IM53000288 - peinture monumentale : Christ en majesté, Calendrier des mois 7 vues Historique : Les travaux de 1983, engagés pour la remise en état du bâtiment, permirent la redécouverte de ces peintures exécutées vers les années 1200. Description : La peinture a été commencée à fresque et terminée sur enduit sec. Le tracé de la mandorle a été réalisé au compas. A la voûte de la travée droite, le calendrier est peint en deux registres de part et d'autre de l'axe faîtier. Le sens de lecture s'effectue toujours vers le Christ. Décor représenté : Christ glorieux, boeuf de saint Luc, aigle de saint Jean, lion de saint Marc, homme de saint Matthieu, les douze mois(février : femme : assis, feu, mars : homme : taillé, vigne, avril : homme, préhension, branche : feuille, mai : homme, cheval, juin : homme : faux, juillet : homme, moisson, août : homme, battage, octobre : semailles, novembre : homme, porc, gland), ornement à forme géométrique Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ en gloire accompagné des symboles des Evangélistes occupe le cul de four,un ruban plié marque la séparation entre la voûte et le sommet du mur. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peint, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1981 Copyright : (c) Inventaire général, 1981 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000357 - peinture monumentale 1 vue Historique : Cette peinture murale avait été commandée par Mgr Richaud (1938-1950), au peintre Adelyne Neveux. "Peinture pour temps de crise", elle a été réalisée dans les années 1942-1943, sous l'occupation allemande. Décor représenté : figures(ermite : debout, chapeau, canne, évêque : saint Julien du Mans, debout, mitre, crosse, chasuble, Vierge : lévitation, robe : étoile, Dieu le Père : assis, croix : colombe, Christ, ermite : agenouillé, livre, oiseau, évêque : saint Turibe, debout, mitre, chasuble, diacre : saint Berthevin : debout, dalmatique, livre, prêtre : groupe, guillotine), architecture religieuse, pont : fleuve identifié, château, fortification, fond de paysage(sécheresse, fleur) Précision(s) sur le décor représenté : Au centre la sainte Trinité : le père présente son fils en croix (croix de couleur sang à cause de Pontmain), tandis que l'Esprit plane sous les traits d'une colombe. A gauche, la Vierge de Pontmain, saint Julien (1er évêque du Maine), l'ermite saint Cénéré qui porte un chapeau de cardinal à cause de son appartenance à la communauté monastique de la basilique vaticane et les prêtres martyrs de la Révolution.A droite, l'ermite saint Fraimbault, saint Turibe (2e évêque du Maine) et le martyr saint Berthevin. En arrière-plan, des édifices religieux de la Mayenne : l'ermitage de saint Cénéré à Saulges, Notre-Dame de Charné à Ernée, la basilique de Pontmain, la cathédrale de Laval, la basilique Notre-Dame de Mayenne, la basilique Notre-Dame de l'Epine à Evron, la basilique d'Avesnières à Laval. Comme pour envelopper le tout, des arbres dénudés dans des terres craquelées à la partie supérieure et des fleurs dans la partie inférieure. Dimension(s) : h = 230,5,l = 447,5 Inscription(s) : inscription,signature Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000487 - peinture monumentale Appartenant à : ensemble du décor de l'aumônerie militaire Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000486 Historique : Ces peintures monumentales ont été réalisées au cours du 12e siècle, l'intervention maladroite et outrancière du peintre Lieven Goethals vers 1883, empêche de connaître les vestiges vus au moment de la découverte vers 1879. Le chanoine Le Segrétain a renommé les hommes de l'Ancien Testament en fonction de leur action en faveur de l'instauration et de la réforme du culte. Description : Les peintures de la nef se distribuaient en 2 registres. L'organisation originelle des peintures de la croisée n'est pas connue. Les peintures de la nef semblent avoir été réalisées sur un enduit à la chaux. La réalisation de ces dernières a vraisemblablement débuté sur enduit frais et terminé à sec. Il existe quelques retouches vraisemblablement à l'huile. Les reprises ont été effectuées sur un enduit au plâtre et réalisées à l'huile selon S. Angelescu. Les peintures originelles de la croisée ont été entièrement reprises à l'huile, leur disposition et leur iconographie ont sans doute été partiellement modifiées. Décor représenté : hommes de l'Ancien Testament(David, Salomon, Josaphat, Ezéchias, Josias : auréole, couronne(?), debout, préhension : tige), ornement à forme architecturale, scène : martyre(roi : assis, ordre, groupe : bourreau, arc, flèche, sainte Ursule(?), saint Sébastien(?)), scène : martyre(saint Sébastien(?) : flèche, strangulation, groupe : bourreau), ornement à forme géométrique, calendrier des mois, les Vertus : couronne, lance, bouclier, croix Précision(s) sur le décor représenté : Chacun des hommes de l'Ancien Testament est installé dans une niche architecturée,la restauration a dénaturé l'iconographie des scènes de martyres,l'authenticité des Vertus et du calendrier des mois est sujette à caution à cause de la disposition et des erreurs iconographiques(cf annexe...) Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peint, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000490 - peinture monumentale Appartenant à : ensemble du décor de l'aumônerie militaire Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000486 Historique : Cette peinture monumentale, réalisée au début du 17e siècle, a été très peu touchée par les reprises de Lieven Goethals à la fin du 19e siècle. Description : la voûte de la travée droite est divisée en 8 compartiments proches du carré Décor représenté : Trinité(Christ : debout, préhension : croix, Dieu le Père : assis, tiare, globe, colombe : symbole : saint Esprit), les Evangélistes, aigle de saint Jean, boeuf de saint Luc, lion de saint Marc, Homme de saint Matthieu, cycle thématique(saint Martin de Tours), baptême de saint Martin, prise de l'habit par saint Martin en présence du pape Hilaire, intronisation de saint Martin comme évêque, miracle des langues de feu sur l'empereur Valentin, tentation de saint Martin, miracle du pin abattu, baiser au lépreux, messe de saint Martin Précision(s) sur le décor représenté : le lion de saint Marc est très difficilement visible Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000498 - peinture monumentale Appartenant à : ensemble des décors peints Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000492 Historique : Le décor regroupe des peintures situées dans la chapelle nord, sur le mur est du choeur et sur le mur eord de la nef. Il a été réalisé par un seul atelier dans la 2e moitié du 14e siècle, après l'effondrement de la partie est du choeur et la construction d'un nouveau mur au niveau de l'arc doubleau. Il n'est pas impossible que la 1ère image de saint Christophe peinte au bas de la nef soit du même atelier. Description : Décor vraisemblablement commencé à fresque et réalisé dans sa plus grande partie à sec. Les peintures se distribuent irrégulièrement sur le mur nord. Le cycle de la Nativité se déroule dans un cadre unique sans séparations intérieures. Les donateurs de ce cycle sont peints dans un autre cadre sous le précédent. Décor représenté : scène(homme : agenouillé : prière, femme : agenouillé : prière, homme : auréole : christ(?)), scène(homme : agenouillé : prière, femme : agenouillé : prière, Vierge(?) : assis, trône, ange : phylactère), cycle(scène : Vierge, Annonce aux Bergers, Nativité : Joseph), groupe : en donateur : prière Précision(s) sur le décor représenté : Dans la chapelle nord, la scène est trop usée pour y reconnaître avec certitude le Christ,au mur est du choeur, le retable cache le personnage, une Vierge(?), assis sur le trône. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription(peint, partiellement illisible, illisible) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000500 - peinture monumentale Appartenant à : ensemble des décors peints Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000492 Historique : Du cycle de sainte Catherine d'Alexandrie, peint vers 1200, il subsiste 4 scènes plus ou moins détériorées. Description : Le cycle de sainte Catherine se repartit sur 2 registres dominant un registre de soubassement. La lecture s'effectue d'est en ouest au registre inférieur pour revenir d'ouest en est au registre supérieur. Les séparations verticales ne sont pas alignées. Décor représenté : scène(martyre : roue, groupe : homme, homme : couronne, bouclier, lance), scène(martyre : sainte Catherine d'Alexandrie : agenouillé, homme : bourreau, debout, épée, décollation, homme : assis, couronne, ordre, main : bénédiction), scène(sainte Catherine d'Alexandrie : en buste, groupe : homme), scène(ange, tête), ornement à forme géométrique Précision(s) sur le décor représenté : Sujet : sainte Catherine et le supplice des roues,la décollation de sainte Catherine : Maxence le bras droit levé et l'index tendu ordonne le supplice de la sainte, dont le bourreau est en train de trancher le cou, au-dessus une grande main bénissante sort d'une nuée,sainte Catherine, dont il ne subsiste qu'un buste, rend le courage aux futurs martyrs,scène non identifiée avec un ange et un haut de visage nimbe. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie(peint, latin) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Christian Davy,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001395 - plafond : scènes mythologiques 47 vues Appartenant à : ensemble des décors peints Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53001394 Historique : Le plafond a vraisemblablement été peint entre 1625 et 1642 (date d'achat de la maison par René Guillot et Simone Marest, et date de la transaction signalant que Simone Marest est quitte "des augmentations et améliorations" faites dans la maison). Description : La couche colorée est à l'huile et est posée sur un apprêt indéterminé qui peut lui-même être appliqué sur un badigeon ou un enduit peu épais. Le plafond est constitué de deux poutres principales, parallèles à la rue, et de trois séries de solives, en partant de la rue vers la cour : leur nombre est de 16, de 13 et de 12. Le sens de lecture des solives est variable (voir croquis en annexe). Décor représenté : femme : assis, préhension : corne d'abondance, licorne : ?, dauphin, Mars : ?, femme : ?, assis, oiseau, vase : fleur, tulipe, paysage, à cuir, angelot : assis, panier, à feuillage, à fruit, à arabesque Précision(s) sur le décor représenté : La poutre du côté rue est ornée de plusieurs médaillons octogonaux ou ovales inscrits dans des cuirs, parfois doubles alternant avec des vases fleuris, des personnages et angelots assis, des fruits, feuillages et paniers peut-être fleuris. Des paysages ornent certains médaillons. La poutre du côté de la cour présente plusieurs médaillons où sont figurés une femmee tenant une corne d'abondance et accompagnée d'une licorne (?) et d'un dauphin,peut-être du dieu Mars,une femme assise devant une montagne et un autre personnage non identifié. Entre les médaillons, sont peints des oiseaux, des fleurs et des vases fleuris, dont l'un est accosté d'hommes assis. Les solives sont ornées de médaillons ovales inscrits dans des arabesques encadré de deux fleurs. Chaque extrémité de solives reçoit un demi-médaillon. Dimension(s) : l = 640,la = 535 Précision(s) sur les dimensions : Il s'agit des dimensions de la pièce. La largeur de la poutre côté rue est de 42 cm et celle de l'autre de 38 cm. La largeur des solives varie entre 14 et 17 cm,la hauteur entre 10 et 12,5 cm, leur espacement entre 25,5 à 34 cm. Protection MH : Maison Renaissance dite du Grand-Veneur : classement par arrêté du 23 mars 1883. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Davy Christian,Just Carole Date(s) de l'enquête : 2001 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003279 - tenture d'église de La Sainte Famille 4 vues Historique : Tenture d'église datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle et dont l'iconographie met le travail à l'honneur. Description : Tenture d'église à double face dont le fond est en soie moirée blanche. La traverse et les embouts sont en bois, doré pour ces derniers. Les visages, les mains et les pieds des figures sont peints sur toile. Le reste du décor est principalement constitué de broderie d'application c'est-à-dire de morceaux d'étoffe fixés sur le fond et parfois sertis. Quelques éléments sont brodés de fils de soie polychrome selon la technique du passé. La tenture est pourvue de cordons latéraux terminés par des glands à franges de bouillon doré. Elle est rangée dans un coffre en bois pourvu d'un cylindre autour duquel elle est enroulée. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : moiré, brodé, textile (application) : polychrome, soie : fil, polychrome, toile (support) : peinture à l'huile, verre : coloré, taillé à facettes, fil métal : doré, bois : doré, taillé Précision(s) sur le décor représenté : La face est ornée d'une représentation de la Sainte Famille montrant Jésus, assis, jouant d'un instrument à cordes, la Vierge, assise, cousant un vêtement, et saint Joseph, debout, derrière un établi avec une scie dans les mains. Cette scène s'inscrit dans un médaillon dont le haut et le bas sont ornés de deux quadrilobes accueillant des écussons armoriés. De ce médaillon s'échappent des tiges florales et feuillues. Les deux pans inférieurs sont également brodés de deux quadrilobes renfermant des écussons armoriés. Dimension(s) : la = 145,h = 340 Inscription(s) : inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),armoiries (sur parties rapportées) Précision(s) sur inscription(s) : Inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le phylactère présent sur la face : INSPICE ET FAC, inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le revers : LABOR HONOR ET VIRTUS, armoiries au dessus de la Sainte Famille : de gueules à la ruche bordonnante d'or, armoiries au dessous de la Sainte Famille : de gueules au Pélican mystique d'or, armoiries de la Ville de Laval sur la pan inférieur gauche : de gueules au léopard d'or, armoiries de l'ordre des franciscains sur le pan inférieur droit : d'azur à la croix d'or, encadrée par deux bras aux mains présentant les stigmates, l'un nu, du Christ, l'autre vêtu de tanné, de saint François. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003509 - chape 6 vues Historique : Cette chape date vraisemblablement de la seconde moitié du 19e siècle. Description : Chape dont le tissu de fond est en soie damassée blanche et la doublure en toile de coton rouge. Le pourtour est souligné d'un large galon tissé de fils de soie jaune et rouge mêlés à du fil d'or. Le galon du chaperon est pourvu de franges en fils d'or. La chape s'attache sur la poitrine par un fermail ou formal constitué de deux quadrilobes reliés par une chaînette. Le chaperon et les deux orfrois sont brodés d'or et de soie polychrome. Quelques paillettes dorées se mêlent aux broderies. Les auréoles des personnages et quelques éléments du décor sont brodés au point de couchure plat. Tous les dessins sont soulignés de fil rouge ou de fil d'or. L'ensemble du décor paraît être de la broderie mécanique. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : damas, brodé, coton (doublage, rouge) : toile, soie (application, jaune, rouge, fil) : tissé, fil métal (application) : doré, tissé, métal : doré, fondu, moulé, fil métal (décor) : doré, soie (décor, fil) : polychrome, métal (décor) : doré, découpé Précision(s) sur le décor représenté : Le tissu de fond de la chape porte un décor constitué de motifs en forme de larmes accueillant des croix. Les orfrois sont ornés des figures en pied de la Vierge et de saint-Joseph avec son attribut : un bâton fleuri. Il sont tous les deux placés dans des niches entourées d'arabesques feuillues. Celles-ci se retrouvent sur le chaperon dont la partie centrale est brodée d'un quadrilobe enfermant le Christ au Sacré-Coeur. Dimension(s) : h = 155,la = 298 Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003565 - voile huméral (n° 2) 4 vues Historique : Ce voile huméral de l'entre-deux-guerres porte l'étiquette de Joseph Vanpoulle, grand producteur d'ornements liturgiques à Cambrai. Description : Voile huméral dont le tissu de fond est en gros de Tours blanc et la doublure en coton rouge. Il est bordé d'un galon système doré et les extémités latérales sont dotées de franges de bouillon doré. Il s'attache sur la poitrine par un fermail ou formal composé de deux médaillons en métal doré dont l'un comporte une chaînette et l'autre un crochet. La face est ornée de trois motifs combinant appliques de soie et broderies en fils d'or et de soie. Il est difficile de voir si ce travail est fait main ou machine. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : gros de Tours, soie (doublage, rouge), fil métal (application) : doré, tissé, métal : doré, fondu, moulé, soie (décor) : polychrome, soie (décor, fil) : polychrome, fil métal (décor) : doré Précision(s) sur le décor représenté : La partie centrale du voile huméral est brodée d'un médaillon accueillant un quadrilobe renfermant le Christ nimbé célébrant l'Eucharistie (il tient l'hostie et le calice). Les extrémités sont ornées de deux médaillons pourvus de trois lobes. Ils renferment chacun un ange tenant un phylactère sur lequel apparaît une inscription. Dimension(s) : l = 269,la = 56 Précision(s) sur les dimensions : longueur avec les franges. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (brodé, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant l'auteur (sur étiquette),inscription concernant le lieu d'exécution (sur étiquette) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Inventaire général, 2008(c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003662 - croix de procession Historique : Croix de procession datant vraisemblablement de la fin du 19e siècle. Description : Croix de procession en laiton argenté sur âme métallique. La hampe en bronze doré à bagues et collerettes s'achève par un culot au décor moulé. Le montant et les bras de la croix sont amortis. Le Christ rapporté est fixé à la croix par quatre clous. Précision(s) sur le décor représenté : Le montant et les bras de la croix sont ornés de médaillons sphériques. Les extrémités des bras sont amorties par des quadrilobes. Le culot est orné de quatre anges tenant chacun un calice, une croix, une palme et une couronne. La hampe est décorée d'un motif en treillis. Dimension(s) : l = 178 Précision(s) sur les dimensions : longueur de la hampe. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003502 - peinture monumentale : La Cigale et La Fourmi 4 vues Historique : Si les travaux préparatoires à l'élaboration de la peinture (esquisse et études) datent de 1895, ce n'est qu'en 1930 que Ludovic Alleaume réalise la peinture. Description : La peinture, de format ovale et marouflée, orne le trumeau de la cheminée de l'ancienne salle des Directeurs. Elle est entourée d'un cadre de stuc qui, comme la cheminée et le trumeau, est richement orné. Précision(s) sur le décor représenté : Scène allégorique autour de l'épargne inspirée de la fable moraliste de Jean de la Fontaine, La Cigale et La Fourmi : alors qu'elle vient lui demander secours et assistance pour l'hiver, la cigale, symbolisant l'imprévoyance, se voit éconduite par la fourmi associée au travail et à l'économie. Le cadre à filet perlé est bordé dans sa moitié supérieure d'une guirlande de feuilles de laurier agrémentée de deux rubans plissés. L'ensemble est coiffé d'un motif en coquille. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003685 - cinq verrières figurées de l'Immaculée Conception, des litanies mariales et de la Vie de la Vierge (baies 200, 201, 202, 203 et 204) 9 vues Historique : Ensemble de cinq verrières réalisées en 1901 par Auguste Alleaume. Les cartons sont également du peintre-verrier lavallois excepté celui du médaillon de la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception qui a été dessiné par l'Angevin Victor Livache ou par son fils René. D'après le registre comptable d'Alleaume, ces vitraux ont été exécutés pour la somme de 4 826,15 francs. Deux de ces verrières ont été créées grâce aux dons de la famille de Virville dont les armoiries combinaient celles de Monseigneur des Azars et du cardinal Davy du Perron. En 1944, lors du bombardement du viaduc par les alliés, les verrières sont endommagées et déposées. En 1955, elles sont remplacées par des vitraux de l'angevin Maurice Bordereau. Leur réalisation d'un coût de 106 700 francs est financée par souscription. Ceux des baies 200, 201 et 202 ont réintégré les écus armoriés qui figuraient sur les oeuvres d'origine. Décor représenté : Immaculée Conception, ange (portant : couronne), Christ bénissant (assis, livre), Tétramorphe, Vierge (lys, épine, porte, jardin), Vie de la Vierge (Nativité de la Vierge, Présentation de la Vierge au Temple, Education de la Vierge, Visitation), Enfance du Christ (Nativité), écu, phylactères (litanies mariales) Précision(s) sur le décor représenté : La verrière de la baie d'axe était dédiée à la proclamation du dogme de l'Immaculée Conception. La mandorle centrale renfermait la Vierge immaculée écrasant de son pied le serpent du péché originel. Au dessus de sa tête, deux anges tenaient une couronne. Le compartiement supérieur renfermait un Christ bénissant et présentant le livre de la Loi. Sa bordure reçevait les symboles des quatre évangélistes. Le bas du vitrail était illustré de symboles virginaux, lys, épines, porte d'or et jardin fermé, ainsi que d'une scène montrant le pape Pie IX décrétant le dogme de l'Immaculée Conception. Le vitrail de la baie 201 figurait la naissance, la présentation au temple, l'éducation et le mariage de la Vierge. Celui de la fenêtre 202 évoquait l'Annonciation, la Visitation, la naissance et l'éducation de Jésus de Nazareth. Enfin, le bas des trois vitraux était orné d'écus armoriaux. Les verrières des baies 203 et 204 étaient consacrées aux litanies de la Vierge : Sancta Dei Genitrix, Virgo proteus et Virgo clemens (baie 203), Consolatrix afflictonim, Auxilium Christianorum et Regina sine labe originali concepta (baie 204). Chaque titre était inscrit sur une banderole. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : armoiries Précision(s) sur inscription(s) : Armoiries de l'abbaye de Pontigny dont le père Hamelin avait été membre : d'azur au pont d'argent de trois arches sommé d'un arbre de sinople lui-même sommé d'un nid d'argent rempli d'or et accosté de deux fleurs de lys d'or, armoiries de Saint-Michel, communauté à laquelle le père Hamelin avait appartenu : de sable à dix coquilles d'argent 4, 3, 2 et 1, au chef cousu d'azur, à trois fleurs de lys d'or, armoiries du collège : de gueules chargé du monogramme de la Vierge au chef d'or chargé d'une étoile, l'ensemble de ces armoiries forment le blason de l'Institution de l'Immaculée Conception (vitrail de l'actuelle baie d'axe), armoiries de Hugues des Azars, évêque de Toul de 1506 à 1517 (sur le vitrail de la baie 201) : d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre dés de même montrant l'as de sable, la devise de l'évêque est inscrite sur la maquette : MODERATA DURANT, il s'agit d'une citation de Sénèque signifiant : Ce qui est mesuré dure, armoiries de Jacques Davy du Perron (1556-1618), évêque d'Evreux, archevêque de Sens, puis Cardinal de Sainte-Agnes-hors-les-Murs (sur le vitrail de la baie 202) : d'azur au chevron d'or accompagnés de trois harpes du même, 2 en chef affrontées et 1 en pointe, sur la maquette, les armoiries sont timbrées du chapeau rouge des cardinaux de chaque côté duquel pend un cordon à dix houppes (cordons des archevêques), elles sont accompagnées de la devise : GAUDET ORBIS HAC HARMONIA (Dieu se réjouit de cette harmonie de la terre). Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003708 - sept verrières figurées : Pietà, Mort de Saint Joseph, Sainte Thérèse et l'Enfant Jésus, Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus dans le ciel, Trinité, Vierge du Rosaire et Saint Dominique et Vierge à la médaille miraculeuse (baies 0, 1, 2, 3, 4, 5 et 6) 1 vue Historique : Ensemble de sept verrières dessinées et réalisées entre 1920 et 1928 par Auguste Alleaume. Les sommes suivantes apparaissent dans le livre de caisse du peintre-verrier : 1 100 francs en 1920 et 3 000 francs en 1928. Les vitraux ont été soufflés lors du bombardement du pont d'Avesnières le 6 août 1944. Description : Ces verrières occupaient les fenêtres en plein-cintre des chapelles du choeur. Seules trois d'entre elles, celles représentant sainte Thérèse et l'Enfant Jésus, la Trinité et sainte Thérèse de l'Enfant Jésus au ciel, sont documentées par des maquettes. Les autres sont seulement mentionnées dans le registre de production du peintre-verrier. Décor représenté : sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (agenouillée, Jésus : enfant), Trinité (Christ : assis, nuée, Dieu le Père : vieux, assis, globe, nuée, Saint-Esprit : colombe), sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (agenouillée : croix, roses, anges) Précision(s) sur le décor représenté : Sur l'un des deux vitraux qui lui étaient dédiée, sainte Thérèse, en robe de carmélite, est représentée agenouillée devant l'Enfant Jésus qui lui caresse le visage. Tous les deux sont placés dans une mandorle entourée de chrysanthèmes et de lys de jardin. Sur le deuxième vitrail, la sainte qui tient un crucifix, est figurée au ciel faisant tomber une pluie de roses sur la terre. Elle est accompagnée de deux anges dont l'un est en prière. Là aussi, les personnages occupent une mandorle. La troisième verrière est consacrée à la Trinité et montre le Père, un globe dans la main gauche, et le Fils, assis sur une nuée, avec la colombe du Saint-Esprit au-dessus d'eux. Pour ce vitrail la mention "genre XII" apparaît dans le registre de production d'Alleaume. La verrière de la Vierge à la médaille miraculeuse était consacrée à l'apparition de la Vierge Marie à Catherine Labouré en 1830. Dimension(s) : h = 56,la = 36 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du vitrail de la Vierge de Pitié (d'après le registre de production),dimensions du vitrail de la Mort de saint Joseph (d'après le registre de production) : h = 105, la = 36,dimensions du vitrail de sainte Thérèse et l'Enfant Jésus (d'après le registre de production) : h = 75, la = 42,dimensions du vitrail de sainte Thérèse et l'Enfant Jésus dans le ciel (d'après le registre de production) : h = 75, la = 42,dimensions du vitrail de la Trinité (d'après le registre de production) : h = 98, la = 48,dimensions du vitrail de de la Vierge du rosaire et saint dominique (d'après le registre de production) : h = 97, la = 38,dimensions du vitrail de la Vierge à la médaille miraculeuse (d'après le registre de production) : idem. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003208 - cinq verrières à personnages : Christ enseignant, Saint Marc, Saint Luc, Saint Matthieu et Saint Jean (baies 0, 1, 2, 3 et 4) 24 vues Historique : Verrières réalisées en 1894 par Auguste Alleaume sur des cartons de son frère Ludovic rémunéré 450 francs pour ce travail. Le peintre-verrier a également exécuté les vingt-trois vitraux de la nef et des collatéraux que son neveu, Francis Bellanger, a restauré après 1940. Pour la réalisation de ces verrières, Auguste Alleaume a reçu les sommes suivantes : 4 000 francs en 1894 et 250 francs en 1895. Les vitraux ont disparu lors de la démolition du grand séminaire en 1976 (détruits ou déposés ?). Description : Verrières en plein-cintre et à deux barlotières qui ornaient les baies de l'abside. Décor représenté : ornementation (feuilles, coquilles, cuir à enroulements), figure biblique (Christ : assis), I.H.S., Evangéliste (saint Marc : debout, livre, plume, symbole : Lion), Evangéliste (saint Luc : debout, livre, crayon, symbole : Boeuf), Evangéliste (saint Matthieu : debout, parchemin, symbole : Ange, plume), Evangéliste (saint Jean : debout, livre, plume, symbole : Aigle) Précision(s) sur le décor représenté : La baie axiale de la chapelle accueillait la verrière du Christ enseignant accompagné de l'I.H.S.. Les quatre autres fenêtres étaient occupées par des verrières représentant les quatre évangélistes et leurs symboles : le Lion pour saint Marc, le Boeuf pour saint Luc, l'Ange pour saint Matthieu et l'Aigle pour saint Jean. Saint Marc était figuré avec un crayon-plume et un livre ouvert, saint Luc avec un livre fermé, saint Matthieu avec un parchemin et saint Jean avec une plume et un livre. Les bordures de style Renaissance était constituées d'une superposition de demi-feuilles affrontées, de coquilles stylisées et de cartouches à cuirs découpés. Dimension(s) : h = 175 Précision(s) sur les dimensions : hauteur du Christ enseignant (mentionnée dans le répertoire des oeuvres),dimension de la bordure de la verrière du Christ enseignant (d'après le répertoire des oeuvres) : la = 24 . Inscription(s) : date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Inventaire général, 1976 (c) Ville de Laval, 1976 Fonds / classement : Objets mobiliers |