IM53000145 - orgue, buffet d'orgue 1 vue Historique : L'orgue réalisé dans les ateliers de M. Sergent à Paris en 1851 fut acquis pour 10000 F. Le buffet, quant à lui, fut réalisé par un ouvrier de la paroisse, M. Mulot. D'après Chantepie, une première réparation eut lieu en 1869 puis une restauration très complète en 1936 (restauration effectuée par la maison Gloton, à Nantes). Une délibération du Conseil de fabrique évoque un relevage complet en 1878. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1985 Copyright : (c) Inventaire général, 1985 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000219 - retable architecturé à niche du maître-autel 3 vues Appartenant à : ensemble du maître-autel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000217 Historique : Retable probablement réalisé par l'architecte lavallois Pierre Corbineau, entre 1633 date à laquelle le comte de Laval fut fait chevalier du Saint-Esprit, et 1640 date de la réalisation du tableau qui semble avoir été peint pour ce retable. Les crédences en marbre furent ajoutées en 1754. Description : marbre incrusté Précision(s) sur le décor représenté : Le collier de l'ordre du Saint-Esprit encadre l'un des deux cartouches armoriés. Dimension(s) : h = 960,la = 838 Précision(s) sur les dimensions : hauteur approximative. Inscription(s) : armoiries(illisible) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000220 - tableau d'autel : Mystère de la Trinité 2 vues Appartenant à : retable architecturé à niche du maître-autel Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000219 Historique : Tableau réalisé par le peintre Paul Letourneur en 1640 (date portée). Dimension(s) : h = 274,la = 160.5 Inscription(s) : inscription,signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000232 - tableau d'autel : le songe d'Elie 3 vues Appartenant à : retable architecturé de la Communion Référence de l'ensemble ou de l’œuvre : IM53000231 Historique : Tableau réalisé par le peintre A. Domaine en 1813. Précision(s) sur le décor représenté : Elie fuyant Akhab et Jézabel s'endort sous un genêt,un ange le réveille et lui dit "lève-toi et mange". Dimension(s) : l = 146,5,h = 268 Inscription(s) : signature,date Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1989 Copyright : (c) Inventaire général, 1989 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000266 - calice et patène 2 vues Historique : Calice (N° 7) et patène (N° 7 bis) réalisés par l'orfèvre lavallois Pierre Lemesle entre 1750 et 1752. Ils ont été achetés à un antiquaire par le chanoine Picquenard en 1938 et proviendraient de l'église de Montigné-le-Brillant. L'ensemble fait partie du trésor de la cathédrale. Il est actuellement exposé dans la crypte du Vieux-Château. Description : Calice et patène en argent partiellement doré. Le décor du calice est repoussé, ciselé et repercé. Celui de la face externe de la patène est gravé. Le calice repose sur un pied circulaire fortement bombé caractéristique des calices lavallois. La tige sur lequel elle est vissée est dotée d'un noeud balustre et de collerettes proéminentes. La coupe au rebord évasé est habillée d'une fausse-coupe. Précision(s) sur le décor représenté : Le calice présente un riche décor de lignes courbes agrémentées de rocailles auxquelles se mêlent des fleurs et des pampres. La patène est gravée d'une couronne d'épines entourant l'I.H.S. placé entre une croix et trois clous en éventail. Dimension(s) : h = 29,7,d = 17,1 Précision(s) sur les dimensions : coupe : d = 9,9,patène : d = 17,1. Inscription(s) : poinçon de maître,lettre-date,poinçon de charge,poinçon de décharge Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 1982 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53000333 - statue-reliquaire (statuette) : Saint Julien 3 vues Historique : La statuette a été réalisée en 1639 par l'orfèvre lavallois Pierre Briceau. Elle a été offerte à l'hôpital Saint-Julien de Laval par deux de ses administrateurs, Jean Rebuffé et François Loriot, en 1639 (date portée). L'iconographie évoque le miracle de la source que le prélat fit jaillir pour abreuver les habitants de la cité du Mans qui en avaient grand besoin et qui furent avertis de ce fait extraordinaire par une servante. Description : décor partiellement doré Précision(s) sur le décor représenté : Selon la tradition iconographique, l'évêque du Mans est représenté revêtu des attributs de sa charge (crosse et mitre), et accompagné d'une jeune femme tenant une cruche. Un médaillon vitré laissant voir la relique est fixé sur le devant du socle. Celui-ci accueille un décor d'entrelacs encadré de frises d'oves et de flèches. Dimension(s) : h = 48,5,l = 27,la = 18,8 Inscription(s) : inscription (gravée, sur l'oeuvre, latin),poinçon de maître,lettre-date Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1986 Copyright : (c) Inventaire général, 1986 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001305 - bassin à ablutions 1 vue Historique : Bassin à ablutions réalisé dans la seconde moitié du 19e siècle par l'orfèvre lavallois Guérin. Dimension(s) : d = 32,6,h = 5,3 Inscription(s) : inscription Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe Date(s) de l'enquête : 1997 Copyright : (c) Inventaire général, 1997 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001392 - équipement industriel flottant dit bateau-lavoir Fouquet, puis bateau-lavoir Poirier, actuellement bateau-lavoir Saint-Julien 29 vues Historique : Bateau-lavoir construit en 1904 pour Alphonse Fouquet qui le cède à Joseph Poirier et sa femme en 1933. Le couple de buandiers-blanchisseurs l'exploite jusqu'à la mort de monsieur Poirier en 1970. En 1971, Jacques Poirier, leur fils, en fait don à la Ville de Laval qui, en 1976, entreprend de le restaurer afin de l'ouvrir à la visite : la toiture, les planchers, les peintures et l'installation électrique sont entièrement refaits,un éclairage de sécurité et une seconde passerelle sont également posés. C'est à cette époque que le bateau prend le nom de Saint-Julien. En 1985, le statut de musée lui est accordé. Le 2 décembre 1993, il est classé monument historique. L'année suivante, sa coque est entièrement reconstruite par le chantier malouin l'Etoile Marine. En 2003, il est labellisé Musée de France. En avril 2009, suite à son naufrage et dans l'attente de sa restauration, il est entreposé sur un terrain municipal de la rue du Bas-des-Bois. En 2011, le cabinet parisien d'architecture navale Seine Design est chargé de conduire sa rénovation. Celle-ci a lieu en 2013 et aboutit à la reconstruction durable de la cale au moyen de techniques traditionnelles (restitution dans "les règles de l'art" effectuée par le Chantier du Guip à Brest), à la réfection de l'étage dans le respect de son authenticité historique (restauration de la zinguerie, des boiseries, des ferronneries, des peintures et de l'installation électrique), à la mise en place d'un nouveau système d'amarrage et à la réalisation de passerelles métalliques s'adaptant aux variations de hauteur de la Mayenne. Un nouveau gril destiné à reçevoir le bateau pour le radoubage de sa coque pendant les écourues est également installé au fond de la rivière. Description : Le Saint-Julien est un bateau-lavoir à étage mesurant 28 mètres de long pour 5,10 mètres de large. La cale, avec sa vingtaine de planches à laver protégées par un auvent en zinc, servait de lavoir proprement dit à la quarantaine de laveuses qu'elle pouvait accueillir. La travée centrale a conservé les deux chaudières à vapeur qui alimentaient en eau chaude les cuves en cuivre situées au-dessus et dans lesquelles les pièces de linge assemblées en couplées étaient mises à bouillir. Ce matériel correspond au nouveau système de lessivage inventé par René Duvoir en 1837. Utilisant la vapeur, celui-ci nécessitait une installation à étage afin que la lessive bouillante s'élève jusqu'aux cuviers et arrose le linge au moyen d'un tourniquet. Le pont inférieur est toujours doté d'une essoreuse qui, avant sa motorisation, était actionnée à la main ainsi que d'un cabinet d'aisance abritant une chaise percée. Dimension(s) : l = 2800,la = 510 Inscription(s) : inscription concernant le commanditaire (peinte, sur l'oeuvre, français),inscription concernant le propriétaire (peinte, sur l'oeuvre, français) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53001393 - équipement industriel flottant, dit bateau-lavoir Saint-Yves, puis foyer de jeunes travailleurs, puis Port Saint-Yves 10 vues Historique : Bateau-lavoir construit en 1908. En 1965, il est vendu et transformé en foyer de jeunes travailleurs. En 1982, il est acheté par la Ville qui le transforme en base nautique sous le nom de "Port Saint-Yves". Le 2 décembre 1993, il est classé monument historique. En 1998, sa coque est entièrement refaite par le chantier malouin l'Etoile Marine. En avril 2009, victime de voies d'eau, il fait naufrage et suite à son sauvetage est entreposé sur un terrain municipal de la rue du Bas-des-Bois. Description : Le Saint-Yves est un bateau-lavoir à deux ponts. La cale, au ras de l'eau, servait de lavoir et de chaufferie tandis que le pont supérieur était occupé par la buanderie et le logement du buandier réparti dans les deux pavillons. Contrairement au Saint-Julien, le Saint-Yves a perdu son matériel de buanderie. Dimension(s) : l = 2 800,la = 500 Inscription(s) : inscription concernant le titre Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Bohuon Philippe,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1990 Copyright : (c) Inventaire général, 2002 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003227 - présentation du mobilier de l'édifice 62 vues Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003408 - présentation du mobilier de l'édifice 5 vues Historique : Liste supplémentaire : dans la sacristie : un tronc, bois sculpté et peint, 19e siècle,un meuble de sacristie, bois vernis, 2e quart 19e siècle,un meuble de sacristie comprenant un confessionnal et une fontaine de sacristie, bois vernis, 2e quart 19e siècle,à l'aumônerie de l'hôpital : un ensemble de treize rochets, lin et pour certains dentelle, 2e moitié 19e siècle,dans la chapelle : une statue du Sacré-Coeur, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,cinq statues de la Vierge, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue de Saint Louis, plâtre polychrome avec des rehauts de peinture dorée sur les vêtements, couronne d'épines sur un coussin, signature en bas à droite (D. Consani), 2e moitié 19e siècle,une statue de Sainte Jeanne d'Arc, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue du Curé d'Ars, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,dans la nouvelle chapelle : table avec un tiroir, chêne vernis et bois fruitier, hauteur = 70, largeur = 95, profondeur = 59,5, 1ère moitié 18e siècle,une statue de l'Immaculée Conception, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,une statue de Saint Joseph, avec Jésus, bois polychrome, signature sur le côté droit du socle (R. Gourdon), 20e siècle,une statue de Saint Louis, plâtre polychrome, signature peinte sur le côté droit du socle (D. Consani), 2e moitié 19e siècle,une statue de Sainte Thérèse de Lisieux, plâtre polychrome, 2e moitié 19e siècle,un harmonium, bois, médaillon avec une incription : "MEDAILLE D'OR 1867 A PARIS COUTY & RICHARD PARIS USINE A VAPEUR", 2e moitié 19e siècle. Statut de la propriété : propriété d'un établissement public Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 1980 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003579 - navette à encens 2 vues Historique : Navette à encens réalisée par Ambroise-Julien Lasnier, orfèvre lavallois actif de 1776 jusque dans le premier quart du 19e siècle. Comme l'indique l'inscription sur le pied, Monsieur Périer du Couannier l'a offerte à la fabrique de la Sainte-Trinité le 7 janvier 1806. Description : Navette en argent gravé. Elle est constituée d'un pied ovale, d'une nef fermant par un couvercle à charnières qui s'ouvre sur une partie de la navette et d'une anse dont l'extrémité est dotée d'une petite boule. Précision(s) sur le décor représenté : Le pied est orné de feuilles d'eau surmontant une inscription en partie illisible. L'extrémité du couvercle est gravée d'un cartouche entouré d'une guirlande de feuilles. Il renferme le symbole de la Trinité accompagné d'une date. Dimension(s) : l = 14,1,la = 8 Précision(s) sur les dimensions : largeur de la nef. Inscription(s) : poinçon de fabricant,moyenne garantie départements 1798-1809,inscription concernant le donateur (gravée),date (gravée) Statut de la propriété : propriété publique Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003669 - les bateaux-lavoirs Historique : Sous le Second Empire, la municipalité lavalloise entreprend la construction de quais destinés à assainir la ville par l'éradication des inondations et la disparition des vieilles maisons sur pilotis. Ces quais, en empêchant l'accès direct à la Mayenne, font cependant disparaître les arrivoirs qui servaient de lavoirs et d'abreuvoirs. D'où l'idée de mettre en place des établissements flottants : les bateaux-lavoirs. Ainsi, à partir de 1860, une flottille importante dont l'existence sera bientôt confirmée par arrêté préfectoral voit le jour. Trois types de bateaux-lavoirs se sont succédés à Laval : simples barques lavandières d'origine locale, bateaux de lavage à un seul niveau de même provenance et parfois complétés d'une buanderie sur rive puis, vers 1865, grandes embarcations à deux ponts comme le Saint-Julien et le Saint-Yves. Si les bateaux à un seul pont étaient construits à Laval (à La Fournière, dans le quartier d'Avesnières), les coques à fond plat des bateaux à étage étaient réalisées à Angers d'où elles étaient acheminées jusqu'à Laval par la rivière en empruntant les écluses. L'installation des superstructures et leur aménagement intérieur se faisaient sur place. Avant tout lieux de travail, les bateaux à deux niveaux servaient également de logement aux buandiers et à leurs familles qui occupaient les pièces situées aux extrémités des ponts supérieurs. Un cérémonial précis rythmait le travail sur les bateaux-lavoirs. L'essentiel de la clientèle se rendait dès le lundi matin aux bateaux afin d'y laver le linge. Jusqu'au mercredi, le buandier se chargeait de faire bouillir la lessive. A partir du jeudi, les laveuses se consacraient aux travaux de blanchisserie c'est-à-dire au ramassage et au pliage du linge, à la mise en paquets, aux livraisons, etc. La semaine s'achevait par l'entretien et la préparation du bateau pour le lundi suivant. Trois catégories de femmes venaient aux bateaux-lavoirs. Ainsi, les ménagères les fréquentaient pour laver leur propre linge. Elles y côtoyaient des femmes dont c'était le métier : les employées des buandiers et les laveuses professionnelles installées à leur compte. Les clientes avaient libre accès aux planches à laver et autres accessoires de blanchisserie. A l'inverse, celles qui souhaitaient faire bouillir leur linge ou l'essorer devaient verser une somme proportionnelle au nombre de pièces traitées. Chaque bateau pouvait accueillir jusqu'à une quarantaine de laveuses, ce qui en faisait des lieux de vie très animés. Dans les années 1960, l'arrivée de la machine à laver et la volonté des préfets de supprimer ces établissements inesthétiques et polluants vont compromettre l'existence des bateaux-lavoirs. Suite aux destructions commandées et aux nombreuses pertes liées aux crues de la rivière, le Saint-Julien et le Saint-Yves deviennent en 1982 les deux derniers témoins d'une flottille de vingt-deux bateaux en 1904 (dix en amont et en aval du viaduc, huit en aval du Vieux-Pont et quatre en aval du pont d'Avesnières). Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0x3b6e660) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003711 - le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre Historique : Jusqu'en 1961, le bas de la nef a fait office de choeur et, à ce titre, était meublé d'un maître-autel en bois (voir ci-dessous), d'un Christ en croix, de la statue de Notre-Dame de Pontmain et de celle de saint Pierre. La nef proprement dite était ornée d'un autel secondaire, d'une chaire à prêcher et d'un chemin de croix. Le maître-autel et l'autel secondaire ont été démantelés et en partie réutilisés. La Vierge de Pontmain a été déplacée dans le baptistère transformé en oratoire. Les autres pièces ont disparu. Liste supplémentaire : un autel, bois, arcades néo-romanes, limite 19e siècle 20e siècle,un ensemble de douze bancs de fidèles, bois, une partie provient de la communauté religieuse de Saint-Georges-de-L'Isle de Saint-Fraimbault-de-Prières et une autre a été réalisée par Joseph Jeusse, 20e siècle,un ensemble de prie-Dieu, bois, limite 19e siècle 20e siècle,un ensemble de trois tabourets de célébrant, bois, milieu 20e siècle,un ensemble de six chaises (de célébrant ?), bois, 20e siècle,un ensemble de six stalles, bois, quatre sièges par stalle, proviennent d'un carmel manchois, 20e siècle,un cierge pascal, bronze doré, base triangulaire, décor végétal et animaux fabuleux, 1er quat 20e siècle,un ostensoir-soleil, métal doré, pied polylobé, noeud plat à médaillons émaillés, 1er quart 20e siècle,un encensoir, bronze, décor végétal et têtes d'angelot, début 20e siècle,un encensoir, bronze, de forme circulaire, début 20e siècle,une navette à encens et sa cuillère, bronze, début 20e siècle,un seau à eau bénite et son goupillon, bronze, décor végétal et inscription sur la panse de la messe : ASPERGES.ME.DOMINE.ISOPOET.MUNDABOR (= Lave-moi, Seigneur, avec l'hysope, et je serai purifié [antienne du rite de la messe, extraits du Psaume 51]), début 20e siècle,deux verrières décoratives, baies libres rectangulaires à une barlotière et une vergette, verre antique bulleux et plomb, 3e quart 20e siècle,chemin de croix, quatorze dessins à l'encre noire sur papier, cadres, père Joseph Cousin et deux copies de Hermeline de Montecler (troisième et dixième station), 4e quart 20e siècle,statue de Notre-Dame de Pontmain, plâtre peint, inscription : MES PRIEZ MES ENFANTS DIEU VOUS EXAUCERA EN PEU DE TEMPS MON FILS SE LAISSE TOUCHER, décapitée et restaurée, limite 19e siècle 20e siècle,Vierge à l'Enfant, terre cuite polychrome, la Vierge est couronnée et tient une fleur de lys symbolisant sa pureté, son fils présente une colombe, provient de la congrégation des soeurs de la Charité de Notre-Dame d'Evron, 19e siècle,tableau : Saint-Pierre et Saint-Vénérand, huile sur toile, cadre, saint Pierre avec la clé et saint Vénérand avec la palme des martyrs, les deux saints patrons de la nouvelle paroisse créée en 1998 sont revêtus de jaune et d'ocre symbolisant le rayonnement de la présence de Dieu, de vert, couleur de l'espérance, de rouges évoquant le sang des martyrs et de violets, signes des temps des épreuves du passage de la mort à la vie, Joseph Cousin, 4e quart 20e siècle. Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0xcb27718) Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003718 - maître-autel, lutrin et trois sièges de célébrant Historique : Ensemble liturgique réalisé vers 1961 par les Etablissements Mélanger de Laval d'après des dessins du père Courteille. Description : L'autel combine ré-utilisation et création : la table en marbre provient du maître-autel primitif et le pied droit d'un autel secondaire qui se trouvait dans la nef. Celui-ci a été taillé de façon à reçevoir le bras droit de la croix réalisée en pierre reconstituée. Le lutrin associe ce même matériau au bois. Les sièges de célébrant sont également réalisés en pierre reconstituée. Très bas, ils se composent d'un socle cubique et d'un dossier très bas, celui du siège central étant plus élevé. Précision(s) sur le décor représenté : HASH(0xcc515e8) Dimension(s) : h = 100,l = 160,la = 100 Précision(s) sur les dimensions : dimensions du maître-autel,dimensions du pupitre : h = 117, la = 59,5,dimensions du siège de présidence : h = 69,5, la = 49. Statut de la propriété : propriété d'une association diocésaine Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2016 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53002767 - plateau à burettes 3 vues Historique : Plateau à burettes réalisé au début du 19e siècle par l'orfèvre lavallois Ambroise Lasnier, actif de 1776 jusque dans le premier quart du 19e siècle. Il a été offert à l'église par Noël Changeon, vicaire puis curé de Saint-Vénérand entre 1809 et 1828. Description : Le plateau est ovale et présente des bords chantournés et moulurés. Dimension(s) : h = 1,9,l = 22,7,la = 15,1 Inscription(s) : poinçon de fabricant (gravé),inscription concernant le commanditaire (gravée) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2005 Copyright : (c) Inventaire général, 2005 (c) Ville de Laval, 2005 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53002804 - lustre 5 vues Historique : Ce lustre (en attente de restauration) a été réalisé en 1762 par le serrurier lavallois J. Raveneau à la demande de messieurs Couanié (?) des Ribaudierre, Martin de la Blanchardière et Guitet des Noes, procureurs fabriciens de l'église. Il est actuellement conservé au dépôt départemental d'objets religieux de Torcé-Viviers en Charnie. Description : Lustre à bougies, à huit branches, dont une a disparu. Les sept restantes sont dotées de bobèches circulaires et sont fixées sur un tambour posé sur un culot dont la base est pourvue d'une boule. La tige comprend un noeud ajouré également surmonté d'une boule. La surface du lustre a conservé des traces de dorure et de peinture bleue. Précision(s) sur le décor représenté : Le culot est constitué de grandes feuilles. Les parois du tambour et les sept branches sont ornées de rinceaux. Le noeud est formé de six éléments ayant la forme de pétales. De la base de ce dernier partent quatre volutes à rinceaux. Dimension(s) : h = 85,d = 80 Inscription(s) : date (gravée, sur l'oeuvre),inscription concernant l'auteur (gravée, sur l'oeuvre),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre),inscription concernant le commanditaire (gravée, sur l'oeuvre),date (gravée, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété de la commune Rédacteur(s) de la notice : Eraud Dominique,Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2006 Copyright : (c) Inventaire général, 2006 (c) Ville de Laval, 2006 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003502 - peinture monumentale : La Cigale et La Fourmi 4 vues Historique : Si les travaux préparatoires à l'élaboration de la peinture (esquisse et études) datent de 1895, ce n'est qu'en 1930 que Ludovic Alleaume réalise la peinture. Description : La peinture, de format ovale et marouflée, orne le trumeau de la cheminée de l'ancienne salle des Directeurs. Elle est entourée d'un cadre de stuc qui, comme la cheminée et le trumeau, est richement orné. Précision(s) sur le décor représenté : Scène allégorique autour de l'épargne inspirée de la fable moraliste de Jean de la Fontaine, La Cigale et La Fourmi : alors qu'elle vient lui demander secours et assistance pour l'hiver, la cigale, symbolisant l'imprévoyance, se voit éconduite par la fourmi associée au travail et à l'économie. Le cadre à filet perlé est bordé dans sa moitié supérieure d'une guirlande de feuilles de laurier agrémentée de deux rubans plissés. L'ensemble est coiffé d'un motif en coquille. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : signature (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre) Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2007 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2007 (c) Ville de Laval, 2007 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003587 - trois verrières figurées décoratives Historique : Verrières réalisées en 1899 par Auguste Alleaume et se rattachant au mouvement Art nouveau. D'après le registre de caisse du peintre-verrier, elles ont coûté 500 francs à leur commanditaire, monsieur Dupont. Elles ont disparu suite à la destruction lors du bombardement du pont Aristide-Briand en 1944, de l'immeuble occupé par le café. Description : Ensemble de trois verrières constituées de quatre panneaux chacune. Précision(s) sur le décor représenté : Le registre d'oeuvres d'Auguste Alleaume donne de la verrière reproduite en trois exemplaires la description suivante : "moderne, fenêtre, vitrerie, ornement, fleurs, pavot". D'après leur carton, les panneaux inférieurs s'ornaient de deux courbes affrontées formant une ogive à volutes. Celle-ci renfermait un tapis de coquelicots d'où jaillissaient des tiges dotées de rosaces. Sur les panneaux supérieurs flottaient deux rubans se faisant face. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2013 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2013 (c) Ville de Laval, 2013 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003618 - deux verrières décoratives 5 vues Édifice de conservation : hôtel Historique : Verrières réalisées en 1921 par le peintre-verrier Auguste Alleaume. D'après le registre de caisse de l'atelier, elles auraient coûté 990 francs à leur commanditaire, monsieur Le Bail. Description : Vitraux en verre laminé de reliefs ornant les deux fenêtres en plein-cintre de la façade sur cour. Précision(s) sur le décor représenté : Verrières dont les plombs dessinent des motifs géométriques divers. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Statut de la propriété : propriété privée Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2012 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2012 (c) Ville de Laval, 2012 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003627 - deux verrières décoratives 2 vues Historique : Verrières qui, en 1913, ont peut-être fait l'objet d'une restauration par Auguste Alleaume. Le nom de la famille Arché et la somme de 24 francs apparaissent en effet dans son livre de caisse. Précision(s) sur le décor représenté : Verrières ornées de feuillages stylisés. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général (c) Ville de Laval Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003630 - trois verrières figurées décoratives 3 vues Historique : Verrières décoratives et commémoratives réalisées vers 1920 par le peintre-verrier lavallois Auguste Alleaume. Elles rendent hommage à Pierre de Renne (ou Derenne), soldat de 2ème classe au 35ème RI, mort en mer le 4 octobre 1916 lors du naufrage du "Gallia". Il était né le 23 janvier 1878 à Tours. Pour l'année 1920, la somme de 690 francs apparaît dans le registre comptable d'Alleaume. Description : Les verrières des baies latérales sont cintrées et dotées de six barlotières horizontales. Celle du vantail est pivotante et pourvue d'une barlotière verticale. Toutes les trois sont en verre laminé de reliefs. Précision(s) sur le décor représenté : Les verrières latérales sont ornées de couronnes de chrysanthèmes. Celles du haut renferment une croix de Malte et des Instruments de la Passion : des couronnes d'épine et des clous. Sur celles du bas sont posés des phylactères recouverts d'inscriptions. Le centre des couronnes en accueillent également : elles concernent toutes l'état civil du défunt. Les bordures sont délimités par des perles. Le vitrail de la porte reçoit les mêmes ornements à savoir six couronnes de chrysanthèmes dont deux avec des phylactères et les initiales du mort. Dimension(s) : h = 79,6,la = 40,1 Précision(s) sur les dimensions : dimensions de l'embrasure extérieure de la fenêtre latérale gauche,verrière du vantail : h = 107,7, la = 32,2. Inscription(s) : dédicace (peinte, sur l'oeuvre),date (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003633 - verrière figurée : Vierge immaculée 1 vue Historique : Verrière réalisée après 1890 par Auguste Alleaume, peintre-verrier lavallois. La mention d'un vitrail représentant la Vierge immaculée pour le cimetière de Laval apparaît en effet dans le registre de production de l'atelier. Précision(s) sur le décor représenté : Le bas de la bordure à palmettes en éventail est coupée par un cartouche renfermant une inscription. Comme le laisse supposer cette dernière, le centre du vitrail était occupé par une représentation de la Vierge immaculée. Dimension(s) : h = 90 Précision(s) sur les dimensions : dimension de la Vierge inscrite dans le registre de production d'Auguste Alleaume. Inscription(s) : inscription concernant l'iconographie (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003634 - deux verrières figurées décoratives 3 vues Historique : Verrières de style Art nouveau réalisées vers 1908 par le peintre-verrier Auguste Alleaume pour la chapelle funéraire de Germaine Bouvier. Description : Verrières en verre laminé de reliefs et dotées d'une barlotière horizontale. Précision(s) sur le décor représenté : Les parties centrales sont occupées par de grands bouquets de fleurs de lys, symboles d'éternité ou de souvenir. Les tiges de celles-ci sont cachées par des médaillons ou couronnes renfermant des initiales et des dates. Les bordures sont ornées de roses blanches. Précision(s) sur les dimensions : dimensions non prises. Inscription(s) : date (peinte, sur l'oeuvre),signature (peinte, sur l'oeuvre),inscription concernant le lieu d'exécution (peinte, sur l'oeuvre),épitaphe (peinte, sur l'oeuvre) Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |
IM53003635 - verrière historiée : Calvaire 1 vue Historique : Verrière réalisée vers 1905 par Auguste Alleaume. Si le vitrail ne porte pas la signature du peintre-verrier lavallois, il est cependant mentionné dans son registre de production de dessins. Description : Verrière dotée de trois barlotières horizontales. Précision(s) sur le décor représenté : Verrière représentant le Calvaire c'est-à-dire le Christ en croix entre la Vierge et saint Jean dont les visages sont traités de manière très expressive. La bordure est constitué de dents-de-scie agrémentées de points. Dimension(s) : d = 52 Précision(s) sur les dimensions : diamètre du médaillon apparaissant dans le registre de production d'Auguste Alleaume. Rédacteur(s) de la notice : Garnavault Sylvie Date(s) de l'enquête : 2010 Copyright : (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général, 2010 (c) Ville de Laval, 2010 Fonds / classement : Objets mobiliers |