IA53000064 - collège Saint-Etienne, dit Collège de Laval 1 vue Historique : Le chapitre de Sainte-Marie (Saint-Tugal au 15e siècle) avait obtenu dès la fin du 12e siècle le privilège du gouvernement des écoles à Laval. Située sur la place du château, la grande école comptait plus de 300 élèves au début du 16e siècle. Cependant en 1582, les habitants de la ville se portèrent acquéreurs de deux maisons adjacentes dans la rue Renaise, dans l'intention d'y transférer l'école de la place du château. Les chanoines firent construire, autour de ces 2 maisons, de nouveaux bâtiments et notamment une chapelle, réalisée de 1585 à 1587. En 1793, le collège était transféré dans l'ancien couvent des Ursulines (aujourd'hui lycée Ambroise Paré). Le bâtiment sur rue a été reconstruit dans la première moitié du 19e siècle. Du collège primitif il ne subsiste actuellement que la chapelle. Date(s) de réalisation : 1585 Description : Le pignon de la chapelle présente, au-dessous d'une niche abritant la Vierge, une ouverture (bouchée) en plein-cintre et en calcaire. Elle surmonte une autre ouverture plus petite, à linteau droit, avec meneau de pierre et chanfrein. Le gros-oeuvre du bâtiment sur rue est en moellons enduits, l'entourage des baies, les bandeaux et la corniche sont en pierre de taille de calcaire. Les garde-corps en métal portent un décor de flèches. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : sous-sol,2 étages carrés,étage de comble État de conservation : vestiges Précision(s) sur le décor représenté : La baie du pignon de la chapelle était fermée d'une verrière à bornes aujourd'hui disparue. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1976 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Architecture |
IA53000427 - filature de Bootz, puis filatures de Laval, puis filatures Les Textiles de Laval et du Vermandois, puis entrepôt industriel 4 vues Historique : La première usine est fondée en 1826 par les frères lavallois Le Segrétain. Elle abrite alors 18 machines à filer et 9 machines à retordre toutes actionnées par la roue du moulin du Petit-Bootz. En 1861, l'Alsacien Charles Leyherr s'en rend acquéreur et fait construire à la Beuverie un nouveau bâtiment dans lequel sont installées 2 machines à vapeur et du matériel moderne. En 1888, la filature est constituée en S.A. par actions et prend le nom de Filatures de Laval. En 1895, elle est détruite par un incendie et reconstruite l'année suivante sur des plans de type anglais. En 1903, après son agrandissement par René Diehl, directeur technique, elle produit jusqu'à 300 000 kms de fil de coton par jour. En 1914, l'usine compte 350 ouvriers et 40 000 broches. En 1952, le fils de René Diehl, Edouard, prend la direction de la filature. L'usine d'une superficie de 14 000 m2 dénombre alors 300 ouvriers et 65 000 broches. Après le remplacement de l'énergie thermique par l'électricité, un nouveau bâtiment est édifié. En 1966, les Filatures de Laval fusionnent avec les Textiles du Vermandois dirigés par le groupe familial lillois Coisne et Lambert. En 1979, la production cesse et l'un des bâtiments est transformé en entrepôt industriel. La filature est entièrement rasée en 1989. En application d'idées paternalistes, les employés de l'usine disposaient de 140 logements, d'une crèche (1924) et d'une bibliothèque. Description : En 1826, l'unique bâtiment du site de Bootz renferme un rez-de-chaussée et trois étages. En 1861, celui de la Beuverie se développe sur trois niveaux couverts en shed. S'inspirant des modèles anglais, le bâtiment construit en 1904 combine ossature métallique et maçonnerie de briques. Les murs sont percés de grandes ouvertures laissant entrer le maximum de lumière et un toit-terrasse couvre l'ensemble. Les maisons ouvrières se caractérisent par la répétitivité de leurs plans, leur organisation en bande, l'utilisation de la brique en encadrement des ouvertures, la disposition symétrique des baies et les jardins potagers en arrière de parcelle. Étage(s) : 1 étage carré État de conservation : détruit Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Architecture |
IA53000581 - quais de Laval 3 vues Historique : Les quais de Laval ont été construits entre 1847 et 1876, en cinq tranches. Le quai Sadi Carnot (ancien quai Napoléon), sur la rive gauche entre le pont Aristide-Briand (ancien Pont-Neuf) et le Vieux-Pont, a été réalisé en même temps que l'écluse de Laval. Un premier projet a été établi par l'ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées Voinchet. Il a été modifié en 1844 et 1845. Les travaux, suivis par l'ingénieur Leblanc, ont été menés par les entrepreneurs Victor Peltier et Pierre Lebreton choisis lors de l'adjudication du 27 mars 1847 (qui concernait également les écluses de Laval, Bootz, Belle Poule et Boisseau). Les travaux, interrompus en 1848, ont été achevés en 1851 (la réception provisoire date du 20 décembre 1851, la réception définitive du 20 octobre 1852). En 1875, son alignement est harmonisé avec celui du quai Béatrix de Gavre. La réalisation du quai Albert Goupil et du quai d'Avesnières (dénommés quai de l'Impératrice avant 1870), situés sur la rive droite entre le Vieux-Pont et le pont d'Avesnières, s'est faite au même moment que celle de l'écluse et du nouveau barrage d'Avesnières. Le premier projet date de 1852. Il prévoie la réalisation de la rue sur quai jusqu'à la passerelle d'Avesnières. Après modifications en 1857 et 1858, le projet définitif est dressé en 1859. Il est l'oeuvre de l'ingénieur ordinaire Dupuy. Les entrepreneurs parisiens Hunebelle frères sont choisis lors de l'adjudication du 21 octobre 1859. Le décompte définitif des travaux date de juillet 1864. La réalisation des quais fut accompagnée de l'aménagement, le long du quai Albert Goupil, d'une rampe d'accès à la rivière destinée à permettre aux chevaux de s'abreuver. Le quai Jehan Fouquet (ancien prolongement du quai de l'Impératrice entre le Vieux-Pont et le pont Aristide-Briand), le quai Gambetta (ancien quai du Prince impérial entre le pont Aristide-Briand et le viaduc) et le port d'amont sont construits sur un projet de Dupuy, approuvé en 1861. Les travaux sont menés à bien entre 1862 et 1865, parallèlement à la reconstruction du barrage de Laval. L'emprise du port est surélevée lors de la construction du pont Crossardière, actuel pont de l'Europe. Le quai Paul Boudet, sur la rive gauche, au sud du vieux pont, et le port d'aval sont l'oeuvre de l'ingénieur Du Jardin ou de son successeur Lahougue. Les travaux ont été conduits entre 1866 et 1868 par les entrepreneurs lavallois Théodore Maurin et Sylvain Picaut. Enfin, le quai Béatrix de Gavre, sur la rive gauche, au nord du pont Aristide-Briand, est construit en deux tranches. La première est réalisée en 1854 et concerne la portion s'étendant jusqu'au ruisseau Saint-Etienne (entre les actuelles rues Crossardière et Magenta) qui, jusqu'en 1863, marquait la limite des communes de Laval et de Changé. La deuxième porte sur le tronçon allant jusqu'au viaduc. Elle est dessinée en 1873 par l'ingénieur Lahougue et réalisée en 1874 par Thèodore Maurin et Joseph Raveaux, adjudicataires des travaux. La réalisation de la deuxième tranche qui s'est achevée en 1876 s'est accompagnée de l'installation d'une rampe d'accès à la rivière. a été dessiné en 1873 par l'ingénieur Lahougue. L'adjudication à Théodore Maurin et Joseph Raveaux date du 25 juillet 1874. La construction est achevée en 1876. Description : Les quais sont aménagés du pont d'Avesnières en aval au viaduc en amont. Sur la rive gauche, ils se prolongent jusqu'à l'écluse de Bootz. Ils sont constitués, dans leur section centrale, d'un mur droit à appareil régulier et allongé de pierres de granite, surmonté d'un parapet et, dans leurs sections nord et sud d'un talus couvert d'un appareil de revêtement irrégulier et bordé de simples bornes. L'ancien port d'amont est situé sur la rive droite, contre le quai Gambetta. Son emprise a été surélevée lors de la construction du pont de l'Europe. L'ancien port d'aval se trouve sur la rive gauche, le long du quai Paul Boudet. Il est encadré par deux rampes d'accès à la rivière. Trois autres rampes ont été établies, en particulier pour permettre aux chevaux de s'abreuver : sur le quai Albert Goupil, sur le quai Gambetta (à l'extrémité aval du port d'amont) et sur le quai Béatrix de Gavre. État de conservation : bon état Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Foisneau Nicolas,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2002 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Architecture |
IA53000516 - site d'écluse de Laval Historique : L'écluse de Laval a été établie sur la rive gauche de la Mayenne à l'extrémité de la chaussée des Trois moulins sur les plans de l'ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées Voinchet, définitivement établis par Leblanc. Les travaux ont été attribués lors de l'adjudication du 27 mars 1847 aux entrepreneurs de Neuilly-le-Vendin Victor Peltier et Pierre Lebreton, en même temps que ceux des écluses de Bootz, de Belle Poule et de Boisseau et du quai Napoléon (actuellement quai Sadi Carnot) de Laval. Suivis par l'ingénieur Caillaux, ils sont revus provisoirement le 20 décembre 1851. Le barrage, simplement consolidé, est détruit et reconstruit sur le plan de l'ingénieur Dupuy entre 1862 et 1864, lors de la suppression des Trois moulins et du prolongement du quai de l'Impératrice (section des quais correspondant à l'actuel quai Jehan Fouquet). Date(s) de réalisation : 1847 Description : Le barrage de Laval a une forme de chevron. L'écluse est située contre le quai Sadi Carnot, sur la rive gauche, en léger contrebas de la voie sur quais. Ses parties maçonnées sont en granite taillé. La maison éclusière s'inscrit à l'alignement du front bâti. Elle ne reprend pas le plan-type des maisons d'éclusier de la Mayenne canalisée. Plus haute, elle dispose d'un étage carré et d'un étage en surcroît et est couronnée d'une épaisse corniche. Elle comporte trois travées ordonnancées. Les encadrements de ses ouvertures sont en tufeau, de même que ses chaînes d'angle harpées. La porte d'entrée est surmontée d'une plate-bande à extrados en escalier. Matériau(x) de couverture : ardoise Étage(s) : 1 étage carré,étage en surcroît État de conservation : bon état Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Foisneau Nicolas Date(s) de l'enquête : 2001 Copyright : (c) Inventaire général, 2001 Fonds / classement : Architecture |
IM53000144 - chaire à prêcher Historique : Le projet (plans et devis par Madiot maître-menuisier à Laval) est proposé et accepté par le conseil de fabrique le 2 février 1873. Décor représenté : ornement(à feuille, arc trilobé, arc brisé, colonnette, chapiteau, fruit, feuille, croix, crochet, animal fabuleux, pinacle) Dimension(s) : h = 650 Précision(s) sur les dimensions : hauteur de la cuve : h = 280. Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000156 - statue (statuette) : Vierge, dite Notre-Dame de Laval Historique : Cette statue était autrefois placée dans la niche du portail de l'église. En 1978, une restauration remet en valeur sa polychromie. La statue est ensuite placée à l'intérieur de l'église, afin de la préserver. Une copie la remplace depuis 1981 dans la niche du portail. Précision(s) sur le décor représenté : La Vierge est représentée les bras croisés sur la poitrine. Dimension(s) : h = 103,la = 26,pr = 20 Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000168 - haut-relief : Voeu de Guy II de Laval 1 vue Historique : Haut-relief réalisé par le sculpteur Victor Bariller en 1890. Décor représenté : scène historique(Vierge à l'Enfant, Apparition, personnage historique : prière, cheval, rivière), fond de paysage(château, ville, pont, personnage, arbre, nuée) Précision(s) sur le décor représenté : Personnage historique : Guy II de Laval sauvé de la noyade grâce à l'intervention de la Vierge promet de lui élever un sanctuaire,source : Cartulaire du Ronceray. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Huet Yvette,Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000196 - cloche Anne-Françoise-Marie-Charlotte-Ursule Historique : Cloche réalisée par P. Tolet en 1734. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant le donateur,date,signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominque,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000212 - bénitier d'applique 2 vues Historique : Bénitier offert par François de Laval, fils de Guy 16, prieur de Sainte-Catherine et évêque de Dol, en 1554 (date portée). Selon la tradition, François de Laval est le découvreur du marbre de la région de Laval. Description : le marbre rose vient des carrières de saint berthevin Précision(s) sur le décor représenté : Croix archiépiscopale de Dol. Dimension(s) : h = 240,l = 120,la = 75 Inscription(s) : armoiries(sculptée, partiellement illisible),date(gravée) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000261 - calice 1 vue Historique : Calice (N° 2) réalisé entre 1819 et 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pu être identifié. Comme l'indique l'inscription sur la base, en 1925 il appartenait à un certain A. Pacchiano. Il fait partie du trésor de la cathédrale. Description : Calice en argent doré. Il repose sur un pied hémisphérique au dessus légèrement bombé. La tige de plan circulaire est coupée par un noeud ovoïde placé entre deux bagues et deux collerettes. La coupe droite est ceinte d'une fausse-coupe repercée au rebord évasé. Le décor est repoussé, ciselé et martelé. Décor représenté : ornementation (palmes, fleurs, ove, canaux), angelot, foi, espérance, charité, Les Instruments de la Passion, vigne, blé, roseau, Christ en croix, figure biblique (sainte Marie-Madeleine), figure biblique (saint Pierre : en buste), figure biblique (saint Benoît : en buste) Précision(s) sur le décor représenté : La base en cavet renversé du pied est ornée d'angelots posés sur des nuées à gloires marginales. Chaque motif est séparé par deux palmes croisées et nouées d'un ruban. La partie bombée accueille un décor combinant motifs floraux involutés, médaillons à vertus théologales (foi, espérance, charité) et instruments de la Passion (croix drapée, clous inscrits dans une couronne d'épines, colonne, échelle, fouet et roseau). Les deux collerettes sont décorées d'une alternance d'oves circulaires et allongés. Le noeud se pare de canaux sur le culot et de trois médaillons ovales renfermant des angelots sur la partie supérieure. Une vigne avec ses grappes, des épis de blé et des roseaux s'intercalent entre les trois médaillons. La fausse-coupe présente trois médaillons ovales accueillant sainte Marie-Madeleine et le Christ en croix, le buste de saint Pierre (de face) et celui de saint Benoît. Les figures sont encadrées d'un décor floral et végétal. Dimension(s) : h = 29,5,d = 16,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 9,6. Inscription(s) : inscription (gravée, sur l'oeuvre, français),grosse garantie Paris 1819-1838,1er titre Paris 1819-1838 Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000266 - calice et patène 2 vues Historique : Calice (N° 7) et patène (N° 7 bis) réalisés par l'orfèvre lavallois Pierre Lemesle entre 1750 et 1752. Ils ont été achetés à un antiquaire par le chanoine Picquenard en 1938 et proviendraient de l'église de Montigné-le-Brillant. L'ensemble fait partie du trésor de la cathédrale. Il est actuellement exposé dans la crypte du Vieux-Château. Description : Calice et patène en argent partiellement doré. Le décor du calice est repoussé, ciselé et repercé. Celui de la face externe de la patène est gravé. Le calice repose sur un pied circulaire fortement bombé caractéristique des calices lavallois. La tige sur lequel elle est vissée est dotée d'un noeud balustre et de collerettes proéminentes. La coupe au rebord évasé est habillée d'une fausse-coupe. Précision(s) sur le décor représenté : Le calice présente un riche décor de lignes courbes agrémentées de rocailles auxquelles se mêlent des fleurs et des pampres. La patène est gravée d'une couronne d'épines entourant l'I.H.S. placé entre une croix et trois clous en éventail. Dimension(s) : h = 29,7,d = 17,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 9,9,patène : d = 17,1. Inscription(s) : poinçon de maître,lettre-date,poinçon de charge,poinçon de décharge Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000306 - calice 4 vues Historique : Calice (N° 47) réalisé à la fin du 18e siècle par un orfèvre non identifié. Il a été donné à la cathédrale par la veuve de Charles René Thomas Frin sieur du Guyboutier, né en 1722, quatrième maire électif de Laval de 1769 à 1790, incarcéré sous la Terreur et mort en 1798. Il fait partie du trésor. Description : Calice à pied circulaire, noeud à profil piriforme ascendant et fausse coupe ajourée. Précision(s) sur le décor représenté : La fausse-coupe et la partie bombée du pied sont ornées de cartouches étirés renfermant en alternance des pampres et des épis de blé. L'anneau inférieur se pare de trois fleurons séparés par de larges cartouches rectilignes sans décor. Le noeud est décoré de quatre plantes herbacées et d'un rai de coeur sommital. Les deux collerettes sont ciselées d'oves. Dimension(s) : h = 25,d = 13,5 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 8,2. Inscription(s) : poinçon de maître,lettre-date,poinçon de charge,poinçon de décharge Paris 1789-1791,inscription concernant le donateur Statut de la propriété : propriété de l'Etat Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000333 - statue-reliquaire (statuette) : Saint Julien 3 vues Historique : La statuette a été réalisée en 1639 par l'orfèvre lavallois Pierre Briceau. Elle a été offerte à l'hôpital Saint-Julien de Laval par deux de ses administrateurs, Jean Rebuffé et François Loriot, en 1639 (date portée). L'iconographie évoque le miracle de la source que le prélat fit jaillir pour abreuver les habitants de la cité du Mans qui en avaient grand besoin et qui furent avertis de ce fait extraordinaire par une servante. Description : décor partiellement doré Précision(s) sur le décor représenté : Selon la tradition iconographique, l'évêque du Mans est représenté revêtu des attributs de sa charge (crosse et mitre), et accompagné d'une jeune femme tenant une cruche. Un médaillon vitré laissant voir la relique est fixé sur le devant du socle. Celui-ci accueille un décor d'entrelacs encadré de frises d'oves et de flèches. Dimension(s) : h = 48,5,l = 27,la = 18,8 Inscription(s) : inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin),poinçon de maître,lettre-date Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000376 - tableau : la Visitation 1 vue Dimension(s) : h = 228,l = 164 Précision(s) sur les dimensions : dimensions sans le cadre,dimensions avec cadre : h = 297, l = 202. Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1996 Copyright : (c) Inventaire général, 1996 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000424 - monument commémoratif : Béatrix de Gâvre Historique : Béatrix de Gâvre, décédée en 1315, épousa Guy IX de Laval en 1286. Héritière d'une puissante maison de Flandres, elle aurait amené avec elle des ouvriers flamands, qui donnèrent une impulsion nouvelle à une industrie de la toile déjà ancienne à Laval. En 1902, la Société des Arts réunis sollicite une subvention de l'Etat, afin d'offrir à la ville de Laval une statue en bronze de Béatrix de Gâvre. Fondue en 1907, la statue en bronze est l'oeuvre du sculpteur Paul-Louis-Emile Loiseau-Rousseau et des fondeurs E. Capitani, Geny et Cie, fondeurs à Bussy (Haute-Marne). La statue a été mise en place dans la cour du château à la fin de l'année 1913. En 1921, la plaque, réalisée depuis 1913, est posée sur le socle de la statue. Celle-ci est officiellement remise à la Ville par la Société des Arts réunis en juillet 1922. Description : La tête droite, Béatrix de Gâvre se dresse debout. Esquissant un léger mouvement vers l'avant, elle semble avancer d'un pas. Elle est vêtue d'un costume médiéval qu'elle retient de sa main droite. De l'autre, elle porte une navette de métier à tisser. La statue repose sur un socle de granite sur lequel est gravée une inscription. Précision(s) sur le décor représenté : Statue en pied représentant Béatrix de Gâvre,elle est représentée en costume médiéval. Dimension(s) : h = 190 Précision(s) sur les dimensions : socle : h = 185,l = 89,la = 12,plaque : h = 75, la = 50. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000426 - monument funéraire (gisant) de Roberde d'Usages 2 vues Historique : Monument sépulcral de Roberde d'Usages, alliée à la famille de Laval, décédée en 1403. Description : Enfeu surmonté d'un arc surbaissé. Sur le fond de l'enfeu, le motif est composé des armoiries de Roberde d'Usages et de son mari Jean de Coësmes, seigneur de Montjean. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000427 - monument funéraire (gisant) de Béatrix de Bretagne 3 vues Historique : Béatrix de Gâvre est décédée en 1382, mais il semble que son monument sépulcral n'ait été réalisé qu'entre les années 1430 et 1450. Description : Enfeu surmonté d'un gâble aux rampants ornés de fleurons, dans lequel s'inscrit une rose à 5 lobes et au milieu duquel figurent des armoiries. Le socle est décoré de 6 petits arcs en accolade encadrant chacun une statuette. Précision(s) sur le décor représenté : Personnage historique : Béatrice de Gâvre était la femme de Guy X de Laval,des 6 statuettes du socle 2 peuvent être identifiées : saint André avec sa croix, saint Paul avec son glaive. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000428 - monument funéraire (gisants) de Guy XII et Jeanne de Laval Historique : Monument sépulcral de Jeanne de Laval et de son époux Guy XII, réalisé entre 1433 et 1450. Seul le coeur de Jeanne fut apporté a Clermont (son corps fut inhumé aux cordeliers de Laval). Description : Enfeu surmonté d'un gâble aux rampants ornés de fleurons, dans lequel s'inscrit un motif armorié. Le socle est décoré de 6 petits arcs en accolade encadrant chacun une statuette. Précision(s) sur le décor représenté : Personnage historique : Guy XII décédé en 1422 et Jeanne de Laval sa femme décédée en 1433,les statuettes du socle n'ont pas été identifiées. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,armoiries Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1988 Copyright : (c) Inventaire général, 1988 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000435 - monument commémoratif : Jeanne d'Arc 1 vue Historique : Le monument à Jeanne d'Arc commémore la reconquête du royaume de France durant la guerre de Cent Ans. Il rappelle aussi l'engagement des notables lavallois, tels que Guy XIV, seigneur de Laval. Cette oeuvre patriotique financée par une souscription en 1911, deux ans après la béatification de Jeanne d'Arc. La statue en bronze de Jeanne d'Arc a été réalisée par le sculpteur Roger Roussel de Préville et le fondeur H. Gonot en 1912 (date portée). Le socle a été mis en place par l'architecte lavallois Garnier. La statue a été inaugurée en 1912. Sur le socle est gravée une phrase du comte de Laval Guy XIV concernant sa rencontre avec Jeanne d'Arc. Description : Jeanne d'Arc est représentée comme une combattante, à travers une sculpture caractéristique du réalisme historique. Vêtue de son armure, le genou en appui sur un rocher, Jeanne d'Arc tend fièrement son étendard. La statue de bronze de Jeanne d'Arc repose sur un socle octogonal de granite. Précision(s) sur les dimensions : socle : h = 235,dimensions de la statue non prises. Inscription(s) : inscription,date,signature Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1990 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001305 - bassin à ablutions 1 vue Historique : Bassin à ablutions réalisé dans la seconde moitié du 19e siècle par l'orfèvre lavallois Guérin. Dimension(s) : d = 32,6,h = 5,3 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001341 - ensemble de 4 clefs de voûte 4 vues Historique : Au centre, les armoiries des comtes de Laval et du roi de France sur un même écu (parti). Dans les chapelles attenantes, les armoiries des comtes de Laval d'un coté et les armoiries du roi de France de l'autre. L'ensemble a été réalisé à partir de 1485. Description : clef de voûte en forme d'écu Précision(s) sur le décor représenté : Les 4 clefs de voûte portent des armoiries dont 1 est illisible,1 clef de voûte, armoriée aux armes des Laval, est surmontée d'une couronne comtale(?),1 clef de voûte, armoriée aux armes de France, est surmontée d'une couronne(?) et portée par 2 angelots. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : armoiries Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001347 - tombeau de la famille Bordeau Lepecq 1 vue Historique : Tombeau des familles Regease, Valette, Le Pecq et Bordeaux, probablement réalisé au cours de la première moitié du 20e siècle comme l'ange de la résurrection exécuté entre 1900 et 1910. Parmi plusieurs membres de ces familles figure Andrée Bordeaux Le Pecq (1910-1973), peintre graveur qui a été président fondateur du salon Comparaison à Paris et du musée d'art naïf à Laval. Description : Statue en marbre blanc de Carrare,tombe et stèle en marbre noir veiné blanc (?). Précision(s) sur le décor représenté : Une tombe avec une croix en relief repose au centre d'un socle de granite. A l'extrémité de ce socle, une stèle en marbre noir veiné blanc (?) et une statue d'ange de la résurrection en marbre blanc de Carrare. Celui-ci est une copie de la célèbre statue réalisée en 1882 par Giulio Monteverde pour le tombeau de la famille Oneto au Staglieno de Gênes. Cette sculpture représente une créature androgyne dissimulant à demi le long de son corps ce qui peut ressembler à une trompette. Les épaules et les bras sont nus et ces derniers sont délicatement croisés sur la poitrine. Le reste du corps est pris dans un drapé étroit retombant en traîne et cachant les pieds. Dimension(s) : h = 178,la = 70,pr = 48 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives. Inscription(s) : inscription(gravée),date(gravée) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001358 - tombeau de Thomas Naudet 2 vues Historique : Sépulture de Thomas Antoine Naudet, né à Paris en 1816 et décédé à Laval en 1887. Il fit des études à l'école normale de Versailles et fut nommé en 1837 directeur de l'école primaire supérieure annexée au collège de Laval. En 1840, maître-adjoint à l'école normale d'instituteurs de Laval, il enseignait les mathématiques et les sciences puis la récitation et la lecture. Il fut nommé officier d'académie puis officier de l'instruction publique. Une souscription publique ouverte en 1888 permit d'installer sur sa tombe le monument actuel, sur lequel on peut lire un poème du défunt. Description : La sépulture, en calcaire bleu, est formée d'une tombe en forme de sarcophage, sur laquelle figure une croix en relief, et d'un obélisque, sur lequel sont sculptés des motifs à forme végétale, une lyre et une tête humaine. Dimension(s) : la = 80,l = 201,h = 265 Précision(s) sur les dimensions : hauteur approximative. Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001359 - tombeau d'Auguste Alleaume 1 vue Historique : Sépulture de Mme vve Aug. Alleaume et du peintre verrier Auguste Alleaume, probablement réalisée en 1940, dont les inscriptions ont été gravées et peintes sur une pierre en forme de menhir. A gauche de cette sépulture, une tombe plantée d'un if porte les noms des familles Alleaume et Hugot. Description : La sépulture se compose d'un petit menhir posé au centre d'un espace rectangulaire délimité par des bordures en granite. Dimension(s) : la = 74,h = 88 Précision(s) sur les dimensions : dimensions approximatives du menhir,dimensions de la tombe : l=198,la=100(environ) Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001360 - tombeau de la famille Souchu-Servinière 1 vue Historique : Sépulture de la famille Souchu-Servinière, dont le plus illustre représentant est Théophile qui fut médecin en chef de l'Hôtel-Dieu de Laval, conseiller municipal et député de la Mayenne. Description : La sépulture se compose de 7 colonnes surmontées chacune d'une urne funéraire. Toutes les colonnes n'ont pas la même taille. Dimension(s) : h = 173,la = 36 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de la plus haute des colonnes,dimensions totale de la sépulture : l=402,la=200 Inscription(s) : inscription,date Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1998 Copyright : (c) Inventaire général, 1998 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001393 - équipement industriel flottant, dit bateau-lavoir Saint-Yves, puis foyer de jeunes travailleurs, puis Port Saint-Yves 10 vues Historique : Bateau-lavoir construit en 1908. En 1965, il est vendu et transformé en foyer de jeunes travailleurs. En 1982, il est acheté par la Ville qui le transforme en base nautique sous le nom de "Port Saint-Yves". Le 2 décembre 1993, il est classé monument historique. En 1998, sa coque est entièrement refaite par le chantier malouin l'Etoile Marine. En avril 2009, victime de voies d'eau, il fait naufrage et suite à son sauvetage est entreposé sur un terrain municipal de la rue du Bas-des-Bois. Description : Le Saint-Yves est un bateau-lavoir à deux ponts. La cale, au ras de l'eau, servait de lavoir et de chaufferie tandis que le pont supérieur était occupé par la buanderie et le logement du buandier réparti dans les deux pavillons. Contrairement au Saint-Julien, le Saint-Yves a perdu son matériel de buanderie. Dimension(s) : l = 2 800,la = 500 Inscription(s) : inscription concernant le titre Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000079 - voûte du choeur 25 vues Historique : Repris à partir de 1530, les travaux d'allongement du choeur s'achevèrent en 1565 par la construction des voûtes. Description : Les deux premières travées sont de plan rectangulaire, la dernière se prolonge pour couvrir l'abside à trois pans. Ces trois travées sont séparées par des arcs doubleaux brisés. Vers les murs gouttereaux, les voûtes retombent sur des colonnes engagées alors que dans l'abside elles sonr reçues par des culs-de-lampe ornés de buste. Décor représenté : ornement (à caissons, à chevrons, à cul de lampe, à cuir découpe, à enroulements, à losange, à polygone, à rosace, à tresse, à étoile, ornement géométrique, à ruban), arc à clef pendante Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription,armoiries,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003241 - croix-reliquaire de la Vraie Croix 8 vues Historique : En 1755, l'évêque Charles Joseph Capra donne la relique de la Vraie Croix à François Leterme dit frère Christophe qui la fait mettre dans une croix-reliquaire "en argent pesant 3 mares et 2 onces". Elle est ensuite achetée par l'abbé Touchard qui en 1805 en fait don au couvent Notre-Dame-des-Cordeliers. Description : Croix-reliquaire en argent dont l'essentiel du décor est ciselé. Elle est vissée sur un noeud piriforme partiellement ciselé au mat. Le noeud est lui-même vissé sur un socle quadrangulaire reposant sur quatre pieds boules rapportés. Le bois de la Vraie Croix est disposé dans un réceptacle vitré vissé à la croisée des bras et de la hampe. Ceux-ci sont lisses et simplement surlignés de galons moulurés. Décor représenté : ornementation (palme, palmettes, perles, feuilles, volutes, coquille, godrons, lys, palme), Agneau mystique (gloire, couché, croix, nuée) Précision(s) sur le décor représenté : L'Agneau mystique en gloire couché sur la croix elle-même posée sur une nuée est représenté sur la face postérieure de la base. Le reste du décor est composé de palmettes, de tiges feuillues et de grosses perles se répètant sur la collerette. Le noeud est orné de volutes affrontées en médaillon, de coquilles et de godrons très allongés. Les extrémités des bras de la croix sont amortis par des fleurs de lys et la base de la hampe est enveloppée de quatre palmes. Dimension(s) : h = 52,5,la = 25,pr = 10,4 Inscription(s) : inscription concernant le donateur (manuscrite, sur partie rapportée, latin),date (manuscrite, sur partie rapportée),inscription (sur partie rapportée, français),inscription (sur partie rapportée, français),cachet (armoiries, sur partie rapportée),cachet (armoiries, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003279 - tenture d'église de La Sainte Famille 4 vues Historique : Tenture d'église datant de la fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle et dont l'iconographie met le travail à l'honneur. Description : Tenture d'église à double face dont le fond est en soie moirée blanche. La traverse et les embouts sont en bois, doré pour ces derniers. Les visages, les mains et les pieds des figures sont peints sur toile. Le reste du décor est principalement constitué de broderie d'application c'est-à-dire de morceaux d'étoffe fixés sur le fond et parfois sertis. Quelques éléments sont brodés de fils de soie polychrome selon la technique du passé. La tenture est pourvue de cordons latéraux terminés par des glands à franges de bouillon doré. Elle est rangée dans un coffre en bois pourvu d'un cylindre autour duquel elle est enroulée. Matériau(x) et technique(s) : soie (blanc) : moiré, brodé, textile (application) : polychrome, soie : fil, polychrome, toile (support) : peinture à l'huile, verre : coloré, taillé à facettes, fil métal : doré, bois : doré, taillé Précision(s) sur le décor représenté : La face est ornée d'une représentation de la Sainte Famille montrant Jésus, assis, jouant d'un instrument à cordes, la Vierge, assise, cousant un vêtement, et saint Joseph, debout, derrière un établi avec une scie dans les mains. Cette scène s'inscrit dans un médaillon dont le haut et le bas sont ornés de deux quadrilobes accueillant des écussons armoriés. De ce médaillon s'échappent des tiges florales et feuillues. Les deux pans inférieurs sont également brodés de deux quadrilobes renfermant des écussons armoriés. Dimension(s) : la = 145,h = 340 Inscription(s) : inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),inscription (brodée, sur l'oeuvre, latin),armoiries (sur parties rapportées) Précision(s) sur inscription(s) : Inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le phylactère présent sur la face : INSPICE ET FAC, inscription en latin brodée en fil de soie rouge sur le revers : LABOR HONOR ET VIRTUS, armoiries au dessus de la Sainte Famille : de gueules à la ruche bordonnante d'or, armoiries au dessous de la Sainte Famille : de gueules au Pélican mystique d'or, armoiries de la Ville de Laval sur la pan inférieur gauche : de gueules au léopard d'or, armoiries de l'ordre des franciscains sur le pan inférieur droit : d'azur à la croix d'or, encadrée par deux bras aux mains présentant les stigmates, l'un nu, du Christ, l'autre vêtu de tanné, de saint François. Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003511 - bannière de procession du cercle catholique de Laval 5 vues Historique : Cette bannière de procession a été réalisée entre 1846 et 1878 pour le cercle catholique de Laval. Description : La bannière qui adopte une forme rectangulaire est suspendue à une tringle en bois doré. La partie haute et le bas découpé en trois pointes sont dotés de cordons terminés par des glands dont les franges sont en bouillon doré. Les deux faces sont bordées d'un galon tissé de fil d'or mêlé à des motifs en fils de soie rose et verte. Trois des côtés sont dotés de franges dorées. L'avers, dont le tissu de fond est en satin de soie violette, est orné de motifs réalisés avec des pièces d'étoffe polychromes et des cordonnets en métal doré. Ces broderies sont associées à des pierres de verre rouge et vert ainsi qu'à des paillettes et des cabochons en métal doré. Le tissu de fond du revers est en toile de coton bleu. Il est peint en doré d'une inscription aux lettres gothiques. Matériau(x) et technique(s) : bois : taillé, doré, fil métal (application) : doré, tissé, soie (fil, rose, vert, application) : tissé, soie (violet) : satin, brodé, textile (décor) : polychrome, fil métal (décor) : doré, verre (application, rouge, vert) : taillé à facettes, métal (application) : doré, découpé, coton (bleu) : toile, peint Précision(s) sur le décor représenté : La partie centrale de la face est brodée d'une couronne de feuilles de laurier entourant une croix grecque sur fond de rayons lumineux. Ces motifs sont placés entre deux phylactères portant des inscriptions. Les coins supérieurs et la pointe centrale sont respectivement cousus d'armoiries papales, épiscopales et communales. Le reste du décor se compose de volutes et de fleurs à pistils très saillants. Le revers est peint d'une inscription et ses trois pointes sont ornées d'arabesques. Le galon de la périphérie est ornée de croix pattées et de fleurettes à quatre pétales. Le galon des pourtours est orné de motifs en croix. Dimension(s) : h = 154,la = 88 Précision(s) sur les dimensions : hauteur avec les franges. Inscription(s) : armoiries (brodées, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2008 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003584 - chapelle composée d'un calice, d'une patène, de deux burettes, d'un plateau à burettes, d'une sonnette d'autel et d'une boîte de chapelle 1 vue Historique : Chapelle non homogène de style néo-gothique réalisée à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle par un orfèvre qui n'a pas pu être identifié et dont les initiales sont A.M.. Elle a appartenu à l'abbé A. Leguy, économe de l'église supérieure de théologie catholique. Celui-ci l'a achetée chez le marchand lavallois de bronzes et orfèvrerie A. Jarry. Description : Chapelle non homogène contenue dans un coffret en bois. Elle comprend un calice, une patène et deux burettes avec leur plateau (plateau à burettes). Le calice et la patène sont en argent doré. Le plateau à burettes et la sonnette d'autel (rapportée) sont en laiton doré. Le calice repose sur un pied polylobé à redents et ressauts. Le dessus est orné de quadrilobes dont trois accueillent des émaux rapportés. La partie supérieure du pied se prolonge pour former la tige coupée par un noeud circulaire aplati. Le calice est habillé d'une fausse-coupe décorée de pierres en verre incolores et colorées se retrouvant sur le pied. Le disque central de la patène est gravé. Les burettes en verre reposent sur des pieds circulaires. Elles sont pourvues d'une monture en métal doré comportant une anse, un couvercle et une bague sur la panse. Le plateau de forme ovale présente des extrémitées lobées. Matériau(x) et technique(s) : argent : fondu, moulé, doré, ciselé, gravé, repoussé, émail, décor rapporté, verre (incolore, coloré) : taillé à facettes, laiton : fondu, moulé, doré, bronze : fondu, moulé, doré, verre : gravé Précision(s) sur le décor représenté : Les trois émaux du pied figurent le Christ en croix, un ange avec une plume dans la main droite (?) et un personnage masculin tenant une épée dans la même main (?). Les espaces libres sont ornés de pampres. Le noeud se pare de fleurettes placées dans des compartiments. Le décor de la fausse-coupe consiste en pampres alternant avec des quadrilobes ou des fleurs à quatre pétales. Le disque central de la patène est gravé de l'Agneau vexillaire. L'aile du plateau est ornée d'une guirlande de feuilles et de deux rubans noués. La partie centrale accueille un quadrilobe. Les pieds des burettes sont décorées de perles. Les panses sont gravées de pampres et de roseaux. Les anses prennent la forme de tiges feuillues La clochette se couvre de fleurs et de fleurettes. Dimension(s) : h = 23,2,la = 10,2 Précision(s) sur les dimensions : largeur de la coupe,pied : la = 16,2,patène : la = 15, 9,plateau à burettes : l = 6,5, h = 10, 1,burettes : h = 17, la (panse) = 6,3, la (pied) = 5,5. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973,marque de marchand (sur étiquette),inscription concernant le propriétaire (sur étiquette, français),chiffre Précision(s) sur inscription(s) : Poinçon de fabricant non identifié : initiales A.M. séparées par un symbole illisible dans un losange vertical, poinçon de garantie et de titre argent : Minerve, poinçons de fabricant : sur la coupe et le pied du calice ainsi que sur la patène, poinçon de garantie et de titre argent : sur la coupe et le pied du calice ainsi que sur la patène, marque de marchand sur une étiquette à l'intérieur de la boîte : BRONZES ET ORFEVRERIE D'EGLISE/A. JARRY/A LAVAL, inscription concernant le propriétaire sur une étiquette manuscrite à l'intérieur de la boîte : A. Arsène Leguy, secrétaire à l'Evêché, inscription concernant le propriétaire sur une étiquette placée sur le couvercle de la boîte : L'ABBE A. LEGUY/ECONOME DE L'EGLISE SUPERIEURE DE THEOLOGIE CATHOLIQUE/27 rue des Tuyaux/41 rue du Mans, LAVAL, chiffres sur la plaque située sous le pied du calice : 115, chiffres sous le plateau à burettes : 23. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003589 - calice, patène et boîte 1 vue Historique : Calice et patène réalisés dans les années 30 par un orfèvre qui n'a pu être identifié. Ils ont appartenu au père Guy Robert, prêtre du 11 juin 1933 au 11 juin 1983. Le calice a été consacré le 7 juin 1933 par Monseigneur Eugène Grellier. Description : Calice et patène en argent partiellement doré contenus dans un coffret en bois. Le calice est composé d'un pied circulaire, d'une tige coupée par un noeud plat à six côtes saillantes et d'une large coupe. Le revers de la patène est gravé d'un motif. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied du calice est gravé d'une croix latine. Le disque central de la patène est orné d'une croix grecque aux bras reliés entre eux. Dimension(s) : h = 17,9,d = 31 Précision(s) sur les dimensions : diamètre de la coupe,pied : d = 34,patène : la = 13, 9. Inscription(s) : poinçon de fabricant,garantie gros ouvrages 1er titre Paris 1838-1973,inscription concernant l'iconographie (gravée, sur l'oeuvre, latin),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre, français),inscription (manuscrite, sur étiquette, français),estampille (sur étiquette),armoiries,devise,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003619 - croix (crucifix) : Croix des martyrs 1 vue Historique : Christ en croix qui, comme l'indique l'inscription qui l'accompagne, aurait été trouvé sur l'un des quatorze prêtres guillotinés à Laval le 21 janvier 1794. Il semble dater du 18e siècle. L'encadrement est plus récent. Description : Crucifix en bronze doré. Il est monté sur un encadrement en bois dont les contours sont soulignés de moulurations. Dimension(s) : h = 231,5,la = 37 Inscription(s) : inscription concernant le propriétaire (gravée, sur cartel, français) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003655 - bannière de procession : Vierge dite Notre-Dame d'Avesnières Historique : Témoignage des processions sur la voie publique, la bannière de procession date de 1863. Description : Bannière de procession rectangulaire dont la partie basse, découpée en trois pointes, est dotée de franges et de glands. Le tissu de fond des deux faces est en soie de velours rouge. Les visages, la main et le pied visibles sont peints sur toile. Les vêtements et les motifs ornementaux sont en broderie d'application (sur âme de carton ?) rebrodée au fil métallique et au fil de soie polychrome. Des paillettes, des cupules et des pierres en verre enrichissent l'ensemble. Le revers de la bannière est orné du monogramme marial en broderie d'application. Précision(s) sur le décor représenté : La face de la bannière est brodée de la Vierge d'Avesnières portant l'Enfant Jésus. La Mère et l'Enfant sont placés dans une niche architecturée. Ils sont couronnés et richement vêtus. Les bordures latérales et supérieure sont ponctuées de médaillons reliés par des arabesques. Ils renferment un M et le monogramme marial pour deux d'entre eux. Celui-ci se retrouve sur le revers, à l'intérieur d'un quadrilobe. Les espaces situés entre les lobes sont hérissés d'armoiries papales, épiscopales, seigneuriales et communales. La pointe centrale accueille un écu armorié d'une colombe marquée de l'IHS rayonnant. La bordure inférieure est légendée. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription donnant l'identité du modèle (brodée, sur l'oeuvre, latin),armoiries (brodées, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003716 - bannière de procession : Sainte Elisabeth de Hongrie et le Tiers-Ordre Historique : Bannière de procession datant du début du 20e siècle et provenant peut-être de la communauté des petites soeurs de saint François d'Assise. Description : La bannière qui adopte une forme rectangulaire est suspendue par cinq pattes à une tringle en bois. Le bas de sa partie centrale est découpé en pointe. Le tissu de fond des deux faces est en soie blanche. Un galon en fil d'or en matérialise les bordures, celui du bas étant doté d'une frange de bouillon. Deux cordelières à glands sont fixées de part et d'autre de la pointe. Les personnages, les motifs décoratifs et les inscriptions sont en broderie d'application. Précision(s) sur le décor représenté : La face représente sainte Elisabeth de Hongrie qui, acquise à l'idéal de vie ascétique de saint François d'Assise, voua sa vie aux pauvres, aux malades et aux lépreux. Placée dans une niche de style gothique, la sainte est figurée montrant des roses dans un pan de sa robe. Il s'agit d'une illustration du "Miracle des roses subsituées aux morceaux de pain dérobés". Le revers est brodé d'une inscription et des armoiries inspirées de celles de l'ordre franciscain. Elisabeth est encadrée de deux vases contenant chacun une tige de lys de jardin, symbole de virginité. Dimension(s) : h = 156, la = 111 Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (brodée, sur l'oeuvre, français),inscription concernant le donateur (brodée, sur l'oeuvre, français),armoiries Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53002769 - plat de quête 1 vue Historique : Ce plat de quête a été réalisé au milieu du 19e siècle par l'orfèvre lavallois Charles Guérin. Description : Le plat est de forme hémisphérique et sa bordure porte un décor estampé. Précision(s) sur le décor représenté : Les bords du plat sont ornés de palmettes. Dimension(s) : h = 3,8,d = 21,6 Inscription(s) : marque (gravée) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2005 Copyright : (c) Inventaire général, 2005 (c) Ville de Laval, 2005 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003630 - trois verrières figurées décoratives 3 vues Historique : Verrières décoratives et commémoratives réalisées vers 1920 par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Elles rendent hommage à Pierre de Renne (ou Derenne), soldat de 2ème classe au 35ème RI, mort en mer le 4 octobre 1916 lors du naufrage du "Gallia". Il était né le 23 janvier 1878 à Tours. Pour l'année 1920, la somme de 690 francs apparaît dans le registre comptable d'Alleaume. Description : Les verrières des baies latérales sont cintrées et dotées de six barlotières horizontales. Celle du vantail est pivotante et pourvue d'une barlotière verticale. Toutes les trois sont en verre laminé de reliefs. Précision(s) sur le décor représenté : Les verrières latérales sont ornées de couronnes de chrysanthèmes. Celles du haut renferment une croix de Malte et des Instruments de la Passion : des couronnes d'épine et des clous. Sur celles du bas sont posés des phylactères recouverts d'inscriptions. Le centre des couronnes en accueillent également : elles concernent toutes l'état civil du défunt. Les bordures sont délimités par des perles. Le vitrail de la porte reçoit les mêmes ornements à savoir six couronnes de chrysanthèmes dont deux avec des phylactères et les initiales du mort. Dimension(s) : h = 79,6,la = 40,1 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de l'embrasure extérieure de la fenêtre latérale gauche,verrière du vantail : h = 107,7, la = 32,2. Inscription(s) : dédicace (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003634 - deux verrières figurées décoratives 3 vues Historique : Verrières de style Art nouveau réalisées vers 1908 par le peintre-verrier Auguste Alleaume pour la chapelle funéraire de Germaine Bouvier. Description : Verrières en verre laminé de reliefs et dotées d'une barlotière horizontale. Précision(s) sur le décor représenté : Les parties centrales sont occupées par de grands bouquets de fleurs de lys, symboles d'éternité ou de souvenir. Les tiges de celles-ci sont cachées par des médaillons ou couronnes renfermant des initiales et des dates. Les bordures sont ornées de roses blanches. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : date (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),épitaphe (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003638 - verrière figurée décorative 3 vues Historique : Verrière réalisée entre 1905 et 1906 par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Dans son registre de production, il la qualifie de romane. Sur la maquette datée de 1905, il a écrit : " peut-être le plus beau panneau d'art verrier que j'ai fait". D'après son livre de caisse, le vitrail a coûté 200 francs à son commanditaire. Description : Verrière dotée de deux barlotières horizontales. Précision(s) sur le décor représenté : Verrière dont le motif principal est une croix perronnée au centre de laquelle partent quatre bras fleuronnés posés sur une couronne. L'ensemble repose sur un ornement décoratif composé d'un assemblage de feuilles. La bordure alterne fleurs et feuilles de chrysanthèmes. Dimension(s) : h = 85,1,la = 66,9 Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000012 - verrière légendaire : Vie de Moïse (baie 102) 3 vues Historique : Verrière réalisée en 1525 et donnée à l'église Saint-Vénérand par François Delaunay et ses enfants. En 1602, elle est démontée puis remontée pour l'agrandissement du transept droit. En 1897, Auguste Alleaume la restaure. S'il touche à peine à certaines scènes, le peintre-verrier lavallois intervient de façon plus poussée sur d'autres. D'après son registre de caisse, Alleaume a reçu la somme de 3 510,45 francs pour ce travail. En 1953, le peintre-verrier Max Ingrand intervient à nouveau sur la verrière. Description : Six barlotières par lancette. Décor représenté : saint François, saint Jean-Baptiste, saint Guy, sainte Catherine, sainte Barbe, Moïse faisant jaillir une source, pluie de manne, passage de la Mer Rouge, la Pâque ?, Moïse et l'épreuve du charbon ardent ?, Moïse et les bâtons changés en serpents, adoration du veau d'or, Balaam et l'ânesse arrêtés par un ange, Dieu le Père, Aaron et la verge fleurie, Moïse, Isaïe, personnage, Jérémie, Amos, Daniel, Osée, ornement architectural Précision(s) sur le décor représenté : En bas à droite, le premier panneau montre un donateur à genoux près d'un prie-Dieu. Le compartiment suivant représente les donateurs François Delaunay et ses enfants accompagnés de leurs patrons, saint Jean-Baptiste, saint François et saint Guy. Les deux panneaux suivants figurent sainte Barbe et sainte Catherine placées dans des niches. Les huit compartiments placés au-dessus sont occupés par l'histoire de Moïse. Chacun d'entre eux est accompagné d'un cartel portant en lettres gothiques et sur deux lignes la légende explicative de la scène représentée. De gauche à droite : Moïse frappant le rocher et faisant jaillir une source (légende effacée), la pluie de manne, le passage de la Mer Rouge et peut-être la Pâque. A la rangée supérieure, en commençant par la gauche : ce qui semble être Moïse et l'épreuve du charbon ardent, Moïse et les bâtons changés en serpents, l'adoration du veau d'or, Balaam et l'annesse arrêtés par un ange. Le tympan est illustré de Dieu le Père et des prophètes accompagnés de banderolles à leurs noms. Dimension(s) : h = 500,la = 300 Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre),inscription donnant l'identité du modèle (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) inscription concernant une restauration (peinte, sur l'oeuvre) Précision(s) sur inscription(s) : Dans les lancettes : légendes explicatives des scènes représentées : COMME ILS PASSERENT LA MER ROUGE, COMME ILS FURENT PERSECUTES DES SERPENTS, COMME ILS ADORERENT LE VEAU D'OR, COMME L'ANE PARLA DE BALAAM, noms des prophètes au tympan : IZAIAS, IHREMI, AMOS, DANIEL, OSEE, HABACUT, date : 1525 DATE DE CETTE VERRIERE, inscription concernant la restauration sur l'écu gauche : EN 1897 LA PAROISSE LA FIT RESTAURER PAR A. ALLEAUME PTRE VERRIER A LAVAL/ LOUIS GARNIER ARCHITECTE, inscription concernant la restauration sur l'écu droit : CES FORMES ANCIENNES...PAR SUITE D'UNE MALADROITE REMISE EN PLOMB DE CETTE VERRIERE CES ARMOIRIES ONT DISPARU. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Dominique Eraud,Philippe Bohuon,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1982 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 (c) Ville de Laval, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003664 - verrière figurée : Sacré-Coeur (baie 201) 2 vues Historique : Verrière commandée à Auguste Alleaume par l'Ambulance Nazareth. Celle-ci était l'un des vingt-trois hôpitaux bénévoles en service pendant la Première Guerre mondiale. Elle occupait l'hospice Nazareth c'est-à-dire l'ancien hôtel Périer du Bignon situé rue du Marchis. En 1915, l'Ambulance aurait fait don de ce vitrail à la communauté des petites soeurs de Saint-François pour leur chapelle. Dans le registre de caisse du peintre-verrier, à la date du 28 juin 1915, la somme de 200 francs apparaît avec la mention "Reçu de monsieur le chanoine Cesbron pour Nazareth". Le vitrail a été déposé. Description : Verrière circulaire qui devait fermer l'oculus de la façade occidentale. Précision(s) sur le décor représenté : Le Christ représenté en buste écarte sa tunique afin d'offrir son coeur qui est centré. Celui-ci est figuré rayonnant, enflammé, percé, ceint d'une couronne d'épines et surmonté d'une croix. Dimension(s) : d = 0,80 Précision(s) sur les dimensions : dimension apparaissant dans le registre de production du peintre-verrier. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le donateur (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003666 - verrière à personnages : Saint Benoît, Saint Bernard et Vierge à l'Enfant dite Vierge de Cîteaux (baie 7) 7 vues Historique : Le vitrail d'origine réalisé par Auguste Alleaume d'après un carton de son frère Ludovic, a été installé dans la chapelle le 28 août 1925. Il a été offert au monastère à l'occasion des noces d'argent d'abbatiat de la révérende mère Lutgarde, pour moitié par des amis de celle-ci et pour autre moitié par madame Planchenault. En 1992, la verrière a été déposée puis recomposée par l'atelier Barthe et Bordereau d'Angers qui en a prélevé les deux figures de saints pour les réinsérer dans un nouveau fond. Les Lavallois Bernard et Paulette Géré en ont financé l'opération. Le panneau dédié à la Vierge à l'Enfant a disparu. Description : Verrière placée sur la baie de la façade occidentale et recomposée entre 1992 et 1993. Les deux lancettes sont équipées de cinq barlotières et de plusieurs vergettes. Leurs fonds modernes sont en verre laminé de reliefs. A l'origine, le vitrail comportait deux lancettes en arc brisé surmontées d'une rose. Précision(s) sur le décor représenté : Saint Benoît de Nursie est vêtu du scapulaire noir à capuchon des bénédictins. Il tient dans la main droite la première page de sa Règle et dans celle de gauche sa croix traditionnelle à longue hampe. Saint Bernard de Clairvaux est habillé d'une robe blanche. Il porte une crosse abbatiale et des Instruments de la Passion (La Croix sur laquelle sont posés la couronne d'épines et trois clous). Les deux saints sont placés au dessus de médaillons renfermant les armoiries de l'ordre cistercien et celles des trappistines de Notre-Dame du Havre du Salut de l'Immaculée Conception. Chaque blason est surmonté d'une devise en lettres gothiques. Avant la reprise des fonds en 1993, les deux saints occupaient un décor médiéval. Ils étaient placés dans des niches architecturées surmontées d'anges tenant un médaillon avec l'I.H.S. dans un triangle et le monogramme M.A. dans un quadrilobe. Les bordures étaient ornées de fleurs de chrysanthème. Depuis 1993, les deux saints sont enchâssés dans une vitrerie combinant le verre antique (à bulles) et le verre laminé de reliefs. La Vierge de Cîteaux représentée sur la rose était une copie de la statue de la Vierge à l'Enfant réalisée par le révérend père Bernard pour l'abbaye de Soligny ou Grande Trappe. Dimension(s) : h = 400,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : hauteur approximative des lancettes de Saint Benoît et de Saint Bernard. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre),armoiries (peintes, sur l'oeuvre),inscription concernant le donateur (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'auteur (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Précision(s) sur inscription(s) : Inscriptions concernant l'iconographie : ST BENOIT et ST BERNARD, texte sur le parchemin : Ausculta o Fili praecepta Magistri, armoiries de l'ordre cistercien : De France ancien, à un écu en abîme, bandé d'or et d'azur de six pièces, à la bordure de gueules, qui est Bourgogne ancien, armoiries de Notre-Dame du Havre du Salut de l'Immaculée Conception : D'azur à un lys de jardin coupé d'un croissant d'argent, devises : Pax et Lux, inscription concernant le donateur dans un cartouche situé en bas de la lancette de saint Benoît : OFFERT PAR : BERNARD ET PAULETTE GERE AVESNIERES LAVAL, inscription concernant l'auteur de la reprise sur la lancette de saint Benoît, en bas à droite : BARTHE-BORDEREAU, inscription concernant le lieu d'exécution de la reprise sur la lancette de saint Benoît, en bas à droite : ANGERS, date du don sur la lancette de saint Benoît, en bas à droite : 1993. Statut de la propriété : propriété privé Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003676 - quatre verrières décoratives (baies 3, 4, 5 et 6) Historique : Ensemble de quatre verrières réalisées en 1928 par Auguste Alleaume pour les fenêtres de la nef. En 1994, suite à leur dépose résultant des remaniements de l'église, elles ont été achetées par Micheline Loire, une antiquaire du vitrail installée à Lèves en Eure-et-Loir. Les vitraux qui les ont remplacées ont été réalisés autour de 1993 par Paul Barthe et Maurice Bordereau. Description : Les quatre verrières étaient dotées de deux lancettes en arc brisé surmontées d'une rose. Chaque lancette était composée de six panneaux de 102 cm de large. Précision(s) sur le décor représenté : Les lancettes présentaient un décor de médaillons inscrits sur un fond de motifs végétaux stylisés. Les bordures étaient composées de palmettes. Dimension(s) : h = 400 Précision(s) sur les dimensions : hauteur d'une lancette. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privé Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003679 - deux verrières figurées décoratives (baies 10 et 12) 6 vues Appartenant à : quatorze verrières figurées décoratives Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003683 Historique : Verrières dédiées à Notre-Dame de Pontmain et réalisées en 1926 par Auguste Alleaume. Sur le carton partiel de l'un des vitraux, le peintre-verrier a inscrit le nom de Marie Lebossé, témoin avec Françoise Richer, Eugène et Joseph Barbedette, de l'Apparition de la Vierge en 1871. Son nom ne figure pas sur les verrières réalisées. Description : Verrières cintrées à quatre barlotières chacune combinant verre lisse et verre laminé de reliefs (verre anglais). Précision(s) sur le décor représenté : Verrières dédiées à Notre-Dame de Pontmain. Chacune d'elles est ornée de deux médaillons ovales renfermant un bouquet de lys de jardin, allusion à la virginité de la sainte. Les médaillons qui alternent avec des compartiments losangés sont inscrits sur un fond de fleurs bleu rappelant la couleur de la robe de la Vierge lors de son apparition à Pontmain en 1871. Les coeurs de ces dernières ont été remplacés par des étoiles évoquant celles qui parsemaient la robe de Notre-Dame lors de son apparition. La bordure est composée de fleurs d'aubépine, autres symboles de pureté. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003680 - deux verrières figurées décoratives (baies 14 et 16) 7 vues Appartenant à : quatorze verrières figurées décoratives Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53003683 Historique : Verrières réalisées en 1927 par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Description : Verrières cintrées à quatre barlotières chacune situées dans le bas côté droit. Décor représenté : ornementation (médaillon, pampres, ciel, nuage, pommier, blé, coquelicot, herbe, phylactère), Trinité, globe, heaume, croix, crosse, livre, couronne Précision(s) sur le décor représenté : Verrières ornées de deux médaillons encadrant une croix rayonnante à décor de pampres et inscription sur les bras. Le médaillon supérieur renferme le symbole trinitaire et le globe terrestre en gloire. Celui du bas contient une nature morte composée de deux heaumes empanachés, d'une croix pastorale et d'une crosse encadrant un livre ouvert surmonté d'une couronne. Ces motifs sont inscrits sur un fond de ciel bleu parcouru de nuages et d'un pommier dont la base du tronc est flanquée d'une gerbe de blé et de coquelicots. La bordure extérieure est composée de longues herbes recouvertes de phylactères reçevant les prénoms latins de saints. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sue l'oeuvre),lieu d'exécution (peint, sur l'oeuvre) , date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000089 - verrière historiée : Sainte Cécile (baie 10) 11 vues Historique : Dessiné et réalisé en 1894 par Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois, ce remarquable vitrail néo-Renaissance est inspiré d'un tableau de Raphaël peint en 1514 et conservé à la Pinacothèque nationale de Bologne. Il a été offert à la paroisse par Madame Cécile Lamerie et sa soeur Mademoiselle Hubert, d'où l'inscription "don de Mme C.L.H.". Pour l'anné 1894, le registre de caisse d'Auguste Alleaume fait apparaître la somme de 2 000 francs "pour la fenêtre des Cordeliers". Description : Verrière en plein-cintre dotée de trois (?) barlotières, de trois lancettes en arc brisé et de trois jours de réseau. Verrière-tableau : sa composition occupe toute la surface du vitrail sans souci des divisions maçonnées de la baie. Décor représenté : sainte Cécile (orgue), saint Paul (épée, parchemin), saint Jean, saint Augustin (crosse, étole), sainte Marie-Madeleine (vase), ange (tambourin, violon), dais, instrument de musique, nuée, ornement végétal, ornement architectural Précision(s) sur le décor représenté : Verrière-tableau occupant la baie de la chapelle Saint-Charles-Borromée et représentant sainte Cécile, la patronne des musiciens, entendant au moment de sa mort, une musique céleste produisant son extase. Les personnages de la scène principale occupent l'intérieur d'une niche dont l'architecture s'inspire de celle d'un buffet d'orgue du 16e siècle (outre les musiciens, les chanteurs et les organistes, sainte Cécile patronne les facteurs d'orgues et les luthiers). Les extrémités du positif faisant office de soubassement, disparaissent derrière deux trophées de musique associant livres et instruments : à gauche, une harpe, une guitare, un serpent ou cornet à bouquin et un cromorne, à droite, une timbale, un tambourin, une trompette, des grelots et deux serpents ou cornets à bouquin. Ils encadrent des tuyaux d'orgue couronnés d'un cartouche renfermant une inscription. Dans la lancette centrale, la sainte, les yeux levés au ciel, se détourne de la musique terrestre et humaine pour écouter celle des anges. Elle est représentée avec un orgue portatif renversé et cassé (deux des tuyaux sont détachés du sommier). Elle est entourée de quatre saints représentés avec leurs attributs respectifs et symbolysant la musique humaine : à gauche, saint Paul et saint Jean (sans son symbole), à droite, sainte Marie-Madeleine et saint Augustin. Au-dessus de ces personnages, trois anges tenant un livre de musique ouvert, psalmodient, agenouillés sur une nuée. Dans le tympan, deux autres anges jouent respectivement du tambourin et du violon. Le registre de production de dessins d'Alleaume témoigne d'une évolution du projet. Il y est en effet indiqué que "la sainte est assise à l'orgue, devant le clavier". Dimension(s) : h = 630, la = 220 Précision(s) sur les dimensions : dimensions apparaissant dans le registre de production d'Auguste Alleaume,dimension du tympan (d'après le registre de production) : h = 150. Inscription(s) : inscription donnant l'identité du modèle (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le donateur (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 (c) Ville de Laval, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003687 - trois verrières décoratives (baies 229, 230 et 231) 6 vues Historique : Ensemble de trois verrières réalisées en 1900 par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Description : Les verrières des baies 230 et 231 sont dotées de sept barlotières. Celle de la baie 229 en possède huit. Précision(s) sur le décor représenté : Verrières à motifs géométriques variés parmi lesquels des losanges, des médaillons circulaires et des végétaux stylisés. Les médaillons de la baie d'axe renferment le monogramme M.A. pour Marie. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : lieu d'exécution (peint, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),incsription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003691 - sept verrières figurées décoratives (baies 2, 4, 6, 8, 10, 12 et 14) 3 vues Historique : Vitraux réalisés en 1900 par Auguste Alleaume. D'après son registre des comptes, les sommes de 1 500 et 2 914 francs ont été versées au peintre-verrier pour l'exécution des verrières décoratives de l'hôpital Saint-Julien. Description : Verrières dotées d'une seule barlotière. Si le vitrail de la baie 8 est rectangulaire, tous les autres sont en plein-cintre (baies 2, 4, 6, 10, 12 et14). Certains sont en verre laminé de reliefs. Précision(s) sur le décor représenté : Dédiées à saint Joseph et à Marie, toutes les verrières ont pour motif principal une branche de lys de jardin, symbole de la pureté du père et de la mère de Jésus. Elle est également l'attribut de saint Joseph. Les initiales S.J. et M.A. apparaissent dans les médailllons situées en partie haute des vitraux. Celles de saint Joseph sont inscrites sur des épis de blé. Certains fonds sont constitués d'une mosaïque jaune. Toutes les bordures extérieures alternent fleurs et petites croix. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2014 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2014 (c) Ville de Laval, 2014 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000332 - verrière à personnages (baie 120) 10 vues Historique : Rose néo-médiévale dessinée et réalisée en 1901 par Auguste Alleaume. La somme de 3 175 francs inscrite dans le registre des comptes du peintre-verrier pourrait correspondre au coût de réalisation de la verrière. Il est à noter que cette rose semble être la seule qu'Alleaume ait exécutée. Description : Rose ornant l'extrémité du bras droit du transept. Le quadrilobe central s'accompagne de huit jours de réseau en écoinçon et de huit autres disposés autour d'une étoile à huit branches. Le cercle extérieur comprend seize médaillons et seize jours de réseau. Précision(s) sur le décor représenté : Les quatre compartiments losangés du cercle intérieur accueillent les effigies de saints qui se sont attachés à propager la dévotion à saint Joseph. Il s'agit de saint Matthieu, saint Bernardin de Sienne, sainte Thérèse et saint Bernard. Le nom de chacun d'eux est inscrit sur son nimbe. Chaque lobe à fond azur renferme l'attribut de saint Joseph à savoir une branche de lys, symbole de son mariage virginal avec Marie. Chaque branche est accompagnée de l'une des vertus associées au saint. Les médaillons extérieurs sont ornés de motifs végétaux stylisés et l'étoile centrale accueille une incription entourée de quatre couronnes. Dimension(s) : h = 50 Précision(s) sur les dimensions : dimension des bustes apparaissant dans le registre des oeuvres d'Alleaume. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre, latin) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1983 Copyright : (c) Inventaire général, 1983 (c) Ville de Laval, 1983 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000474 - peinture monumentale : L'Abondance règne sur la Ville de Laval 24 vues Historique : Peinture commandée, sur une initiative de l'architecte Léopold Ridel, à Ludovic Alleaume par les administrateurs de la Caisse d'Epargne de Laval. Dans son mémoire de maîtrise consacré au peintre, Véronique Hamard intitule cette oeuvre : "La Sagesse fait arrêter la Fortune sur la Ville de Laval par le Travail, la Prévoyance et l'Epargne". Exécutée dans l'atelier lavallois de son frère, le peintre-verrier Auguste Alleaume, cette peinture au sujet, au style et à la composition académiques, est en partie inspirée de "La Fortune" du peintre Luc-Olivier Merson (1846-1920) dont Ludovic Alleaume fut l'élève à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. Si les nombreux travaux préparatoires à l'oeuvre lavalloise, parmi lesquels une esquisse offerte par son auteur au musée de Laval, sont réalisés vers 1895, ce n'est qu'en 1906 soit après avoir été exposé à la section des peintures décoratives du Salon de la Société des Artistes Français, que le plafond est inauguré. En1930, Ludovic Alleaume y ajoute quatre médaillons à bustes d'enfants. La peinture a été restaurée au début des années 2000. Description : La peinture, de forme ovale et marouflée, occupe le centre du plafond de l'ancienne salle de réunion du Conseil d'Administration des directeurs de la Caisse d'Epargne. Elle est bordée d'un gros cadre et s'insère dans un quadrilatère aux angles tronqués. Utilisant le stuc, ceux-ci sont ornés de motifs en partie dorés. Le quadrilatère est cantonné de quatre médaillons également peints et marouflés. Décor représenté : scène (allégorie), figure (femme : en vol, roue, or), figure (femme : en vol), figure (homme : nu, marteau), figure (Minerve, coq, blé, fleurs), figure (femme : en vol, château, corbeau, nuage), figure (enfant : en buste, phylactère), ornementation (perles, feuilles d'acanthe, rai de coeur, corne d'abondance, fleurs, rose, marguerite, lierre, tige, feuillage) Précision(s) sur le décor représenté : Dans cette peinture d'inspiration mythologique accompagnée d'emblèmes allégoriques, La Fortune, représentée sous les traits d'une femme en robe rouge laissant échapper des pièces d'or, semble vouloir s'envoler en compagnie de deux autres femmes incarnant La Prévoyance, en bleu ciel, qui la saisit par les cheveux afin de la retenir et L'Economie, en mauve, qui retire le bandeau lui couvrant les yeux. Ses pieds reposent sur la traditionnelle roue dont un homme nu et robuste (Le Travail) entrave l'avancée au moyen d'un marteau. A droite, en blanc et casquée, Minerve dirige la scène. Symbole de Sagesse, elle est accompagnée d'attributs symbolisant la Vigilance (le coq), l'Abondance (le blé) et le Bien-Etre (les fleurs). A gauche et en opposition, une autre femme, maigre et effrayée (la Misère ou la Pauvreté), s'enfuit dans une nuée de corbeaux au-dessus du donjon du château de Laval que surmontent de sombres nuages. Les quatre médaillons qui ornent les angles sont peints de quatre bustes d'enfants symbolisant les vertus commandant l'Epargne c'est-à-dire le Lendemain, l'Ordre, la Raison et la Prudence inscrits sur des phylactères. Le cadre de l'allégorie présente une succession de bordures ornées de perles, de feuilles d'acanthe et de rais de coeur. Chaque médaillon est flanqué de deux cornes d'abondance d'où s'échappent des tiges de lierre et des fleurs parmi lesquelles des roses et des maguerites. Le pourtour du quadrilatère est quant à lui décoré de tiges feuillagées. Dimension(s) : h = 340,l = 440 Précision(s) sur les dimensions : diamètre des médaillons = 0,42 Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 (c) Ville de Laval, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |