enfant Appartenant à : retable architecturé à niche de la Vierge Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000024 Historique : Cette sttatue réalisée par le sculpteur l. Plouvier en 1657 (daté par travaux historiques) proviendrait du couvent des dominicains. Précision(s) sur le décor représenté : Vierge miraculeuse Dimension(s) : h = 50 Inscription(s) : signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000249 - monument funéraire de Monseigneur Wicart 1 vue Historique : Monseigneur Casimir Wicart, nommé en 1855 lors de la création de l'évêché de Laval, fut le premier évêque du nouveau diocèse. Le monument funéraire fut exécuté en 1898 par le sculpteur Jules Blanchard (1832-1916) et la fonderie des frères Thiébaut à Paris. Description : socle du monument en marbre Précision(s) sur le décor représenté : L'évêque Monseigneur Wicart, est agenouillé, les mains jointes. Il se tient dans la position particulière du personnage porté vers l'avant dans un élan mystique. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000250 - monument funéraire de Monseigneur Bougaud 2 vues Historique : Monseigneur Louis Victor Emile Bougaud, évêque de Laval pendant huit mois en 1888 fut inhumé dans la cathédrale cette même année. Le monument fut érige en 1892 par le sculpteur Jules Blanchard et la fonderie des frères Thiébault à Paris. Description : La statue de bronze est posée sur un socle de calcaire. Une plaque de marbre sur le monument porte une inscription. Précision(s) sur le décor représenté : L'évêque : Mgr bougaud, est représenté allongé, les mains jointes et la tête reposant sur un coussin. Dimension(s) : h = 155,5,l = 222,la = 107,5 Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000331 - peinture monumentale : Triomphe de saint Joseph, Sacré-Coeur, sainte Marthe, le vieillard Siméon, la prophétesse Anne, saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth Historique : Cet ensemble homogène a été réalisé par deux peintres. Maurice Chabas, peintre d'origine nantaise, réalise dans son atelier parisien en 1901 (date portée) les bustes du tambour et le triomphe de saint Joseph. Emmanuel Cavaillé-Coll exécute sur place les peintures ornementales et symboliques. Description : Nature de l'enduit indéterminée : plâtre ou chaux. Les médaillons du tambour et le triomphe de saint Joseph sont des toiles marouflées. Décor représenté : saint Joseph : debout, lys, ange : harpe, lys, phylactère, couronne, livre£croix, lys, ornement à forme végétale, colombe, calice, nuée, fleuve du Paradis, étoile£Sacré-Coeur : en buste, sainte Marthe : en buste, homme du nouveau testament(Siméon), femme du nouveau testament(Anne), saint Jean-Baptiste, sainte Marie-Madeleine, saint Zacharie, sainte Elisabeth, croix, ornement à forme végétale£tissu, guirlande, croix : ornement géométrique£étoile, croix, saint Esprit, fleur, bouquet Précision(s) sur le décor représenté : Le décor correspond à un programme unique qui s'articule de haut en bas : à la coupole, la croix timbrée du saint Esprit distribue les Grâces sous forme de fleurs et d'étoiles,au tambour, les médaillons figurés alternent avec des ornements à motifs végétaux dotés de croix,au cul de four de l'abside, sur un semis de fleurs et d'étoiles, deux colombes boivent au calice de la vie placé au pied de la croix,du calice sortent les flots du fleuve du Paradis et un lys rayonnant,au registre supérieur de l'abside, le triomphe de Joseph parmi les anges. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peint, latin),signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Davy Christian,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000357 - peinture monumentale 1 vue Historique : Cette peinture murale avait été commandée par Mgr Richaud (1938-1950), au peintre Adelyne Neveux. "Peinture pour temps de crise", elle a été réalisée dans les années 1942-1943, sous l'occupation allemande. Décor représenté : figures(ermite : debout, chapeau, canne, évêque : saint Julien du Mans, debout, mitre, crosse, chasuble, Vierge : lévitation, robe : étoile, Dieu le Père : assis, croix : colombe, Christ, ermite : agenouillé, livre, oiseau, évêque : saint Turibe, debout, mitre, chasuble, diacre : saint Berthevin : debout, dalmatique, livre, prêtre : groupe, guillotine), architecture religieuse, pont : fleuve identifié, château, fortification, fond de paysage(sécheresse, fleur) Précision(s) sur le décor représenté : Au centre la sainte Trinité : le père présente son fils en croix (croix de couleur sang à cause de Pontmain), tandis que l'Esprit plane sous les traits d'une colombe. A gauche, la Vierge de Pontmain, saint Julien (1er évêque du Maine), l'ermite saint Cénéré qui porte un chapeau de cardinal à cause de son appartenance à la communauté monastique de la basilique vaticane et les prêtres martyrs de la Révolution.A droite, l'ermite saint Fraimbault, saint Turibe (2e évêque du Maine) et le martyr saint Berthevin. En arrière-plan, des édifices religieux de la Mayenne : l'ermitage de saint Cénéré à Saulges, Notre-Dame de Charné à Ernée, la basilique de Pontmain, la cathédrale de Laval, la basilique Notre-Dame de Mayenne, la basilique Notre-Dame de l'Epine à Evron, la basilique d'Avesnières à Laval. Comme pour envelopper le tout, des arbres dénudés dans des terres craquelées à la partie supérieure et des fleurs dans la partie inférieure. Dimension(s) : h = 230,5,l = 447,5 Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000377 - tableau : le Baiser de Judas 1 vue Dimension(s) : h = 161,l = 130,5 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec cadre : h = 168.5, l = 135.5. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000385 - monument commémoratif : Ambroise Paré 4 vues Historique : Dès 1835, l'élite lavalloise et une poignée d'érudits expriment leur désir d'ériger un monument à la mémoire d'Ambroise Paré. Ce projet moral à leur yeux se justifait pour trois raisons : le triomphe de la science et de la médecine sur les pratiques des guérisseurs, le désir d'offrir un exemple à la jeunesse et le souci des libéraux de donner à l'opinion publique un nouveau type de héros. En 1836, Laval sollicite alors la réalisation d'un monument à Ambroise Paré, considéré comme le père de la chirurgie moderne pour avoir inventé la trépanation, la ligature des artères, la cautérisation des plaies. David d'Angers (1788-1856), sculpteur renommé, auteur de nombreux monuments de grands hommes, propose gracieusement son talent. Le socle a été réalisé sur des dessins de l'architecte Edouard Moll. La statue est financée par une souscription de toute la France et plus particulièrement des habitants du département, du roi de France Louis Philippe et des société scientifiques. Elle est inaugurée en juillet 1840 lors du dixième anniversaire du nouveau régime et de la révolution de Juillet 1830. Pour cette raison, le clergé et la noblesse ne participent pas à la cérémonie qui prit un caractère bourgeois, libéral et orléaniste. Au cours de son histoire, cette statue fut déplacée : de son emplacement initial, place de la Mairie, où elle était entourée d'une grille pour la protéger, à la promenade de Changé en 1866 puis à son emplacement actuel, place du 11 Novembre. En 1881, la plaque où étaient inscrits ces mots "Ambroise Paré, restaurateur de la chirurgie, né à Laval vers l'année 1510" est remplacée. Aujourd'hui, la phrase inscrite est : "Ambroise Paré, fondateur de la chirurgie française, né à Laval en 1517, mort à Paris en 1590". Description : La statue est en bronze, le socle en granite. Ambroise Paré, chirurgien né à Laval (1517-1590), est représenté avec les ouvrages scientifiques qu'il a publiés, les outils qu'il utilisait pour soigner et les armes qui rappellent sa présence sur les champs de bataille. Il adopte une attitude à la fois active, debout prêt à saisir ses instruments, et celle du penseur, l'air réfléchi, la main posée sur son menton barbu. Le choix de cette attitude est un compromis entre l'avis du sculpteur de le représenter assis et celui contraire de la Ville. Soucieux de réalisme et de vérité historique, David d'Angers transcrit les traits du seul portrait connu d'Ambroise Paré et l'habille du costume de l'époque. Précision(s) sur le décor représenté : personnage historique : Ambroise Paré, debout, semble méditer Dimension(s) : h = 261,la = 97,pds = 1200 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du socle = 360. Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1984 Copyright : (c) Inventaire général, 1984 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000491 - peinture monumentale Appartenant à : ensemble du décor de l'aumônerie militaire Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000486 Historique : Cette campagne picturale a été réalisée vers 1883 par Lieven Goethals à l'occasion de l'érection de l'ancienne prieurale en chapelle de l'aumônerie militaire sur la commande du chanoine Le Segrétain. Le décor au pochoir a peut-être été réalisé par Bouju, peintre décorateur à Laval, en 1881. Description : Peinture à l'huile sur enduit au plâtre selon S. Angelescu. Le décor du mur ouest est composé de 6 scènes réparties en 2 registres égaux. Le mur sud reçoit les figurations de saint Maurice et saint Lazare dominant la Mise au tombeau. Les motifs ornementaux des fonds de scène sont réalisés au pochoir. Le semis couvre la totalité de l'espace du tableau avant que celui-ci reçoive le décor historié. Le décor de la nef est organisé en 2 registres historiés dominant un registre de soubassement. Précision(s) sur le décor représenté : Le décor du bras sud du transept est axé sur la vie de saint François de Sales et sur l'action des salésiennes auprès des malades et des mourants. Il est complété d'une Mise au tombeau où le linceul du Christ est tenu, semble-t-il, par saint François de Sales et un saint non identifié, ainsi que des figurations de saint Lazare et de saint Maurice. Les scènes de la vie de saint François de Sales se déroulent sur un fond semé d'abeilles alternant avec des croix inscrites dans des losanges quadrilobés. Des rinceaux parfois accompagnés de phylactères ornent l'encadrement horizontal des registres,Dieu le Père accompagné de saint François et de saint Dominique est peint dans l'embrasure de la fenêtre du mur nord du bras nord du transept,au registre supérieur du mur nord de la nef, l'histoire de la légion thébaine se déroule en 4 scènes,le registre inférieur est organisé en une suite ininterrompue de niches architecturées,seules les niches du mur est et celles de la moitié est du mur nord sont occupées par les personnages de l'Ancien Testament,l'encadrement du décor historié de la nef est essentiellement constitué de motifs géométriques. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peint, latin),signature Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001344 - tableau : le Droit moderne Historique : En 1879, la Ville de Laval passait une commande officielle au peintre d'origine lavalloise Charles Landelle (1821-1908). Le "droit moderne" est une reprise d'un autre de ses tableaux, "la loi, la justice et le droit"qu'il avait réalisé pour le Palais d'Orsay en 1850 et qui avait disparu lors des troubles de 1871. Arrivé à Laval en 1885, le tableau fut exposé dans l'escalier d'honneur de l'Hôtel de Ville. Il est aujourd'hui présenté dans la salle du Conseil Général. Décor représenté : scène(allégorie(magistrat, homme : symbole, femme : trône, couronne, table : pierre, femme : sceptre, balance, jeune fille : épée, femme : chaîne, enfant : phylactère)), décor d'architecture Précision(s) sur le décor représenté : Dans une architecture d'arc triomphal conçue par Chaperon, décorateur à l'opéra, les personnages sont disposés suivant une composition pyramidale. A gauche, l'allégorie du droit accompagne un jeune homme personnifiant les droits de l'homme de 1789. Leur faisant pendant, la justice porte les attributs traditionnels (main de justice et balance), tandis qu'à ses pieds une jeune fille tient le glaive et que deux enfants lisent une maxime. Figure centrale du tableau, trônant sur un piédestal au sommet de l'escalier, la loi s'appuie sur une table de pierre dans une pose théâtrale. Brisant les chaînes, la liberté s'envole au-dessus de la scène. Dimension(s) : h = 4,91,la = 3,53 Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peinte),signature(peinte),date(peinte) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001345 - peinture monumentale 6 vues Édifice de conservation : maison Historique : Petite pièce d'une maison, transformée en oratoire et peinte par A. Gazel en 1874. Décor représenté : oiseau : rameau d'olivier, scène(bateau à voile : marin, mer, étoile : rayon), ancre, vase, chapelet : fleur, croix : source, Sacré-Coeur : flamme, épée, rayon, fleur, décor d'architecture, ornement à forme végétale Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peinte),signature(peinte),date(peinte) Précision(s) sur inscription(s) : Inscriptions : mater divinaegratiae, palma patientiae, consolatrix afflictorvm, lilivm inter spinas, salve radix, ave Maria, vas spiritvale, terror demonis, Stella maris, Rosa mystica, dvlcis spes reorvm, virgo fidelis o.p.n., am, signature : A. Gazel pinxit, date : 1874. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1994 Copyright : (c) Inventaire général, 1994 Fonds / classement : Objets mobiliers |